Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 14959Fiche technique40341 caractères40341
Temps de lecture estimé : 24 mn
11/05/12
Résumé:  Un couple de retraités, qui a goûté au partage, continue dans la découverte d'une sexualité de plus en plus libérée.
Critères:  fhhh fagée couplus extracon anniversai travail fellation fist double partouze confession -totalsexe -couple+h
Auteur : RobertAnne62
Le choc du passé et la promesse d'un avenir radieux

Ce texte est une suite non prévue du récit 14742. "Il n’est jamais trop tard". Dans ce récit, Robert avait été surpris de la rapidité avec laquelle Anne se livrait à des pratiques qu’elle lui refusait jusque-là. Une pensée le travaille. Et si elle ne lui avait pas été fidèle ?



XXX



Récit d’Anne



Robert mon chéri.


Cela me fait tout drôle de t’écrire alors que tu es à quelques pas, mais c’est la règle, tu ne dois découvrir ce texte que lorsque je l’aurai terminé. Patience.


Tu voulais savoir si je t’avais trompé, eh bien ce récit peut te mettre sur la piste.


Tu sais, bien sûr, que j’ai longtemps travaillé dans cette société spécialisée dans l’audiovisuel. Nous proposions tout ce qui est nécessaire pour les films, ciné ou TV, depuis les costumes jusqu’aux caméras en passant par les décors. Du fait de mon ancienneté et peut-être mes compétences, je me suis retrouvée en charge de la gestion des stocks, ce qui n’était pas une mince affaire. J’avais donc accès à l’ensemble des services et bâtiments et on me nommait "la femme aux clés d’or" car j’avais le "passe universel" qui m’ouvrait toutes les portes. Ce détail est capital dans la suite de mon récit.


J’avais une amie, Laure, d’ailleurs nous nous voyons encore, qui s’occupait des costumes. Son bureau jouxtait la réserve où les costumes et accessoires étaient stockés. Une vraie caverne d’Ali Baba. Et c’est avec Laure que je prenais mon repas de midi, à la cantine ou dans un petit café, juste à côté. À l’époque où se déroule mon récit, j’avais pris la décision de faire un peu attention à ma ligne et, sans sauter le repas de midi, je me contentais d’une "gamelle" que je prenais dans mon bureau alors que tout le monde était parti.


Ce jour-là, j’avais passé une matinée difficile ; aussi, en sortant de réunion, je décide d’aller manger avec ma copine et sans la prévenir je passe la prendre dans son bureau. J’ouvre la porte et en même temps que je constate son absence, je me rends compte que l’heure est largement dépassée et que certainement elle est partie depuis un moment. Je vais refermer quand j’entends du bruit dans la réserve et, pensant que Laure est là, je m’avance dans le local. Il fait sombre mais j’aperçois deux silhouettes manifestement occupées à se donner du plaisir à grands renforts de mouvements ponctués de petits cris. Je pense, coquine de Laure, tu m’avais caché ta liaison, toi qui disais vivre le parfait amour avec ton mari.


Mes yeux s’habituent à l’obscurité et, rassurée, je constate que ce n’est pas elle mais une jeunette de la compta qui s’envoie en l’air avec Arthur, le tombeur de ces dames dont la réputation n’est plus à faire. La rumeur le désignait comme l’amant de nombreuses femmes de la boîte et il faut reconnaitre qu’il avait un don pour plaire et pourtant c’était loin d’être un Apollon. Ils ne remarquent pas ma présence et je me sauve discrètement. Quand j’ai parlé de cela à Laure, elle a été catastrophée.



Je vous passe les détails, mais même si je trouvais un tel accord dangereux, on ne dénonce pas une copine. Quelques jours plus tard, j’ai la visite d’Arthur dans mon bureau, très gêné, essayant de me sonder pour connaitre mes intentions. Je le rassure, que Laure est une amie, mais qu’il doit absolument être plus prudent pour éviter de se faire surprendre. Et comme j’aborde le sujet de la dénonciation par une maitresse déçue ou bafouée, il me répond calmement, presque fanfaron :



Pour moi l’affaire était classée, mais comme un fait exprès, Arthur revenait souvent dans les conversations entre femmes et certaines, avec des airs de conspiratrices, parlaient de lui comme d’un amant très agréable. Avant, ce genre de remarques me semblait incongru mais comme je savais maintenant où cela se passait, j’étais plus attentive à ces ragots.


