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n° 14994Fiche technique45352 caractères45352
Temps de lecture estimé : 26 mn
27/05/12
Résumé:  Deux jeunes femmes choisissent un homme pour passer une bonne soirée qui clotûre une bonne journée.
Critères:  ffh hplusag médical voyage voiture amour fellation fgode pénétratio fsodo hdanus -hplusag -h+medical -hff
Auteur : Starpom      Envoi mini-message
Jolies voitures et jolies femmes

Tout est arrivé grâce à une tendinite. J’avais pris rendez-vous chez mon docteur à cause d’une tendinite assez pénible au coude du bras droit.



J’attendais donc avec impatience le rendez-vous, tout en ménageant au maximum mon bras droit. Je connaissais depuis de nombreuses années mon docteur, Jean Agagne. Il me suivait depuis… une vingtaine d’années. L’avantage avec les médecins de famille, c’est qu’il n’est nul besoin de raconter sa vie, ils connaissent l’antériorité de vos soucis, et un climat de confiance est installé depuis longtemps. Aussi ai-je eu la surprise d’être accueilli par une jeune femme d’une petite trentaine d’années, très sympathique, avenante et, ma foi, plutôt attirante. Cheveux courts, yeux marron, 1,70 m environ, avec des formes très féminines et surtout, un magnifique sourire.



Je m’exécutai, et elle commença à me manipuler.



Elle me manipulait la jambe. Elle s’était assise sur la table et était penchée en avant, je voyais la naissance d’un de ses seins, qui semblait magnifique. Un peu lourd, comme j’aime. Pas à dire, une jolie femme. Hélas, peut-être un peu jeune pour moi, vu que j’ai 50 ans même si je ne les fais pas, paraît-il…



Pendant que je me rhabillais, elle a noté sur ma fiche son intervention.



On a échangé nos numéros, hop dans les contacts.



Donc sa copine s’appelle Amélie.



Je lui tends un billet de 50 €.



Elle m’a tendu la joue, et on s’est fait la bise pour se dire au revoir. Elle sentait bon en plus. Vraiment, très agréable, ma toubib.


Le jeudi soir, 21 h 00, mon portable a sonné. C’était Nathalie.



Aïe, net durcissement dans mon pantalon, cette conversation devenait intéressante…



Soit je me faisais des idées, soit je venais de me faire allumer gravement… bon, pourquoi pas, j’avoue que l’idée d’avoir Nathalie nue dans mes bras me plaisait beaucoup. Mais ne rêvons pas… Vingt ans d’écart, et elle n’aura aucun souci pour trouver un copain de son âge… mais rêver c’est agréable aussi. Allez zou, tentons la chance…


Le samedi, je nettoyais de fond en comble la Jaguar. Aspirateur, produit moquette, produit cuir, produit jantes alu, produit carrosserie… quatre heures de nettoyage intense, et au final, une voiture comme neuve. J’ai même nettoyé les pneus pour qu’ils soient « noir brillant ». Elle rutilait. Tout fonctionnait à la perfection. Pourtant, elle avait déjà 250 000 km, mais le moteur tournait comme une montre suisse.


Le dimanche matin, à 7 h 45 j’étais en double file devant l’entrée du cabinet. J’avais fait un rêve plus qu’érotique cette nuit où je prenais Nathalie dans la Jaguar, sur la banquette arrière… Quel dommage que ce ne fût qu’un rêve… À tout hasard, j’ai emporté des préservatifs. Après tout, être optimiste, ça ne mange pas de pain…


À 8 h 00, je vois Nathalie arriver avec sa copine Amélie. Effectivement… Amélie "déchire"… Une jolie brune aux cheveux longs, fine, vraiment très jolie, petite poitrine et petites fesses, mais très agréable à regarder. J’allais avoir deux jolies filles avec moi aujourd’hui, mon égo de mâle allait être comblé. Je descendis de la Jaguar et leur fis signe.



