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Temps de lecture estimé : 12 mn
27/05/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  Désormais à la tête d'une armée, l'ancienne esclave Delilah Desire s'apprête à conquérir le royaume...
Critères:  religion nympho bizarre fdomine fellation pénétratio fantastiqu -fantastiq
Auteur : Talaff      

Série : Delilah Desire

Chapitre 04 / 06
Delilah Desire : une bataille

Résumé des chapitres précédents : Delilah Desire, ancienne esclave sexuelle du démon Nargulh, a brisé ses chaînes et s’est enfuie. Désormais à la tête d’une armée de hors-la-loi et de parias, elle a décidé de mener une guerre contre son ancien maître, afin de prendre sa place sur l’échiquier politique du royaume. Armée d’une épée magique et épaulée par Koloss, un démon aussi gigantesque que puissant, Delilah décide de tester ses forces en s’attaquant à une ville voisine…




Chapitre 6

Une bataille

Koloss bondit en avant et écrasa de toute sa masse cinq soldats en même temps, tel un char de guerre vivant. Il rugit, sa peau noire comme une ombre, désormais rouge sang, et faucha de ses griffes un sixième garde qui essayait de fuir.


L’armée d’Erolt était en déroute, et celle de Delilah, bientôt victorieuse.


Les cadavres recouvraient le champ de bataille, une plaine brumeuse d’un kilomètre de long qui servait de défense entre la ville d’Erolt et le reste du duché de l’Ouest. Il faisait froid, ce matin-là, mais les soldats de Delilah bouillonnaient de fureur, et de la joie de tuer… Et de gagner.


À l’arrière de l’armée de Delilah, plus loin des murailles entourant la ville, cinq jeunes femmes, armées d’épées courbées et de lances mais presque nues à l’exception d’un long pagne rouge et d’une bande de tissu sur la poitrine, se battaient en silence, chacun de leur geste ressemblant au pas d’une danse parfaitement maîtrisée. Les coups étaient portés pour tuer, à la gorge, au visage, au cœur. À chacun des mouvements de ces furies meurtrières, un soldat d’Erolt tombait.


Trente mètres plus loin, debout sur une pile de cadavres, Delilah Desire souriait. Ses cinq élèves, ses tueuses, sa garde rapprochée… Elle les avait bien éduquées, depuis que toutes avaient fui Nargulh…


Delilah était en retrait de la bataille et admirait son armée gagner. Un léger orgasme de joie faisait palpiter son sexe. Elle était entièrement nue à l’exception d’une cape pourpre grande ouverte, et son corps était couvert de peintures de guerre, souvenirs de sa tribu d’enfance, que l’une de ses tueuses lui avait dessinées avec le sang des premiers ennemis anéantis. L’odeur métallique du sang de ses proies coulant sur sa peau ne faisait que renforcer le bouillonnement entre ses jambes.


Trois cavaliers d’élite d’Erolt contournèrent la bataille, et dirigèrent leurs chevaux blancs vers la maîtresse de guerre et l’homme qui l’accompagnait. Ils se tournèrent vers ces nouvelles menaces, qui approchaient en hurlant.



Le coin des lèvres de Delilah se haussa de quelques centimètres, en un début de sourire, et elle leva l’arme qu’elle tenait dans sa main droite. Une épée brillante, à la lame fine et légère. Au centre du métal, à peine visible, une longue fiole de verre avait été soudée dans l’arme, et à l’intérieur de celle-ci circulait le courant magique qui, depuis la main de la jeune femme, pulsait dans l’épée.


Son épée. Son arme. Celle forgée par l’homme à ses côtés : Lacker.


Delilah en pointa la lame vers les trois cavaliers, et caressa la garde de l’épée, en argent massif gravé de runes, comme le lui avait montré Lacker. Un éclair noir jaillit de l’arme, et chevaux comme cavaliers noircirent, puis se transformèrent en flammes. Leurs hurlements redoublèrent, mais il ne s’agissait plus de fureur guerrière. Juste de souffrance. Lorsqu’ils arrivèrent à hauteur de Delilah et Lacker, ils n’étaient plus que des cendres.


Comme une petite fille, Delilah sautilla sur place en riant, ce qui fit rebondir sa poitrine infernale et gonfler le sexe de Lacker, qui ne perdait pas une miette du spectacle. Delilah leva son épée haut vers le ciel gris, et un autre éclair noir en jaillit, dispersant les nuages au-dessus de sa tête. Elle rit à nouveau. L’intérieur de ses cuisses était désormais luisant de mouille.



La maîtresse de guerre regarda l’homme avec gratitude.



Lacker hocha la tête en souriant. Cette fille… Une démone dans un corps d’ange, ou le contraire. Il allait bien s’amuser, s’il restait à ses côtés, il le sentait !