Et puis, je n’ai pas pu m’empêcher d’aller voir. Il faut dire qu’il avait la santé car chaque jour le spectacle était assuré. C’est là que le passe universel m’a servi. Arthur avait une technique bien éprouvée. Il était à l’écoute de sa partenaire et jamais je l’ai vu jouir sans que la femme n’ait elle-même plusieurs fois du plaisir. Manifestement c’était le roi du cunni, car pas une ne résistait. Pour le reste il était d’une résistance que, excusez-moi Robert et Georges, je n’ai jamais vue. Il devait être capable de se retenir à volonté.


Deux types de femmes défilaient. Les jeunes que, d’une certaine façon il honorait avec délicatesse, leurs apportant un peu d’expérience qu’elles ne trouvaient pas avec leurs jeunes amis. N’oubliez pas qu’à cette époque, internet n’existait pas et que la sexualité était encore taboue. Les plus vieilles, souvent mariées, plus intéressées par le sexe que la romance. Ces dernières s’offraient un amant sans que le mari puisse les soupçonner. J’appréciais surtout les expérimentées car le spectacle pouvait être grandiose. C’est avec elles que j’ai vu ma première sodomie et je ne vous parle pas des fellations d’enfer, qu’une en particulier, savait mener.


Robert, te souviens-tu de cette période où tu me trouvais en manque ? Tu comprends pourquoi maintenant… J’avais beaucoup de mal à ne rien dire lorsque je croisais l’une d’elles, digne, sérieuse, la vertu en personne. Tout a basculé le jour où Arthur s’est rendu compte de ma présence. Sur le moment il n’a rien dit, mais le lendemain il m’attendait à la sortie du boulot. J’étais dans mes petits souliers, mais il ne m’a pas agressée, juste mise en boîte, du genre : Vous venez vous instruire ? Alors cela vous plait ? Et votre mari, il en profite ?


Je m’excuse, enfin j’essaie de m’en sortir par une pirouette et heureusement, il n’insiste pas. Bien sûr, j’ai arrêté mes visites. Tout revient dans l’ordre pour quelque temps. Je pense qu’il a oublié, mais non, car, comme par hasard, je le croise souvent dans les couloirs, il vient dans mon bureau pour des raisons futiles et même m’attend le soir pour "faire un bout de chemin ensemble". Petit à petit nous devenons amis, car c’est un homme charmant, plein d’humour et très féminin par certains aspects de sa personnalité. Pas du tout le macho qui "utilise" les femmes. Il devient même mon confident, car, j’ai appris que tu me trompais. Notre différence d’âge, il a dix ans de moins, ne me choque pas, tellement il semble attentionné et à l’écoute.


Robert, je n’ai jamais rien dit, mais je savais pour Gisèle.


Alors arriva ce qui devait arriver, je me suis laissée doucement séduire, avec l’excuse de la vengeance. Il faut le reconnaitre, mais la première fois ce n’était pas terrible. Oh, pas de sa faute, mais j’étais crispée, angoissée, tendue, comme pour une vraie première fois, avec le sentiment de culpabilité en plus. Mais après, tout est devenu plus "cool" et j’ai profité. Aucun homme ne m’avait touchée à part toi. Mes flirts de jeune fille s’arrêtaient dès que cela risquait de devenir irréversible. Oh, je reconnais bien volontiers m’être faite "peloter" par des garçons et même titiller le clito, pendant que je les masturbais, mais jamais plus loin. Tu peux confirmer que j’étais une vraie jeune fille, comme on disait à l’époque.


Donc, quand Arthur a posé ses mains sur moi, c’était tout à fait nouveau. Vous savez, le côté fruit défendu, c’est quelque chose. J’avais l’impression de tout redécouvrir. Et cette langue, quel plaisir elle me donnait, quand après avoir exploré mon corps de haut en bas, je savais qu’elle allait venir s’occuper de mon clito puis s’immiscer à travers mon buisson (l’épilation ne se faisait pas encore) pour jouer avec mes petites lèvres et finir par caresser mon anus. Allons, mon cher mari, ne sois pas jaloux, tu n’étais pas mauvais à ce petit jeu, sauf pour la caresse de mon anus que tu ignorais.


Chaque fois, Arthur me faisait jouir à plusieurs reprises avant de me posséder. Ce n’est pas à toi que je vais apprendre que je ne suis pas très sensible du vagin. Pourtant de temps en temps après m’avoir possédée longuement et avec ardeur, j’atteignais un petit orgasme. Comme je voulais moi aussi apporter du plaisir à mon amant j’essayais de le sucer, mais avec inexpérience et "du bout des lèvres" comme tu l’as écrit dans ton récit.