On se fit la bise. Elle était toute fraîche, toute douce, elle sentait le parfum… un vrai bonheur.



Re-bisous. Amélie aussi sentait bon, était toute douce, une vraie fleur de printemps.



Amélie ouvrit les portes, regarda dans la voiture de partout. Penchée en avant, elle mettait en valeur ses fesses qui, bien que fines, étaient tout à fait attirantes… Nathalie me donna un coup de poing dans l’épaule.



Nathalie souriait. Manifestement, mon regard sur les fesses de sa copine la faisait rigoler. C’était plutôt encourageant…



Le trajet fut très agréable, nous avons discuté de tout et de rien, on a bien rigolé tous ensemble. Elles avaient toutes les deux de l’humour, et étaient très directes lorsque la conversation s’orientait occasionnellement vers le sexe.


Arrivés à destination, nous ne sommes pas passé inaperçus. Déjà, la voiture, et puis, surtout pour la gent masculine, mes deux copines. Je n’ai jamais eu autant de succès sur une manifestation, mais je savais que ce n’est pas dû à ma voiture qui, bien que magnifique, n’a pas le cachet d’une vieille américaine ou d’un monstre de puissance comme on peut en voir de-ci de-là.


Vers 15 h 00, Nathalie est venue me voir, alors que j’étais en pleine conversation avec le propriétaire d’une magnifique AC Cobra.



Nathalie m’a pris la main et m’a entrainé un peu à l’écart.



Elle me coupe la parole :



Elle m’a pris la tête dans ses mains et m’a roulé une pelle d’anthologie. Nos langues se sont caressées, mélangées, taquinées… elle me serrait fort. J’en ai profité pour lui caresser le dos et les fesses, qu’elle avait bien fermes aussi… La soirée promettait d’être sympa.



Amélie était en pleine discussion avec la femme du propriétaire d’une Bentley lorsque Nathalie l’a rejointe. Elle l’a attrapée, l’a tirée à l’écart et lui a parlé avec animation. Amélie s’est tournée vers moi, m’a souri et fait un petit signe de la main. Puis, toutes les deux sont revenues vers moi.



Tu m’étonnes, vu la teneur de la conversation et le fait d’avoir pris dans mes bras Nathalie… J’avais effectivement une érection assez conséquente… Elle n’y allait pas par quatre chemins, la miss !



En disant cela, elle m’a plaqué une main sur mon sexe, et a serré un peu. J’ai cru que j’allais jouir sur place !



Manifestement, Amélie avait un caractère plus fonceur que Nathalie, et elle avait hâte de faire l’amour…



Quelques minutes plus tard, contact, démarrage, direction chez Nathalie. Amélie était déchainée…



Mon sexe n’en pouvait plus d’être dur, ça devenait presque douloureux. J’aurais bien proposé à Amélie, qui se trouvait sur le siège passager avant au retour, de me soulager en me suçant ou en me branlant, mais je préférais les laisser dans leurs délires, vu qu’elles semblaient apprécier que je ne fasse pas d’avances ou de réflexions…



Je prends la bretelle de sortie pour l’aire de repos, et gare la Jag à l’ombre. Coup de pot, pas de voitures garées à côté. Amélie et moi nous descendîmes. Je montai à l’arrière, au milieu. Amélie à ma droite, Nathalie à ma gauche. À peine la portière fermée, Amélie se rua sur moi et s’installa à califourchon. Mon sexe était écrasé par le sien, et elle m’embrassa à pleine bouche tout en frottant son bas-ventre sur le mien. Je lui caressai le dos, les fesses, puis je glissai une main entre nous pour lui caresser un sein. Je sentis la pointe toute dure à travers son t-shirt.