Bientôt, l’armée d’Erolt fut entièrement décimée, et ne restèrent plus que les archers qui, du haut des murailles, protégeaient encore l’intérieur de la ville fortifiée. Koloss, le gigantesque démon Krah et, outre Delilah la toute-puissante, le meilleur atout de l’armée de la jeune femme, fonça tel un bélier dans la lourde porte de bois qui séparait encore Delilah de la victoire totale sur Erolt.


Les cinq tueuses de la maîtresse de guerre amenèrent un grand cheval noir à celle qu’elles considéraient comme leur déesse. Elles se refusaient toujours à la regarder dans les yeux, même lorsqu’elles étaient invitées au dernier étage de la tour blanche pour jouir et faire jouir. Delilah monta sur son destrier, qui frémit de plaisir lorsque les fesses de la jeune femme se posèrent sur ses poils. Puis elle l’envoya au galop droit en avant, vers les portes de la ville.


Les flèches fondirent sur elle, mais elle brandit son épée sans ciller, et un bouclier d’énergie sombre, presque noire, se forma devant elle, transformant son galop en flèche d’ombre invincible. Koloss s’écarta au dernier moment, et le cheval de Delilah fonça sans hésiter dans la porte, qui explosa.


Ils étaient dans la ville.


Derrière leur maîtresse, tous les soldats entrèrent, portant haut les étendards représentant le blason de Delilah Desire, et sonnant les cors de guerre aussi fort que possible. Ils tuèrent les derniers soldats, mirent feu à plusieurs casernes, exécutèrent sommairement des dizaines de civils. Delilah adorait le spectacle. Mais elle avait à faire.


Elle continua son galop jusqu’au centre de la ville. Jusqu’à l’immense temple de marbre blanc d’où le prince de cette ville gouvernait son peuple et honorait Déa, la déesse du bien qui régnait sur le monde de Doniri.


Erolt était une ville indépendante, construite dans le duché de Néron, le nécromant. Des quatre Hauts Ducs, Néron était probablement celui qui appréciait le moins Déa et ceux qui la priaient. Même Nargulh craignait la déesse… Mais Néron était un magicien impie, un monstre humain. Et Delilah était certaine que jamais le Haut Duc ne planifierait de représailles contre elle pour avoir écrasé cette ville de croyants idiots et stupidement « bons ».


Elle descendit de son cheval et, seule, monta calmement les immenses marches qui menaient au temple, ondulant des fesses et des hanches à chaque pas. Autour d’elle crépitaient sa magie et son aura sexuelle. Les portes du temple étaient ouvertes, mais l’intérieur plongé dans la pénombre. Son épée toujours à la main, Delilah entra sans peur.


L’air était épais, froid, et depuis les dizaines de vitraux qui décoraient les immenses murs, des touches de lumières colorées dansaient sur le sol. Face à Delilah, une statue de Déa en marbre blanc. Une femme blonde, toujours souriante, dans une robe longue et simple. À peu près trente fois moins de poitrine que Delilah, nota la maîtresse de guerre avec un mépris amusé.


Et entre Delilah et la statue de Déa, dix gardes en armure, et le prince d’Erolt.


D’un tranchant de son épée dans l’air, Delilah envoya les gardes s’écraser contre les murs. Derrière elle, par la porte ouverte, elle entendait le massacre de ses hommes dans la ville. Son sexe n’arrêtait pas d’exploser, orgasme après orgasme. Elle avança vers le prince en se frottant les cuisses l’une contre l’autre.



Le prince était presque un vieillard, et c’est en tremblant qu’il recula jusqu’à la statue. Delilah avança lentement vers lui, sa lame brillant d’une lumière lugubre.



À court de solution, il se jeta en avant, brandissant devant lui une croix en ivoire, symbole de Déa. Delilah lui attrapa le poignet, le brisa dans un cri de douleur, et prit le crucifix des doigts tordus du vieux prince. Elle caressa l’ivoire de ses doigts, sous le regard humide et désespéré du prince, à genoux au sol.



Sans un mot de plus, elle s’enfonça la branche la plus longue du crucifix dans le sexe, et sa mouille coula lentement le long de l’objet saint.



D’un coup d’épée, elle décapita le prince.




Elle ressortit sur le parvis du temple, qui dominait la ville d’une dizaine de mètres. À ses pieds, son armée avait rassemblé les civils en une foule apeurée. Delilah, le corps toujours nu et couvert de sang, s’avança jusqu’au bout du parvis, et brandit au-dessus d’elle la tête du prince d’Erolt, et la tête de pierre qu’elle avait arrachée à la statue de Déa. Elle jeta les deux trophées devant elle, les laissant rouler d’une marche à l’autre en riant. Ses soldats applaudirent en criant de joie. Les prisonniers d’Erolt baissèrent les yeux en tremblant.



