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n° 15007Fiche technique7544 caractères7544
Temps de lecture estimé : 5 mn
31/05/12
Résumé:  Comment nous sommes devenus libertins puis candaulistes.
Critères:  fhhh cocus boitenuit voir exhib hmast fellation jouet gangbang -ffontaine
Auteur : Passion candauliste
Comment je suis devenu candauliste


Nous avons commencé dans le libertinage il y a de cela cinq ans. Ma femme, Ève, est une belle brune de 1,70 m, à la poitrine provocante et d’une fermeté exceptionnelle. Nous avons tous les deux la quarantaine. Nos premières expériences eurent lieu en club et, rapidement, je constatai qu’elle aimait ces regards des hommes posés sur elle. Mais beaucoup moins le regard des femmes posé sur moi. Nous en étions presque à renoncer au libertinage à cause de sa jalousie, quand nous allâmes à cette soirée où elle se lâcha complètement. Aucune femme ne me plaisait mais deux hommes tournaient autour de ma femme. Je compris que tout avait définitivement changé entre nous quand, lui indiquant que nous pourrions peut-être partir, elle me rétorqua qu’un garçon lui plaisait beaucoup et qu’elle voulait absolument rester.


Pour ma part je ne le trouvais guère séduisant mais Ève avait tout de suite apprécié son regard, la façon dont il la touchait. Rapidement il lui fit descendre sa robe et exhiber ses seins devant la quinzaine d’autres invités qui étaient là. Encore bien sages, hommes et femmes ne purent résister à l’envie de lui palper sa merveilleuse poitrine. Je regardais tout cela, à la fois excité et un peu ennuyé de voir que le jeu m’échappait.


Quelques minutes plus tard je les vis partir dans la chambre à côté. Je discutais alors avec une très belle femme mais ne pensais qu’à rejoindre Ève. Quelques minutes plus tard j’entrai dans la chambre. Elle était en levrette, les fesses bien haut, la tête entre les jambes, la position qu’elle préférait. Derrière, son amant la besognait ardemment. Je me rapprochai. Je l’entendis haleter. Lui la tenait bien ferme entre ses grandes mains. Peu après il la retourna et je vis qu’il était particulièrement bien membré. Beaucoup plus que moi en tout cas ! À leur côté, un grand mec les regardait et s’approcha d’elle, nu lui aussi, lui faisant remonter la tête pour qu’elle le suce. Je me doutai qu’elle ne le ferait pas car quand elle est concentrée sur sa jouissance rien ne peut lui faire penser à autre chose. Effectivement, elle se déroba mais, à peine le premier homme eût-il joui en elle que le deuxième se présenta pour la prendre à son tour. Et tout repartit pour de longues minutes. Là aussi, elle finit en levrette et prit un plaisir incroyable à ces deux pénétrations successives.


De retour dans le salon, où j’avais fini par l’attendre, je la vis arriver les seins nus, sans culotte, juste serrée dans le corset que je lui avais offert et qui lui faisait une silhouette de rêve, cul rebondi, seins arrogants, sexe rasé. Elle avait les joues en feu et appréciait encore les regards de tous ceux qui avaient de toute évidence envie de la prendre à leur tour. Je dois avouer que les deux qu’elle avait choisis, ou accepté pour le second, étaient plutôt bien. Grands, châtain pour le premier, très brun pour le second, tous les deux très bien montés et capables de la prendre de très longues minutes.


Plus tard sur le chemin du retour elle m’avoua qu’elle « avait beaucoup aimé se faire traiter de salope » et que non, « elle n’avait pas trouvé ça irrespectueux ». Elle était heureuse et cela se voyait. Heureuse d’avoir été si bien baisée, heureuse d’avoir retenu l’attention de si beaux garçons, jeunes de surcroît. Et moi j’étais également fier de la voir si désirable et si comblée. Jaloux de ne pas avoir pu en faire autant aussi. Sans être un mauvais coup je n’étais ni aussi endurant, ni aussi gâté par la nature qu’eux, ni d’ailleurs aussi musclé et séduisant !


Ce furent vraiment les débuts de nos relations candaulistes. Progressivement nous devînmes moins libertins et plus centrés sur son plaisir. Pour autant, elle n’aimait pas les rencontres préparées avec un homme en particulier. Elle préférait les soirées couples où se glissaient quelques beaux hommes seuls qu’elle sélectionnait et auxquels elle se donnait. Au bout d’un an je comptais qu’on en était déjà à une centaine…


Rapidement après que nous eussions constaté qu’Ève et moi étions formidablement excités par le fait de la voir se faire prendre par de beaux garçons, nous eûmes l’idée d’organiser un mini gang bang pour elle. Un des garçons que nous avions rencontrés se proposa de nous recevoir avec trois de ses amis et voilà comment, en ce vendredi soir, nous arrivâmes chez Lionel et ses trois potes. Si Ève était stressée elle n’en laissait rien voir et était ravie de se voir regarder par ces quatre hommes dont les yeux semblaient sortir de la tête à l’idée de se repaître du corps de ma femme. Un peu moins de 40 ans, 1,71 m et un superbe 95 D, il y avait effectivement de quoi être alléché. Mais nous passâmes d’abord par une phase discussion/séduction où Ève put bien regarder ses futurs partenaires. Dans l’ordre Lionel, le maître des lieux, 1,80 m, la quarantaine, musclé et très séduisant ; Philippe, un pompier beaucoup moins sexy mais qu’Ève oubliait en regardant Vincent, un mec super musclé, la trentaine, et surtout Lucas, moins de 30 ans, un superbe sourire et… nous en reparlerons après.



Le signal était donné, ces quatre messieurs s’approchèrent et commencèrent à lui palper les seins, à la doigter. Elle était folle d’excitation, ruisselant littéralement. Ce fut Lucas qui se montra le plus entreprenant en la faisant mettre à quatre pattes sur le canapé pour la pénétrer avec un sexe vraiment démesurément long — bien 22 cm — mais surtout très épais. Un régal pour elle qui suçait en même temps à tour de rôle Lionel et Vincent. Petit à petit, elle les oublia pour se consacrer à son plaisir. Et à celui d’un Lucas qui jouit bientôt, immédiatement remplacé par le pompier qui l’emmena encore plus loin dans la jouissance. Pour ma part je me masturbais dans un fauteuil en admirant l’incroyable spectacle. Notre premier GB !


Quelques minutes plus tard, une fois qu’elle fut repassée par la case champagne, ils proposèrent à Eve d’aller dans la chambre où Lionel avait quelques gadgets. En particulier un génial masseur masturbateur japonais, un jouet extraordinaire qui la fit encore partir dans une jouissance folle… et nous apprit en même temps qu’elle était une femme fontaine. Inoubliable.


Mais les garçons n’en avaient pas fini et la firent remettre en levrette pour l’honorer. À tour de rôle nous fûmes cinq à la prendre, la reprendre. Vincent était particulièrement impressionnant. Capable de prendre un rythme que seul un athlète comme lui pouvait atteindre. Ève adorait. Criait. Était partie très loin dans la jouissance. Les mecs n’en pouvaient plus et la séance dura longtemps. Longtemps. Nous finîmes par repartir en raccompagnant le pompier, dont la caserne était proche de notre appartement. « Venez quand vous voulez à la caserne, nous proposa-t-il. Je vous présenterai plein de mecs formidables. Très beaux, très musclés, très attentifs ». Un conseil que nous ne tardâmes pas à suivre…