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Temps de lecture estimé : 9 mn
01/05/12
Résumé:  Un homme propose à sa maîtresse d'être sa soumise par jeu. Elle va découvrir un nouveau plaisir... celui d'être partagée.
Critères:  fhhh extraoffre fsoumise soubrette voir exhib strip cunnilingu fgode aliments tutu -fhhh -fsoumisah
Auteur : Achille      
Doux délire

J’avais organisé un dîner chez moi avec trois de mes meilleurs amis. Nous avions tous un goût prononcé pour le sexe mais étions très discrets au sujet de nos aventures. Jamais un nom n’avait filtré, ni un détail pouvant identifier notre partenaire. Pourtant ce soir-là, j’allais faire une exception en décidant de te présenter à mes amis, tout en t’assurant de leur discrétion absolue. Étant tous quatre issus du monde de la finance helvétique, le secret bancaire et la discrétion étaient fortement ancrés en nous.


Comme tu étais surprise d’être conviée à nos agapes toutes masculines, je t’ai simplement répondu que pour cette soirée-là, tu serais ma soumise et devrais te plier à tous mes désirs et toutes mes volontés. Je connaissais le dilemme qui sommeillait en toi… Être le centre d’attraction d’un groupe d’hommes t’effrayait tout en t’excitant au plus haut point. Nous avions déjà joué en toute intimité à certains jeux de soumission où tu devais accepter mes caprices, mais jamais encore nous n’avions fait l’amour avec d’autres. Pour ma part, la perspective de te prêter à d’autres hommes me répugnait, tant je tenais à toi. Mais tous deux étions attirés par l’exhibitionnisme, sans toutefois aller plus loin que de se faire de petites gâteries dans un parking ou sous une porte cochère.


La garantie que mes amis sauraient se tenir et respecteraient mes limites te rassura, mais tu voulais quand même en savoir plus quant au déroulement de la soirée. Je répondis par la négative, ne t’indiquant que la date, l’heure ainsi que l’habillement. Je te voulais chez moi jeudi à 18 h précise, habillée d’une mini-jupe noire, de bas résille noirs, de hauts talons et d’un chemisier blanc – tout sous-vêtement étant prohibé. Un petit tablier blanc avec des dentelles devait finir de te déguiser en soubrette.


Tu arrivas le jeudi avec vingt minutes de retard, une habitude chez toi ! Dès que je t’ouvris la porte je t’en fis la remarque, en te précisant bien que tu serais punie pour ta faute… en temps voulu. Tu avais revêtu un imperméable, mais une fois celui-ci enlevé tu avais appliqué à la lettre mes consignes. Tu avais vraiment l’air d’une petite bonne dans une famille bourgeoise. Je te demandai tout de suite de te pencher en avant afin de vérifier que tu ne portais pas de culotte. La vue de fesses nues m’excitait toujours et je dus me retenir pour ne pas les caresser, les écarter et y glisser ma langue. En lieu et place je t’administrai une bonne dizaine de claques sur les fesses pour te punir de ton retard.


Ensuite je t’ordonnai de t’asseoir sur une chaise, jambes bien écartées, afin de glisser dans ta chatte deux boules de geishas que j’avais achetées, boules munies d’un vibreur à piles à l’intérieur, qui s’enclenchait au moyen d’une télécommande. Pour faciliter leur mise en place, et parce que j’en avais aussi envie, je me mis à genoux pour te lécher le temps que ta grotte à plaisir s’ouvre et soit bien mouillée. La saveur de ta mouille m’excita et je me mis à bander. Il me fallut faire un gros effort pour ne pas te faire l’amour… Dès que tu fus à nouveau debout, je t’ai demandé de marcher dans le salon. Après quelques pas je pressai sur le bouton de la télécommande, ce qui te fit pousser un petit cri de plaisir. Tu me dis que jamais tu ne réussirais à te retenir si je l’utilisais dans la soirée… ce qui me fit sourire.


