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n° 14958Fiche technique7682 caractères7682
Temps de lecture estimé : 6 mn
11/05/12
Résumé:  Une jeune femme assez insatiable se pose la question d'une addiction au sexe.
Critères:  f jeunes bus cérébral revede fmast confession -mastf
Auteur : Zoé044      Envoi mini-message
Suis-je normale ?

Je m’appelle Zoé, je viens d’avoir 20 ans et je me demande si je n’aurais pas un problème sexuel.


Je me suis toujours beaucoup tripotée, caressée, frottée. Masturbée quoi. Quand j’ai eu mon premier rapport sexuel, ça m’a beaucoup plu, j’ai découvert que j’adorais vraiment le sexe. Depuis, je multiplie les aventures sans complexes ni tabous. J’ai connu plusieurs hommes et, malgré mon jeune âge, je peux dire que j’ai déjà pas mal d’expérience. Comme on dit, j’aime ça.


En ce moment je suis célibataire, mais ça ne m’empêche pas d’avoir des rapports réguliers, c’est-à-dire dès que l’occasion se présente, et je n’ai pas de souci à ce niveau-là. À la fac, c’est pas les occasions qui manquent. Je sors beaucoup, je fais souvent la fête et tous ces petits matous qui me tournent autour ne sont pas durs à convaincre quand j’ai besoin de quelque chose de particulier. Il n’y a pas que des bons coups, mais j’ai quelques contacts intéressants dans mon carnet d’adresses.


Mon problème c’est que bien loin de me calmer, baiser à droite à gauche comme ça ne fait qu’augmenter mon désir et mon excitation et ça décuple mon imagination. Et je n’ai pas réduit le touche-pipi, au contraire. Je dois avouer que je me masturbe de plus en plus. Je suis presque devenue accro au porno et je passe des heures à regarder des vidéos de cul sur Internet. Je suis complètement fascinée par ces images et plus c’est crade et obscène, plus ça m’excite. C’est comme s’il fallait que la dose augmente sans arrêt. C’est grave docteur ?


Et en plus, il ne me faut pas grand-chose pour m’exciter. Pour vous donner un exemple, j’ai une demi-heure de bus pour aller en cours. Ça commence avec les vibrations de mon siège, je sens que ça me chauffe entre les cuisses, je me ramollis, je me laisse un peu aller, je sens que ça mouille grave dans ma culotte. Je suis juste incapable de me retenir. En fait, il faut être honnête, en général j’anticipe. Je prépare même mon coup. Je pose toujours mon manteau sur mes genoux, comme ça je peux glisser une main dessous, discrètement. Je prends un air dégagé, je fais semblant d’être perdue dans mes pensées en regardant par la fenêtre ou en faisant semblant de lire. J’arrive super bien à me frotter à travers le pantalon (avec une jupe je vous dis pas, je peux carrément mettre les doigts dedans).


Je vous explique ma technique. Il suffit que je croise les jambes fermement pour me comprimer les grosses lèvres, je les sens bien gonflées, pleines de jus et bien remontées juste au milieu. Entre le pouce et l’index je me les pince régulièrement et mécaniquement à travers le tissu pour me titiller le clito. Avec ce genre de traitement, il me faut en général à peine une minute pour jouir. C’est imparable. Au moment où je sens que ça vient, je me frotte un peu le visage de la main gauche ou je fais semblant de tousser, ou de me rassoir mieux sur mon siège, comme ça c’est ni vu ni connu. Des fois, je me touche même en cours, c’est discret et je ne me rate jamais. Je pars toujours à la fac avec une culotte de rechange dans mon sac parce que sinon je ne tiens pas la journée, je suis vite dans un sale état et je me sens toute poisseuse là où vous devinez. C’est un peu la honte, mais comme je ne pense qu’à ça toute la journée je suis quasiment tout le temps trempée.