Les soldats de Delilah frappèrent les civils, les forcèrent à répondre.



Sous le ciel gris, Delilah sourit. Ses pieds nus frémirent de bonheur sur le marbre glacé. Son royaume venait de s’étendre.




Chapitre 7

Un rêve

Delilah hurla, ses cheveux et son corps brillants de sueur. Son orgasme explosa autour de la queue de Julian, qui éjacula en même temps qu’elle, lui tirant les bras en arrière, vers lui, tandis qu’il la prenait en levrette.


Ils étaient dans une étrange chambre, sans porte ni fenêtre. Ni source de lumière apparente, et pourtant il y voyait. C’était un rêve, après tout. Le lit était immense, ses draps rouges. Delilah et lui s’allongèrent et s’embrassèrent, leurs corps collant l’un à l’autre.




*

* *



Julian se réveilla doucement, ouvrant les yeux dans l’obscurité de sa chambre. Comme d’habitude, sa femme dormait. Il se leva sans faire de bruit et quitta la chambre pour rejoindre, à l’autre bout du couloir, la petite pièce qui lui servait de bureau.


Il alluma la lampe posée sur sa table, s’assit, et ouvrit le dernier tiroir du meuble. Dedans, un dossier cartonné à la couverture rouge. Il le posa devant lui en s’allumant une cigarette, le corps couvert de sueur et le caleçon mouillé d’un orgasme qui commençait à sécher. Delilah le faisait jouir comme personne ne l’avait jamais fait. Dommage qu’elle n’existât pas.


Il étala les feuilles du dossier devant lui. Des dizaines de dessins, tous représentant Delilah. Il était plutôt bon dessinateur… Et puis des notes et des références. Les résultats de ses premières recherches. De son enquête sur les succubes.




Chapitre 8

La danse du feu

C’était un vieux rituel de sa tribu décimée. La danse du feu. Après une bataille victorieuse, à la nuit tombée, le guerrier le plus valeureux venait au centre de ses compagnons d’arme, qui allumaient un grand cercle de feu autour du champion. Les femmes de la tribu se réunissaient autour des flammes, et le guerrier devait alors danser, et finalement choisir celle des femelles qu’il souhaitait en guise de récompense. Elle lui appartenait alors pour la nuit.


Delilah n’étant pas un homme, et ses goûts, même si bisexuels, étant plutôt portés sur la bite, ce furent ses officiers masculins qu’elle fit réunir autour des flammes qui léchaient sa peau de claques brûlantes.


Koloss était là, Lacker aussi, et une trentaine d’autres soldats valeureux. Tous applaudissaient en rythme, martelaient des tambours de guerre, souriaient en espérant être l’élu.


Au-dessus de sa tête, la nuit noire était constellée d’étoiles blanches. Delilah dansait, complètement nue, au milieu des flammes, son corps rougi et chauffé par le feu, les ombres dansant sur son visage de reine. À chacun de ses pas, ses bracelets tintaient, ses seins se balançaient, ses cheveux noirs ondulaient. Et les hommes bandaient.


La danse était sensuelle, parfaitement maîtrisée et adaptée à la suite. Delilah s’allongea au sol, écrasant ses seins dans l’herbe, et se releva à la seule force de ses bras, ondulant comme un serpent. Elle tournoya sur elle-même, de plus en plus vite, puis s’immobilisa avant de poser une main sur sa tête, de lever l’autre en l’air, et de commencer à onduler des fesses, rapidement, avec énergie.


Le rythme des applaudissements devint plus rapide, les sifflets et les cris plus frénétiques. Autour du cercle de feu, tout le camp de Delilah Desire s’était réuni pour le spectacle. Les tentes et les montures de l’armée occupaient les abords d’Erolt, la nouvelle conquête de leur maîtresse. Des civils, désormais citoyens du royaume de Delilah, s’étaient joints aux soldats. Bientôt, tout le monde applaudit, excité dans tous les sens du terme.


Au bout d’une dizaine de minutes de danse, Delilah repoussa ses cheveux en arrière, et sourit. Le feu jetait des reflets mouillés sur ses grosses lèvres. Elle souriait de toutes ses dents. Elle s’approcha en ondulant du bord du cercle, et marcha d’un pas de féline tout autour, jugeant chacun de ses hommes d’un seul regard obscène et expert.


Elle s’arrêta finalement devant un jeune officier à peine sorti de l’adolescence, un grand brun qui sembla ne pas comprendre ce qui lui arrivait. Delilah marcha à reculons, sans cesser de sourire, et agita ses doigts fins devant son visage pour inviter l’homme à la rejoindre au centre des flammes.


Ses camarades d’armes le félicitèrent en riant, lui tapèrent sur l’épaule, hurlèrent de joie comme de déception de ne pas avoir été choisis. Mais les vraies festivités allaient commencer.


