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n° 14977Fiche technique24094 caractères24094
Temps de lecture estimé : 15 mn
20/05/12
Résumé:  Histoire des plus classiques. Un couple en rencontre un autre et ils mettent leurs ressources en commun.
Critères:  fh 2couples couplus extracon vacances forêt voir entreseins cunnilingu 69 hsodo échange -entrecoup -cocucont
Auteur : Viona
Dans le camping, il n'y a pas que le home qui est mobile

« Papa, on regarde les photos ? »

Les photos ? Oui. Bien sûr, les vacances. C’est une bonne idée. Ils ont tourné comme des lions en cage ce samedi pluvieux et froid de novembre. Nous avons deux garçons, 11 et 12 ans et comme nous interdisons la télé la journée, je ne vous dis pas l’animation. Quatre heures après et mille photos plus tard, la maison est plus silencieuse. Ils sont au lit et doivent rêver de soleil et de copains. Ma femme Chantale et moi avons aussi des souvenirs de cet été et maintenant que nous sommes seuls je peux sortir nos photos et vidéos, témoins de nos libertés.


Chaque été en juillet, nous allons tous les quatre au même camping où, comme dans un film célèbre, nous retrouvons nos habitudes et notre mobil-home. On peut se moquer de cette ambiance particulière mais les gens sont plus sympas dans cet environnement qu’à l’hôtel et, surtout, tout est prévu pour les enfants. Vous pouvez ne pas les voir pendant toute la journée et même le soir, tout en sachant qu’ils sont en sécurité. Le seul reproche de ce camping, c’est sa plage trop petite où on est toujours dérangé par les gamins qui jouent. Mais cette année, Chantale a enfin accepté d’aller à une autre, plus éloignée, mais bien plus grande. Elle avait toujours refusé car c’est une plage naturiste, oh ! pas par pudibonderie, mais par peur des coups de soleil mal placés. Merci à sa nouvelle esthéticienne qui l’a décidée pour l’épilation totale et pour la crème miracle qui protégera sa peau de blonde jusqu’au plus intime.


Une parenthèse pour dire que, malgré toutes ces années de vie commune, notre sexualité est toujours au top, enfin presque. Si on a une baisse de désir, on sait pallier par quelques artifices, quelques gadgets, voire par des mises en situation. Les vacances sont, comme pour beaucoup, le moment de se ressourcer. Le soleil, la mer, les corps exposés nous inspirent. Chantale en profite, à mon grand plaisir, pour s’habiller léger. Indépendamment du maillot deux-pièces qui l’expose plus qu’il ne la protège des regards, ses shorts, ses jupettes et ses décolletés plongeant sur une poitrine libre la classent dans la catégorie décontractée. Donc pas pudibonde mais pas pute non plus. Non, une mère de famille qui se lâche un peu et teste son pouvoir de séduction. Tout cela sous mes yeux, avec mon accord et le plaisir de constater que la femme que je baise pendant des siestes crapuleuses attire le regard des hommes, jeunes et moins jeunes.


Donc ces vacances commencent bien, chacun trouve ses marques, nous faisons connaissance des voisins et les enfants se font des copains. Un couple se distingue. Ils ne font pas partie des habitués. D’abord, trop jeunes, pas d’enfants et on remarque tout de suite que c’est la première fois qu’ils campent. Eux aussi se plaignent de la plage. Le garçon, Paul, ne quitte pas Chantale du regard. Je serais presque jaloux, mais cela fait tellement plaisir à ma femme de se sentir le centre du monde que je ne dis rien. Au contraire cela me flatte et la femme du garçon, Annabelle, suit également le jeu de séduction. Tous les deux nous échangeons des regards complices, ce qui est un comble, alors que les complices sont nos époux.


Donc, c’est avec plaisir que nous les emmenons avec nous à la plage naturiste. D’ailleurs ils sont immédiatement à l’aise et le jeu de séduction peut continuer. Oh ! rien de répréhensible, mais ils s’amusent à s’éclabousser, se pousser dans l’eau. Enfin tout ce qui rapproche les corps et donne aux mains l’occasion de se frôler, d’explorer.


C’est Chantale qui propose d’aller s’amuser au petit night-club du camping.