Autre exemple. Dans la journée, j’ai vachement de mal à passer aux toilettes sans me toucher à nouveau. Avec tout ce que je vois sur Internet, quand je rentre dans des toilettes publiques j’imagine toujours qu’il y a un trou dans la cloison et que de ce trou sort une bite extraordinaire et irrésistible. Je suis super fan des vidéos de glory hole avec ces machins presque surnaturels qui sortent de leur trou, ça c’est vraiment un gros fantasme pour moi. J’aimerais trop essayer ce truc-là.


J’ai même téléchargé une vidéo comme ça, où il y a une brune plantureuse en survêt, qui me ressemble un peu (c’est aussi pour ça que je m’imagine à sa place). Elle est accroupie dans des toilettes et elle s’excite comme une dingue sur un sexe de Noir vraiment énorme (avant je savais pas que ça pouvait exister un truc pareil, j’aimerais bien en trouver une comme ça un jour).


La nana, jamais elle ne regarde la caméra et on voit qu’elle ne fait pas de chiqué, elle adore vraiment ça. Elle grogne, elle râle, elle devient dingo, elle se tape le visage avec, elle bave, elle crache et elle fait tout ce qu’elle peut pour en avaler le plus possible, à s’en faire venir les larmes aux yeux. À la fin, quand la grosse giclée arrive, je donnerais n’importe quoi pour ouvrir la bouche à sa place. C’est vraiment une scène qui me chamboule. Alors quand je commence à imaginer ce genre de truc en allant faire pipi, je me masturbe encore. Des fois, je le fais cinq ou six fois par jour. C’est devenu infernal.


Quand je reprends le bus après les cours je recommence souvent mon petit manège du matin. C’est à en devenir folle. Même quand j’arrive à résister un peu à l’envie de glisser une main sous mon manteau, histoire d’essayer au moins de réduire la cadence, d’en garder pour le soir, je sens que je pourrais presque me faire jouir comme ça, juste en serrant les cuisses et en me comprimant le sexe en faisant jouer mes muscles. Ça me fait peur parce que je trouve que je commence à perdre le contrôle sur mes pulsions. Quand j’arrive à résister dans le bus, la première chose que je fais une fois rentrée dans mon appart c’est allumer l’ordinateur pour découvrir les nouvelles vidéos du jour sur les sites que je fréquente.


En ce moment il y a un truc qui m’excite à fond, c’est les vidéos de dogging. C’est quand des femmes vont s’occuper de parfaits inconnus en extérieur, en général le soir ou la nuit. Je ne vous fais pas un dessin. Vous imaginez bien de quoi il s’agit. Genre une voiture dans un bois, je descends la vitre et j’enchaîne les pipes. Je trouve ça vraiment crade mais en même temps je crois que j’aimerais essayer ça. Je sais que si je me retrouvais dans cette situation, je serais sûrement incapable de résister et je suis sûre que ça m’exciterait autant que l’autre dingue en survêt dans les toilettes.


Enfin…


Pour l’instant, j’ai osé parler de tout ça à personne parce que ça me semble quand même bizarre de devenir obsédée à ce point, mais je suis bien contente d’avoir trouvé ce site pour raconter ce qui m’arrive. Il y a plein de trucs que j’ai envie de faire, envie d’essayer, mais je n’ose pas trop. J’ai l’impression que si je commence, si je me lâche vraiment, je vais trop aimer ça et je ne sais pas trop où ça pourrait s’arrêter. Je me rends compte qu’il faut prendre un minimum de précautions, mais d’un autre côté, si je reste dans ces hésitations, je risque de ne pas découvrir grand-chose et ça va continuer à me chauffer la tête (et le reste).


Rien que d’écrire cette lettre pour l’envoyer sur le site, ça m’a carrément excitée, je sens que ça me coule dans la culotte et il va falloir que je lâche le clavier parce que je vais avoir besoin de mes doigts pour faire autre chose. Je vous dis, c’est infernal.


Il y a peut-être d’autres femmes comme moi qui auront des conseils à me donner. Par exemple, je me demande si ça existe un glory hole sur Nantes…