n° 14971 | Fiche technique | 33399 caractères | 33399Temps de lecture estimé : 18 mn | 17/05/12 |
Résumé: Jeux de séduction entre un jeune homme et une femme plus âgée. | ||||
Critères: fh fplusag vacances magasin travail amour voir exhib strip lingerie chaussures massage cunnilingu hdanus init | ||||
Auteur : Julien Sorel (Rêveur impénitent, j'adore les histoires d'amour) Envoi mini-message |
Dans ma jeunesse, j’ai été vendeur dans un magasin de chaussures, un été, pour payer mes vacances. Le début de cette histoire est véridique. Je ne vous dirai pas à quel moment, le réel est devenu phantasme, mais cette femme est restée à jamais gravée dans ma mémoire.
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Marie-Chantal, flânant en fin d’une belle journée d’été, voit dans une vitrine, une jolie paire d’escarpins. Elle entre dans le magasin et s’étonne de le trouver vide. Elle appelle :
Personne ne répond. Elle patiente quelque peu puis ne voyant âme qui vive, se décide à sortir du magasin. Au moment même où elle saisit la poignée de la porte, elle entend :
Se retournant, elle voit un homme encore jeune, un peu maladroit.
Alexandre, séduit par la prestance et l’élégance de Marie-Chantal, rougit du compliment, mais légèrement intimidé répète sa question :
Marie-Chantal sort dans la rue pour monter à Alexandre, resté près de la vitrine, l’escarpin souhaité. Elle tend la main, mais Alexandre ne voit pas bien ce qu’elle lui montre, aussi se penche-t-elle en avant pour avancer sa main. Un instant, Alexandre aperçoit, dans le décolleté du chemisier entrebâillé, la rondeur de son sein. Voyant Marie-Chantal s’impatienter, il reporte son regard vers les chaussures en vitrine et aperçoit un escarpin verni noir et le saisit.
Marie-Chantal étant revenue dans la boutique, il lui demande :
Alexandre se précipite dans la réserve à la recherche des escarpins. Heureusement, les modèles sont rangés par genre et par couleur, aussi ne tarde-t-il pas à trouver l’escarpin recherché. Malheureusement, il ne trouve qu’un 36 ½ et un 38. Il prend les 2 boites et revient dans la boutique. Marie-Chantal regarde les modèles sur les rayonnages, lui tournant le dos. Alexandre profite de cet instant pour la détailler. Sa veste courte ne cache aucunement la rondeur de ses fesses ni plates, ni rebondies, juste comme il les aime. La jupe semble fine et Alexandre se dit qu’en se déplaçant un peu, il pourra profiter du contre-jour pour deviner ses cuisses en ombre chinoise. Ne voyant rien, son regard descend le long de ses longues jambes. La jupe, sans être mini, s’arrête quelques centimètres au-dessus du genou ; le mollet est fuselé et la cheville d’une incroyable finesse. Il s’aperçoit alors que ses jambes sont gainées dans un voile légèrement hâlé. Ses pieds sont chaussés d’escarpins avec des talons à mi-hauteur ; leur cambrure le ravit.
Marie-Chantal se sent observée mais laisse durer le plaisir puis se retourne enfin.
Marie Chantal, s’asseyant, en profite pour observer Alexandre. Il doit avoir 22 ou 23 ans, ce n’est plus un adolescent, mais ce n’est pas encore un homme. Il a un visage avenant avec des traits fins et un regard vif.
Alexandre s’agenouille à ses pieds et lui saisit la jambe droite pour la déchausser, entre la cheville et le mollet. Marie-Chantal frémit à ce contact, il a la main ferme et le geste assuré. Il saisit délicatement le talon de son escarpin et fait lentement glisser la chaussure en la regardant droit dans les yeux, puis avec un sourire à peine esquissé, reporte son regard sur le pied délicat.
Marie-Chantal se dit que le vernis carmin qu’elle a appliqué ce matin même met bien en valeur la blancheur de sa peau.
Ayant perçu cette légère pression, Alexandre regarde Marie-Chantal qui le regarde à son tour.
