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Temps de lecture estimé : 16 mn
17/05/12
Résumé:  D'habitude ce sont les maris qui se plaignent des migraines de leur femme au moment de faire l'amour. Chez moi, c'est le contraire. C'est ma femme qui se plaint de ce que je ne la baise pas assez !
Critères:  fh extracon grossexe vacances plage danser toilettes vengeance jalousie fellation préservati pénétratio fsodo coprolalie confession
Auteur : Laurent X
Le monde à l'envers

Je m’appelle Nicolas, j’ai 34 ans. J’ai rencontré Élodie, ma future femme, sur les bancs du lycée. Elle avait 16 ans, elle était sage et timide. J’ai été son premier grand amour et le seul homme qu’elle ait connu dans sa vie. Elle en a maintenant 34 comme moi.




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L’hiver dernier, nous avions confié nos deux bambins à leurs grands-parents et nous étions partis nous reposer une dizaine de jours dans un club-hôtel aux Caraïbes. Le lendemain matin de notre arrivée, alors que nous lézardions sur la plage, elle me glissa à voix basse :



C’était dit avec un grand sourire, sous forme de plaisanterie, mais il y avait du vrai. Question câlins, tous les couples passent par des périodes intenses suivies de périodes calmes. La période avait été très calme. Je n’avais pas eu la tête à ça. Trop d’emmerdes au boulot. Et puis, il faut l’avouer, Élodie a beau être canon, au bout de 18 ans le désir s’émousse un peu. Normal.



Élodie m’avait renvoyé un grand sourire dubitatif et me lança :



Élodie avait souri et c’en était resté là.

Au déjeuner nous fîmes connaissance d’un couple de notre âge ; Marina, une petite blonde sexy aux cheveux courts et Xavier, son mari, qui m’embrigada pour participer au tournoi de beach-volley qui avait lieu en fin d’après-midi. Après le match, quand je suis revenu au bungalow, j’avais trouvé ma chérie dans la salle de bain. Elle se faisait belle pour la soirée dansante organisée par l’hôtel.



J’ai filé sous la douche et, une demi-heure plus tard, nous retrouvâmes ce couple qui nous attendait pour dîner.



Je me suis donc trémoussé sur le dancefloor au son d’une musique reggae en compagnie des deux femmes. Pour dresser le tableau, Marina qui devait plafonner à 1m60 avec ses escarpins à talons hauts était vêtue d’une petite robe dos nu, portée sans soutien-gorge, sa petite poitrine n’en ayant nul besoin. Quant à Élodie, en bermuda et débardeur échancré, elle était, comme d’habitude, à mes yeux, la plus belle fille du monde. Les vacances ont le don de réveiller ma libido et je rêvais à la belle séance de galipettes qui m’attendait. Ma chérie voudrait-elle me sucer divinement comme elle sait le faire quand elle est bien excitée ? C’est alors qu’un hurlement de douleur me ramena sur terre. Elle venait de se tordre la cheville en faisant la folle.



Elle est partie en boitillant et je suis resté seul avec Marina qui n’avait nulle intention de se coucher avant la fin de la soirée. Je commençais à en avoir ma claque quand le DJ entama une série de slows. C’est à ce moment que ma cavalière commença à m’allumer grave. Le bas ventre plaqué contre sur mon sexe elle se mit à onduler comme si elle me faisait l’amour. Impossible de rester de marbre. Mon érection eut l’air de la ravir.



Pour toute réponse elle chercha mes lèvres, les trouva. Pourquoi aurais-je refusé cette petite récréation ? Tandis que sa langue brûlante virevoltait entre mes dents je me mis à tester la fermeté de son adorable croupe sans qu’elle proteste le moins du monde. Un second slow s’enchaîna au premier. La température devint torride.



Je m’en doutais. J’ai essayé de faire l’idiot.



Elle m’a tiré par la main en récupérant au passage son mini sac à main. J’ai pensé à Élodie, bien sûr, qui devait dormir depuis longtemps vu le décalage horaire. Je me suis dit que j’étais nul. Pourquoi tromper la femme que j’aime ? Je n’en avais jamais eu l’envie. Sauf que l’occasion était trop belle. Et puis quel changement ! Physiquement, il y avait autant de différence entre Élodie et Marina qu’entre Sophie Marceau et Vanessa Paradis. Qui peut dire que Vanessa Paradis n’est pas craquante ? J’ai craqué ! Je me suis laissé entraîner dans les toilettes de l’hôtel. Après avoir fermé la porte Marina m’annonça en se pendant à mon cou :



J’en ai conclu, un peu éberlué, qu’elle avait prévu de se taper cette nuit le premier mec venu. Soulevant sa petite robe je fis glisser sa petite culotte qui s’avéra être un string minuscule le long de ses cuisses. Elle m’aida pour franchir le cap des escarpins et m’exhiba ce bout de tissu de quelques centimètres carrés.



