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n° 15000Fiche technique22374 caractères22374
Temps de lecture estimé : 14 mn
29/05/12
Résumé:  Une femme perd le désir après son accouchement. Un médecin chinois va l'aider, et même un peu plus.
Critères:  ffh asie couple couplus extracon collègues médical travail massage fellation cunnilingu 69 pénétratio fsodo confession -couple -couple+f -extraconj -f+medical
Auteur : RobertAnne62
Sauvée par la médecine chinoise

Je sais ce que vous allez penser en lisant ces premières lignes : clichés, fantasmes. Mais attendez pour voir.


C’est vrai je suis dans mon fauteuil, au bureau, la braguette ouverte, le sexe bien raide et ma secrétaire me suce, à genoux, cachée sous le plan de travail. Et c’est bon, elle sait si bien le faire. Je ne vois que le haut de sa tête avec sa chevelure qui cache tout. Ses cheveux qu’elle utilise pour m’effleurer le sexe et les cuisses lorsqu’elle retire ma queue de sa gorge, comme si c’était possible de me faire durcir encore plus. Elle est capable de me prendre entièrement, de me pomper jusqu’à ce que je gicle entre ses lèvres. Et surtout, je sais qu’elle le fait sans contrainte, pour son plaisir autant que le mien.


Non, je ne suis pas un salaud de patron qui profite de sa secrétaire. Notre relation a commencé depuis deux mois maintenant. Un soir, il était vingt heures passées, j’étais en train de me branler devant une vidéo que je regardais sur le Net, quand on frappe à ma porte et Julia, ma secrétaire, entre comme à son habitude, sans attendre la réponse. Je n’avais pas fermé à clé car je l’avais vue partir et personne d’autre n’a accès à mon bureau. Elle s’avance.



Et là elle me découvre la queue à l’air avec cette vidéo qui tourne et le son qui va avec…


Elle recule et disparaît dans son bureau. Le temps que je reprenne mes esprits, j’échafaude une stratégie, mais rien ne peut excuser… si ce n’est la réalité. Je me rhabille, vérifie que je suis présentable, pas un satyre de quarante ans qui ne sait pas contrôler ses pulsions. Nous nous connaissons depuis des années et elle connaît Nadia, ma femme et nos deux enfants.



Elle entre, à peine gênée, en tout cas pas effrayée.



Elle ne veut rien, je me verse une bonne rasade de whisky et je commence.



Sa réaction me surprend. Elle éclate de rire.



Et elle ajoute :



Médusé, je la vois s’approcher pour poser sa main sur mon pantalon et la frotter sur mon sexe.



Que répondre ? Je me laisse faire. Elle détache ma ceinture, fait glisser mon pantalon, puis le slip, et je me retrouve le sexe à l’air. Oh, un sexe qui ne fait pas le malin, un sexe qui a été surpris en pleine gloire et qui a dû débander vite fait pour réintégrer le slip. Mais il n’est pas rancunier et il répond présent à des caresses féminines qu’il croyait perdues à jamais. J’en profite pour finir de me déshabiller et Julia fait sauter son petit tailleur réglementaire.


Je la vois pour la première fois. Mon regard s’était toujours arrêté à son visage sans grâce, presque laid. De toute façon je n’ai toujours pensé à elle que comme une secrétaire, pas attirante, mais efficace, organisée, polyglotte, enfin une perle. Nadia, mon épouse, m’avait fait une remarque, que seules les femmes peuvent faire contre une concurrente potentielle, du genre « cette femme-là cache son jeu ». C’est vrai que maintenant, en petite tenue, soutien-gorge en dentelle et string, eh oui, qui aurait cru, Julia en string, elle m’apparaît sous un autre jour. Et que dire maintenant que toute lingerie enlevée elle exhibe un bronzage intégral que cette fin d’été pluvieuse rend encore plus sexy.


Et je me laisse faire, et elle sait y faire. Je n’ai pas le temps de la prévenir, oh l’hypocrite, que mon sperme jaillit alors qu’elle me suce. Mais cela ne la dérange pas. Elle assume, même, elle me provoque en faisant mousser mon jus sur sa langue et ses lèvres avant de l’avaler. Toute la soirée a été un véritable feu d’artifice et je suis rentré vidé chez moi.


