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n° 15006Fiche technique17304 caractères17304
Temps de lecture estimé : 10 mn
31/05/12
Résumé:  Une lesbienne tentée par les plaisirs hétéros.
Critères:  ff ffh fbi jeunes copains noculotte fellation cunnilingu init -couple+f
Auteur : Benoberna            Envoi mini-message

Série : Marie

Chapitre 02 / 05
La conversion de Marie


Dans le premier épisode, Manon et Fred, étudiants aux relations très libres, rencontrent Marie, lesbienne convaincue…




*********************




À la cafète, le lendemain, Marie nous attendait, même si elle s’en est défendue, car elle arriva avec son plateau en même temps que nous.



Et comme nous ne disions rien, Manon m’ayant donné un coup de genou, souhaitant la laisser se dévoiler :



Marie, assise face à nous, nous regarda, longuement, l’un et l’autre.



Puis :



Et elle ouvrit son sac, en sortit un kleenex, le glissa dans sa main, glissa sa main dans la ceinture de sa jupe.



Puis ressortant sa main et la tendant à Manon :



Manon, ravie, se régala de sentir ces doigts parfumés du sexe de Marie qui reprit :



Puis, au bout d’un moment :



Nous ne disions rien mais le genou de Manon cherchait le mien et s’y appuyait, cherchant une réponse à cette situation. Nos yeux se croisèrent et se comprirent.



Nous avions terminé notre repas.



Dans le bus, en rentrant, Manon était de très bonne humeur, pensant sans doute à la soirée qui se préparait.



Puis au bout d’un moment :



Et, au bout de quelques minutes :



Notre repas fut vite expédié. Manon se changea, enfilant la petite culotte préférée de JB, sous une petite jupe en jean, trop courte pour la fac mais parfaitement adaptée à ce genre de sortie.


Je prenais une douche lorsque Marie sonna.



Et je la rejoignis, enroulé dans une serviette.



Nue en un tournemain, elle se glissa dans le lit et vint se blottir contre moi.



Elle avait glissé un bras sous mon cou, j’avais glissé le mien sous le sien. Elle avait posé une jambe sur moi, qui étais couché sur le dos, écrasant ses seins contre mes côtes, sa tête sur mon épaule.



Marie avait fait un bond dans le lit, me regardant, hésitant entre colère et indignation :



Ce dernier argument calma la colère de Marie mais pas sa surprise.



Marie me serra un peu plus fort et déposa un baiser sur ma joue :



Nous restâmes ainsi enlacés, la main libre de Marie caressant ma poitrine, son genou sur mon sexe qui commençait à se réveiller. Sentant ceci, Marie se laissa aller sur le dos, prit ma main qu’elle posa sur ses seins :



Les seins de Manon étaient bien plus gros mais j’appréciai tout de même la douceur et la fermeté de ceux de Marie.

Et la porte s’ouvrit :



Et, comme Marie l’avait fait tout à l’heure, Manon jeta ses vêtements dans toute la pièce.



Des rires se firent entendre rapidement, rires qui se transformèrent rapidement en soupirs et en cris de plaisir. Les filles s’étaient retrouvées et Manon semblait avoir encore de la ressource et Marie n’en voulait plus à Manon. Elles réapparurent, se frictionnant l’une l’autre, et se jetèrent sur le lit.



Et elle s’allongea sur le dos jambes ouvertes, offerte à la bouche de Marie qui en rêvait. Celle-ci se débattit avec le préservatif dont elle n’avait jamais eu besoin. Elle finit par ouvrir la pochette.



Et Marie, sans aucune hésitation, me prit dans sa bouche, cherchant mes yeux, me fit coulisser jusqu’au bout, les dents légèrement serrées.



Et sans attendre ma réponse, elle déroula le préservatif puis plongea vers ce que Manon lui offrait, me présentant son sexe. Ma langue, qui n’y avait pourtant pas été invitée, s’insinua et constata combien était déjà mouillée l’intimité de la lesbienne préférée de Manon.

Je me présentai entre ses lèvres que j’ouvris de mes doigts, écartant les poils, et attendis la réaction qui se limita à un frisson. Je me sentis donc autorisé à pénétrer plus avant, ce que je fis, lentement, aussi lentement que possible. Et je finis par avoir totalement disparu, absorbé par cette douce caverne, encore étroite, mais que je sentis prête à accepter mes assauts.

Marie lâcha un instant Manon qui commençait à nous expliquer son plaisir au travers de borborygmes, pour pousser un « Ouahhhh ! » significatif.



J’entrepris alors d’aller et venir, doucement pour ne pas l’effrayer, et les soupirs que j’entendais me laissèrent supposer que ces caresses étaient appréciées.

Mes mains se saisirent alors de ses seins dont les bouts étaient dressés et que je roulais entre mes doigts.

À chaque allée et venue, lorsque mon bassin était appuyé contre ses fesses, Marie grognait, ne quittant pas le sexe de Manon qui, de son côté, poussait des cris qui annoncèrent une jouissance que Marie avait le talent de faire durer. J’accélérai alors le mouvement et les grognements de Marie augmentèrent d’intensité. Elle lâcha un instant Manon pour râler :



Et c’est à ce moment-là que mon doigt est remonté trouver le clitoris de Marie. Les deux filles poussèrent alors ensemble un cri dont l’intensité me surprit. J’étais ravi d’avoir réussi à me retenir car je pensai que la nuit serait longue. Je me retirai et Marie s’allongea près de Manon dont elle couvrit le visage de baisers.



Et ce qui fut dit fut fait. Marie me prit dans sa bouche et entreprit des allées et venues prometteuses, recommençant ce qu’elle avait tenté tout à l’heure avec ses dents et que j’avais trouvé fort agréable. Je ne voyais pas Manon mais, à en croire les soupirs de Marie, sa langue avait dû trouver les points sensibles de Marie. Celle-ci tentait de parler la bouche pleine, ce qui n’est pas très pratique, aussi se contentait-elle de grogner, de gémir, de souffler. Me lâchant un instant elle nous affirma :



Et elle me reprit entre ses lèvres, suçant, léchant. Une de ses mains avait trouvé mes testicules et les faisait rouler tandis que l’autre pressait ma rosette. Cette fille apprenait vite, j’en étais impressionné mais je savais que je n’allais pas durer longtemps. J’entendis maintenant Manon crier ; elle devait se caresser tout en ayant sa langue occupée. Marie grognait de plus en plus fort et je ne pus que leur dire « J’y suis ! », me laissant aller dans cette bouche qui, hier encore, n’avait goûté que des sexes de filles.


Plusieurs jets l’inondèrent sans qu’elle marque le moindre recul. Bien au contraire elle suça méticuleusement jusqu’à ce que je lui demande de se relever. Manon se releva également, le visage ravagé, mais souriante.



Celle-ci ouvrit la bouche et nous montra ce que, bonne élève, elle venait de recueillir. Manon lui tendit des kleenex mais Marie secoua la tête. Elle me gardait dans sa bouche, nous regardant alternativement, pour finalement avaler, rayonnante. Elle se jeta alors sur Manon et l’embrassa à pleine bouche pour partager sans doute avec elle ce qu’elle n’avait pas totalement dégluti. Elles roulèrent sur le lit, ainsi liées, le doigt de l’une dans le sexe de l’autre, comme si je n’existais pas. Je ne me lassais pas du spectacle de ces deux filles faisant l’amour comme si elles étaient seules au monde.


Ce n’est que tard que nous nous endormîmes, moi, en sandwich entre Marie et Manon, les fesses de l’une contre mon ventre, les seins de l’autre, écrasés contre mon dos.