n° 14984 | Fiche technique | 8246 caractères | 8246Temps de lecture estimé : 6 mn | 22/05/12 |
Résumé: Après une absence prolongée, je retrouve ma compagne. Nous ne tardons pas à nous retrouver dans une séance d'amour intense, qui culmine par un orgasme simultané. | ||||
Critères: fh couple amour cunnilingu anulingus pénétratio -couple | ||||
Auteur : Claude2 (Claude, lecteur fidèle de Revebebe et amoureux des femmes) |
Une semaine de déplacement, plusieurs hôtels, des heures passées dans les aéroports, enfin à la maison ce vendredi soir. J’ai pris l’habitude de ces périodes hors du domicile, mais c’est toujours avec plaisir qu’une telle semaine s’achève. Je retrouve ma compagne, Nathalie. Elle a mis sa longue robe moulante qui dessine ses formes. Est-ce par hasard ?
Rapidement je me colle à elle pendant que nous échangeons un long baiser. Je goutte ses lèvres. Nos langues se touchent timidement. C’est à chaque fois des sensations uniques ! Mes mains remontent sur ses fesses rebondies, sur ses reins, et je ressens déjà mon sexe qui pointe, cherchant une place entre nos deux corps soudés. Mais cet avant-goût du plaisir s’interrompt rapidement, Nathalie m’annonce qu’elle doit faire quelques courses si nous voulons manger ce soir, et je dois déballer mes valises.
Je dois vous préciser que nos enfants ont tous quitté le domicile et poursuivent leurs études. Nous nous retrouvons ainsi comme un jeune couple et nous savourons cette nouvelle vie. Cela nous offre de nombreuses possibilités pour des câlins à toutes heures de la journée.
À son retour du village, je ne cesse de l’admirer, de découvrir la forme de ses seins qui soulèvent le tissu de sa robe, et j’essaye de deviner la place de ses tétons aux petits renflements qui se dessinent sous le tissu. J’en profite pour les envelopper de mes mains quand Nathalie veut bien rester sans bouger quelques instants. Nous partageons les nouvelles que nous n’avons pas pu échanger lors de nos fréquentes conversations téléphoniques. La soirée se déroule, ponctuée de caresses et baisers furtifs.
Mais la fatigue de la semaine ne tarde pas à se faire sentir et nous décidons donc de rejoindre notre chambre avec le plaisir de savourer le long week-end qui nous attend. Je me glisse dans les draps frais après une bonne douche et Nathalie me rejoint rapidement avec son air coquin.
Je l’attire sans attendre contre moi et défais délicatement la ceinture de son peignoir qu’elle a pris la peine de conserver. Aussitôt, j’aperçois entre les deux pans de tissu son ventre plat, la naissance de ses seins et son pubis où se dessine une petite bande noire. J’ose une première caresse et découvre plus largement ses seins. Tiens, ils pointent déjà ! J’observe ses tétons qui se détachent clairement de ses aréoles brunes. Ils la trahissent toujours en passant rapidement d’une totale discrétion digne d’une jeune fille encore vierge à deux pointes tendues et arrogantes. Les effluves de son corps atteignent mes narines et je prends égoïstement une grande inspiration pour m’enivrer de cette odeur féminine. Je dégage totalement son peignoir, Nathalie est maintenant totalement nue sur le lit, offrant son corps à mon regard.
Ma fatigue a disparu, et je me lance dans une série de baisers sur l’ensemble de son corps. Sa peau est délicieuse, chaude. Chaque partie de son anatomie a une douceur particulière sous mes lèvres. Dès que je me rapproche de ses seins, Nathalie ne peut retenir ses premiers gémissements. Je passe ma langue sur ses aréoles puis je titille ses tétons. Enfin je tète ses petits bouts en les mordillant gentiment à la base. L’effet ne se fait pas attendre, Nathalie commence à perdre le contrôle de son corps, son bassin se met à onduler, ses reins se creusent et ses gémissements de plus en plus forts traduisent son état d’excitation.
Mon sexe se frotte sur la cuisse de Nathalie et n’a pas besoin de plus de caresses pour atteindre sa tension maximale, les soupirs et autres cris de plaisir sont pour moi aussi excitants que toutes les caresses possibles.
Ne nous précipitons pas, nous avons la nuit devant nous !