Depuis ce jour, deux Julia sont à mes côtés. La secrétaire, digne, sévère et efficace. La femme, disponible, volontaire, organisatrice, un peu salope. C’est elle qui aime se placer sous le bureau pour me sucer, en bonne secrétaire bien obéissante. C’est elle qui se fait labourer sur la photocopieuse, déclenchant des copies de sa chatte pendant que je la prends. On a bien failli oublier de tout nettoyer. Je n’ose imaginer la surprise du premier utilisateur le lendemain matin. C’est elle qui se brise le cul sur mon vit pendant que nous regardons une vidéo sur l’ordi. Enfin, comme elle dit, elle me vide les couilles. Autant la secrétaire parle un langage retenu, contrôlé, autant la maîtresse est vulgaire et elle l’assume.



Et c’est vrai que cela participe à l’ambiance.Notre aventure dure donc depuis deux mois et chacun y trouve son compte.


Côté maison, rien de nouveau. Ma femme semble avoir perdu tout désir. Ce soir encore j’ai essayé, mais elle a juste fait le service minimum en me branlant et recueillant mon sperme dans sa main. Où est ma Nadia, toujours partante, prête à tout pour son plaisir ? Quand je pense qu’avant les naissances, nous avions même effleuré l’idée de chercher des partenaires. Elle est blottie contre moi et je pense qu’elle dort lorsque :



Huit jours plus tard nous sommes dans le cabinet de ce médecin. C’est en effet un chinois, manifestement pas tout jeune, grand et d’une maigreur surprenante. Cela fait bien une heure qu’il nous pose des questions, de la plus banale comme « Avez-vous toujours soif », à la plus intime comme « êtes-vous vaginale ou clitoridienne » ou « Monsieur, aimez-vous si votre femme met un doigt dans votre anus ». Enfin, il a terminé, et en consultant ses notes nous fait part de ses conclusions.



Tout cela parait étrange, mais on ne risque pas grand-chose à essayer, surtout que la première séance de massage se passe normalement. Elle en sort détendue et à ma question « Alors, massage érotique ? », elle me montre son oreille piquée par de toutes petites aiguilles qu’elle doit conserver et qui tomberont petit à petit. On se renseigne sur le Net et nous sommes rassurés de ce que nous lisons, car l’auriculothérapie est même pratiquée à l’hôpital.


Le mois passe et comme les aiguilles sont tombées dans le bon ordre, tous les espoirs sont permis. Commence alors la deuxième série. Tout de suite, un cérémonial s’installe. Chacun est nu sur une table de massage dans cette pièce aux odeurs lourdes et épicées. Le chinois, en quelques secondes, hypnotise Nadia. Elle est dans un état entre sommeil et conscience. Elle entend ce qu’on lui dit, réagit aux demandes des masseuses qui l’invitent à bouger, se tourner. Le chinois nous laisse avec deux masseuses habillées strictement d’une blouse blanche. Mes espoirs de massages body-body disparaissent. Pendant que je regarde, les deux filles enduisent le corps de ma femme d’une huile qu’elles étalent partout, y compris dans son sillon fessier.


J’ai aussi droit aux massages aux huiles et il faut reconnaître que c’est très agréable. À la fin de chaque séance, le chinois revient, questionne ses collaboratrices et d’un claquement de doigt fait revenir mon épouse de son sommeil. Si le cérémonial est identique à chaque fois, je constate une évolution, dans les massages et dans les réactions de Nadia. Au début elle semble passive, mais comme les gestes des masseuses deviennent chaque fois plus audacieux, plus proches de la caresse, elle s’anime sous ces sollicitations. Oh, pas de grands cris de jouissance, mais plutôt des soupirs, des petits mouvements, voir des positionnements qui aident aux caresses. Je suis aux premières loges pour voir ses seins se gonfler, ses tétons se dresser sous les attouchements, son bassin avancer si un doigt la pénètre ou joue avec son clito. Inutile de vous dire que ce spectacle ne me laisse pas indifférent et que mon sexe montre mon excitation. La masseuse, qui me refuse la fellation, accepte cependant de me libérer en me branlant. Je ne sais pas si cela fait partie de la thérapie, mais à chaque fois elle prélève des gouttes de ma semence qu’elle étale sur les lèvres et le sexe de Nadia.