Amélie me serra plus fort, puis se rassit à sa place. J’en pouvais plus, mon sexe n’avait jamais été aussi dur… Nathalie se pencha sur moi, et nous nous embrassâmes très tendrement. Effectivement, deux caractères bien différents. J’en profitai pour caresser les seins de Nathalie, bien plus gros que ceux d’Amélie, et plus moelleux. Notre baiser continua, c’était un bonheur total. Soudain, je sentis une main se poser sur mon pantalon, et qui commença à défaire ma ceinture. Nath continuait à m’embrasser… Je glissai mon bras gauche entre elle et le dossier, et lui empoignai les fesses. Je dois avouer, ses fesses m’attirent… Et comme Amélie a dit qu’elle aimait être prise par là… La main, qui se trouva être celle d’Amélie, défit ensuite les boutons de mon pantalon. Elle arriva à sortir mon sexe du caleçon, et commença à me branler. C’était divin.



Nathalie interrompit notre baiser, et regarda mon sexe. Ensuite, elle me regarda en souriant.



Et Nathalie, délicatement, prit mon sexe dans sa bouche et commença à me sucer tout en douceur… C’est vrai qu’à côté d’Amélie, c’était un havre de douceur… Je caressai ses cheveux, qui sont tout doux, soyeux… Amélie en profita pour m’attraper la tête, la tirer vers elle et plaquer ma bouche contre sa sienne. Nous nous embrassâmes à nouveau presque brutalement. Elle fouilla ma bouche avec sa langue. C’est vrai qu’elle était très masculine dans son comportement ; elle me prit d’assaut. La combinaison de la douceur de la bouche de Nathalie sur mon sexe et de la vigueur d’Amélie qui m’embrassait était divine… je risquais de ne pas résister longtemps…



Nathalie se releva en souriant. Elle avait les yeux brillants, elle était divinement belle… Je l’embrassai à nouveau. Amélie prit mon sexe dans sa bouche et commença à me sucer rapidement. Quelle différence entre les deux, c’est impressionnant…



Elle releva la tête…



Amélie reprit là où elle en était, et Nathalie et moi nous embrassions encore. Je glissai une main sous son t-shirt et je défis l’agrafe de son soutien-gorge. Ensuite, je lui empoignai les seins après avoir abaissé les bonnets. Ses seins étaient tout simplement divins… Je les malaxai, excitai les pointes. Nathalie sembla apprécier. Enfin, n’en pouvant plus, j’éjaculai sous les caresses buccales d’Amélie… Amélie continua à me sucer, je me vidai complètement dans sa bouche. Elle avala tout et me lava avec sa langue.



Je sortis de la voiture, passai devant et démarrai. Direction le cabinet de Nathalie. Dans le rétro, je vis Nath et Amélie s’embrasser et se caresser. Amélie a la main dans le pantalon de Nathalie, qui halète… Je ferais mieux de regarder la route, je venais de faire un écart… Pas facile de conduire dans ces conditions-là… Enfin, après une bonne heure de route, nous arrivions devant le cabinet médical.



Nath et Amélie montèrent dans la Clio. Je les suivis. Quelques minutes plus tard, coup de chance, je trouvai une place suffisamment longue pour ma voiture devant l’immeuble. Nous entrâmes chez Nathalie. C’était très sympa, comme appartement. Meublé avec goût. Un chat me sauta dessus et commença à ronronner…



Amélie nous laissa dans le salon.



Je la pris dans mes bras et l’embrassai tendrement. On se regarda les yeux dans les yeux, nos yeux souriaient… Elle s’écarta de moi…



Amélie venait de revenir dans le salon, toute nue, les cheveux mouillés. Elle était vraiment belle…



En rigolant, Nathalie se dirigea vers la salle de bain. Je bus mon whisky coca bien frais, ça faisait du bien… Amélie se servit un Martini blanc.



Nathalie venait de nous rejoindre, toute nue elle aussi. Elle était magnifique ! Très féminine, une toison assez fournie, contrairement à Amélie qui elle, est peu fournie. Elle a de magnifiques seins, une chute de rein magique… Deux beautés radicalement différentes !



