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n° 14987Fiche technique14526 caractères14526
Temps de lecture estimé : 10 mn
22/05/12
Résumé:  Toujours obsédée par mes fantasmes, je franchis un pas certain.
Critères:  f fh hplusag jeunes inconnu cinéma intermast confession
Auteur : Zoé044      Envoi mini-message
J'ai osé au ciné

C’est encore moi, c’est Zoé. Vous vous souvenez peut-être que, dans ma première lettre, je vous confiais que j’avais tendance à beaucoup (trop ?) me masturber et je me demandais si je n’avais pas un problème d’ordre sexuel. Mon cas ne s’est pas arrangé et vous allez finir par me prendre pour une grosse malade.


Entre parenthèses, heureusement que j’ai de meilleures notes à la fac que sur le site. Enfin, on ne peut pas plaire à tout le monde, n’est-ce pas ? Et puis ça me pousse aussi à faire mieux.


Dans cette première lettre, je vous avais aussi dit qu’il y avait plein de trucs que j’avais envie de faire, mais que je n’osais pas trop. Toutes ces vidéos que je regarde ça me donne trop envie, j’ai des tas d’idées, d’images et de scènes qui me trottent dans la tête.


On dit que l’occasion fait le larron, et je viens d’en faire une belle. Comme je m’y attendais, j’ai adoré cette petite expérience plutôt spéciale et super excitante. En fait, c’est pas si compliqué, il suffit de se lancer et d’arrêter de culpabiliser. C’est un peu comme voler dans un magasin ou tricher à un exam’. Avec du culot, ça passe plus facilement. En tout cas, pas de mal à se faire du bien, et la vie est courte.


Bon, je vous raconte car, quand j’ai rédigé ma première lettre, j’ai remarqué que raconter mes petites perversions m’excite vachement. Pour être honnête, j’espère que ça excite aussi les gens qui me lisent parce que ça aussi ça m’excite et je commence à y prendre goût. Et là il faut déjà que je me calme parce que sinon j’y arriverai jamais.


Donc, je vous raconte.


Ça s’est passé dans une salle de cinéma où je suis allée voir un film avec ma copine Charlotte. Ma copine Charlotte est du genre très délurée et il faudra que je vous en parle un de ces jours, elle ose tout cette fille (même avec un prof à la fac… vous voyez le genre). Bref, mercredi la salle était bondée et il ne restait que les mauvaises places dans le fond, quelques sièges au dernier rang. Pas de bol. On a quand même pu s’asseoir ensemble. Il y avait juste un type sur le dernier siège de la rangée, contre le mur.


Je suis passée la première et Charlotte s’est assise à ma gauche. Je me suis donc retrouvée entre Charlotte et ce type. Un mec dans les quarante ans, rien de spécial physiquement. Seulement, au moment où je me suis assise, nos regards se sont croisés et j’ai tout de suite compris que je lui tapais dans l’œil. Il m’a matée de la tête aux pieds, pas discrètement du tout. J’ai l’habitude de susciter la convoitise (gros seins, grosses fesses, ça les intéresse toujours les mecs). En plus, ce jour-là je portais une jolie petite robe à fleurs courte et légère, alors ça a dû lui faire tilt immédiatement. C’est marrant comme certains hommes sont incapables de dissimuler leur vice quand ils vous observent. Ça me fascine toujours ce côté animal qui ne parvient pas à se contrôler (heu… un peu comme moi finalement). C’est plein d’indécence, mais je dois avouer que ça me flatte et je me demande toujours à quoi ils pensent dans leur petite tête.


Pendant les pubs, on a tâtassé avec Charlotte et puis le film a commencé. Seulement je n’étais pas du tout concentrée sur la toile. J’ai tout de suite eu des idées cochonnes en tête. Plongée dans le noir comme je l’étais, je ne pensais qu’au mec assis à ma droite. Enfin, pour être plus précise, je ne pensais pas vraiment au mec, mais plutôt à ce qu’il avait dans son pantalon et j’ai commencé à me faire un scénario.


Il sortait son machin et je le masturbais discrètement… le truc de fou qui n’arrive que dans les films.


Je ne pensais qu’à ça et l’envie de me masturber est devenue insupportable. Comme d’habitude, j’avais déposé mon manteau sur mes genoux et j’ai glissé ma main gauche dessous.


J’avais du mal à respirer et, pour ne pas la tacher, j’ai fait remonter ma robe sur mes cuisses. Ma main gauche était en place et j’ai commencé à me palper les lèvres à travers la culotte. Comme d’habitude. Et vous commencez à le savoir, l’habitude je l’ai. Quand je me lance là-dedans, je sais bien qu’en général je vais jusqu’au bout sinon je deviens un peu zinzin. Il faut que je me soulage. C’est plus fort que moi.