Le temps est suspendu, leurs regards se disent en quelques fractions de seconde la séduction réciproque qu’ils exercent l’un pour l’autre.
Elle le trouve jeune et beau, il lui rappelle ses vingt ans. Il est troublé par l’épanouissement de sa maturité.
Les hommes jeunes sont irrésistiblement attirés par les femmes plus âgées qu’eux ; elles recèlent l’expérience qu’ils n’ont pas encore, elles n’ont plus la candeur puérile des jeunes filles et peuvent oser ce qu’elles s’interdisaient.
Les hommes jeunes attirent irrésistiblement les femmes mûres. Ils ont la force et la fouge de la jeunesse, ils n’ont pas encore l’assurance et la suffisance des hommes arrivés. Leurs hésitations et leurs doutes réveillent leur instinct maternel qui les pousse à les guider sur les chemins de la sensualité.
Alexandre pose ses yeux sur ce pied posé sur sa cuisse. Il le prend délicatement dans ses mains, lisse la soie en remontant vers le mollet. Il se demande alors si elle porte des bas ou des collants. La texture du tissu lui fait penser à la soie et il opte pour des bas. Il saisit alors la chaussure et la glisse sur les orteils puis force un peu pour faire entrer le pied. Dans ce mouvement, la jambe monte et les genoux s’écartent de quelques centimètres. Il ne peut retenir son regard qui glisse le long du mollet puis de la cuisse, il croit percevoir une bande plus sombre puis la peau claire au-dessus du bas. Est-ce son imagination qui lui joue des tours, ou la conviction qu’elle porte des bas qui lui a fait voir ce qu’il pouvait à peine discerner ? Il veut en avoir le cœur net. Il force à nouveau et cette fois accentue l’écartement des jambes afin que la lumière pénètre plus largement entre les cuisses et lui permette de voir avec certitude ce qu’il souhaite voir.
Surprise par le premier mouvement, Marie-Chantal s’est demandé s’il était volontaire ou fortuit. Le second mouvement ne laisse plus aucun doute, et elle se sent quelque peu violentée. Ce jeune homme n’est pas aussi innocent qu’il en a l’air et il prend des aises qu’elle ne peut accepter.
Interloqué, Alexandre réfléchit à toute allure et se dit que s’il l’avait vraiment choquée, elle l’aurait giflée ou se serait levée, alors qu’elle n’a pas bougé, ni même resserré ses jambes et lui offre toujours un panorama de rêve.
Le jeu s’étant installé entre eux, ils s’y donnent sans retenue.
Alexandre prend le pied gauche et commence à glisser l’escarpin. D’elle-même, Marie-Chantal écarte un peu plus encore ses jambes.
Alexandre se penche pour voir de plus près.
Alexandre, toujours agenouillé aux pieds de Marie Chantal, se jette à l’eau.
Se tenant debout face à lui, Marie-Chantal pose ses mains à sa taille et centimètre par centimètre fait remonter sa jupe. Le haut des bas apparaît, puis la peau nue au-dessus.
La pointe du triangle noir apparaît alors, Marie-Chantal s’arrête.
Marie-Chantal se tourne lentement laissant apparaître sur ses fesses le voile de sa culotte.
Alexandre comprend que ce jeu l’excite autant que lui et il s’écarte pour la laisser s’asseoir à nouveau face à lui.
Il prend un pied pour la déchausser et en profite pour masser le pied endolori. Elle se sent ramollir sous la pression de ses mains et de ses doigts.
Un bien-être l’envahit, un délicieux picotement pointe au creux de son ventre.
Puis il pose le pied sur sa cuisse mais plus haut que la fois précédente, aussi perçoit-elle, de la pointe de ses orteils, un renflement dans son pantalon. Il prend l’autre pied et lui prodigue le même soin. Marie-Chantal sent une humidité envahir son intimité et ne peut soustraire son pied à ce massage qui devient caresse. Alexandre pose alors le second pied sur son autre jambe. Ses mains entament un massage des mollets puis remontent vers ses cuisses. Il atteint rapidement la limite des bas et s’attarde sur la peau nue qui lui apparaît aussi douce que la soie qu’il vient de quitter. Marie-Chantal ne peut retenir ses jambes qui s’écartent afin de lui faciliter le passage. Du bout des doigts, il effleure la culotte tendue et Marie-Chantal laisse échapper un gémissement.