C’est le dernier jour. Nous attendons. Le chinois entre avec une assistante. Il hypnotise Nadia et contrairement à l’habitude il reste et c’est lui qui la masse. Il parle comme si elle pouvait le comprendre, pourtant j’imagine que c’est en chinois. Très vite ses massages se transforment en caresses appuyées et je suis d’abord mal à l’aise. Ce sont des mains d’homme qui pincent ses tétons, qui caressent son clito et pénètrent au plus secret. Nous avions été prévenus de cette étape et de ce qui va suivre, mais le chemin est long entre la parole et les actes. Enfin, je me raisonne, surtout que les petits gémissements de Nadia sont la promesse de la sexualité retrouvée.


Sur un geste de l’homme l’assistante fait descendre la table et la raccourcit de façon que les fesses de ma femme se retrouvent au bord. Un mouvement et le chinois est nu. Son sexe, étrangement long, repose sur des bourses toutes ridées. Quel âge a cet homme ? Il fait tourner la tête de ma femme et place son gland près de sa bouche, qu’elle ouvre comme si elle savait ce qu’il attend d’elle. Le long serpent avance et elle l’accepte. Déjà il semble plus ferme et chaque mouvement le faire durcir. Elle n’est pas inactive et on peut voir sa langue qui lèche le dard fin et si long.


C’est seulement après que j’ai vu l’assistante, la tête entre les cuisses de Nadia, qui la caressait avec sa langue et sa bouche. Dans son semi sommeil, ma femme participe en ondulant lentement.


L’homme se retire, sa verge maintenant droite et raide est plaquée sur son ventre. Il fait le tour de la table et, pendant que son assistante lui met un préservatif, me regarde. Il attend mon consentement. Je peux encore dire non, après ce sera irréversible. Tout ce chemin pour arrêter maintenant ? Non ! Et c’est par un mouvement de tête que j’autorise cet homme, cet inconnu, à entrer dans le fourreau de mon épouse. Il recommence à parler, psalmodier peut-être. Je sursaute. Il claque dans ses mains au rythme de la possession.


Cela me rappelle ces chinois dans un parc de Pékin qui, tous les jours, se retrouvent pour claquer des mains en cadence, afin d’activer les énergies du corps et surtout réveiller le cerveau.


Et il la prend, doucement, sans s’arrêter, sans ressortir, pendant si longtemps que cela me parait impossible. Voila, il ressort, mais c’est pour la prendre par l’anus. Et il recommence de taper dans les mains au rythme de l’enculade. Cela dure, dure, mais pendant tout ce temps Nadia s’anime de plus en plus. Elle grogne des paroles incompréhensibles, ses mains cherchent sa poitrine et descendent vers son sexe. À quoi peut-elle penser ? Dans quel rêve l’a-t-il emmenée ? Elle grogne plus fort. Le Chinois me regarde et sourit. Elle jouit. Sa première jouissance depuis des mois.


Il se retire et se tourne vers son assistante. Elle enlève le préservatif. Sa queue est encore raide, son contrôle est parfait. Elle la prend dans sa bouche, la suce tout en la branlant et très vite il éjacule au fond de sa gorge. Comme elle se relève, il fait un signe dans ma direction. Elle comprend, quand il lui montre ma verge en érection. Je crois que je n’ai pas débandé depuis le début de la séance. Voir sa propre femme se faire baiser, même sous couvert de la médecine, est une formidable expérience. Mon sperme a jailli avec force dès qu’elle m’a embouché, et c’est le chinois qui s’est chargé d’en placer sur les lèvres, la chatte et l’anus de Nadia. Je vais lui en demander la signification, mais déjà il s’est rhabillé et d’un claquement de doigt rompt l’hypnose.



Ce week-end sera à marquer d’une pierre blanche. Il faudra que chaque année nous le commémorions comme une seconde lune de miel. J’ai retrouvé ma femme, ma maîtresse, avide, impatiente de retrouver ses sensations et ses appétits sexuels. Pas un centimètre carré de son corps et du mien qui n’ait été l’objet de caresses. Pas une pièce de la maison qui n’ait été le témoin de nos jeux. Même la chambre des enfants. Rassurez-vous, nous ne sommes pas des parents indignes, ils étaient chez leurs grands-parents.


Le dimanche soir, épuisés, mon sexe encore au chaud dans son anus, Nadia dit, dans un souffle.



Elle a été surprise de cette invitation. D’abord elle a tergiversé, mal à l’aise. Nadia, elle-même, lui a dit :



Appréciez le ton de cette phrase, les sous-entendus. Moi à sa place j’aurais hésité, mais elle est venue.