Mais un évènement va changer cela. Je me sentais très coupable de cette relation et j’allais te l’avouer, car je n’ai jamais rien pu te cacher. Aussi, un vendredi soir, je sors plus tôt du travail pour faire quelques courses et préparer un repas d’amoureux. Je voulais te faire la surprise, je suis rentrée sans faire de bruit et je t’ai surpris en grande conversation téléphonique avec cette garce de Gisèle, échangeant sans pudeur des phrases, je m’en souviens comme si c’était hier, comme : "Attends ma belle, prépare ton petit cul" ou " Mon gland va te ramoner les amygdales". Je ne sais pas ce qui m’a fait le plus de mal, le langage cru ou ce qu’il sous-entendait. J’étais furieuse et tout le weekend j’ai fait la gueule et j’ai vraiment pris la décision de me venger. Tu sais, Robert, comme je peux m’obstiner une fois que j’ai décidé quelque chose.


Dès le lundi, avec l’aide de mon amant, j’ai entrepris une nouvelle relation amoureuse. J’avais un problème pour accepter son sexe dans ma bouche sans avoir de renvois, alors je suis devenue « Anne aime bien les sucettes » comme on me taquinait au travail car, du matin au soir j’avais une sucette dans la bouche, longue ou ronde, que discrètement je poussais le plus loin possible pour m’habituer. Cela parait inventé, mais je vous assure que ça marche. Chaque jour, je faisais des progrès, pour le plus grand plaisir d’Arthur. Et lorsque j’ai enfin réussi à l’accueillir entièrement, mes lèvres butant sur ses testicules, j’ai été fière comme si j’avais gagné un concours. Je pouvais enfin amener mon amant au plaisir, uniquement en le « suçant » (mais non ce n’est pas un mot vulgaire), et je jure qu’il n’y a pas de plus belle récompense que de sentir monter la jouissance le long de sa verge et de le sortir précipitamment pour éviter qu’il crache dans ma bouche, sida oblige. Depuis ce jour, à chaque fellation, je me faisais un devoir de recevoir son sperme sur la poitrine ou le visage, en évitant les cheveux. Désolée, chéri pour ma sincérité, mais il y a prescription ; et toi à l’époque… ?


J’avais un problème avec la sodomie, mais non, en réalité ce n’était qu’une appréhension, une sorte de refus, un tabou judéo-chrétien. Arthur m’a patiemment apprivoisée, jouant de la langue sur ma rosette, glissant subrepticement un doigt puis deux dans mon conduit alors qu’il me pilonnait par-devant. Et un jour, sans crier gare, au lieu de passer par-devant, il est passé par derrière. Je ne vais pas dire que je n’ai rien senti, comme on le lit bien souvent, mais c’était très supportable. Et là, j’ai découvert un autre monde. L’expression « se sentir pleine » signifie vraiment quelque chose si cette chose est dans votre cul (excuse ce mot mais, dans cette situation, c’est le seul qui me vienne). Je comprends que les hommes aiment cet endroit car ils doivent se sentir plus à l’étroit et leur verge pressée sur toute la longueur. Arthur, homme d’expérience, me disait que ce conduit est comparable à celui du vagin d’une jeune femme n’ayant pas encore d’enfants.


Peu importe les détails techniques, toujours est-il que, c’est à ce moment-là que j’ai découvert ma sensibilité exacerbée et vraiment ressenti ma vraie première jouissance de femme prise. La sodomie me comblait. À partir de ce moment-là, nos 12/14 se sont transformés en vraies parties de sexe et Arthur reprenait le travail, vidé. Moi j’étais sur un petit nuage et pendant cette période j’avais presque pardonné ton infidélité puisqu’elle était à l’origine de mon plaisir.


Mais le sexe n’est pas tout dans la vie et c’est toi que j’aimais et avec qui j’avais fait des enfants. J’ai donc décidé de reprendre les choses en mains. D’abord, j’ai annoncé à cette garce de Gisèle, une amie d’enfance, la salope, que j’étais au courant et que je lui donnais le choix entre : soit quitter mon mari, sans faire de vagues et surtout ne rien lui dire. Soit elle continuait et moi je couchais avec le sien, ou je le prévenais (c’est un Corse), ou les deux à la fois. Comme c’est bizarre, mais nous ne nous sommes jamais revues.


Parallèlement j’ai arrêté avec Arthur, le laissant libre de passer à la conquête suivante.


Voilà mon histoire.