Tandis qu’elle se démenait pour déboutonner mon jean et ma braguette avec la furie d’un chien qui déterre un os, soulevant sa petite robe je glissai une main entre ses cuisses pour vérifier ses dires. Pas le moindre petit poil ! Écartant des lèvres intimes toutes moites je suis parti à la recherche du petit bouton sensible. Aucune peine à le trouver, le clito érigé de Marina avait la taille d’un mini pénis. Ma caresse se faisant obligatoirement plus précise, elle se mit à glousser et à se tortiller de plaisir en écartant un peu plus les jambes. Une invite à une exploration plus profonde. Je le pénétrai de deux doigts qui s’enfoncèrent dans son vagin comme dans un pot de miel.



D’un geste décidé elle baissa mon boxer, s’empara de mon pénis et m’enfila un préservatif avec dextérité.



Passant mes mains sous ses fesses je la fis descendre sur mon pénis qui prit tout seul le chemin du paradis. Je découvris un petit vagin bien serré qui était un vrai régal. L’adossant au mur je me suis employé à en visiter tous les recoins. Avec sa petite taille, son poids plume et ses cuisses écartées en grand, j’avais l’impression d’embrocher un poulet.



Bien, madame ! Heureusement le préservatif diminuait mes sensations et j’ai pu répondre à sa demande. Je lui ai décollé la pulpe du fond à grands coups de bassin.



Emportées par son orgasme, ses cuisses me serrèrent violemment et elle poussa un véritable cri d’agonie. J’allai me laisser aller à l’accompagner quand il me vint une idée. Pourquoi ne pas profiter à fond de la situation ? Avec un mari qui bandait mou, Marina n’avait pas dû souvent goûter aux joies de la sodomie. Elle était si chaude qu’elle était capable de se laisser faire. Qui sait ? Je l’ai redéposée par terre en lui disant.



Fort de ce compliment qui m’alla droit au cœur, j’ai troussé sa robe. Comme elle était bien ouverte et dégoulinante de cyprine, j’ai plié les genoux et je l’ai embrochée d’un coup.



J’ai effectué quelques va-et-vient puissants la faisant de nouveau couiner de bonheur puis je me suis positionné un peu plus haut sur son joli petit trou plissé. Le temps qu’elle comprenne j’étais déjà en place.



Ce qui était un gros mensonge. J’avais bien fait quelques tentatives après notre mariage avec ma charmante épouse mais elle m’avait toujours refusé ce petit plaisir en me traitant de pervers. À force de me faire remballer, je n’avais plus insisté et m’enfoncer entre ses reins était devenu un pur fantasme. Je vis Marina hésiter. Une maîtresse peut-elle paraître plus coincée qu’une fidèle épouse ?



Glissant un doigt dans sa fente dégoulinante, je barbouillai de ses sécrétions son adorable petit trou tout plissé, pressant de plus en plus fortement sur la petite rondelle jusqu’à ce que mon doigt tout gluant perfore ses sphincters. L’endroit était tellement serré que je me demandais comment j’allais pouvoir arriver à y enfoncer mon sexe.



À force de jouer avec sa petite entrée je sentis ses sphincters se relâcher. M’imprégnant de l’abondante mouille qui coulait de sa chatte je pus enfoncer un second doigt, sortir, élargir, rentrer et rerentrer de plus en plus facilement.



Je bandais comme un malade. J’étais tellement dur que j’en avais presque mal. Marina écartait ses fesses des deux mains, j’avais une main crochée sur une de ses hanches, de l’autre je positionnai mon sexe sur son petit trou. Faute d’expérience de la chose, je m’attendais à une très forte résistance. Guidant mon sexe de la main j’ai poussé de toutes mes forces sur la petite rondelle brune. Préservatif lubrifié aidant, son sphincter capitula d’un coup. Marina poussa un cri déchirant et je vis disparaître mon pénis entièrement au fond de ses reins.



