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Temps de lecture estimé : 12 mn
01/06/12
Résumé:  Le soir de la Saint-Valentin, Kris est surprise que son mari rentre accompagné d'un étranger.
Critères:  fhh couple inconnu grossexe voir fellation fsodo -couplea3
Auteur : Kristal      Envoi mini-message
Saint Valentin

14 février… La Saint-Valentin !



Je ne me présente plus, vous avez déjà supporté cela à plusieurs reprises à la lecture de nos précédentes aventures… Juste une courte parenthèse pour vous préciser que le temps passe, que j’ai tout de même vu se dessiner aux coins de mes yeux de fines pattes d’oie, que mes hanches se sont légèrement arrondies mais que les regards des hommes (et des femmes…) persistent à rendre hommage à ma silhouette et… à tout ce qui fait que je suis toujours moi-même !


Tout évolue, pourtant ma gourmandise, mon amour du plaisir charnel et l’amour tout court (même s’il est encore aussi fou…) que j’éprouve pour mon tendre mari sont toujours aussi puissants. Désormais je me sens une femme libre et épanouie qui ne refuse plus aucun plaisir, bien au contraire. Alain, mon mari, ne se prive pas de m’en offrir toujours plus, pour notre plus grand bonheur.



Comme chaque année, arriva la Saint-Valentin…

La fête des amoureux, notre fête !


Ce soir-là, j’attendais sagement le retour d’Alain, mon mari adoré. Pour l’occasion, je portais une robe toute boutonnée devant, sous laquelle j’étais nue, des escarpins et des bas gris. Pas de restaurant en amoureux mais j’avais concocté un petit repas dont j’avais l’intention d’être le dessert… Je sentais déjà courir ses mains, ses lèvres chaudes sur ma peau et j’en frissonnais d’envie !

Quelle ne fut pas ma surprise et ma déception lorsqu’il poussa la porte, accompagné par un inconnu. Un soir comme celui-ci nous était réservé !

À première vue, la quarantaine bien tassée, aussi grand qu’Alain, mince, les cheveux grisonnants, il s’avança pour me serrer la main. Je ressentis immédiatement un trouble étrange en croisant son regard. Il avait beaucoup de charme, vêtu d’un sweat sous un blouson de cuir souple.

Alain a fait les présentations :



J’ai surpris plusieurs fois ses yeux posés sur moi, je me sentais observée, quasiment dénudée par son regard. J’avoue que j’étais assez troublée, d’autant que je ne savais pas qui il était réellement pour Alain. Un ami ? Un complice ? Ni quel était le but réel de sa visite.


Alain me rejoignit à la cuisine où j’étais allée chercher des glaçons, il me prit dans ses bras, me fit tourner se retrouvant dans mon dos. Ses mains glissèrent sur ma robe, dégrafant lentement un, puis deux boutons pour laisser glisser le bout de ses doigts sur ma peau nue. Il déposa deux ou trois tendres baisers dans mon cou, me faisant frissonner de bonheur.



En effet, je sentis maintenant contre mes fesses une raideur pleine de promesses qui fit monter en moi une délicieuse vague de chaleur.



Je pris tranquillement le temps de préparer quelques biscuits, olives et autres bricoles à grignoter tout en pensant à la proposition d’Alain. Je ne connaissais pas Marc mais il semblait bel homme, ses premiers regards montraient que je ne lui étais pas indifférente. De plus, le jeu de la séduction a toujours été mon péché mignon, surtout s’il se complète de plaisirs encore plus charnels. Puis, quelle femme ne serait pas tentée par deux partenaires prêts à l’honorer de mille manières ?


Mon plateau chargé, je repris le chemin du salon, ma robe avait retrouvé sa sagesse après que j’eus refermé les boutons qu’Alain avait dégrafés. S’ils me voulaient, il faudrait qu’ils viennent me chercher ! Marc eut un charmant sourire en me voyant approcher, Alain un regard déçu et interrogatif auquel je répondis par une petite moue moqueuse. Eh oui… Je n’allais tout de même pas leur faire le plaisir d’arriver quasi nue pour me jeter à leurs pieds !


