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Temps de lecture estimé : 10 mn
22/05/12
Résumé:  Je rencontre par hasard une ancienne prof qui me convie à une séance d'essayage particulière.
Critères:  fh fplusag profélève essayage voir fellation nopéné confession -occasion -extraconj -lieuxpubl
Auteur : Seb      Envoi mini-message

Série : Mon ancienne prof

Chapitre 01
Un essayage particulier

Beaucoup de jeunes gens fantasment sur leur professeur. Je n’ai pas fait exception à la règle. J’ai eu au collège une prof d’histoire-géographie qui était une vraie beauté. Marie-Eve, de son prénom, était brune aux yeux marrons. Elle était de taille moyenne pour une femme, avec un cul exceptionnel et des jambes magnifiques. La seule chose qu’on aurait pu lui reprocher était ses petits seins, même si ceux-ci complétaient très bien sa silhouette. Elle portait toujours des tenues relativement sexy mais jamais aguicheuses. Toute la partie masculine de la classe était folle d’elle, et nous étions nombreux penser à elle lors de nos plaisirs solitaires de jeunes puceaux. Et j’avoue que c’est bien la seule chose que j’ai regrettée quand j’ai quitté le collège : ne plus pouvoir passer des heures de cours à la mater en attendant de me branler le soir en pensant à elle !


Heureusement, le hasard m’a permis de la recroiser dix ans après.




Je me balade en centre-ville sans but particulier. Je rentre dans une librairie pour flâner. Alors que je traîne dans les rayons, j’aperçois une magnifique silhouette de femme de dos. Je m’approche et peux voir qu’elle porte un jean bleu ciel, un débardeur noir et est perchée sur de jolis escarpins noirs également. Je me rapproche encore et fais semblant de lire une BD pour pouvoir mater son cul à loisir. Alors qu’elle se retourne, je crois reconnaître mon ancienne prof d’histoire. Je la regarde fixement quelques secondes ce qui me permet d’être sûr. Elle a forcément un petit peu vieilli par rapport à mes souvenirs, mais il s’agit bien d’elle. De nombreux souvenirs me reviennent en tête et alors que je la vois se préparer à sortir, je me décide à l’aborder. Je sors à sa suite et alors qu’elle me tient la porte, je fais mine de la reconnaître.



Elle réfléchit quelques secondes puis se rappelle de moi. Il faut dire que j’étais parmi ses meilleurs élèves, ce qui aide un peu…



Nous nous dirigeons donc vers la terrasse la plus proche pour profiter du soleil. Nous nous installons côte à côte à une petite table et commençons à papoter. Je profite que son attention soit retenue par le serveur pour la regarder à loisir : quel corps magnifique pour une femme d’une quarantaine d’années ! Nous discutons évidemment de ce que je fais maintenant, elle me parle des élèves d’aujourd’hui qui, selon elle, sont moins bons et plus fainéants qu’à mon époque.



Je me demande comment elle va prendre mon allusion. Elle rigole, pose sa main quelques secondes sur la mienne et me sourit :



Elle se tait à ces mots, sentant que la conversation dérape. Nous restons quelques secondes silencieux puis j’enchaîne sur des banalités pour effacer sa gène. Nous discutons encore un petit quart d’heure quand elle regarde sa montre. Je me doute avec regret de ce qu’elle va dire :



Alors qu’elle se lève et se prépare à payer, je la devance en laissant la monnaie sur la table. Elle me sourit et me remercie chaleureusement avec un grand sourire. Je fonds littéralement…



Je me lève et suis ma prof. Nous marchons quelques minutes tout en discutant et arrivons devant le magasin. Je lui ouvre galamment la porte et elle me remercie avec un grand sourire (la galanterie c’est bien, mais j’en profite quand même au passage pour mater son cul…). Rapidement, elle prend les deux robes dans les rayons et nous nous dirigeons dans la cabine d’essayage. Elle rentre dedans et verrouille la porte. Je reste planté devant à attendre qu’elle se change. J’essaie d’imaginer les dessous qu’elle porte et mon esprit se laisse aller, rêvassant à des strings, des soutiens-gorge en dentelle, etc. Mes pensées sont interrompues par le bruit de la porte de la cabine qui se déverrouille. Marie-Ève entrouvre la porte et me fait découvrir sa tenue : elle est vêtue d’une robe mauve assez courte, avec de fines bretelles et un décolleté traditionnel. Elle est assez moulante sur la poitrine et le haut du corps mais va en s’évasant sur les hanches et les cuisses. Je remarque qu’elle ne porte aucun soutien-gorge.



Elle tourne sur elle-même ce qui fait voler le bas de la robe qui découvre un peu plus ses cuisses. Bien entendu, je ne rate pas une miette du spectacle qu’elle m’offre.



Alors qu’elle vient de fermer la porte, elle la rouvre et me tend l’autre robe, une robe noire.



Je me dirige donc vers le rayon et trouve assez rapidement la taille voulue. Quand je vois la robe en présentation sur un mannequin, j’ai encore plus hâte de la voir sur mon ancienne prof ! Alors que je toque à la porte de la cabine, Marie-Ève l’entrouvre, et quelle n’est pas ma surprise quand je la vois uniquement vêtue d’un string blanc, un de ses bras en travers de sa poitrine pour cacher ses seins et l’autre tendu dans ma direction pour attraper la robe que je lui présente. Elle referme rapidement la porte dans un merci mais la vision qu’elle m’a offerte, aussi furtive soit elle, a déclenché une formidable érection dans mon pantalon. Je profite de l’attente pour replacer mon sexe douloureux dans mon jean.