Je suis sûre que tu te demandes : pourquoi, avec moi, n’a-t-elle pas évolué sexuellement ? La réponse, ou plutôt les réponses sont : dans un premier temps je ne voulais pas que tu tires avantage, par ma disponibilité nouvelle, de ce qui était le résultat de ton infidélité. Aussi, je ne vois pas comment j’aurais pu expliquer ce soudain goût pour des pratiques que je te refusais avant. Enfin, nos jeux amoureux étaient établis depuis longtemps et tu ne cherchais plus vraiment à essayer ce que je t’avais tant de fois refusé.


J’étais une femme que le sexe ne préoccupait pas vraiment et je me suis donc satisfaite de nos parties de jambes en l’air. Non, mon chéri ne le prends pas mal, ce que je veux dire c’est que tu étais (et encore plus maintenant) un amant attentif et qui cherchait toujours mon plaisir avant le sien. Donc aucun regret. Si un petit. Pendant les beaux jours, quand le soleil poussait au sexe, j’avais la nostalgie de la sodomie, plus exactement de la jouissance que le sexe d’Arthur me procurait lorsqu’il me prenait par le "cul". Et là mon chéri, je dois te remercier du cadeau de "Bob", tu sais ce sexe en plastique grandeur nature que depuis quelques années nous utilisons comme sexe toujours dur dans mon vagin et la langue vibrante sur mon clito. Je reconnais que c’était une bonne idée, car j’adore l’avoir en moi, pendant que tu me caresses. Mais, je lui ai trouvé un autre usage. Lorsque je suis seule à la maison et que je sens une envie irrésistible. Bien recouvert de salive ou de liquide lubrifiant, il trouve facilement le chemin de mon "cul" et sa langue vibrante est assez longue pour atteindre mon clito.


Comment crois-tu que Georges a trouvé un œillet si accueillant, si ce n’est grâce à "Bob" ?



XXX



Récit de Robert


La soirée se déroule à merveille. Tous nos amis sont là et Anne a vraiment été surprise, comblée de cadeaux, pour cette fête qu’elle n’attendait pas. Il est près de 22 heures lorsqu’on sonne et que je vais accueillir mon invité. Comme convenu, il me donne un résultat d’analyses récent et alors, seulement, j’appelle ma femme.


Mais je dois revenir un peu en arrière. À la lecture du récit où mon épouse avouait son infidélité et surtout sa sexualité débridée, ma première réaction a été presque violente. Le chemin est long pour accepter que sa propre épouse s’envoie en l’air, même si elle l’a fait en vengeance de ma propre infidélité. Mais aussi, j’ai réalisé que c’est grâce à ses stratagèmes que nous sommes encore ensemble et heureux comme pour une seconde jeunesse.


Mais pourquoi ne pas pimenter un peu plus notre relation en utilisant ses aveux ? En deux clics je retrouve la trace de son amant, Arthur, et merci à lui de ne pas être en liste rouge. Mais, au moment de l’appeler je me dis que ma démarche est ridicule. Qui répondrait à la question " Avez-vous couché avec ma femme ? " Il faut envisager toutes les situations et c’est après une longue réflexion que je mets une stratégie au point.


Bien entendu il a été surpris par mon appel, mais j’ai prétexté une fête d’anniversaire pour ma démarche. Petit à petit notre conversation est devenue plus conviviale, échangeant des souvenirs. Après tout nous nous étions croisés plusieurs fois lorsque j’attendais ma femme à la sortie de son travail.

J’apprends qu’il est toujours célibataire et après avoir parlé de l’invitation surprise je lui dis :



Son appel ne tarde pas. Tout de suite j’entre dans le vif du sujet.



Sa réponse a tout de suite été enthousiaste, ne se rendant pas compte qu’un mari jaloux et rancunier aurait pu mal interpréter ses paroles : "À l’époque c’était déjà un bon coup, alors maintenant avec son expérience cela promet d’être grandiose. "


Maintenant ils sont face à face dans l’entrée, et mon épouse est littéralement bouche bée.



Je prends la parole.



Il est trois heures du matin, tout le monde est parti sauf Georges et Arthur, et nous sommes littéralement affalés dans les fauteuils du salon, silencieux, mais conscients que tout peut se produire. Arthur prend la parole et donne un paquet à Anne.



Bien sûr, je sais ce que contient ce paquet. Arthur m’en avait demandé l’autorisation et je lui avais fourni tous les détails pour le choix des tailles. La signature d’une grande marque annonce clairement la nature du contenant.