Nous avons bu un premier verre tout en parlant de tout et de rien. J’étais assise à côté d’Alain, dans le canapé. Marc, dans un fauteuil face à nous jetait sans cesse de discrets regards sur mes jambes à demi-découvertes et ma poitrine au creux de mon décolleté. Il semblait désespéré de ne pas en voir plus. Je m’amusais comme une folle à voir leur mine déconfite. Je ne sais pas ce qu’ils avaient envisagé entre eux avant d’arriver et ce que savait exactement Marc sur notre vie intime mais ils n’avaient, dans cette pièce qu’une sage épouse à se mettre sous la dent. Les pauvres… ! Allez, je décidai de mettre un peu d’ambiance… Je retournai vers la cuisine chercher des glaçons et en profitai pour dégrafer deux boutons en haut de ma robe, un autre en bas avant d’aller leur servir un second verre. Je pris tout mon temps pour servir Marc, penchée vers lui au-dessus de la table basse. Résultat ? Une vue plongeante sur mes seins offerts par mon décolleté cette fois devenu très… indiscret et… apparition d’une protubérance indécente, imposante, sur le pantalon de notre invité !


Assez fière de moi, je m’assis à nouveau près d’Alain en croisant les jambes. Nouveau regard en biais de mon admirateur qui faillit s’étouffer avec une gorgée de whisky… Cette fois, Alain avait remarqué mon manège et retrouvé son sourire des grands jours. Quant à moi, je dois avouer que Marc m’attirait, je sentais monter en moi des envies très… coquines ! Mais j’avais aussi un peu envie de jouer les femmes sages, d’obliger Alain (ou Marc… ou les deux !) à prendre les devants. Laissons faire les choses…



C’est tout de même la Saint-Valentin !



Alain se redressa rapidement et partit vers la cuisine tandis que je me laissais aller un peu plus en arrière dans le canapé, sans m’apercevoir (?) que mon geste faisait remonter le bas de ma robe, découvrant cette fois largement mes cuisses, bien au-delà du bandeau de dentelle de mes bas. J’ai adressé un sourire innocent à Marc lorsque j’ai croisé son regard.



En disant ces quelques phrases anodines, son regard courait sur moi, de mon visage à mes jambes maintenant largement dénudées. À première vue, son état était loin de s’améliorer, je sentis monter en moi une excitation nouvelle à me sentir ainsi admirée, désirée… J’imaginais déjà ses mains, ses lèvres sur ma peau, mes seins, mes jambes, mon ventre… J’avais désormais envie de me laisser caresser, dévorer et bien plus encore ! Mais aussi envie de découvrir la réalité de cette bosse qui ornait son pantalon, y poser les doigts, peut-être mes lèvres pour déguster cette belle tige de chair tendue par son désir de moi. Un feu sournois montait lentement dans mon ventre, mes seins durcissaient, leurs pointes dressées devaient trahir mes envies, pointant orgueilleusement sous le tissu de ma robe.


Marc me dévorait du regard, j’aurais volontiers succombé sous les caresses mais je ne désirais pas faire le premier pas. Je voulais d’abord connaître les intentions de mon mari, s’il n’y avait rien de prémédité ou si les deux complices avaient monté un scénario particulier. La tension tomba avec le retour d’Alain, tenant d’une main une bouteille de champagne, de l’autre trois flûtes. Il remplit rapidement les trois verres, m’en tendit un, un second à Marc puis, levant le sien s’exclama en riant :



Alain s’assit sur l’accoudoir du canapé, s’inclina vers moi pour entrechoquer légèrement nos verres tout en m’offrant un tendre baiser. Se tournant vers Marc, il ajouta :



Souriant, il m’adressa un regard de feu, profitant de sa position pour plonger les yeux longuement dans l’échancrure de ma robe qui ne devait pas cacher grand-chose de mes seins nus sous le tissu. Je me redressai légèrement pour trinquer avec lui. Dans un geste rapide, il se pencha un peu plus et me vola un léger baiser. Le frôlement de ses lèvres sur les miennes m’arracha un long frisson. Alain éclata de rire.