Joignant le geste à la parole, elle commence à agiter ses orteils et recherche la protubérance qu’elle a sentie quelques minutes auparavant. Interloqué, il la regarde, interrogatif.
Elle sent la verge tendue dans le pantalon et entreprend un lent va-et-vient. Les mains d’Alexandre ne restent pas inactives durant ce traitement, et malgré le vertige qu’il ressent, il frôle du bout des doigts la vulve à travers le fin tissu. Marie-Chantal sent une chaleur l’envahir. Ses tétons se tendent et frottent sur la dentelle de son soutien-gorge. Elle a une envie pressante de les caresser.
Seule depuis quelques années, suite à son divorce, elle n’a pas eu, depuis, de compagnon régulier et s’est contentée d’aventures fugaces. Elle a trouvé dans cette situation une liberté qu’elle a fini par apprécier. Aussi ne ressent-elle aucun remords à s’abandonner aux caresses du garçon.
La circonstance est inattendue et des clients ou la propriétaire risquent de rentrer dans le magasin. Étant placée dos à la devanture, personne ne peut voir de la rue les caresses qu’ils se prodiguent, mais le danger la ramène à la raison.
Marie-Chantal se soulève, Alexandre passe les mains sous la jupe pour agripper l’élastique de la culotte et tire doucement, la faisant glisser le long de ses fesses puis de ses cuisses. Ayant dégagé la culotte, il la porte à ses narines pour s’enivrer des odeurs intimes de cette femme qui s’offre à lui.
Ayant fermé boutique, il revient s’agenouiller aux pieds de Marie Chantal, toujours debout, qui délicatement dégrafe sa jupe et présente au jeune homme le spectacle de son ventre encadré de la parure du porte-jarretelles et de ses bas. Passée la veille chez l’esthéticienne, elle arbore un mince ticket de métro et des lèvres parfaitement épilées.
Elle s’assied face à lui en croisant les jambes et lui offre ainsi son pied gauche à chausser. Il saisit le pied et le porte à ses lèvres pour y déposer des baisers ardents. Puis, du bout de la langue, il lèche un à un les orteils. Très chatouilleuse, Marie-Chantal est surprise de la douceur de la sensation que lui procure la bouche d’Alexandre, sensation qui remonte le long de la jambe et embrase son ventre. Elle serre spasmodiquement les cuisses et, par ses muscles, serre son clitoris. Le plaisir monte aussi lentement qu’inexorablement.
Alexandre glisse sensuellement l’escarpin sur le pied puis le pose à terre décroisant ainsi les jambes de Marie-Chantal dans un crissement de soie.
Alexandre écarte au maximum les cuisses et se penche pour porter sa bouche au contact de la vulve luisante. Hésitant et peu expérimenté, il donne des petits baisers sur les lèvres entrouvertes.
Alexandre suivant ce conseil avisé, lèche les lèvres sur toute leur longueur puis découvre le clitoris sur lequel il entame un ballet effréné.
Pointant sa langue, il s’immisce entre les lèvres et découvre un vagin trempé qu’il lape avec empressement.
Marie-Chantal est secouée par un orgasme qui la surprend. Alexandre ralentit son ballet puis s’écarte doucement.
Marie-Chantal se lève, nue sous la taille, et encore complètement habillée au-dessus. Connaissant la sensibilité masculine à la vision d’une femme, ce qui rend tous les hommes plus ou moins voyeurs, elle décide de faire ce qu’il faut pour enflammer Alexandre. Elle s’approche d’un mur et voyant un joli modèle sur une étagère basse, se penche en veillant à garder ses jambes droites, faisant ainsi jaillir des fesses. Tournant le dos à Alexandre elle lui offre son sillon, sa rosette et sa vulve gonflée et luisante de son plaisir.