Je rentrai dans la salle de bain. Elle est déjà pleine de vapeur d’eau. Nath m’avait préparé une grande serviette ; j’apprécie le geste. Je me déshabillai rapidement, et entrai dans la cabine de douche. Je me savonnais soigneusement. J’entendis quelqu’un rentrer dans la salle de bain. C’est Nathalie.



Je sortis de la douche, m’essuyant soigneusement. Je pris le demi-comprimé, et l’avalai vaillamment. Ensuite, je les rejoignis dans le salon. Elles étaient assises dans le canapé, un verre à la main. Amélie est assise en tailleur, on voyait distinctement sa chatte ouverte. Mon sexe commença à reprendre de la vigueur. Nathalie, elle, est assise les jambes serrées, de biais. Cette position mettait en valeur ses fesses, ses magnifiques fesses. Je ne sus pas trop où me mettre… Au final, je m’assis entre les deux filles. J’étendis les bras, et les pris par les épaules toutes les deux, et les serrai contre moi.



En me posant la question, elle a pris mon sexe dans sa main et a commencé à me masturber doucement, lentement, presque amoureusement…



Amélie s’est levée du canapé, et s’est assise dans le fauteuil qui faisait face. Elle s’est à nouveau mise en tailleur, et a commencé à se masturber. J’ai pris Nathalie dans mes bras, et l’ai embrassée. Sa bouche avait la saveur d’un fruit rouge. Elle n’était que douceur, tendresse, volupté. Je lui caressai son corps doucement. Sa peau était d’une douceur infinie.

Je l’ai allongée sur le sofa et suis venu sur elle. Tout naturellement, mon sexe est entré dans son ventre. Nathalie était trempée, il n’y eu aucune résistance. Je commençai mes va-et-vient, et Nath gémit doucement. Je lui embrassai les seins, elle me serra les hanches et me tira en elle. C’était divin. J’étais en train de tomber amoureux, nous étions à l’unisson.



À force, je sentis la jouissance qui arrivait…



Nathalie venait de jouir… Je n’arrivais plus à me retenir. J’allais sortir de son ventre, lorsqu’elle croisa ses jambes derrière mes reins pour me retenir.



Elle prit ma tête dans ses mains, et m’embrassa langoureusement. Sa langue jouait avec la mienne. Évidemment, je jouis en elle, longuement… Enfin, je sortis de son sexe. Bizarrement, je bandais encore… Nathalie me sourit.



Elle m’embrassa encore une fois…



Amélie se leva du fauteuil.



Nathalie m’attrapa la tête et me chuchota à l’oreille :



Et elle me fit encore un baiser sur ma bouche.



Je me levai, regardai Nath en souriant, puis je me retournai vers Amélie. Je l’attrapai par le poignet.



Je lui plaquai ma bouche sur la sienne et lui envahis la bouche de ma langue. Ma main lui agrippa les fesses et les malaxa. Ensuite, je la serrai fortement contre moi. Mon sexe était coincé contre son ventre. J’écartai ses fesses et lui massai son petit trou avec mon doigt.



Je la pris par les épaules, lui fit faire demi-tour, et l’ai poussée sur le fauteuil. Elle s’installa comme je lui avais demandé, à quatre pattes, les fesses vers moi.



Je masturbai Amélie tout en lui appuyant sur le dos, pour qu’elle se cambre. Son sexe était humide. J’enfonçai un doigt, puis deux. C’était un peu serré, mais Amélie mouillait de plus en plus. Je me positionnai derrière elle, présentant mon sexe devant sa chatte, et la pénétrai d’une seule poussée. C’était serré, beaucoup plus que Nathalie. Je commençai à lui faire l’amour, tout en lui massant les seins. Je m’enfonçai le plus loin possible…



La vision de mon sexe profondément enfoncé dans le sexe d’Amélie, de son dos, de ses cuisses, était magnifique. Je faisais des mouvements amples, de plus en plus rapides. Amélie commença à gémir. À ce moment-là, Nathalie me tapa sur l’épaule. Je tournai la tête. Elle me tendit un flacon de lubrifiant.



