Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 14974Fiche technique16030 caractères16030
Temps de lecture estimé : 9 mn
19/05/12
Résumé:  Un beau-frère et une belle-soeur vivent quelques jours très érotiques en juillet à Paris.
Critères:  fh 2couples alliance -extraconj -boitenuit
Auteur : Pradel
Un stage à  Paris

Un stage à Paris en juillet conduit ma belle-sœur de vingt et un ans à habiter chez nous. Mon épouse et nos deux jeunes enfants sont à la mer. Mon emploi m’absorbe. La première semaine passe vite. Le vendredi soir, nous descendons au Quartier Latin.


Sophie porte une robe d’été qui la met en valeur. Je l’entraîne dans un restaurant italien. Le rosé frais nous grise un peu.


Après le repas nous nous promenons, et dégustons une glace sur l’île Saint-Louis. La nuit gagne, nous cherchons un taxi. Un clochard nous interpelle :



Je lui donne 5 F, il nous remercie en criant :



Sophie et moi éclatons de rire. Je la serre contre moi et l’embrasse.

Dans le taxi, je pends sa main, elle se détend, somnole dans le confort de la DS.

Arrivé à l’appartement, je lui propose un rafraîchissement :



Je prépare des jus de fruits sur la table du salon, feuillette une revue. Elle revient vêtue d’un tee-shirt long, s’assoit, s’étire, boit une gorgée, s’allonge sur la banquette, pose la tête sur ma cuisse.

Je suis sidéré, je n’ose bouger.



Après un silence je réponds, banalement :



Une érection monte, je suis gêné et excité. La lampe de salon est à ma portée, je l’éteins. Un halo de lumière éclaire faiblement la pièce.

Je caresse ses cheveux, son cou, son visage. Son odeur m’envahit. Je suis tétanisé de désir. Sa respiration est ample, régulière, paisible. Ma gorge est serrée. Elle embrasse ma main. Je perds tout bon sens, glisse les doigts vers sa poitrine. Elle gémit. Je caresse, longuement ses seins magnifiques.

Quand je pose ensuite la main sur son ventre, elle pose une main sur la mienne. Le ventre bouge imperceptiblement. Doucement je déplace ma main vers son pubis. Elle appuie sur ma main.

Nous perdons toute retenue. Je remonte son vêtement, glisse la main sur sa vulve trempée. J’explore lentement les replis de son sexe, la broussaille de son pubis, le clitoris sensible, les lèvres gonflées. Elle se raidit, se cambre, gémit, jouit enfin dans un râle poignant.


Je me redresse, l’assieds sur la banquette, plonge la bouche entre ses cuisses. Je déguste son sexe trempé, un peu acide. Je lape, mordille, lèche, suce. Mon visage se couvre de son plaisir. Quel merveilleux festin ! Quand je suis repu, je la fais lever, ôte son vêtement, l’entraîne vers la chambre.



Je sais qu’elle a eu un ami. J’écarte ses cuisses, les relève, place mon gland sur sa vulve, essaie d’entrer mais elle est tendue, crispée.



Je reste un moment immobile puis m’allonge sur le dos.



Elle me chevauche doucement, ses fesses fermes sous mes mains. Elle frotte sa vulve sur ma verge, se détend, je me glisse en elle. Un conduit chaud, humide, ferme et doux me reçoit.


Nous restons un moment immobiles. Elle m’embrasse à pleine bouche, je pétris son superbe cul. La chevauchée commence. Elle monte, descend, son périnée s’active. Plusieurs fois ma verge est expulsée, elle la remet en place sans tarder. Elle s’offre un orgasme bruyant. S’écroule sur moi. Je la complimente… Elle répond par des soupirs, se redresse, s’allonge à mes côtés. Je pose sa main sur mon sexe, elle le caresse du bout des doigts.


Je la prends dans plusieurs positions. Elle est docile, sensible, appliquée. Elle me dit des mots fous, je lui réponds des mots crus.

Soudain mon plaisir monte, je jouis en grognant.


Nous sommes trempés, repus, ivres. Nous nous caressons un moment puis sombrons dans le sommeil. Dans la nuit, nous refaisons l’amour. Quand je me réveille, elle dort profondément


Je me lève sans bruit. La ville est animée, le marché, à deux pas, offre ses bruits, ses odeurs. Celles de Sophie me grisent encore. Je suis fatigué et heureux. Je reviens avec quatre croissants et une baguette viennoise, prépare un demi-litre de café et entre dans la chambre.


Elle ouvre un œil, puis deux, se lève lentement, m’embrasse, s’éloigne.

Elle revient en tee-shirt et culotte.

Nous déjeunons en silence.



Nous continuons le déjeuner. Les croissants, la baguette largement entamée, nous rassasient.

Elle se lève, écarte le plateau, fait tomber les miettes du drap, s’allonge, plonge ses yeux dans les miens.



En pleine lumière, nous nous accouplons sans retenue. Ma verge me fait presque mal. Je la glisse partout. Nous multiplions les positions, prolongeons celles qui lui plaisent. Je la fouille, la branle, lèche le con, l’anus, les seins, les oreilles, la nuque, les orteils, tout ce qui passe à ma portée.

Nous nous apaisons, sombrons dans le néant.


Dans mon rêve j’entends un téléphone sonner. Puis plus rien. À nouveau le téléphone. Je vais répondre au salon.