À 19 h, la sonnette de l’entrée retentit et tu allas ouvrir la porte à mes trois amis et les accompagnas au salon. Ils furent surpris de voir une bonne leur ouvrir ainsi chez moi, mais ne quittèrent pas des yeux ta gracieuse silhouette qui les précédait. Après les salutations et les « comment ça va ? », je dis de façon polie mais ferme :



J’expliquai alors à mes amis que pour mieux profiter de leur présence, j’avais commandé les services d’un traiteur plutôt que de cuisiner moi-même comme d’habitude. Ils ne purent s’empêcher de faire quelques commentaires sur la chance que nous avions que le traiteur mette à notre disposition une si ravissante personne.


Tu amenas le plateau avec la bouteille de champagne et les petits fours, et te mis à nous servir en prenant bien soin de te pencher en avant afin que mes hôtes puissent bien profiter de la vision de ton cul magnifique. À la couleur rosée de tes joues, je sus que tu devais faire un effort pour jouer le jeu que nous avions fixé et que tu m’avais maintes fois suggéré. De plus, la perspective d’être punie devant mes amis t’effrayait hautement. Alors que tu servais le troisième verre je pressai sur le bouton de la télécommande, ce qui te fit pousser un petit cri de surprise et bien évidemment te fit verser un peu de champagne à côté du verre.



Tu hésitas un court instant puis t’exécutas, ce qui surprit mes hôtes. Mais vu leurs visages illuminés, ils apprécièrent. Dès que tu quittas la pièce ils me pressèrent de questions auxquelles je répondis vaguement, me contentant de leur expliquer que j’avais trouvé un traiteur offrant un service très personnalisé. Et pour bien le leur prouver…



Tu arrivas prestement, le chemisier reboutonné, et choisis un cd de Bob Marley. Tu me demandas si tu pouvais quitter la pièce mais je te répondis de bien vouloir danser devant nous… ce que tu fis. J’aime voir ton corps superbe se déhancher en rythme. Évidemment, je m’empressai de déclencher à nouveau les vibrations dans ta chatte, mais cette fois je ne les arrêtai pas avant la fin du morceau. Excitée comme jamais, tu te mis à caresser tes seins en dansant, leurs mamelons pointant fièrement sous ton chemisier. À la fin du morceau je te demandai de t’approcher de moi et je mis ma main entre tes cuisses en expliquant à l’assemblée que je voulais vérifier si tu étais mouillée… Détrempé ton puits d’amour ! J’en profitai pour porter mes doigts à ma bouche pour te déguster.



Tu commenças par mon voisin de droite qui à son tour toucha ton con pour nous annoncer qu’effectivement tu mouillais bien. Quand tous t’eurent touchée, je te demandai de venir à nouveau vers moi. D’avoir été caressée par quatre hommes à la suite t’avais beaucoup excitée, ce que je remarquai à ta chatte nettement plus détrempée que quand j’avais commencé.



Dès les premières notes de musique, tu te mis à onduler des hanches tout en enlevant ton tablier. Puis vint le chemisier, que tu mis longtemps à déboutonner complètement. Tes seins, sans être énormes, étaient magnifiques, en forme de poire. Leurs bouts durcissaient sous les caresses de tes mains et de tes doigts. Vint le tour de ta jupe qui glissa lentement le long de tes jambes fines et bronzées, dévoilant ton pubis lisse et brillant de ta mouille. Tandis que nous tirions les dernières bouffées d’un joint, je pressai à nouveau la télécommande, ce qui déclencha chez toi des secousses, et tu te mis à te toucher la chatte avec un manque de pudeur qui me surprit et que j’attribuai à l’excitation de la situation. Quand le morceau prit fin je t’ordonnai d’aller te coucher nue sur la table de la salle à manger et priai mes compagnons de passer à table. Quand je revins de la cuisine avec une partie du repas, un de mes convives avait mis un coussin sous ta tête afin qu’elle soit plus confortablement installée.