Le temps nous semble long mais nous imaginons mon épouse sous la douche, ses mains préparant le corps qu’elle va offrir à ses trois amants. Je mets en place ma caméra pour filmer cette soirée et ajuste l’éclairage afin de donner une touche feutrée et une ambiance intimiste. Enfin elle arrive. Elle est sublime dans cette robe noire, qui épouse parfaitement ses rondeurs que j’aime tant. Sa poitrine si ferme, ses hanches, ses fesses et ses bas qui ne font qu’attirer notre regard et mettre en avant la frontière avec la robe si courte, que nous cherchons le slip.


Je me lève, la prends dans mes bras, l’embrasse goulûment puis la fais tourner devant nos invités qui la félicitent. La soirée commence enfin, mon sexe est déjà douloureux dans l’attente de cet instant. Ma main fait glisser la fermeture éclair de sa robe, la faisant apparaitre dans son ensemble rouge d’un soutien-gorge demi-sein, d’un string et d’un porte-jarretelles de la même couleur.



Et j’ajoute à son oreille : Fais-toi plaisir, aucune contrainte, Arthur m’a donné la preuve qu’il est clean.



Sous nos yeux, les deux anciens amants se livrent à une parade d’amour comme si chacun essayait de remonter le temps. Pendant que ma femme le déshabille, Arthur la caresse sans toutefois lui enlever sa lingerie. Ses mains retrouvent les chemins qui la font ronronner comme une chatte.


Mais elle le force à s’asseoir dans le fauteuil et, à genoux devant lui, prend son sexe en main. Je suis surpris de découvrir une verge normale, peut-être un peu plus fine, le gland totalement découvert. Le récit d’Anne et la réputation de très bon amant que toutes ses maitresses vantaient m’avait préparé à une bite hors du commun. Mais non, l’homme qui avait initié ma femme et certainement de nombreuses autres avait une verge normale. Encore une idée masculine qui s’effondre. Pas nécessaire d’être hors norme pour faire jouir une femme.


Je ne suis donc pas surpris qu’Anne engloutisse totalement ce mandrin jusqu’aux couilles et qu’elle se fasse un devoir de montrer à son initiateur que ses leçons ont porté leurs fruits. Arthur est immobile, il se laisse faire et c’est Georges et moi qui caressons le corps de sa suceuse. La lingerie laisse accessible sa poitrine qui se balance doucement et que nos mains pétrissent, pinçant les pointes comme elle l’aime. Sa croupe est une tentation, et ce n’est pas ce minuscule string qui empêche nos doigts d’explorer son vagin et son anus.


Mon sexe est si raide et si comprimé dans le pantalon que je me déshabille pour me retrouver nu avec ma bite qui semble gonfler encore. Mais ce n’est rien comparé à celle de Georges qui m’étonne à chaque fois par sa taille et sa dureté.


Anne s’applique, ne se laisse pas distraire par nos caresses même si elle ondule, se cambre et grogne la bouche pleine de cette queue qu’elle ne veut pas libérer de sa gorge. Arthur semble aux nues, les yeux fermés, encourageant sa suceuse par de petits cris de plaisir et des "oui" et des "encore". Mais tout a une fin et son visage montre la montée de la jouissance. Il se crispe et j’imagine le sperme convergeant dans son sexe, dilatant sa queue encore plus et qui jaillit dans la gorge de sa maitresse, ma femme, qui s’applique à le recevoir. Enfin elle peut goûter à cette liqueur si longtemps interdite par le risque de maladie. Depuis que nous avons évolué sexuellement, elle m’a souvent avoué sa surprise de voir que ma liqueur et celle de Georges étaient si différentes. Plus d’une fois nous avons envisagé de tester des régimes pour voir si le gout changeait.


Je sais que son amant s’est privé de sexe pendant plusieurs jours pour lui faire honneur et que son sperme doit être abondant et concentré. Anne n’abandonne le sexe que lorsqu’il glisse, petite chose molle, hors de ses lèvres, lisse et propre. J’aurais aimé apercevoir quelques gouttes au coin des lèvres de la suceuse, mais non, rien. Dommage, d’habitude ces quelques gouttes sont ce que je trouve le plus érotique. Mais Anne est une goinfre et elle ne veut rien laisser perdre. Puisque c’est ce qu’elle souhaite, elle va être gâtée. Je dis :



Bien sûr, elle n’est pas dupe et lentement elle se tourne vers notre ami. Elle me tourne le dos et j’ai sous les yeux sa croupe et ses hanches que le porte-jarretelles et le string soulignent plus qu’ils ne cachent. Je vois sa tête lentement descendre sur le mandrin de Georges qu’elle connait maintenant depuis six mois. Arthur qui a repris ses esprits regarde avec étonnement ce que je ne peux pas voir mais qui me ravit à chaque fois, cette queue si longue, si large que cela semble impossible qu’elle l’accueille toute entière dans sa gorge. Et pourtant… Bien sûr, le mouvement est lent, avec des remontées pour reprendre sa respiration, mais chaque fois, le sexe tout entier disparait.