Ils dansent, l’un contre l’autre, comme deux ados qui se frottent pour éprouver leurs sens. Annabelle et moi sommes restés assis mais la piste n’est pas si grande pour que les danseurs échappent à notre regard.



Je n’ai pas le temps de répondre car nous les voyons quitter discrètement la piste. Bien sûr, nous les suivons et heureusement la lune les révèle derrière une haie. Ils s’embrassent fougueusement, avec une passion qui me trouble. Et si Paul devenait un rival pour mon couple ? Il ne fait pas que l’embrasser. Il la caresse. La distance m’empêche de bien voir mais les attitudes de ma femme changent. Elle s’éloigne pour, j’imagine, laisser les mains de son cavalier explorer son corps que je sais peu protégé par la robe et la lingerie. Oublions le soutien-gorge qui est resté à la maison. Ce n’est pas le string qui empêcherait une main audacieuse de se glisser vers le clito ou sa fente. Quant à la robe, oui cette robe que j’ai choisie avec elle, la fermeture éclair glisse si facilement que c’est de la provocation. Je m’attends au pire, plutôt, j’attends avec un frisson aux creux des reins ce qui va suivre.


Mais rien. Elle se dégage, s’échappe, se rajuste et malgré les protestations entraîne son cavalier vers la lumière. Nous n’avons que le temps de revenir nous asseoir avant qu’ils ne reviennent.

Plus tard, au lit, je la taquine.



Elle réagit.



Elle se calme.



En disant ces paroles, je mesurais tout le poids des mots. Où s’arrête un flirt d’été ? Coucher, ne pas coucher ? Chacun trace la limite. Mais Chantale ne me suit pas sur ce terrain et la conversation est close.


Les journées passent, les soirées défilent, Paul et Chantale s’éclipsent mais rien ne se passe. Pourtant maintenant je suis sûr que je voudrais qu’ils aillent plus loin. Mon sexe se durcit lorsqu’ils s’embrassent et que je vois Paul tenter d’aller plus loin. Mais à chaque fois Chantale se reprend et l’arrête.


Je décide alors d’intervenir. Oh ! pas du genre « Alors quand vas-tu coucher avec Paul ? » Non, plus discret, plus sournois. D’abord je prétexte une fatigue pour faire sauter notre sieste crapuleuse. Puis le même jour, je force outrageusement sur la dose d’alcool dans le cocktail du soir de Chantale. Enfin, pendant que nous nous changeons pour aller dîner et danser, je la chauffe par des attouchements sur les seins et les fesses. Mais pour éviter de conclure, je prétexte que nos amis nous attendent.


Ce soir, ils disparaissent très vite, mais nous sommes particulièrement vigilants et nous arrivons près de leur cachette avant eux. Ils sont à quelques pas. Ils s’embrassent fougueusement. Paul lance ses mains à l’assaut. Chantale lui facilite le passage. Mais, elle s’écarte. Oh ! non, elle va partir ! Elle ne va pas laisser ses sens l’emporter !


Mais si. En réalité, d’un geste elle fait glisser sa robe pour se retrouver nue face à son cavalier… Son amant… Il comprend qu’il doit profiter, tout de suite, de ce moment de faiblesse. Il la pousse doucement contre un chêne-liège et tombe à ses pieds. Aussitôt il plonge entre les cuisses et malgré la pénombre on peut voir sa langue se tendre vers la chatte qui l’attend. Ma femme prend la tête de son amant pour guider son plaisir et, les épaules en appui sur l’arbre, elle fléchit les jambes en les écartant pour se livrer aux caresses. Pendant ce temps les mains de Paul montent pour prendre les seins à pleine paume et tordre les tétons entre les doigts. Chantale ne tarde pas pour atteindre sa jouissance et je me félicite de mon travail de mise en condition. Je sais que son jus va être abondant et que Paul va pouvoir le goûter.