Quand la porte s’ouvre à nouveau, je vois mon ancienne prof vêtue d’une robe noire moulante, pas du tout décolletée mais très courte. En effet, elle ne recouvre que la moitié de ses cuisses. Elle met particulièrement bien en valeur son remarquable fessier, et perchée sur ses talons, je ne peux qu’admirer ses jambes joliment dessinées.



Je rigole avec elle à cette boutade.



Elle rigole de ma surprise et me montre du doigt son string roulé en boule par terre.



Elle referme la porte et j’attends qu’elle se rhabille. Quelques minutes après, elle se présente devant moi à nouveau vêtue de son jean et de son débardeur et me tend quelque chose.



J’attrape une chaîne en or avec une perle. Elle se tourne mais reste dans la cabine et relève ses cheveux pour dégager sa nuque. J’entre derrière elle dans la pièce étroite et passe la chaîne autour de son cou. Quand je l’ai accrochée, elle relâche ses cheveux sur mon visage et se recule précipitamment, collant ses fesses sur mon sexe toujours tendu. Elle reste quelques secondes comme cela puis se retourne et me fixe :



À ces mots, elle pose sa main sur la bosse qui déforme mon jean et me caresse lentement. Je reste interdit, ne sachant que faire, ce qui ne semble pas la contenter.



Je me ressaisis d’un coup. D’une main, j’attrape ses fesses et plaque son bassin contre le mien et de l’autre, je saisis un de ses seins. Malgré son âge, son corps est encore ferme à souhait et c’est un régal de la caresser. Alors que je vais pour sortir son sein de son débardeur, elle se dégage de mon étreinte pour l’enlever et revient aussitôt se coller à moi. Ma bouche plonge immédiatement vers sa poitrine et je goûte ses deux petits seins fermes. Ses tétons pointent fièrement et je m’amuse à les titiller avec ma langue. Elle me laisse faire quelques minutes puis s’agenouille devant moi. Elle défait rapidement mon jean et le fait tomber à mes chevilles. Elle caresse un peu mon sexe tendu qui dépasse de mon boxer puis enlève le dernier bout de tissu qui la gène. Elle me branle lentement tout en me regardant fixement.


Je ne quitte pas ses yeux et mon regard la supplie de me prendre en bouche, ce qu’elle fait. Le premier contact de ses lèvres sur mon sexe déclenche un frisson qui me parcourt tout le corps. Elle effectue quelques va-et-vient avec sa bouche sur ma queue, puis la laisse pour venir jouer avec mes testicules. Je suis complètement sous le charme de cette femme qui me suce comme jamais on ne m’avait sucé. Après avoir agacé mes bourses, elle se contente de petits coups de langue sur mon sexe mais ignore mon gland. Enfin elle me reprend en bouche de la plus belle des manières car elle avale mon membre jusqu’à la base plusieurs fois. Je n’en peux plus de ce traitement et n’ai qu’une envie : la pénétrer ! Je l’attrape par les épaules et la relève face à moi. Elle m’interroge :



Bon, ben si vraiment je ne peux pas la prendre, la compensation n’en est pas moins exceptionnelle ! Elle se remet à hauteur et recommence son divin traitement. Elle effectue des mouvements lents pour me laisser profiter de ce moment magique. Cependant, le plaisir monte de plus en plus en moi et je peine à le retenir. Elle s’en rend bien compte et me murmure :



Je prends cela comme un feu vert à jouir dans sa bouche et attrape sa queue de cheval pour imprimer à sa bouche le rythme que je veux. Elle me laisse faire et moins d’une minute après, dans un grand râle étouffé, je me répands dans sa bouche. Elle continue consciencieusement à me sucer et avale toute la semence que j’ai déversée au fond de son gosier. Elle lèche encore quelques secondes mon sexe qui dégonfle pour le nettoyer puis se relève face à moi.



Elle se baisse pour ramasser son débardeur et remet celui-ci, toujours sans soutien-gorge en dessous. De mon côté, je remonte boxer et jean pour me rhabiller aussi. Une fois prêts, j’entrouvre la porte et, une fois sûr qu’il n’y a personne qui nous voit, nous sortons de la cabine. Je l’accompagne à la caisse mais nous restons silencieux. Toujours sans un mot, je la regarde payer et la suis vers la sortie. Alors qu’elle va pour partir, je l’attrape par le bras :



Je le lui dicte alors qu’elle fait mine de l’enregistrer dans son téléphone.



Elle sort de son sac à main son soutien-gorge et me le tend, en pleine rue !



Satisfait, je me saisis du morceau de dentelle et le fourre dans ma poche.



À ces mots, elle dépose un baiser au coin de mes lèvres et part. Je la regarde s’éloigner, admire une dernière fois son cul si magnifique, et part dans une autre direction en espérant vraiment qu’elle ne m’ait pas menti.


Cela fait maintenant une semaine que j’ai revu Marie-Ève et je n’ai toujours pas de nouvelles. Mais je ne désespère pas de la revoir et tous les soirs, elle est le centre de mes pensées lors de mes plaisirs solitaires. Et il faudra vraiment que je lave son soutien-gorge avant de le lui rendre !