L’homme, pantelant mais souriant, rejoignit sa maîtresse au centre du cercle. Delilah, sans rien dire, tourna autour de lui, son corps encore gracile et sautillant, encore dans la danse. Elle le frôlait sans le toucher, ses mains semblaient presque se poser sur le corps de l’homme mais reculaient au dernier moment, ses seins gonflés passaient à quelques millimètres du militaire, qui n’en pouvait plus… Le sang battait dans ses veines au rythme des tambours.


Puis Delilah se redressa légèrement, et son sourire s’élargit encore. Elle poussa de toutes ses forces son soldat, qui tomba en arrière, allongé sur le dos au milieu de l’herbe brûlante. Avant qu’il ait pu comprendre, Delilah se jeta sur lui, déchira son pantalon, et s’empala sur son sexe dressé vers les étoiles.


L’homme pleura de bonheur, refermant ses mains sur les cuisses musclées de sa maîtresse, qui, assise sur son étalon d’un soir, commençait à bouger son bassin, branlant le sexe de l’homme en elle tandis que sa poitrine, lentement, prenait le rythme en se balançant.


Delilah posa les mains sur les pectoraux de l’homme et accéléra le rythme en souriant, fixant un à un les hommes qui, de l’autre côté des flammes, regardaient la danse du feu atteindre son apothéose. Tous avaient sorti leurs queues et se masturbaient, sans aucune gêne. Elle leur fit un clin d’œil et accéléra le mouvement de son propre corps.


Le soldat hurla de bonheur, ses doigts s’enfonçant dans la peau crémeuse de Delilah, et celle-ci rit en sentant le sperme de l’homme monter dans sa verge. Elle se retira en hâte, et serra de toutes ses forces sa main droite autour de la queue du soldat, pour l’empêcher d’éjaculer. Confus, l’homme la regarda sans comprendre.



Il obéit. Elle resta à genoux, serrant toujours la queue au bord de l’orgasme dans sa main. Tout le monde était ébahi, et les tambours s’étaient tus. Seuls restaient les bruits des flammes, et ceux des masturbations alentour.


Delilah enserra la queue du soldat entre ses grosses lèvres moites et chaudes. Elle leva les yeux vers l’homme, qui tremblait d’extase en sentant la salive de sa déesse couler sur son membre. Elle donna un coup de langue sur le gland humide et palpitant.


Puis lâcha sa main.


Le sperme jaillit comme une fusée, envahissant la bouche de Delilah sans retenue, lui empoissant les dents, lui engluant les lèvres, lui tapissant la gorge d’un goût salé et fort. Sans réfléchir, l’homme posa ses mains dans les cheveux mouillés de sueur de Delilah, et gémit de joie tandis que des coulures de sperme dégoulinaient de la bouche de celle-ci.


Delilah serra ses mains sur les fesses de l’homme.


Et commença à mordre, riant intérieurement.


L’homme continua à gémir. Puis il écarquilla les yeux et hurla.


Delilah mordit plus fort, s’amusant follement, une main maintenant occupée à pincer son clitoris, qui était au bord de l’explosion. L’homme tenta de s’enfuir.


Delilah ferma les mâchoires, lui arrachant le gland. Il tomba en arrière, sa queue coupée en deux et couverte de sang, et gesticula dans l’herbe, se tenant l’entrejambe en hurlant de douleur.


Delilah se releva, le menton et les seins couverts de sang et de sperme. De sa bouche, elle sortit le gland de l’homme, le brandit à la foule médusée, puis l’avala.


Alors les tirs commencèrent. Un sur son ventre, tout d’abord. Puis un dans la raie de ses fesses rondes. Un autre sur ses orteils. Un gigantesque, peut-être celui de Koloss, la frappa derrière le crâne.


Une trentaine d’éjaculations qui lui pleuvaient dessus. Elle rit, trépignant de joie en sentant ces odeurs musquées la recouvrir, l’engluer, vernir de blanc son corps parfait.


Alors les hommes applaudirent, hurlèrent, dansèrent, tandis que l’élu agonisait.



Celle-ci fit une parodie de révérence, se penchant en avant pour remercier son public, ses mamelles pendant lourdement sous elle dans le mouvement. Puis un homme avança à son tour dans le cercle de feu.


Les cris se turent, étonnés. Delilah se redressa, outrée. Elle n’avait pas invité cette petite merde à la rejoindre. Il allait mourir pour son insolence. C’était un grand homme, enveloppé dans une cape bleue dont il avait mis la capuche. Il la retira.



Delilah reconnut immédiatement l’homme, mais il lui fallut un instant pour réaliser. Son menton, rouge de sang, trembla. Ses yeux s’embrumèrent. Elle tomba à genoux.



L’homme aux cheveux blancs avança et lui caressa les cheveux, sans se soucier du sperme qui les souillait.