À propos de sexe j’ai sous les yeux cette belle chatte fraichement épilée, avec la ficelle du string qui sépare les petites lèvres brillantes d’humidité, rouges, indécentes, qui semblent quémander des caresses. J’explore avec mes doigts les contours du vagin, excite le clito, ce qui déclenche un mouvement du bassin. Un, puis deux, puis trois, puis quatre doigts pénètrent, plutôt glissent sans effort pour envahir sa grotte. Le pouce reste à la porte, faisant office de frein qui frotte sur le clito, déclenchant encore plus de mouvements du bassin, montrant le plaisir ressenti. Joignant mes doigts j’imprime un mouvement de rotation et de piston pour baiser celle qui suce son amant. Elle gémit de plaisir.


Et si… Elle est si ouverte… Après tout… Une idée, un fantasme fou que j’ai toujours pensé impossible. Alors je retire ma main, juste ce qui est nécessaire pour que le pouce puisse se joindre aux autres doigts, et je reprends le chemin en avant. Pour la première fois mes cinq doigts pénètrent, facilement même. Le poignet semble énorme mais pourtant les muscles du vagin acceptent de laisser le passage. Anne, qui sent la pression, lève la tête pour libérer le sexe de Georges et pousse un cri lorsque ma main entière la pénètre. Ma chère épouse qui se moquait quelquefois de mes mains de "fille" doit apprécier le cocasse de la situation. Je la fiste. Jamais un objet aussi gros n’est entré par ce chemin.


Je ne bouge pas pour qu’elle s’habitue. Elle semble reprendre son souffle pendant qu’Arthur et Georges contemplent mon œuvre. La soirée promet d’être chaude. Anne replonge sur le mandrin sans plus se soucier de moi. J’espère que ma caméra filme bien. Je veux pouvoir repasser les images montrant ma femme pompant une queue pendant que son mari la fiste. Je ne fais qu’accompagner les mouvements de son corps qui bouge au rythme de la fellation. Le visage de Georges se crispe, signalant son éjaculation prochaine et je retire doucement ma main alors qu’Anne s’étouffe sous les jets de sperme. Mais, en bon petit soldat, elle s’applique, et c’est encore une queue propre qu’elle abandonne.


Et de deux. C’est à mon tour. Ma belle suceuse n’a pas besoin de forcer son talent car je suis tellement excité que quelques mouvements suffisent. Comme un adolescent pour sa première fellation je jouis dans la gorge qui vient de recueillir le jus de ses deux amants.


Anne me rejoint sur mon fauteuil, se love contre moi dans un mouvement très tendre, très loin de l’ardeur et de la sexualité débridée qu’elle vient de montrer. Nous reprenons notre souffle. Arthur et Georges se font discrets devant ce moment d’amour. Un ange passe. Un ange ? Non. Une idée, une envie, un fantasme. Oui.



Quel charmant spectacle que celui de notre serveuse, toujours habillée, non toujours déshabillée par sa lingerie rouge, qui se penche, provocante, ondulante, pour remplir nos verres. Chacun d’entre nous la remercie par une caresse et elle ne se gêne pas pour effleurer nos sexes au repos. À ce petit jeu, c’est Arthur qui reprend de la vigueur en premier et dans un beau mouvement de solidarité Georges et moi suivons.


J’imagine que peu de femmes ont eu trois hommes disponibles sous la main. Je ne sais pas si c’est un fantasme féminin de pouvoir profiter de trois verges séparément et surtout ensemble mais je peux vous dire que depuis que j’ai commencé à organiser cette soirée, j’ai imaginé cette situation. D’ailleurs je me lève pour m’emparer de la caméra car je veux immortaliser cet instant.


Je demande à Arthur de s’allonger sur la moquette et un seul regard fait comprendre à ma femme de venir le chevaucher. La chatte que ma main a fistée s’ouvre facilement pour absorber la queue de son amant pendant que Georges qui se présente à l’arrière glisse lentement dans son cul, uniquement ralenti par ma caméra qui le filme en gros plan. Ils sont immobiles, attendant que le réalisateur enregistre leurs exploits, pour les longues soirées d’hiver. Gros plan sur le visage de mon épouse, un reflet de stupre dans le regard. La caméra descend, filme la cambrure des reins, découvre la queue de Georges, bascule sur ses testicules et zoome sur le sexe d’Arthur qui ne peut se retenir de lutiner la belle.