Puis elle se retourne, déboutonne sa veste et la laisse choir à ses pieds. Elle regarde Alexandre dans les yeux, puis déboutonne un, puis deux boutons de son chemisier. Son soutien-gorge apparaît dans l’échancrure. Elle glisse une main sur son sein et agace son téton qui n’a pas encore été satisfait. Marie-Chantal défait rapidement les derniers boutons de son corsage et fait apparaître sa généreuse poitrine mise en valeur dans ses balconnets. Il peut voir ses aréoles foncées et ses tétons pointés sous la dentelle. Du bout des doigts, elle agace ses tétons puis met ses mains en coupe sous ses seins en offrande.
D’un geste rapide, Marie-Chantal dégrafe son sous-vêtement puis fait glisser lentement les bretelles sur ses épaules. La dentelle qui s’accroche sur ses tétons lui provoque des petites décharges électriques.
Disant ces mots, Marie-Chantal s’agenouille face à Alexandre, rejetant ses épaules en arrière. Alexandre tend les deux mains, place ses paumes sous les seins comme pour les soupeser et en mesurer leur fermeté. Les pouces se placent naturellement sur les aréoles et titillent les tétons.
Alexandre ne se souvient pas avoir reçu un cours de massage mammaire, mais maîtrisant différentes techniques de massage, il opte pour un massage relaxant, le plus doux qu’il connaisse. Il commence à pétrir les globes tendres, alternant pressions douces et frôlements. Marie-Chantal ferme les yeux, tout au plaisir de ce massage.
La vague de plaisir qui avait reflué après son premier orgasme revient et la porte vers un niveau de volupté qu’elle n’avait pas connu jusqu’alors. Une sensation à la fois très tendre et très dense. Sa respiration devient plus profonde, plus ample. Elle ressent une plénitude qui n’a rien à voir avec l’orgasme et qui la remplit entièrement. Ce n’est pas une course au plaisir, mais un abandon au plaisir qui l’envahit. Puis, comme elle était montée, lente et inexorable, la sensation diminue lui procurant une délicieuse béatitude.
Toujours agenouillés face à face, ils se redressent sur leurs genoux et leurs torses se touchent enfin. Alexandre sent la poitrine de Marie-Chantal s’écraser contre sa poitrine, il sent ses bras l’envelopper. Sa bouche effleure d’abord ses lèvres puis le baiser devient plus profond. Il sent une langue qui pointe et entrouvre ses lèvres pour l’accueillir. Le ballet de leurs langues est… langoureux. La langue française a de ces raccourcis qui n’ont pas de sens étymologique, mais qui illustrent parfaitement un ressenti. Alexandre est subjugué par la profondeur de ce baiser, il serre Marie-Chantal dans ses bras pour que chaque parcelle de son corps épouse étroitement le sien. Elle sent contre son ventre l’impétueuse érection d’Alexandre et ne peut résister à l’envie d’onduler contre cette vigueur contenue dans le pantalon du jeune homme.
Elle se penche vers Alexandre, lui ôte avec tendresse son tee-shirt et découvre un torse joliment musclé. Elle le fait se lever et, toujours agenouillée devant lui, déboucle sa ceinture, déboutonne le pantalon qu’elle fait glisser sur ses jambes. Le boxer, déformé par le sexe érigé, présente une tache humide au sommet de celui-ci. Elle approche sa bouche de cette tâche, l’aspire et l’enserre de ces lèvres. Puis elle pose ses mains sur la ceinture du boxer, l’écarte de cette protubérance et dégage entièrement la verge qui lui fait face. Délaissant le boxer à mi-cuisses, elle saisit d’une main la verge tendue et de l’autre soupèse les bourses gonflées. Alternant pressions et relâchements sur la verge, elle fait tendrement rouler les testicules dans les bourses d’Alexandre qui se sent défaillir à ce traitement.
Serrant la base de la verge, Marie-Chantal le sermonne malicieusement.