Finalement la soirée s’est très bien passée, pas de tensions, pas de piques, que du bonheur. Il m’a fallu pourtant insister pour que j’accompagne Julia dans sa chambre et qu’elle accepte de me céder. À ses remarques, « Tu es fou, ta femme est à côté », et « Mais c’est terminé entre nous », je n’ai pu que lui dire la vérité, enfin une partie seulement.


Je sais, dès le début, que Nadia nous regarde, mais c’est seulement alors que je prends Julia en levrette qu’une ombre s’approche. Ma partenaire ne la remarque pas. Mais lorsque le nombre de mains qui parcourent son corps lui semble anormal, alors elle la voit, à nos côtés. Si Julia est surprise, en tout cas cela ne l’empêche pas de jouir avec des cris plus intenses que dans mes souvenirs. En tout cas, moi, la présence de Nadia à mes côtés m’a dopé. Sûrement le syndrome du « mâle » qui se doit d’être à la hauteur. Lorsque je reprends mes esprits après avoir inondé ma partenaire d’un sperme conquérant, Nadia est déjà repartie.


De retour dans la chambre, je suis accueilli par un « Pas mal », pas plus. Mais le lendemain matin, au réveil avec une première érection, alors que sa bouche lutine mon gland, elle m’interroge :



Prêt à me sacrifier, je vais dans la chambre de Julia, mais elle me dit.



Je transmets le message et, alors que je m’attends à une montée de mauvaise humeur, la réponse m’étonne.



Ce petit jeu a eu raison de mon érection matinale et je me recouche en attendant la suite. Je crains le pire. Mais non. Pas de hurlements. Pas de cris ni d’injures. J’attends. Bientôt deux femmes vont venir à moi. Ma femme et ma maîtresse. Il va falloir assurer ! Satisfaire les deux ! Mais, c’est bien long. Que font-elles ? Je me lève et me dirige dans l’autre chambre.


Et bien, si je m’attendais ! Il fait sombre, mais je m’avance. Mais oui, c’est bien ce que je pensais. Oh, elles ne se disputent pas. Plus exactement elles se disputent pour savoir laquelle va se frotter à l’autre. Comment expliquer, une photo serait plus parlante. Elles sont sur le lit, allongées, mais sexe contre sexe, avec les jambes qui se croisent et gênent leurs mouvements. J’imagine que de cette façon le clito et tout le sexe de l’une cherchent le clito et le sexe de l’autre. Chacune cherche son propre plaisir ? Ou cherchent-elles à donner du plaisir à l’autre ? En tout cas c’est un combat vivant, frénétique que ces deux corps qui ondulent. Deux femmes qui se cherchent ? Mais jamais Nadia ne m’a parlé d’expériences lesbiennes ! Mais elles bougent.


Maintenant je suis plus à l’aise pour décrire ce qui se passe. Je me retrouve en milieu connu, position que tous les sexes partagent. Avez-vous déjà pensé que certaines dates sont magiques ? Je ne parle pas des vendredi 13. Non, mais du 06/09/1969. Un chanteur célèbre a glorifié cette année érotique, 1969. Mais que dire du 6/9/69. Et bien ma tendre épouse, ma chère Nadia, est née le 6/9/69. Bien sûr, elle en a fait une spécialité. Mais d’habitude c’est moi qu’elle domine et qu’elle suce pendant que je la broute. Là, sous mes yeux, c’est ma secrétaire et maîtresse qui se fait dominer.


Personne ne se plaint. Pas moi qui regarde ce tableau nouveau. D’ailleurs mon sexe est reparti à la hausse. Pas Julia, qui, bien qu’écrasée sous la charmante pression du sexe de ma femme se fait sucer le minou et le sillon avec la complicité de doigts envahissants. Pas ma Nadia qui se fait doigter le cul et le sexe par ma maîtresse. Elles n’ont pas besoin de moi pour se donner du plaisir, jouir et faire jouir.


Je me retrouve assez ridicule le sexe toujours raide alors qu’elles reprennent leurs esprits et me découvrent. Alors elles se placent côte à côte au bord du lit pour m’offrir leurs intimités. Et je glisse ma queue dure, raide, presque douloureuse dans un vagin humide, ouvert, accueillant, avant de visiter le voisin. Si le noir était complet, serais-je capable de les reconnaître ? Je ne pense pas. Va. Viens. Entre. Sors. Oui. Encore. À chacune sa part. Surtout ne pas favoriser l’une ou l’autre. Je sens que je ne peux plus me retenir. Je me retire et j’arrose ces ventres de ma semence.


La journée va être longue…