Je pris le flacon, versai un peu d’huile sur mes doigts, et commençai à lui préparer l’anus. J’enduisis soigneusement les pourtours, puis, après avoir remis de l’huile, lui enfonçai un doigt, de plus en plus profondément. Je recommençai la manœuvre plusieurs fois, pour bien lui lubrifier l’intérieur de ses fesses. Nathalie me caressait la nuque pendant ce temps-là, puis me massait le dos, le bras… C’était agréable… Elle m’embrassait aussi dans le cou… Elle me parla à nouveau à l’oreille…



Je sortis du ventre d’Amélie, et présentait mon sexe devant ses fesses. Elle se cambra. J’appuyai doucement. Mon sexe commença à rentrer en elle. Elle souffla…



Nathalie me caressait les fesses en me disant ces mots doux. Je sentis un de ses doigts caresser ma rondelle, tout doucement… Enfin, j’étais complètement enfoncé dans les fesses d’Amélie.



Je commençai mes allers-retours dans les reins d’Amélie. Manifestement, elle prenait son pied. Elle avait mis sa main sur sa chatte et se masturbait furieusement. Le doigt de Nathalie venait de s’enfoncer dans mes fesses… J’allai de plus en plus vite, et je sentis la jouissance arriver à nouveau… Mon ventre claquait contre ses fesses… Nathalie amplifia le mouvement avec sa main posée sur mes fesses, son doigt faisait des va-et-vient dans mes reins. Nathalie me parla doucement…



Amélie venait de jouir avec un vocabulaire guère poétique… À mon tour, j’éjaculai dans ses reins.



Après m’être complètement vidé, je ressortis mon sexe des fesses d’Amélie.



Je la pris dans mes bras et l’embrassai.



Tout en lui disant ça, je lui caressai les fesses et, à mon tour, lui enfonçai mon majeur dans ses fesses, tout doucement.



On s’est regardé et on a souri en même temps. Puis on s’est encore embrassés. Retour sous la douche, savonnage soigneux de mon sexe. Incroyable, je bandais encore… Il faudra qu’elle me donne la marque du comprimé, c’est terrible ce truc-là. Séchage, retour dans le salon. Les filles étaient attablées devant une pizza géante.



Elle me servit une part immense. C’est vrai que j’avais faim, en fait. La part ne fit pas un pli…



Nathalie m’a pris la main. Nous nous sommes assis sur le canapé.



Elle s’est mise d’elle-même à quatre pattes.



Je lui ai embrassé les fesses, caressé son sexe, son clitoris… Ensuite, je l’ai soigneusement préparée et lubrifiée, puis pénétrée tout doucement. Je lui ai fait l’amour longuement, lentement, doucement, elle gémissait… Je lui tenais les seins pour ne pas qu’ils ballottent de trop. Mon sexe rentrait complètement en elle, mon ventre s’appuyait contre ses fesses. Je ne pouvais pas aller plus loin. Son sexe coulait littéralement. Mes doigts qui la masturbaient étaient trempés. Encore une fois, nous avons joui presque en même temps. Je me déversai en elle longuement.


Amélie venait aussi de jouir, le god enfoncé dans sa chatte. Elle avait les jambes complètement écartées et elle se pinçait les seins en même temps. Nous nous sommes regardés. Elle m’a souri, et avec ses doigts, a dessiné un cœur dans l’espace, puis montré sa copine. Ensuite, elle m’a envoyé un baiser, et a articulé silencieusement : "Elle t’aime."


Elle avait raison.

Trois mois plus tard, nous avons emménagé ensemble et mis un bébé en route. Bizarrement, plus question de "culbuter" Amélie ou de faire des soirées à plusieurs. Ceci étant, Nathalie me suffisait amplement…


Elle avait racheté le cabinet de mon ancien toubib, et s’était prise de passion pour les voitures de collection. On avait même déniché une petite Morgan pour elle, qu’elle bichonnait soigneusement.


Comme quoi, une bonne tendinite, des fois…