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n° 14992Fiche technique14033 caractères14033
Temps de lecture estimé : 9 mn
25/05/12
Résumé:  Un ami d'enfance revient chez moi et on passe un bon moment ensemble.
Critères:  hh hbi copains facial fellation 69 hdanus hsodo aliments -hbi -masth
Auteur : Franck 5  (Franck)
Ami d'enfance

Depuis la vidéo tournée ensemble, je repensais régulièrement à Sylvain. Je suis heureux en mariage, j’aime ma femme mais il me manque cette fougue sexuelle que je ressens à chaque fois avec mon ami d’enfance, cette façon aussi de passer outre les « interdits sociaux » et de sucer un homme en étant moi-même du même sexe et marié. Bref, l’excitation de notre situation est énorme et chacune de nos rencontres provoque en moi une montée d’adrénaline, ne sachant pas si Sylvain aura envie de me toucher, que je le touche ou sera impassible et froid comme il a pu l’être lors de la dernière soirée passée ensemble pour les trente-cinq ans d’un ami.


En effet, nous avions une soirée commune, sans nos femmes respectives, et je m’attendais donc à un bon moment à passer à l’heure du coucher dans la tente que j’avais amenée. Dès le départ, j’ai senti que j’allais devoir me faire plaisir seul car il parlait de dormir dans sa voiture ou dans un lit au premier étage s’il en restait, sachant que les places étaient rares et les sols déjà occupés par les matelas gonflables. J’eus un dernier espoir au petit jour quand tout le monde ou presque était couché et que seules quatre personnes restaient debout, dont Sylvain et moi. Le soleil levé, le sommeil eut raison de ma volonté et je décidai de planter ma tente dans le jardin, demandant discrètement à mon ami si je devais lui garder une place.



Arrivé dans la tente, je me caressai doucement, espérant l’entendre venir et pouvoir sentir son corps contre le mien, son sexe dans ma main et dans ma bouche, mais rien ne vint.


Je me rhabillai rapidement, prétextant une envie pressante pour rentrer dans la maison et voir que tout le monde était couché, aucun espoir d’attouchements ce soir. Je retournai dans la tente et me masturbai assez fortement, m’insérant plusieurs doigts dans l’anus, imaginant qu’il me regardait faire, que ses doigts allaient et venaient en moi. Ma jouissance fut belle et explosive, les jets de sperme atteignant ma bouche et j’avalai le peu de foutre qui avait parcouru cette distance. Le reste de la semence tombée sur mon torse, j’avais envie de l’étaler mais je devais penser au réveil du lendemain et aux trente personnes qui me verraient au lever. J’essuyais le tout méticuleusement avec mon mouchoir.


L’au revoir du lendemain avec Sylvain fut bref mais je sentis une certaine culpabilité dans son regard. Bizarre, il n’avait rien à se reprocher, l’envie n’était pas venue ce soir-là et même si sur le coup je fus déçu de son choix, je comprenais et ne lui en voulais absolument pas.


Quelques semaines plus tard, j’étais à l’anniversaire d’un autre ami, en pleine campagne, feu de joie, musique à fond, bière coulant à flot. Ma femme était allée chez sa mère ce week-end-là, connaissant peu l’hôte de la soirée et les invités. J’aime bien ce genre de soirées durant lesquelles on n’a pas à ressasser pour la énième fois les mêmes souvenirs de soirée et où on peut rencontrer de nouvelles personnes. Je rencontrai à cette occasion Thomas, un garçon super sympa. On discuta une bonne partie de la soirée ensemble, et je commençais à être troublé, sentant l’envie de passer un moment seul dans ma tente avec lui. Ce fut très troublant car ce fut la seule et unique fois que je ressentis cette sensation pour un inconnu et pour un autre homme que Sylvain tout simplement.


Je ne savais pas comment faire pour voir si l’envie était réciproque. Il m’annonça qu’il allait se coucher, il avait la tente à côté de la mienne. Nous sommes allés uriner avant de nous coucher et je pus rapidement voir une bite d’une taille normale, assez belle. Bien qu’éméché, j’avais gardé une certaine timidité et je ne voyais aucun geste de sa part me permettant de savoir s’il voulait essayer de passer un bon moment avec moi. Étant tout au fond du champ, on aurait aisément pu se glisser dans la tente l’un de l’autre sans problème.


Il rentra dans sa tente au moment où je prétendais aller chercher une bouteille d’eau pour la nuit. Lui demandant s’il en voulait une pour lui, il me répondit que tout allait bien et avec un grand sourire me souhaita bonne nuit. Je n’ai pas osé tenter ma chance, j’aurais peut-être dû mais l’appréhension d’une réponse négative, peut-être violente, m’a coupé les jambes. En revenant avec ma bouteille, sa tente était fermée et j’attendis dehors un signe mais rien. Une nouvelle fois, je dus me contenter de ma main pour me branler mais l’excitation était une nouvelle fois énorme et la jouissance impressionnante.