Heureusement la musique couvrait tous les bruits. Ne tenant aucun compte de ses protestations, c’était bien trop bon, je me suis mis à aller et venir de plus en plus rapidement dans l’étroit conduit. Marina, embrochée et scotchée sur le mur, ne pouvait rien faire d’autre que subir. Elle en perdit tout son vernis de bonne éducation et se mit à me débiter un flot d’insanités.


À chaque coup de bassin, mon pubis tapait violemment sur ses adorables fesses, la décollant presque du sol. Ses sphincters rendirent grâce. Je pus bientôt me retirer complètement pour mieux revenir, savourant de forcer à chaque fois l’étroit passage. Marina n’émettait plus que des sons inarticulés mais paradoxalement elle se cambrait pour ne pas perdre un centimètre de mon sexe.


Du coup, je pus glisser une main le long de son ventre jusqu’entre ses cuisses. Sentant que je n’allais pas pouvoir tenir plus longtemps je lui ai enfoncé direct trois doigts dans la chatte tout en écrasant son gros clitoris avec la paume de la main. Elle devint folle. Elle se mit à crier comme une possédée emportée par un orgasme encore plus intense que le précédent. Abuté au fond de ses reins, j’ai explosé avec la satisfaction d’avoir totalement profité de cette jolie petite salope.

À peine remise de ses émotions, j’ai eu droit à des félicitations :



J’ai regagné notre bungalow et je me suis couché pas bien fier à côté d’Élodie qui semblait dormir. Rongé de remords, j’ai peiné à trouver le sommeil. J’ai fini par m’endormir au petit matin et quand je me suis réveillé, Élodie était partie prendre son petit déjeuner. Je l’ai trouvée en grande conversation avec Marina. Je les ai rejointes comme si de rien n’était.


Toute la journée j’ai résisté à la tentation d’aller retrouver Marina qui m’attendait dans son bungalow pour une nouvelle partie de jambes en l’air. Je suis resté à la plage avec Élodie jusqu’à l’heure du match de revanche de volley. Quand je suis revenu, ma belle n’était plus à la plage et notre bungalow était fermé à clé. Croyant entendre du bruit, j’ai tambouriné à la porte sans succès. Je suis alors parti à sa recherche dans tout le club. Introuvable ! En désespoir de cause, je suis retourné à notre chambre. Cette fois-ci la porte était ouverte et j’ai trouvé ma femme allongée nue sur le lit, toute pantelante, le regard dans le vague. Trois préservatifs usagés trônaient sur la table de nuit. C’était comme si le ciel me tombait sur la tête. J’ai balbutié bêtement :



Loin de nier Élodie me répondit avec une franchise déconcertante :



Et elle ajouta tout sourire sans la moindre culpabilité :



J’ai commencé à hurler. Elle se leva et m’interrompit net.



J’étais en état de choc. Comment le savait-elle ? C’est elle qui m’a fourni la réponse.



J’étais effondré. Élodie savait tout ! C’est moi qui avais commencé, je n’avais plus qu’à la fermer.



J’ai répondu que cela dépendait de toi. Voilà, chéri, conclut-elle. On continue nos conneries ou on arrête ?

C’était clair. Pour elle, j’étais responsable de tout. Que dire ? J’étais désespéré. J’étais cocu. Cocu de chez cocu. Élodie m’avait trompé avec un vrai étalon et elle avait pris un pied pas possible. En plus c’était ma faute ! Des larmes me sont montées aux yeux devant tant de gâchis.



Élodie, me voyant effondré, changea d’attitude. Elle s’approcha pour me prendre dans ses bras.



J’ai mis quelques secondes à percuter.



Accablé, je ne répondis pas, espérant laisser passer l’orage.



Je baissai les yeux. Avoir une femme comme Élodie et la laisser aller voir ailleurs, c’est vrai il fallait être con. J’étais un con.



J’acquiesçai d’un signe de tête, la gorge nouée.



Un gros silence s’établit. Je comprends enfin que la libido de ma femme a explosé et que pour la garder je vais devoir changer toutes mes priorités. Le choix est vite fait.



Voilà ou nous en sommes. Depuis que nous sommes rentrés à Paris, je baise Élodie tous les soirs mais elle en redemande encore. Je suis inquiet. J’espère ne jamais avoir à écrire une suite à cette histoire.