Le temps de prendre, de donner des nouvelles, j’aperçois Sophie passer nue dans le couloir. Je lui fais signe de ne pas faire de bruit, elle s’éloigne en imitant les Sioux des films américains.



L’eau coule dans la salle de bain. Nous nous baignons longuement.



Je m’émerveille de son corps superbe, de son impudeur. Comme pour se disculper elle poursuit :



Je dois me préparer, je joue de l’orgue pour un mariage à 16 h. La cérémonie est assez mondaine, une cousine de la mariée souhaite chanter l’Ave Maria de Gounod. Elle le fera de belle manière.

Sophie est restée mettre de l’ordre dans son dossier de stage et ébaucher un rapport.

Quand je la retrouve, lui propose un verre. Nous dégustons un vin de Loire moelleux.



Sophie feuillette Pariscope.



Nous retournons dans le Quartier Latin, choisissons un restaurant marocain. La cuisine légère, parfumée, arrosée de thé, nous régale. Nous montons à pied vers le « 2 plus 2 ». Il est onze heures passées quand nous sonnons, une petite grille s’entrouvre, on nous laisse entrer.


Une hôtesse superbe, habillée de noir, nous reçoit. Au bar, on nous propose deux flûtes de champagne.

Dans la faible lumière on aperçoit des couples sur une petite piste de danse. J’entraîne Sophie. Parmi les couples, deux femmes ; de temps en temps, elles s’embrassent.

Nous revenons au bar. Une femme nous aborde :



Le mari, très à l’aise, se présente ; il est pharmacien, sa femme orthophoniste.


Je glisse à son oreille :



Il éclate de rire et déclare :



Nos flûtes sont à nouveau remplies. Sophie, assise sur un tabouret haut, nous montre des genoux superbes. Ses yeux brillent, ses dents éclatantes luisent à chaque mot, chaque rire. La femme rencontrée papote avec elle, caresse sa taille.

Elles dansent un rock ensemble, ondulent face à face, se croisent, tournent et virent. À la fin du rock, elles restent sur la piste et s’enlacent pour un slow.

Le pharmacien me dit :



Sur un lit assez haut, près de la piste, une femme est nue, trois hommes la caressent. Une grande douceur érotique se dégage de ce lit.

Deux hommes dansent avec une femme, ses seins, un peu lourds, sortent du chemisier. Une main a remonté un côté de la jupe et laisse apercevoir des bas, un porte-jarretelles et une culotte chair. Les hommes, tour à tour, dévorent sa bouche.

Sophie et Marie reviennent, s’installent sur les tabourets.



J’offre une flûte à nos nouvelles relations. Marie caresse Sophie qui se laisse faire mais ne rend pas.



Le club n’est pas grand. Un coin restaurant, des couloirs, des alcôves. Des gens font l’amour, d’autres regardent.

Une femme blonde très belle reçoit les assauts d’un homme un peu lourd. Marie glisse un mot à l’oreille de son mari. Elle s’approche du couple, ôte sa robe. Les spectateurs salivent.

La femme blonde sourit à Marie. D’un mouvement elle écarte son partenaire et s’allonge sur notre amie. Elles s’embrassent, se masturbent mutuellement. Marie jouit la première puis conduit la blonde au plaisir.

Marie embrasse longuement sa partenaire, écarte la main empressée d’un homme proche, enfile sa robe, tend son slip et son soutien-gorge à son mari qui les glisse dans sa poche.

Nous rebroussons chemin. Une porte s’entrouvre, deux couples sortent en riant.



Un grand lit, un guéridon, une boite de serviettes en papier, une coupelle avec des préservatifs, une lumière douce teintée de rouge.

J’enlace Sophie, lui fais sentir mon désir, nos nouveaux amis nous regardent.



J’ai répondu sans attendre l’avis de Sophie. Nous fermons la porte. Je déshabille lentement ma partenaire. Nos amis de rencontre la complimentent sur son corps parfait. Sophie accepte les caresses de Marie et Pierre mais refuse plus. Je la déguste, la pénètre. Elle jouit plusieurs fois. Quand nos partenaires font l’amour, près de nous, elle regarde à peine.


Nous refuserons l’ultime flûte et la carte de visite de Pierre qui nous invite à une soirée « géniale » à la rentrée dans une maison de campagne avec « quelques amis très beaux ».


Dans le taxi qui nous ramène nous restons blottis l’un près de l’autre.

À l’appartement nous glissons dans le lit, sombrons dans un sommeil de plomb.


Le lendemain matin, une bonne odeur de café me réveille. Sophie, en short, sert le petit-déjeuner. Nous parlons peu.


Nous allons faire une promenade à pied au bois de Vincennes, l’air est tiède. Je dois accompagner la messe de 18 h 30. Quand j’en reviens, Sophie a préparé une délicieuse salade de tomates avec des œufs durs. Je me glisse dans le lit assez tôt. Sophie travaille sur son mémoire. Je lis quelques pages de roman et m’endors.


La bouche de Sophie sur mon sexe me réveille. Quand je veux l’interrompre pour la prendre elle me dit :



Elle me suce divinement, je jouis. Elle garde ma verge dans la bouche sans bouger puis se blottit dans mes bras. Elle glisse à mon oreille :



Nous dormirons ensemble chaque nuit. Le samedi suivant, je partais retrouver les miens à Carteret.


Aujourd’hui Sophie est avocate fiscaliste, mariée à un ingénieur, mère de deux filles. Nous nous entendons bien, jamais nous n’avons refait l’amour même si, entre nous, il y a une complicité particulière.