C’était indigne comme je mouillais, ma culotte était déjà trempée. Je raffole de cette sensation. C’est un vrai délice de sentir ma culotte imbibée et de patouiller là-dedans, et c’est encore plus excitant quand je ne suis pas seule (comme dans le bus par exemple).


Charlotte était dans son film, aucun souci de ce côté, mais je sentais que je n’allais pas tenir très longtemps. Alors, avant de conclure, j’ai voulu vérifier que la voie était libre sur ma droite. J’ai jeté un œil discret pour m’assurer que mon voisin était dans son film lui aussi. Et là, surprise, lui c’est pas l’écran qu’il regardait. Ce vicieux était en train de me mater du coin de l’œil. Pris sur le fait, il a aussitôt détourné le regard, comme une petite fouine, et il a fait semblant de regarder le film. Il y a eu un petit moment de gêne. Depuis combien de temps il m’observait comme ça ?


Moi je me suis arrêtée, les doigts un peu crispés sur mon sexe. C’était pénible. Je me demandais s’il était juste en train de me mater les seins ou s’il avait remarqué mon petit manège. J’étais toujours en train de le surveiller quand son regard s’est encore tourné vers moi. Il ne s’attendait pas à croiser le mien à nouveau. On est restés un court instant à se fixer, aussi gênés l’un que l’autre et j’ai baissé les yeux la première. Il faut croire que je devais me sentir coupable de quelque chose. J’étais super embarrassée, mais en même temps ça m’a donné l’idée de le provoquer un petit peu, l’envie d’aller un peu plus loin. J’avais le bras droit sur l’accoudoir et j’ai légèrement abaissé ma main vers son siège.


La tension est montée d’un seul coup, je me suis dit que j’étais complètement cinglée, mais je voulais voir ce qui pouvait se passer. Pourquoi il me matait comme ça ?

Vraiment doucement, j’ai commencé à approcher ma main de sa cuisse en retenant mon souffle. Et puis je suis entrée en contact avec lui. Très légèrement.


Il n’a pas bougé, moi je me gardais bien de regarder dans sa direction, mais j’ai perçu qu’il me regardait du coin de l’œil. Il devait pas en revenir de mon audace, le mec.

Toujours délicatement, d’un doigt, j’ai commencé à frotter son pantalon. L’invitation était très claire et j’ai senti une main se poser sur la mienne.


Gloups… grosse boule dans le ventre. J’ai arrêté de le frotter et du coup je ne savais plus quoi faire. Je lui ai laissé l’initiative, quoi.


J’étais tétanisée. Il a pris ma main et se l’est posée directement sur sa braguette. J’avais le souffle coupé et le cœur qui battait très, très fort, mais j’ai laissé faire. C’était plus du tout un scénario ça. C’était du bien réel, du concret. J’ai senti une grosse bosse gonfler et commencer à palpiter sous ma main droite et ma gorge se serrer. Il s’est mis à presser ma main avec la sienne pour se frotter avec. Hou la la, ça devenait carrément torride. La situation était en train de déraper grave. Inquiète, j’ai jeté un œil sur Charlotte. Toujours dans son film. J’ai hésité, j’ai eu un gros doute. Peur que ça dégénère ou que ça parte en vrille. Je ne savais plus quoi faire, mais en fait il était déjà trop tard pour reculer. Après tout, c’est moi qui avais déclenché les hostilités. Vu où j’en étais, autant continuer et se lancer.


J’ai senti qu’il se déboutonnait, qu’il se la sortait du pantalon et il me la carrément placée dans la main. C’était chaud, épais et raide comme un gros bâton. Je la tenais bien. Trop bon.


Comme je ne bougeais toujours pas, il a posé une main sur la mienne et il accompagné le mouvement. J’ai commencé à le branler doucement, il fallait rester discret. J’ai baissé les yeux vers lui parce que je voulais voir son truc. Malgré l’obscurité j’ai pu constater que c’était quand même une sacrée grosse bite. Waouh, j’avais ça dans la main et une énorme envie de la sucer. C’était dur de résister. Seulement, fallait pas trop y compter parce que, rapport à la discrétion, pour le coup ça devenait bien trop dangereux.


L’idée de l’inviter à me suivre aux toilettes m’a bien traversé l’esprit, mais avec Charlotte à côté c’était impossible. Peut-être que si j’avais été seule…


Alors, je me suis simplement appliquée à bien le branler, tout doucement, le plus silencieusement possible et avec une seule idée en tête : le faire exploser. C’était vraiment ça qui m’obsédait. J’avais l’impression de le tenir à ma merci et trop envie de lui vider ses petits sacs, de l’achever totalement et de sentir du sperme chaud me couler sur la main.