Soudain, Nathalie écarte largement ses cuisses et m’offre sa chatte. Aujourd’hui ce n’est pas avec les doigts mais avec ma bouche et ma langue que je souhaite l’honorer. Je pars donc à sa découverte. Ma langue cherche le sillon qui la conduira à la pointe du clitoris en écartant les petites lèvres. Je remonte ainsi doucement entres ses lèvres en essayant de débusquer le petit bouton magique.
Nathalie bascule légèrement ses reins, écarte ses lèvres et m’offre un tableau parfait de son sexe totalement ouvert prolongé par sa rosette. Je plonge mon visage dans cette caverne, mon nez fait office d’un sex-toy sur son clitoris, lui donnant de petits coups pendant que ma langue profite de la cyprine qui ne cesse de couler. Un petit moment de répit pour dévorer simplement avec les yeux une nouvelle fois son sexe, et je retourne profiter de son intimité qui s’offre à moi. Je viens lécher les bords de son vagin au plus profond de cet antre plus qu’humide.
Je n’ai pas oublié sa rosette, aussi je la retourne comme une crêpe et décide de mordre à pleines dents ses belles fesses. Je suis étonné qu’elle supporte mes morsures sans m’ordonner d’arrêter immédiatement. Je me rapproche de son sillon et ma langue commence des va-et-vient à la naissance de ses deux globes. Mais je ne peux pas attendre plus longtemps et j’écarte franchement ses deux fesses pour découvrir son petit trou. Nathalie pousse un « non » timide, semble s’offusquer de cette initiative mais me laisse me précipiter sur son trésor.
Ma langue contourne sa rosette puis se présente au centre de son anus. Je sens alors sa rosette se contracter puis s’ouvrir puis se contracter à nouveau comme si elle me faisait des baisers. J’essaye de rentrer ma langue au plus profond dans son trou, mais elle est définitivement moins raide et moins longue que mon sexe et ma pénétration se limite sans doute à quelques millimètres, dommage. Je sens que sa jouissance se rapproche, son bassin s’agite et Nathalie pousse de petits cris. Ces baisers osés ont aussi eu un effet très stimulant sur ma propre excitation et mon sexe se rapproche de l’orgasme.
Nous voulons jouir ensemble, mon sexe au plus profond de son minou dans cet acte de communion. Nathalie se met sur le dos et m’accueille entre ses cuisses. Elle dirige rapidement mon sexe à l’entrée de son vagin et je rentre doucement dans cet étui chaud. Je ne peux attendre longtemps immobile dans cette caverne d’Ali Baba et commence des va-et-vient, cherchant à chaque fois à rentrer encore plus profond ou bien juste à rester à l’orée de son sexe pour des aller-retour rapides, tout en faisant attention de ne pas sortir de cet étui chaud. Mon amour accompagne le rythme en appuyant sur mes fesses d’une main et en ondulant des hanches.
Je masturbe son clitoris qui est devenu presque aussi dur qu’un noyau de cerise et roule sous mes doigts.
Tout en continuant je lui demande de se caresser elle-même le clito, ses doigts rejoignent les miens. Ses soupirs s’accélèrent, ses gémissements s’intensifient. Je sens mon orgasme venir et à partir de ce moment-là, j’ai du mal à contrôler ce qui va se passer. Ce ne sont plus des gémissements que Nathalie pousse, mais des cris de jouissance, des cris puissants qui se répètent au rythme de mes poussées. De mon côté, je sens ma sève monter et le même orgasme m’envahir. Son orgasme atteint son paroxysme et se prolonge, elle me demande d’aller au plus profond d’elle-même. Je sens ma sève brûlante monter et se déverser dans son sexe. Quel pied !
Nous restons ainsi de longues minutes, l’un dans l’autre. Je me demande toujours comment elle peut rester ainsi avec tout mon poids sur elle, mais elle me demande de prolonger cette union. Combien de temps avons-nous passé ainsi, je ne saurais le dire.
Mon sexe a repris une plus petite taille et ma sève commence à déborder de son vagin, Nathalie s’échappe de mon emprise et trotte jusqu’à la salle de bain pour nettoyer le sperme qui coule de sa chatte.
Après ce moment merveilleux nous nous endormons soudés l’un à l’autre, ses seins contre mon dos et sa main caressant doucement mon sexe.