Ils reprennent leur souffle. C’est au tour de ma femme de pousser son amant contre l’arbre et d’un geste adroit, elle sort la verge compressée du pantalon. Ce n’est plus le petit morceau de chair que l’on voit à la plage, mais une belle bite bien raide, fièrement tendue. La bouche de ma femme se fait un plaisir de la sucer pour en prendre la dimension. J’attends qu’elle la fasse disparaître dans sa gorge comme elle le fait avec moi, mais non. Elle recule. Elle hésite. Non, elle revient et s’applique à recouvrir la queue de grandes coulures de salive. Elle se redresse et guide la verge entre ses seins, les serrant l’un contre l’autre pour former un fourreau de douceur. Oh ! je sais combien c’est bon de sentir sa queue coulisser ainsi ! Après tout, Chantale et moi savons combien cela nous a coûté pour cette opération qu’elle souhaitait depuis si longtemps et qui a rendu ses seins si fermes et si gros.


C’est au tour de Paul de fléchir les jambes pour faire coulisser sa queue dans ce chemin. Je filme tout et j’aime cela. Que c’est beau une femme qui donne du plaisir ! C’est encore meilleur lorsque cette femme est sa propre épouse et que l’on veut la voir perdre la tête et donner du plaisir à un autre. Paul jouit. Son sperme macule les seins, le cou et même le visage de sa maîtresse. Ils cherchent à faire disparaître la preuve de leur plaisir mais ne trouvent rien dans les poches. Le string de Chantale, ce petit bout de tissu suffit à peine pour enlever le principal. Le reste doit former une seconde peau qui va sécher mais en laissant une trace suspecte, preuve de jouissance masculine, humide et collante.


Ils repartent mais ma complice est, comme moi, excitée de ce spectacle et je la culbute dans l’herbe pour la prendre sans ménagement. Les préliminaires ne sont pas nécessaires. Je bande comme un lion et elle est humide, prête à me recevoir. Nous jouissons rapidement et quelques minutes plus tard nous retrouvons nos époux qui font semblant de s’inquiéter de notre absence. Un comble…

Il est tard, nous sommes rentrés chez nous et chacun se prépare pour la nuit.



Sortant le string de la corbeille de linge sale j’insiste en l’examinant et le reniflant.



Alors je l’attire à moi. Nous nous asseyons sur le bord du lit de notre minuscule chambre et je fais démarrer la vidéo. Elle assiste, sans un mot, à toute la scène. Les images sont la preuve accablante de sa turpitude. Elle va parler, pour se défendre peut-être, mais je l’arrête.



Et je lui montre mon sexe en érection, la preuve vivante de mon excitation.



Je n’attends pas de réponse et je culbute ma femme sur le lit conjugal ; nous sommes uniquement retenus par nos enfants qui dorment de l’autre côté de la cloison. Mais cela n’empêche pas que je la baise avec un tel plaisir partagé que nos jouissances ne sont que la signature de notre perversité. Moi aussi j’ai placé ma queue raide entre ses seins mais mon sperme ne s’est pas perdu sur sa peau. Sa bouche a recueilli mon jus et je l’ai regardée avaler lentement mon sperme qui ne s’est pas égaré dans une culotte, si sexy soit-elle.


Le lendemain, la tension est palpable. Bien sûr, j’ai informé ma complice. Nous attendons. Tout le monde boit plus que de coutume. Je suis inquiet. L’alcool est un excellent inhibiteur, participe à la performance sexuelle, la sublime même, mais il peut aussi devenir une catastrophe. Qui n’a pas connu, les soirs de beuverie, un sexe désespérément mou ? La honte. Mais je veille et Annabelle aussi. Le Ciel est avec nous. Plutôt la Lune est avec nous. Elle est pleine et ses rayons pénètrent au plus profond de la forêt. Nos époux sont déjà nus. Chacun a veillé à ce que rien ne ralentisse leur plaisir. Pas de slip, de boxer, de soutien-gorge ou de string. Juste une robe, une chemise et un pantalon. Deux mouvements, pas question de réfléchir, et les corps sont prêts, disponibles alors que l’esprit hésite encore. Paul, briefé par sa femme, n’hésite pas. Il l’excite, la caresse, ne lui laissant pas le temps de réfléchir. Elle s’appuie sur l’arbre, cambrée, recevant l’offrande de la langue et des doigts de son amant. Le sexe, qu’elle n’a qu’entrevu, mais qui est si beau que je zoome pour l’immortaliser, avance, avance encore et disparaît dans l’obscurité de la chatte de ma Chantale.


