n° 14935 | Fiche technique | 14198 caractères | 14198Temps de lecture estimé : 9 mn | 27/04/12 |
Résumé: Encore jeune puceau, j'étais secrètement amoureux de Suzy, la meilleure amie de ma mère. Cet amour n'était pas partagé mais, le jour du mariage de ma sœur, il s'est produit un événement qui a tout fait basculer. | ||||
Critères: fh fplusag voir init | ||||
Auteur : Cigaline et Cigalou Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Suzy ou les derniers jours d'un jeune puceau Chapitre 01 | Épisode suivant |
Cette histoire remonte à ma jeunesse. À l’époque, encore jeune puceau, j’étais secrètement amoureux de la meilleure amie de ma mère. Suzy était son amie d’enfance. Elles s’étaient connues à l’école primaire et avaient gardé depuis de profondes affinités. Il ne se passait pas une semaine, sans qu’elles se voient, ni souvent un jour sans qu’elles s’appellent.
Le jeune garçon que j’étais à l’époque et qu’elle avait connu tout bébé, était désormais devenu un beau jeune homme, que la vue d’une femme de 54 ans, encore belle et pleine de maturité comme elle, commençait à fasciner et à troubler… Je m’en souviens encore parfaitement, et comment pourrais-je l’avoir oubliée, elle portait si bien son âge !
À commencer par son visage, si charmant dans mes souvenirs. Une fine coupe courte de cheveux blonds encadrait son visage toujours joliment maquillé et marqué de quelques rides craquantes sur son front, sur ses joues ou aux coins de ses yeux. Elle avait un regard clair, une fine bouche le plus souvent ourlée de rouge, que je trouvais très séduisante. Des dents blanches éclatantes lorsqu’elle souriait, à mon plus grand bonheur, et un nez fin et harmonieux. Son âge n’était pour moi nullement un obstacle et même, au contraire, cette maturité m’impressionnait beaucoup et m’attirait terriblement. Sa douceur et sa gentillesse avec moi me troublaient, et je me disais qu’une femme de son expérience aurait sûrement toute la patience et la tendresse nécessaire pour m’aider à devenir un homme.
Son mari, de dix ans son aîné, était très occupé par ses affaires professionnelles. Il était très peu à ses côtés et également peu attiré par son corps aux multiples trésors. De ce fait, c’était une femme délaissée et je l’ai surprise plusieurs fois s’en plaindre auprès de ma mère, regrettant ce manque d’attention et de caresses.
J’avais le secret espoir que cette frustration puisse un jour la conduire à réaliser que j’existais. Qu’elle puisse enfin me voir autrement que comme le gamin charmant qu’elle avait toujours connu et qu’elle regarde enfin en moi ce jeune homme plein de sève et d’énergie, qui ne demandait qu’à lui en faire bénéficier.
À chaque fois que j’avais l’occasion de la croiser, j’essayais d’attirer son attention, mais sans succès malheureusement, hormis de jolis sourires et de tendres attentions, mais rien qui ne réponde réellement à mes attentes. Sans perdre espoir, je continuais tout de même, à chaque fois, à l’observer secrètement et avec désir : elle était toujours vêtue de robes qui mettaient si bien en valeur ses belles jambes fermes, toujours divinement galbées dans des bas soyeux et rehaussées sur de très jolis escarpins. Ses cuisses pleines, harmonieuses et son cul rebondi me fascinaient autant que sa poitrine si tentante sous des pulls moulants, ou relevée dans des robes aux décolletés pigeonnants.
Je ne pouvais me lasser de la regarder et même de l’épier. À chacune, de ses apparitions, mon cœur s’accélérait et mon ventre se nouait. Ce fut la première femme qui éveilla en moi de telles pulsions, jusque-là inconnues pour moi. Certaines nuits je me suis même surpris à fantasmer sur elle, sur ses formes généreuses, et je me réveillais le pyjama et les draps tachés par l’émotion qu’avaient provoquée de doux rêves érotiques en sa compagnie…
Cet amour n’était pas partagé mais le jour du mariage de ma sœur, il s’est produit un événement qui a tout fait basculer…
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Ce jour-là, je l’attendais, le cœur palpitant, sur le parvis de l’église. Elle et son mari étaient en retard, comme toujours avec ce dernier. Les voilà qui arrivent en voiture, il conduit et elle est assise à ses côtés. À peine arrivé, il se dépêche de sortir pour aller rejoindre l’église, la laissant seule, n’attendant même pas qu’elle ait fini de se préparer en mettant les dernières notes à son maquillage. La voyant ainsi abandonnée, je me rapproche d’elle pour lui tenir compagnie, et ouvre la portière. Je la découvre dans une très belle petite robe rose agrémentée sur le haut et les flancs de voile noir transparent. Je crois rêver, mais il me semble, à regarder de plus près ces ornements très suggestifs, qu’elle ne porte pas de soutien-gorge… Quel régal des yeux !