Inévitablement, j’ai recommencé à me tripoter. C’était une situation infernale mais l’excitation était super intense. Masturber un inconnu comme ça, dans une salle de ciné, c’est un truc à vous rendre dingue. C’est vraiment chaud. Théoriquement, je m’en doutais déjà, j’y avais souvent pensé, mais là, j’ai eu la confirmation que c’est exactement le genre de chose qui m’excite à fond parce que j’avais rarement mouillé comme ça et mon cerveau était monté en ébullition.


Porter une robe me facilitait le travail. Je compressais mes grosses lèvres pour m’exciter le clito à travers la culotte. C’était un peu la bouillie là-dedans. Chaque impulsion me rapprochait du plaisir. J’y allais méthodiquement, comme je sais si bien le faire. C’était un coup pour moi, un coup pour lui. Lentement, délicieusement lentement, mais résolument, il n’était plus question que j’arrête. J’ai senti que je n’en avais plus pour longtemps, encore un ou deux coups et j’allais partir. Et ça n’a pas raté. J’ai joui d’une force… incroyable. Tant bien que mal, j’ai réussi à contenir tout ça en me crispant un maximum sous mon manteau pour rester discrète, mais je peux vous garantir qu’à l’intérieur c’était la tornade.


Heureusement que le son est fort au ciné.


Charlotte n’avait rien remarqué et je me suis alors appliquée à terminer mon voisin. Il durcissait de plus en plus, signe que la fin approchait. Je n’ai pas eu besoin d’accélérer le rythme. Il s’est contracté et j’ai senti du sperme tout chaud me couler sur la main. C’était poisseux. Il devait être bien plein parce qu’il en a envoyé un bon paquet, c’était surprenant. Je regrettais de ne pas pouvoir me pencher sur lui pour tout manger, j’en avais une furieuse envie.


Je ne sais pas comment il s’est débrouillé avec ses épanchements et je m’en moque. Au contraire, savoir qu’il avait souillé ses vêtements m’amusait plutôt. Bien fait pour toi, mon petit gars. Moi, sans gêne, je me suis un peu essuyée sur son pantalon et sur le siège en ramenant ma main sur l’accoudoir, lui il a remballé son équipement et ça s’est terminé aussi bêtement que ça.


Physiquement, je me suis sentie soulagée d’avoir joui, mais pas rassasiée car ça tournait encore bien vite dans ma tête. Et puis, psychologiquement, j’appréhendais la façon dont on allait quitter les lieux. Mon voisin ne se manifestait plus, j’espérais l’avoir calmé aussi.


Seulement, dans la minute, j’ai senti Charlotte se pencher vers moi pour me chuchoter quelque chose à l’oreille :



Gloups again… Là, j’étais pétrifiée. Merde, l’odeur… C’était vrai que ça sentait carrément le sexe (et le sperme) et ça ne lui avait pas échappé à Charlotte. Je vous l’ai dit, elle n’est pas née de la dernière pluie. À voix basse, j’ai fait l’innocente en lui répondant que non et en faisant semblant de rester concentrée sur le film. On l’a regardé jusqu’à la fin dans une drôle d’ambiance, assez tendue. Je me suis bien gardée de regarder sur les côtés.


Quand la lumière est enfin revenue et que la salle a commencé à se vider, Charlotte s’est retournée vers moi. Elle avait l’air un peu troublée et j’ai eu l’impression qu’elle cherchait à regarder vers le type. D’un regard insistant je lui ai fait comprendre que je voulais qu’on s’en aille. J’avais envie qu’on dégage vite fait et j’ai évité de tourner les yeux vers mon voisin. On s’est dirigées vers la sortie le plus vite possible. Il n’était pas question que l’autre nous colle de trop près.


Une fois dehors et un peu rassurée, j’ai dit à Charlotte que, pendant le film, mon voisin s’était masturbé et que c’est pour ça que je voulais qu’on dégage vite. Elle était sciée et elle m’a demandé pourquoi je n’avais rien dit, pourquoi j’avais laissé faire. J’ai expliqué que, quand je l’avais vu sortir son engin et commencer à se tripoter, j’avais d’abord été sidérée. Ensuite, j’avais eu peur de faire un scandale ou de sa réaction. Alors je m’étais contentée d’observer discrètement en priant qu’il en finisse le plus vite possible et que, surtout, il n’en fasse pas plus.


On était mortes de rire (nerveusement pour moi !). Charlotte m’a dit qu’elle ne s’était pas trompée, qu’elle avait bien senti une drôle d’odeur et que, à ma place, elle lui aurait peut-être donné un petit coup de main.


J’ai ravalé ma salive en pensant à ce qui s’était vraiment passé.


Du coup, je me demande si je ne devrais pas me confier davantage à Charlotte, vu qu’elle me raconte beaucoup de choses, par exemple son histoire avec ce prof. Moi je me contente d’écouter, ça me fait fantasmer, mais si ça se trouve, on pourrait bien s’amuser toutes les deux.