Maintenant ils peuvent entrer en action, coordonnant leurs mouvements pour qu’une queue soit toujours au plus profond pendant que l’autre se retire. J’espère que le micro enregistre bien tous les bruits. Celui du sexe qui glisse, celui des cuisses qui frappent les fesses et surtout ces souffles qui sortent des lèvres de ma femme, comme si chaque mouvement chassait l’air de ses poumons. Son visage montre maintenant des rides, des grimaces de plaisir et elle me sourit, heureuse de s’exhiber devant son mari. Ma main se tend vers ses seins qui bougent et pendant que je zoome sur les tétons je m’applique à les tordre comme elle l’aime. J’alterne les plans de son visage qui montre le plaisir, la jouissance, la douleur et les images des queues qui la baisent sans retenue.


Je surprends son regard qui regarde mon sexe, preuve vivante de ma joie d’être le témoin de cette scène, raide, pointé vers le ciel. Il est temps de former la position ultime, la femme comblée, celle que j’ai imaginée, comme d’autres avant moi. Mon sexe arrive naturellement près de ses lèvres. Je filme et je vois le moment où, au rythme des coups de boutoir de ses amants, ma verge disparaît, avalée dans cette bouche accueillante avec les lèvres qui progressent sur ma hampe. Alors, je ne suis plus certain de conserver ma fonction de réalisateur. Nous verrons plus tard les résultats. Mais ce que je ressens est trop intense pour rester un témoin objectif. Qui a joui le premier, peu importe. Le sperme coule de partout, inonde la baisée et je suis comblé de voir ces trainées blanchâtres sur nos verges. Enfin, et là je suis heureux de filmer ce moment, mon jus apparait aux coins des lèvres de ma femme, preuve vivante que sa jouissance a été si forte, si intense par nos trois bites que le souffle lui a manqué pour tout me boire.



XXX



Le soleil inonde notre chambre. Pas étonnant il est 10 h. Il faut dire que la nuit a été éprouvante et rien n’est meilleur pour le sommeil qu’une bonne baise. La sécu ferait des économies si les Français faisaient plus souvent l’amour. Anne doit être en train de préparer le petit déjeuner. La salle de bain est encore pleine de la vapeur de sa douche. Quelques minutes plus tard, frais et dispos, j’emprunte le couloir qui mène à l’escalier. Tiens, la porte de la chambre d’ami où Arthur a dormi est entrouverte et une douce musique s’en échappe. C’est un duo ou je reconnais les feulements de mon épouse rythmés par le choc des muscles. Arthur est en train de la prendre avec ardeur en levrette et tous deux me sourient lorsque je franchis la porte. Ses mains emprisonnent les hanches de sa maitresse, imposant un mouvement où son sexe ressort avant de replonger pour être bloqué par le choc des cuisses contre les fesses. Les seins et les testicules oscillent de concert. Charmante vision.


Dans un mouvement plus violent, Anne tombe en avant, la tête sur le lit. Cette position est un appel à la sodomie et Arthur s’engouffre sans retenue, sans préparation dans le cul offert. Aussitôt la chanson recommence avec ma belle enculée qui ne retient pas ses cris de plaisir et les encouragements à son amant. Je décide de les laisser pour aller préparer le petit déjeuner car je les imagine affamés après ces exploits. Mais, vingt minutes plus tard, ne voyant personne venir je remonte, pensant les trouver endormis. La porte est fermée, mais la même musique s’en échappe. Je pense : quelle santé ! Et j’ouvre. Le spectacle a changé, ou tout le moins un des acteurs a changé. Ma tendre épouse est en train de chevaucher l’ami Georges qui, lui aussi, a dormi à la maison. Elle est en train de se baiser, les yeux clos, une main caressant son clito pendant que l’autre maltraite la pointe d’un sein que Georges presse pour lui offrir. Arthur qui sort de la salle de bain les regarde un instant et m’entrainant dans le couloir me dit :



Que dire à ces compliments ? Nous déjeunons alors que Georges arrive.



Je demande :



Le temps passe. Nous bavardons, enfin mes amis ne font que chanter les louanges de ma femme, grande amoureuse devant l’Éternel. Je m’impatiente et remonte à l’étage. La porte est ouverte et une femme repose sur le lit. Ses cheveux cachent son visage et je peux imaginer une inconnue, alanguie… non, offerte, bras et jambes écartés. Je m’avance, rampe sur le lit pour découvrir une chatte d’un rouge lumineux, écarlate, que des trainées de sperme blanchâtre ne font que souligner.