Elle est en train de refaire les contours de sa bouche, sa robe remontée très haut sur ses cuisses, lorsque j’entrevois alors avec beaucoup d’émotion la lisière de ses bas noirs en nylon. Cela devient de plus en plus intéressant, mon cœur s’accélère soudain à cette délicieuse vision.
Et elle applique délicatement le rouge vif sur sa fine bouche sous mon regard conquis
J’en profite pour laisser traîner mes yeux de jeune voyeur sur le haut de sa robe transparente, ému cette fois-ci par la vue de ses deux seins que je devine pulpeux, de manière plus précise à travers ces voiles noirs.
Et elle termine avec une note de parfum (Trésor de Lancôme). Je suis charmé par ce parfum capiteux et par les belles images qui l’accompagnent…
Elle pose un pied sur le sol en dehors de la voiture en se retournant pour prendre son sac à mains, resté derrière sur la banquette. Elle doit pour cela écarter exagérément ses cuisses… et j’aperçois à cet instant, en plus de la naissance de ses bas, le porte-jarretelles noir qui les retient ainsi que la petite culotte de couleur assortie qui cache son intimité tant de fois désirée…
Plus bas, elle porte de très jolies chaussures à talons noirs ornées d’une boucle qui lui ceint ses charmantes et délicates chevilles. Elles mettent parfaitement en valeur ses splendides jambes, de même que les bas noirs en nylon très élégants qui enveloppent divinement ses cuisses pleines et ses mollets finement musclés.
Je lui tends la main pour l’aider à descendre de la voiture. Elle s’en saisit « Oh mon petit Pierre, tu es un vrai gentleman » et elle remarque au passage, mon regard sur ses cuisses, ce qui l’amuse, le croyant uniquement motivé par la curiosité d’un adolescent.
De sentir sa main dans la mienne me réchauffe le cœur. Ses cuisses ainsi entrouvertes m’attirent follement ! J’aimerais tant pouvoir y glisser ma main tremblante et pouvoir caresser le doux nylon de ses bas ou les quelques centimètres de la peau nue de ses cuisses que je perçois alors plus en haut.
Elle se redresse, lâche ma main et se penche alors pour tirer sa robe sur ses cuisses.
Quelle bonne idée ! Cela me permet de mieux profiter cette fois-ci du voile noir transparent de sa robe. Je distingue ainsi encore mieux, sa gorge que je devinais à peine tout à l’heure. Une belle grosse poitrine joliment garnie que je n’avais jamais vue d’aussi près.
Je scrute avec avidité tous les détails, ne lâchant aucune miette de cette vision paradisiaque. À travers le voile, je perçois bien les contours de ses seins, bien gros et délicieux, ainsi que le sillon qui sépare ces deux splendides jumeaux ! Je suis hypnotisé.
Vite, nous sommes en retard, elle active le pas sur ses talons hauts pour montrer les escaliers de l’église. Je suis juste derrière elle et me délecte de la vision de ses jambes que ses talons hauts rehaussent joliment. Les claquements de ces derniers sur le parvis de l’église rythment les battements de mon cœur tout excité auprès d’elle. Le galbe de ses mollets est superbe. Et j’adore ce liseré noir qui remonte de ses chevilles, le long de ses cuisses fermes en direction de son cul large et arrondi. Au passage lors de la montée des marches, j’aperçois une fois encore de manière parfaite la périphérie de ses bas noirs. Je suis conquis par ma Suzy !
Elle monte vite, sa robe remonte sur ses cuisses. Elle ne me regarde plus, et arrive en haut en se mettant sur la pointe de ses escarpins pour ne pas faire de bruit, me laissant à nouveau profiter du spectacle.
