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n° 14991Fiche technique7114 caractères7114
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Temps de lecture estimé : 6 mn
25/05/12
Résumé:  Je ne savais pas à qui j'avais affaire...
Critères:  h vidéox nopéné confession
Auteur : Hidden Side      Envoi mini-message
Milena

C’est elle qui m’a contacté en premier, sur ma page Facebook. Milena, une vraie bombe – du moins sur les photos qu’elle a bien voulu m’envoyer. Charmante brune aux cheveux courts, un visage parsemé de tâches de rousseurs, un nez mutin, des yeux magnifiques, du même vert que les miens. Et ses mensurations ! 95C au minimum (poitrine non retouchée apparemment), des attaches fines, des jambes fuselées… Bref, un corps de déesse.


On a passé pas mal de temps à chatter (c’est resté très soft), elle voulait tout savoir sur moi, mon enfance, mes parents, si j’avais des frères et sœurs. Qu’est-ce qu’on en avait à foutre, de tout ça ! Pour ne pas effaroucher ma sirène, j’ai quand même répondu à ses questions, lui racontant les détails de ma vie en version « arrangée ». Je n’ai pas pu lui parler de mon père, vu que cette enflure s’était tiré avant ma naissance et n’avait plus jamais donné signe de vie. De mon côté, j’essayais d’en apprendre le plus possible sur elle, à savoir si elle avait un mec, une vie de famille, des gosses. Elle est restée longtemps évasive, mais outre son âge (34 ans – plus vieille que moi, mais j’avais rien contre !), j’ai quand même réussi à savoir qu’elle bossait dans la pub, habitait Paris elle aussi, était mariée et mère d’un petit Mathias.


Un plan sexe avec une maman qui cherche à se décoincer du cul, ça me dérangeait pas plus que ça. Sauf que j’avais tout faux. Milena était plus délurée encore que dans mes rêves les plus fous…


Bizarrement, son visage me semblait familier, comme si je l’avais déjà rencontrée quelque part. C’est elle-même qui a fini par vendre la mèche. Elle m’a confié avoir été mannequin, avant de faire quelques passages dans des films confidentiels… qu’elle n’a pas voulu citer. Le genre d’info qui vous fait tout de suite carburer la boîte à fantasmes ! J’ai balancé les photos de Milena à mes potes, et on s’est tous mis à essayer de la retracer.


C’est Farid, un fan de hardcore, qui a flairé sa piste en premier. Un matin, en ouvrant mes mails, je suis tombé sur un message qui disait :



Juste en dessous, il y avait un lien. J’ai cliqué. C’était une vidéo tout ce qu’il y a de plus salée. Une nana se faisait prendre par deux malabars, tandis qu’un troisième lui enfilait sa queue dans la bouche, jusqu’aux couilles. Quand le mec s’est retiré pour gicler sur la face de l’actrice, je l’ai tout de suite reconnue. Elle avait les cheveux longs à l’époque, et devait tout juste être majeure, mais c’était elle, indiscutablement. Milena, le visage plein de sperme, figé sur un sourire de commande, pendant qu’un gras du bide lui saccageait le cul à grands coups de bite…


Tu m’étonnes, qu’elle ne veuille pas que ça se sache ! Ça m’a fait délirer grave. En plus d’être hyper bien foutue, elle avait joué dans des pornos ! J’en revenais pas, qu’une fille pareille me tombe toute cuite dans les bras. Comment j’allais te la défoncer, la Milena ! Je m’imaginais déjà au pieu avec elle, en train de lui renifler la chatte, lui écarter les lèvres du con, avant de la sodomiser comme un taré, sa mouille plein la gueule, pendant qu’elle beuglerait des inepties…


Petit à petit, j’ai réussi à mettre au grand jour toute sa « filmographie ». Son nom de scène, c’était Kylie Minette. Elle apparaissait dans trois longs métrages amateurs et quelques productions à petit budget. J’ai commandé vite fait tous les DVD que j’ai pu trouver, et là, je me suis branlé à mort devant l’ordi, la matant en boucle se faire mettre par tous les trous. Pendant que j’admirais ses prestations les plus hard, passant mes doigts sur l’écran pour la toucher à distance, on continuait allègrement nos conversations, comme si de rien n’était…


Je n’avais plus qu’une seule idée, l’amadouer pour qu’elle accepte une rencontre IRL, la séduire en douceur, puis la ramener chez moi pour enfin la foutre comme elle le méritait. Quand je me suis lancé, lui proposant de faire connaissance pour de vrai, j’ai halluciné. Elle m’a tout de suite répondu, chaude comme la braise :



On a finalement convenu de se retrouver dès le lendemain, dans un bar place du Tertre. Je bandais comme un malade, riant tout seul devant mon clavier. La vache ! Elle comptait me confier son petit secret, sans savoir que je l’avais déjà deviné !


Après toutes ces nuits à la regarder se faire du bien avec des mâles super membrés et des filles aussi salopes qu’elle, j’allais la baiser à mon tour. Fini de se masturber en solo ; dans quelles heures, ce serait sa bouche que j’aurais autour de la queue. Un instant, j’imaginais même inviter Farid, pour se la faire à deux, bien soumise, les mains attachées dans le dos… Il aurait trop kiffé ! Non, peut-être pas dès la première fois. À la place, j’ai imprimé une douzaine de clichés tirés de ses meilleures scènes, et je les ai glissés dans un emballage cadeau. Allez hop ! Ça la mettrait tout de suite dans le mood.


À l’heure dite, j’étais attablé à la terrasse de mon troquet préféré, ému comme pour un premier rendez-vous. Posé à côté de mon café, un bouquet de violettes. Fallait pas être mufle, non plus. Un quart d’heure plus tard, Milena est arrivée. Très classe dans son tailleur Armani, bien pomponnée et tout, elle faisait plutôt bourge. Mais sous le fond de teint, on devinait la rougeur caractéristique des idées pleines de stupre…


On s’est embrassé – pas sur la bouche, bien sûr (ça, ce serait pour « après »). Ça m’a fait un choc, quand sa joue a touché la mienne, comme si j’avais douté jusqu’à présent que cette fille soit réellement réelle. La douceur de sa peau, la fragrance de son parfum, son souffle dans mes cheveux… Un vrai coup au ventre ! J’ai commandé deux cafés avant de lui offrir mes présents.



Elle n’a pas ouvert tout de suite son paquet, trop occupée à me dévorer des yeux… Tout comme moi, d’ailleurs ! Lorsqu’elle a posé sa petite main fraîche sur la mienne, j’ai bien failli jouir dans mon froc.



Et moi donc !


Puis elle m’a parlé de son vieux, décédé l’an dernier (rien à foutre) , qui sur son lit de mort avait avoué à sa femme l’avoir trompée, (qu’est-ce qu’on s’en branle !) et être devenu, à l’occasion de cette relation adultérine, le père d’un certain Nicolas…



Je suis sûr qu’on a du entendre le « Clonk ! » de ma mâchoire, quand elle est tombée sur la table. Le temps que je retrouve mes esprits, Milena avait commencé à déballer son « cadeau ».



J’ai essayé de lui arracher les photos des mains, mais c’était déjà trop tard. Milena a eu un rire étrange, qui s’est achevé en sanglot. Puis elle s’est levée, m’a tourné le dos et est sortie de ma vie. Aussi brusquement qu’elle y était entrée.


Je ne l’ai plus jamais revue…