Elle pose alors sa langue à la base de la verge, toujours tenue étroitement serrée, puis remonte lentement jusqu’au frein qu’elle lèche à plusieurs reprises avant d’arrondir les lèvres et d’en couronner le gland. La couronne descend millimètre par millimètre sur le gland jusqu’à la collerette. Elle aspire alors le gland comme pour en extraire le liquide séminal qui a taché le boxer. Affolé par cette succion, Alexandre ne peut réprimer un gémissement.
Marie-Chantal lâche la pression sur le gland mais resserre sa main à la base de la verge. Instantanément Alexandre sent l’orgasme refluer. Le sentant apaisé, Marie-Chantal reprend sa succion et, simultanément, titille de sa langue le méat et le frein. Le plaisir d’Alexandre remonte aussi vite qu’il était descendu. À nouveau, Marie-Chantal suspend son exercice buccal et serre la base de la verge. Alexandre sent ses jambes flageoler. Chaque montée de plaisir est plus forte et plus insoutenable que la précédente.
Desserrant l’étau de ses lèvres, Marie-Chantal le regarde en riant.
Marie-Chantal gobe à nouveau le gland, une main enserrant la base de la verge, et reprend sa succion. Son autre main enserre la fesse et ses doigts glissent dans leur sillon. Son majeur se trouve au contact de la rosette. Alexandre, se sentant perdre pied, pose ses mains sur les épaules de Marie-Chantal et ne peut retenir un mouvement convulsif de son bassin. La main qui enserrait la base de la verge maintenant fait des va-et-vient sur toute sa longueur. La respiration du jeune homme s’accélère, elle sent ses mains se crisper sur ses épaules et elle choisit ce moment précis pour forcer la rosette et le pénétrer d’une phalange.
Alexandre voit un feu d’artifice exploser devant ses yeux, il sent un jet puissant monter le long de la verge et jaillir, puis un second aussi puissant que le premier, puis encore quelques autres. Il a l’impression de s’être vidé complètement. Reprenant lentement sa respiration, il baisse la tête et voit Marie-Chantal aspirant les dernières gouttes de sperme suintant de sa verge ramollie.
Alexandre a, un instant, l’impression d’être retourné sur les bancs de la fac. Pourtant, il a face à lui une femme admirablement belle, vêtue de ses seuls bas, qui le regarde avec un charmant sourire. Une émotion intense l’envahit. Il s’agenouille à ses côtes et la prend dans ses bras, et l’embrasse avec toute la tendresse qui le submerge. Il lui caresse les épaules, les bras, revient sur ses épaules qu’il sent frémir, descend sur son buste et empaume délicatement ses seins. Sa peau est d’une exquise douceur, plus douce encore que la soie de ses bas. Elle, d’une main caresse sa nuque et de l’autre son beau torse de jeune homme.
Le temps s’arrête, respectueux, pour laisser la tendresse et la reconnaissance s’exprimer.
Puis Alexandre allonge délicatement Marie-Chantal sur la moquette épaisse du magasin.
Alexandre s’allonge sur Marie-Chantal qui l’enserre de ses bras et de ses jambes autour de sa taille. Leur baiser réveille en eux les ondes d’une houle lointaine. Alexandre sentant sa vigueur renaître, trouve naturellement le sexe chaud de Marie Chantal. Il la pénètre doucement, lentement, progressivement, totalement.
Ils restent ainsi quelques instants, immobiles, jouissant de cette sensation de possession réciproque. Puis imperceptiblement, les corps s’animent, les bassins s’approchent et s’éloignent. La houle grossit jusqu’à l’apogée du plaisir partagé.
Après un bref assoupissement, dans les bras l’un de l’autre, ils se lèvent et se rhabillent. Ils sortent par la porte de service. Le moment de se séparer est venu. Alexandre serre Marie-Chantal contre lui et lui demande dans un souffle.
Elle pose ses lèvres sur sa bouche, puis se retourne et s’éloigne en se disant que tous les vendeurs de chaussures devraient faire des études de kiné.