Son mari n’est pas loin, elle le rejoint n’osant pas encore tirer sur sa robe. Je me place juste derrière elle. Au passage, à travers le voile transparent sur le flanc droit de sa robe, j’entrevois encore un peu mieux son sein droit en liberté, ce qui m’émoustille terriblement…
Nous nous asseyons. Elle croise ses cuisses dans un divin crissement de nylon. Je reste le regard vissé sur ces dernières dans l’espoir une fois encore de découvrir l’extrémité d’un bas ou mieux, récompense suprême, à nouveau sa petite culotte noire.
Elle ne se rend compte de rien, aspirée qu’elle est par la cérémonie qui dure très longtemps. Mais moi, c’est son corps qui m’aspire, dans l’espoir de mieux découvrir son intimité, une cuisse dévoilée ou un sein deviné. Je suis en transe, et je veux que cette cérémonie dure le plus longtemps possible. En attendant, je reste assis derrière elle, le regard troublé par sa présence, scrutant ses mouvements, écoutant les bruits discrets et délicats du crissement de ses bas en nylon à chaque fois qu’elle croise ou décroise les jambes, suivis du bruit cliquetant de ses fins talons alors qu’elle pose ses pieds sur le sol.
Son parfum capiteux vient chatouiller mes narines, et embaumer mon cœur et mes pensées, tandis que mon regard reste fixé sur la peau nue ensorcelante de son dos. Je suis envoûté par ce décolleté en V, qui pointe sur la fermeture éclair de sa robe rose et noire. Cette vue captivante m’émeut fortement, et dans mes rêves les plus fous, je m’imagine tremblotant en train de la faire glisser lentement le long de son dos vers le creux de ses reins, couvrant alors sa peau nue et offerte de baisers fiévreux, tendres et gourmands. Elle bouge alors me tirant de mes doux rêves, le bruit de ses talons me ramenant alors à la réalité.
À la fin elle se lève, sa robe très serrée remontée sous ses fesses. Elle remue ses hanches et tire pour la faire descendre. La bordure noire et large située en haut de ses bas continue alors à me narguer. Je rêve à cet instant, de pouvoir l’aider à tirer sur ce bout de tissu et de pouvoir au passage palper furtivement ce postérieur énorme des plus désirables. Je rêve aussi de pouvoir poser mes deux mains empruntées sur ces hanches larges aux courbes généreuses des plus délicieuses.
Elle se tient désormais debout, ayant entendu un bruit, tourne son visage et me sourit en me faisant un petit signe comme pour me dire « sois patient mon petit Pierre ». Oh oui, je suis prêt à être patient. Je garde le secret espoir d’un jour pouvoir enfin profiter de ses charmes si merveilleux.
Elle sent ma présence dans son dos et se dit que je suis mignon et si attachant. Mais si elle pouvait lire à ce moment dans mes pensées, elle ne dirait sûrement pas la même chose.
La messe se termine, elle va avec son mari féliciter mes parents et souhaiter ses vœux de bonheur à ma sœur. Naturellement je l’accompagne, en la suivant de très près, espérant à chacun de ses mouvements, découvrir le haut de ses cuisses fermes et charnues ou l’un de ses gros seins libres de toute contrainte dans sa robe rose très suggestive.
Elle réussit enfin à tenir sa robe tendue. Puis nous nous retrouvons tous dehors, elle se retourne et me dit :
En moi-même, je regrette d’être obligé de me retrouver seul à l’arrière. Combien j’aurais aimé l’avoir à mes côtés. Le spectacle aurait été sûrement très intéressant.
C’est bien dommage, une femme encore si désirable avec un homme si vieux. Mais… je suis jaloux, il me semble !
Suzy ouvre sa portière devant moi et se glisse sur la banquette tandis que sa robe courte et étroite lui joue encore des tours, me laissant voir une nouvelle fois, son porte-jarretelles et sa petite culotte noire. Cette vision me réchauffe le cœur. J’en avais bien besoin !
Derrière, Suzy me parle et pose sa main sur mon épaule en me disant :
Que ne ferais-je pour pouvoir être avec elle, même si j’aurais préféré ne pas partager ces instants avec son mari, mais bon… Au passage, vous ne pouvez imaginer combien cette main sur mon épaule me réconforte.
Elle serre ses doigts sur mon épaule, ses ongles appuient sur moi puis elle enlève sa main.
Mais quand va-t-elle cesser de me prendre pour un petit garçon ? Ne voit-elle pas que je ne suis plus le petit Pierre qu’elle a connu ?
Nous sommes enfin arrivés, elle se soulève de la banquette et on voit ma mère arriver du fond de la cour.