Silence, immobilité, ô temps suspends ton vol. Ma femme, oui, mon épouse devant Dieu et le maire, est offerte à une bite qui n’est pas celle de son époux. Quelle importance ? Je n’ai d’yeux que pour ce mandrin qui, je l’avoue me ravit, prend possession de ma belle. J’aime, j’apprécie cet instant mais je ne suis pas le seul. Chantale ne fait pas que subir. Elle contribue et participe. Je la reconnais bien. Toujours prête à se faire prendre. Oh ! je n’étais pas le premier lorsque je l’ai rencontrée. Le chemin était ouvert, rodé, préparé pour mes saillies. La différence ? L’amour bien sûr. Ce sentiment qui fait qu’une femme qui aime le sexe passe, aux yeux de la société, du stade de salope à amoureuse. Alors tout est autorisé, pardonné.


Mais on s’en fout. Il la baise, la tringle, la lime, la bourre, la ramone sous nos yeux. Annabelle fait glisser son short, enlève son haut et m’aide. Enfin, nous aussi sommes disponibles pour nous joindre à la cérémonie. Sous le regard de nos époux un instant immobiles, nous avançons et le même arbre sert d’appui à ma complice avant que mon dard la pénètre. Ainsi la messe est dite et deux hommes font honneur à deux femmes qui ne sont pas celles que la morale reconnaît. Mais une queue en vaut une autre et même c’est meilleur si ce n’est pas celle autorisée par les conventions.


Paul et moi sommes synchrones. J’avance, il avance. Je recule, il recule. Je caresse les seins, il caresse les seins. J’encule, il encule. Deux jumeaux. Quel fantasme ! Échanger les femmes sans qu’elles le voient ! Mais non, le plaisir est autre. Baiser la femme de celui qui baise la vôtre. Quoi de plus bandant ? Elles aussi aiment. Elles le disent, le crient. Nous crachons notre sperme dans ces culs si accueillants. La lune est témoin de notre plaisir.

La soirée ne peut pas s’arrêter ainsi. La forêt est inconfortable. Le mobil-home de nos amis nous attend. Il faut se rhabiller. Que de temps perdu !


Les femmes, par leur bouche, donnent une nouvelle vigueur à nos membres. Nous sommes prêts, disponibles.


Paul s’allonge. Chantale se place sur lui en 69. Position si belle, si généreuse. Chacun donne du plaisir à l’autre. Une langue, des lèvres chatouillent une chatte qu’un clitoris exalte pendant qu’une autre langue et une autre bouche sucent, aspirent une queue dressée. Annabelle et moi sommes spectateurs, oh ! pas tout à fait inactifs. Nos mains s’égarent sur les corps de ce couple si près de nous. Nos époux se lèchent, se sucent, s’aspirent avec des bruits humides. Mais Chantale en veut plus. Elle bouge, rampe et vient s’empaler sur cette queue qu’elle a si bien préparée. Son amant s’empare de ses seins et tord les tétons entre ses doigts. Elle aime, gémit, bouge sur le pieu. Elle prend son temps. Rien ne presse, au contraire le spectacle qu’elle m’offre doit être parfait. Même si elle garde les yeux fermés pour se concentrer sur son plaisir, je sais que ma présence la stimule. Elle monte et descend, faisant glisser le sexe de Paul dans sa grotte avec un doigt qui caresse son clito. Cela pourrait durer des heures.


Nous décidons de les accompagner. Je m’allonge à côté de son mari et Annabelle vient s’empaler sur moi. Elle aussi se baise lentement et nous voyons que les deux femmes, intuitivement, montent et descendent au même rythme. J’espère que ma caméra filme bien la scène car le spectacle est grandiose. Les regards se croisent. Connivence entre les époux qui se donnent du plaisir, l’un en face de l’autre, sur le sexe d’un amant, dans la vulve d’une maîtresse et ce bonheur qui monte, minute après minute. Mais la belle mécanique s’accélère et chacun se consacre à son partenaire. Chantale bouge de plus en plus vite, sa main s’agite sur son clito alors que Paul pétrit ses seins avec vigueur. Je sens ma jouissance venir, autant par les mouvements d’Annabelle que par la vision de mon épouse qui se baise avec une telle violence que le choc de ses fesses sur les cuisses de Paul fait trembler le matelas. Elle va crier, hurler son plaisir mais heureusement elle se retient en se mordant les lèvres. Annabelle ne tarde pas à la rejoindre et quelques minutes plus tard, c’est un verre à la main que nous reprenons notre souffle.