Plus de six mois étaient passés et l’hiver arriva. Je travaille sur le net et à domicile. Je suis seul la plupart du temps et les distractions (notamment les vidéos X) sont nombreuses et, sans un travail urgent, il arrive que je n’arrive pas à travailler ! Bref, je reçus un après-midi un appel de Sylvain :



Ce coup de fil me mit dans un état d’excitation pas possible, je bandais au téléphone, j’avais envie de lui dire « Vendredi, je te sucerai comme une pute, je te viderai les couilles dans ma bouche, dans mon cul, je ferai tout ce que tu voudras ! » Le pouvoir d’attraction de ce garçon sur moi m’a toujours surpris mais je ne peux pas le contrôler ! Je me branlai deux fois cet après-midi, me caressant l’anus sans le pénétrer, les tétons, tout le corps, nu sur mon lit, imaginant la douceur de la peau de son pénis dans ma main, sur mon ventre, dans mon cul. Je le voyais agitant son vit au-dessus de mon visage, moi me jetant dessus. Bref, je me faisais des films et dès la deuxième jouissance venue, je me calmai sous la douche et pensai à la dernière soirée. « Ne te fais pas de film, tu risques d’être déçu. »


Le vendredi matin je me suis masturbé deux fois, rapidement, imaginant un scénario très hot et me disant que ce n’était qu’un fantasme. Bref, j’avais les couilles vidées et la bite propre après la douche quand il arriva. Les retrouvailles furent celles de deux amis n’ayant jamais eu de relations intimes, on discutait de nos familles, des enfants, des potes, etc. On mangeait en rigolant, bref un super moment et je sentais que j’avais bien fait de ne pas me faire de film car rien ne se passerait.



Je ne savais pas comment réagir et je mis quelques secondes avant de me rendre compte que j’allais finalement avoir un moment sympa. Je me levai, fis le tour de la table, me dirigeai vers le canapé et m’assis à côté de lui. Sans rien dire je caressai son sexe à travers son caleçon. Je sortis l’engin et enlevai le bout de tissu devenu inutile. Sylvain souleva les fesses pour m’aider. Je commençai à le masturber doucement.



J’allai dans le frigo, pris un yaourt et revins. J’ouvris l’opercule et étalai un peu de yaourt sur son gland. Je léchai le yaourt, à genoux devant lui, le regardant dans les yeux. J’avais envie de l’exciter, de le rendre fou. Je recommençai le manège plusieurs fois jusqu’à finir le yaourt.



J’engloutis immédiatement sa queue dans ma bouche et je m’appliquai à aller doucement, titillant son gland de ma langue, alternant gorge profonde et aspiration de son gland. Je léchai sa bite comme une glace. Je me levai et me mis nu, je bandais comme un fou, ma queue en était presque douloureuse. Je me mis à genoux sur le canapé à ses côtés et continuai à le pomper. Il commença à souffler, à gémir :



Je commençai à me caresser l’anus, discrètement, et je sentis monter le désir d’être rempli. Ma bite palpitait sans que je la touche et je sentais un côté chienne qui montait.



Arrivé sur le lit, je m’allongeai, il vint perpendiculairement et me remit sa queue dans la bouche. J’écartai les jambes et il me caressa les couilles. Il vint remplacer ma main par la sienne, il prit mon sexe et commença à me masturber lentement. Je me caressai l’anus et je me mis un doigt. On est restés un moment comme ça, puis je lui ai demandé de s’allonger. Je l’enjambai et me mis en position pour m’asseoir sur son membre dur et huilé par ma salive. Je présentai son gland à l’entrée de mon antre et m’attendis à une plainte ou à ce qu’il arrête mais rien. Je m’assis sur son vit, son gland entra et je ne ressentis aucune douleur, seulement une chaleur bienfaisante. J’avais maintenant sa queue entière en moi, je le regardais dans les yeux. Pour la première fois, j’avais une vraie bite en moi et pas mes doigts.



Il m’attrapa les fesses, me souleva un petit peu et commença à accélérer le rythme, me pilonnant de plus en plus vite.



Je me relevai et le suppliai presque de me prendre à quatre pattes. Je me suis toujours dit que cette position me ferait sentir plus salope ! Il revint rapidement en moi et cette position m’offrit des sensations incroyables, il était doux, changeant de rythme, me disant qu’il aimait mon cul.



Il me fit mettre à genoux sur le lit, lui debout et je le pompai, le branlai pendant une petite minute avant de recevoir son jus sur le visage, dans la bouche et je nettoyai son sexe avec ma langue.



Je m’allongeai, il prit ma bite en main, me masturbant lentement, il lécha mes tétons, puis descendit me sucer quelques secondes et je lui dis que j’allais venir. Il me lâcha la queue, s’allongea et me dit :



Il me suça encore, nous étions en 69 mais seul lui suçait et me léchait les couilles, puis il me mit un doigt qu’il fit aller et venir de plus en plus vite et je ne pus me retenir, je le prévins et il me branla pour faire sortir mon foutre qui s’étala sur son torse, son pubis et entre ses jambes écartées.


Après de longues minutes de repos, je repris son sexe en main pour le masturber lentement, puis il descendit et me suça doucement, caressant mes testicules avec tendresse. Il approcha sa main de mon anus et entra sans difficulté un doigt qu’il fit aller et venir. Cela me faisait un bien fou. Il se mit à genoux entre mes jambes et arrêta de me sucer pour uniquement jouer avec son doigt. Il approcha son sexe et me pénétra à nouveau en me regardant dans les yeux.



Et il commença des va-et-vient lents, me léchant les tétons, me masturbant doucement, un vrai moment de douceur qui m’amena près de la jouissance. Je me retirai et me mis à quatre pattes. Il remit son sexe dans mon cul sans attendre et accéléra le rythme, je sentais ses couilles frapper contre les miennes, son gland taper dans ma prostate et je jouis sans me toucher, tombant à plat ventre, terrassé par l’extase. Il finit par me remplir de son foutre chaud après quelques minutes de baise intense cette fois.



Après une douche agrémentée d’une bonne pipe chacun, il repartit et nous avons échangé quelques mails depuis mais il ne repasse pas par chez moi avant quelques mois. J’ai hâte qu’il revienne !