Mais en réalité je pense qu’elle se sent coupable d’avoir enfreint le code non écrit : pas sans moi. Sinon, pourquoi me mentir ? Je sais, par Arthur, qu’Anne est entrée dans sa chambre alors qu’il dormait encore et que c’est par une fellation qu’elle l’a réveillé. Au contraire ce petit mensonge renforce mon fantasme de renouveler ce que j’ai fait hier soir. Ma main plonge vers sa chatte. Mes doigts, ma paume, mon poignet se frottent à son pubis et son sillon pour se lubrifier au contact des sucs de ma femme et de ses amants. À nouveau ses petites lèvres s’écartent et son vagin absorbe ma main jusqu’au poignet. Anne ne proteste pas, au contraire elle plie ses jambes pour soulever son bassin. Quel spectacle étrange que le soleil du matin éclaire d’une lumière crue.


Je pense un instant que c’est trop, que nous dépassons les bornes, que je traite ma femme comme un objet, mais… elle ne semble pas insensible, au contraire ses mouvements du bassin la font bouger autour de ma main. J’ose bouger les doigts, tourner le poignet. Elle aime, gémit, accentue ses mouvements et les parois de son sexe se contractent. Je crois que d’une certaine façon elle jouit mais que ce plaisir la tétanise et devient douloureux.


Doucement je la libère. Je pense que nous venons de découvrir un nouveau jeu et déjà je me vois usiner sur mon tour de menuisier des sexes énormes lisses et patinés. Mais mon propre sexe me rappelle à l’ordre tellement il est comprimé dans mon boxer. Je le libère, et spontanément Anne lève les jambes pour me présenter son anus. Lui aussi est humide, à peine entrouvert, mais me livre le passage sans difficulté. C’est étrange de pouvoir se demander si c’est la première, la deuxième ou la troisième queue qui le visite ce matin, mais moi, je suis le propriétaire.


Qu’elle pensée idiote ! Anne ne me trompe pas avec Georges et Arthur. C’est notre choix, c’est mon choix de l’offrir à d’autres pour la faire jouir. Mais oui, ma queue glisse dans le sperme des autres. C’est bon. Ce lubrifiant, naturel, écologique, décuple mes sensations. Je vois mon gland prendre sa respiration avant de replonger dans le conduit inondé ou la pression dilate le passage étroit avant de refluer et jaillir du cul. Bien sûr c’est imagé, exagéré, impossible mais je m’en fous, je la baise avec force. C’est ma femme. Elle m’aime. Elle me le crie. Elle m’encourage. Elle est vulgaire. Elle me parle de queue, de cul, de bite, de sperme, de foutre, de salope. Je ne l’entends plus. Je crie mon plaisir et je crache de telles quantités de foutre que je vais la noyer.


Je m’effondre, incapable de reprendre mon souffle. Quelques instants plus tard je sors de ma torpeur. J’écrase ma femme de tout mon poids, ses jambes plaquées sur ses épaules. Nous ruisselons de sueur. Je glisse sur le côté pour la laisser respirer. Georges et Arthur sont là, sur le pas de la porte. Je suis heureux de leur présence car d’une certaine façon je viens de clore cette partie de baise et de montrer que je reprends possession de mon bien.


Plus tard nos amis nous quittent, non sans que nous promettions à Arthur de nous revoir. Je l’ai entendu comploter avec ma femme avec la promesse de venir la prochaine fois avec une copine qui, je cite : "adore le cul et se ferait un plaisir de se faire mettre par ton mari" ajoutant : "tu pourrais aussi essayer avec elle, elle adore bouffer des chattes". Mon imagination s’est remise en marche. Anne, allongée sur la table du salon en 69 avec une autre femme. Elles se gouinent, se masturbent, se pénètrent de leurs doigts. Trois hommes les regardent, nus, le sexe déjà bien dur. Nous approchons, pénétrons, enculons avec une langue mutine qui nous excite.


Allons, du calme. Demain est un autre jour. Allons voir au sous-sol, quel bois je vais utiliser pour mon projet de sexe de taille XXL. J’échafaude des plans, des formes. Oui, une forme conique, comme un plug anal, six, huit, dix centimètres de diamètre, avec des rétrécissements pour qu’il reste en place. Ce soir il sera terminé et nous pourrons le tester. Déjà je vois mon épouse, à quatre pattes, ce gode monstrueux en place dans sa chatte et moi qui envisage de glisser ma queue dans son cul.