Rémy ne se fit pas prier et fit lentement rouler les pointes entre ses doigts avant de prendre tes seins tout entier dans ses mains. Je dus lui demander d’arrêter afin de pouvoir préparer le repas. Il stoppa avec regret mais il était moins une… car tu arrivais presque au point de non-retour… Mais pas question que tu jouisses maintenant… pas tout de suite.


Je disposai sur ton corps nu quatre tranches de foie gras à la lisière de ton pubis, quelques brins d’aneth au-dessus, les tranches de saumon fumé recouvrant ton ventre à la hauteur du nombril et la crème aigre au raifort sur chacun de tes mamelons. Le reste de ton ventre et de ton torse était maintenant recouvert de différentes viandes froides, de terrine ainsi que de moutarde et autre mayonnaise à même le corps. En apothéose, je te remplis la chatte de sauce hollandaise et disposai sur tes cuisses des asperges vertes cuites « al dente » pour ne pas les casser en les trempant dans la sauce qui dégoulinait légèrement de ta chatte. Le tableau de la femme que j’aimais, nue sur la table et recouverte de délices gastronomiques disposés tel un tableau de peintres hyper réalistes tels que Bodin ou Bowen, méritait qu’on l’admire un instant. Nous reculâmes de quelques pas pour mieux apprécier cette nature pas si morte, et Bernard et Paolo voulurent prendre une photo avec leur portable, ce que je leur interdis en leur expliquant que Véronique et moi étions ensembles depuis bientôt deux ans, et que pour des raisons de discrétion, je les priais de ne jamais faire mention de cette soirée. Je savais pouvoir leur faire confiance.


Deux heures que tu étais à notre service, plus émoustillée par la situation que vraiment excitée, à part les moments où j’enclenchais les boules magiques, ou ceux où tu te caressais. Il était temps de passer aux choses sérieuses…



Nous commençâmes à manger avec nos doigts. Paolo entama le saumon en le trempant dans la sauce qui recouvrait tes seins. Bernard te caressa le ventre avant de s’emparer d’une asperge en l’utilisant pour caresser ton clitoris délicatement avant de l’enfoncer dans ta chatte pour la recouvrir de sauce hollandaise. Je dus rapporter une tranche de foie gras alors que Rémy faisait rouler une tranche de jambon cru à même ta peau et que tu commençais à gémir. Quant à moi je te remis à l’ordre plusieurs fois pour que tu ne bouges pas ni tes bras ni tes jambes. Tu aurais voulu te caresser, nous toucher…



Tous se mirent à te caresser tout en mangeant… Huit mains sur toi… Quatre paires d’yeux qui t’admiraient. Plus nous mangions et plus la surface de caresses augmentait. À un moment, nous fûmes tous les quatre à manger une asperge, caressant ton clito, pénétrant ta chatte tandis que nos mains s’occupaient de tes seins, de tes cuisses… Tu jouis plusieurs fois et tes orgasmes se faisaient plus intenses quand j’actionnais encore le subtil mécanisme des boules. Quand il ne resta plus que de la sauce, mayonnaise et autre gélatine, nous nous mîmes à lécher ton corps avec avidité, ton puits d’amour m’étant réservé. Quand tu fus presque propre, nous répandîmes du champagne et te léchâmes encore et encore tout en te caressant.


Tu étais épuisée quand la sonnette de l’entrée retentit.



Tu n’osas pas refuser, te dirigeas vers la porte d’une démarche chancelante et ouvris en prenant soin de ne montrer que ta tête, le reste de ton corps restant caché par le battant de la porte.


Trois magnifiques jeunes filles firent leur entrée. Une blonde, une Africaine à la peau d’ébène et une sud-américaine basanée, et toutes trois dotées d’une magnifique poitrine. Leur apparition dans le salon fut acclamée par mes potes qui devenaient de plus en plus chauds et qui bandaient comme des ânes…



Je t’emmenai dans la salle de bains et nous nous enlaçâmes sous la douche. Nos baisers furent d’une extrême douceur tout comme notre étreinte qui suivit.