Nous bavardons librement. Nous avouons à nos amis que c’est notre première expérience de ce type. De leur côté, ils nous font part de la liberté qu’ils s’accordent avec quelquefois des rencontres comme la nôtre. Le temps passe et comme je parle de rentrer chez nous, Annabelle échange un regard avec Paul avant de nous dire :



Et sans attendre notre réponse, entraîne mon épouse sur le lit et la place à quatre pattes. Paul se positionne derrière elle et entreprend de lui caresser l’anus avec sa langue et glisse un doigt qu’il fait bouger. Je pense, il la prépare pour l’enculer. Mais, maintenant c’est Annabelle qui se glisse derrière son mari et qui entreprend le même travail. Il se laisse faire, preuve de leur complicité. Il arrive que Chantale glisse un doigt dans mon anus et plus d’une fois cette caresse a amplifié ma jouissance. Il se redresse, rampe sur le lit et je vois son gland déformer l’anneau de ma femme pour ouvrir le chemin de la hampe. Le membre entier est au chaud et je reconnais sur le visage de Chantale le petit rictus, mélange de douleur et d’espoir.


Mais Annabelle attire mon attention et d’un geste me demande… Je la regarde avec surprise mais elle oscille de la tête en signe de confirmation. Elle veut que je sodomise son mari. C’est vrai qu’il est en position, au bord du lit, penché sur ma femme, les fesses en offrande. J’hésite, jamais je n’ai fait, ni même pensé une telle chose. Alors, elle me prend par la main, ou plus exactement prend ma bite raide dans sa main et d’autorité la place au contact de l’anus. Il est déjà légèrement dilaté, préparé par les doigts, ruisselant de salive. Il m’attend et je pousse, agrandis l’orifice et me retrouve au fond facilement. Voilà, j’encule l’homme qui encule ma femme. J’avance les mains pour me saisir de ses hanches, mais il est si collé à ma femme, que ce sont les siennes que je saisis. Alors je fais ce que tout homme fait d’instinct. J’avance et recule dans ce fourreau étroit qui me comprime. Et par ce mouvement j’impose le même mouvement à Paul dans le fourreau de mon épouse. Une main presse mes testicules à chaque fois que je bute sur les fesses de Paul et je vois une autre main qui s’occupe des siens. La chambre résonne de nos coups de boutoir, des soupirs et petits cris de plaisir. J’ai toutes les peines du monde à retenir Chantale qui subit le double choc de nos queues. Elle va jouir, je reconnais sa façon de bouger la tête comme si elle refusait que sa jouissance arrive. Elle lâche, dans un soupir, ce feulement que j’aime tant. Son amant n’est pas en reste, il doit jouir aussi car je sens tout son corps vibrer et c’est quelques secondes plus tard que, pour la troisième fois de la soirée, j’éjacule. Oui, mais dans le cul d’un mec !


Les enfants ont été gentils et ils nous ont laissé dormir. Pas de sieste mais chaises longues et parasols sur la plage. Il n’y a pas foule, il faut dire que ça tape. On somnole face à la mer. Je parle.



Ce sont ses paroles qui me reviennent à l’esprit alors qu’après avoir visionné nos films, nous avons fait l’amour.


C’est décidé, demain je passe commande. Un double gode que l’on peut fixer comme une ceinture. J’ai déjà vu ce genre d’objet et on peut même acheter des sexes de tailles différentes qui se fixent. J’imagine déjà. J’aide Chantale à faire glisser le plus gros dans son vagin. Je fixe la ceinture et voilà ma femme avec une queue bien droite qu’elle se fait une joie d’enfoncer doucement dans mon anus que, gourmande, elle vient de lécher pour me préparer.


Oh ! je bande…