Marc se rassit en souriant. À nouveau enfoncée dans le canapé, je me laissai aller à la douce euphorie du moment et adressai un nouveau sourire à Marc qui ne cessait de me fixer du regard tout en discutant avec Alain. Toute à mon trouble, je ne suivais même pas la conversation, savourant mon champagne à petites gorgées. Je ne remarquais pas plus qu’Alain était passé derrière le canapé. Ses mains dans mon cou puis sur mes épaules étaient douces, chaudes. Il entama une lente caresse, me faisant frémir sous ses doigts habiles qui glissaient sur ma nuque. Pendant un long instant, seule la musique en sourdine troubla le silence de la pièce. Les yeux à demi clos, je profitais de la caresse de mon amour tout en regardant Marc dont le regard ne me quittait plus. C’est Alain qui rompit le silence ! Ses mains glissaient sur mes épaules, suivirent lentement l’échancrure de ma robe. Je sentis un bouton céder sous ses doigts…



Un second bouton céda à son tour… Puis un troisième. Toujours aussi lentement, Alain écartait légèrement les pans de ma robe. Le quatrième bouton suivit, cette fois le regard de Marc découvrit mes seins gonflés, durcis d’excitation, totalement offerts. Les doigts de mon amour commencèrent à jouer sur ma peau, contournant mes seins, glissant plus encore jusque sur mon ventre…



Marc, dont les yeux ne quittaient plus mes seins, mon ventre, offerts à sa convoitise fit un geste, toujours assis, pour libérer son sexe, déjà tendu de désir… À la vue de ce pieu viril, hors du commun, le trouble qui m’avait envahie sous son regard se transforma en une vague de chaleur que je sentis monter en moi. J’étais fière de me trouver ainsi nue, offerte à toutes ses envies. Mes seins réclamaient maintenant les caresses, mes lèvres ne désiraient que s’ourler langoureusement autour de sa tige brûlante pour lui offrir la joie de se répandre au fond de ma gorge.

Alain m’entraîna lentement vers lui, me murmurant :



D’un geste sur mes épaules, il me fit m’agenouiller devant lui. Je me suis retrouvée face à son sexe dressé vers moi, comme une offrande, un hommage à mon corps avide de plaisir. Je sentis mes seins se durcir encore, mon ventre s’humidifier. Des sensations folles s’emparaient de moi, j’avais une indicible envie de prendre en mains son mandrin énorme, de goûter son gland luisant et gonflé, de l’engloutir jusqu’à le sentir au fond de ma gorge !

Le regard de Marc m’encouragea à approcher encore. Sa voix résonna en moi :



Alors j’ai tendu la main, frôlé le monstre de chair palpitante qui lui sert de sexe, l’ai caressé quelques instants avant de poser mes lèvres sur lui et de le laisser forcer lentement ma bouche… Quelle folle sensation que cette colonne qu’il me pousse doucement à engloutir plus profond à chaque avancée de ses reins ! C’est un véritable viol mais consenti, est-ce encore un viol ?


De plus, je n’ai pas l’intention de me laisser violer ! C’est moi qui mène le jeu à présent et j’irai jusqu’au bout de ces désirs fous qu’il vient de déclencher en moi… Je vais le déguster jusqu’à ce qu’il m’offre enfin sa jouissance, en longs jets brûlants. Je veux le sentir se répandre dans ma gorge, sur ma langue, sur mon visage ! Il se laisse dévorer en caressant mes seins offerts. Derrière moi, Alain glisse une main entre mes cuisses, un doigt curieux et agile dans ma chatte trempée puis sa langue court de ma chatte jusqu’à mon petit trou sensible où il pousse un autre doigt habile. Hummm ! Il fouille lentement mes reins tout en pinçant doucement mon clito. À deux, ils vont me rendre folle !


Marc m’oblige à abandonner ma caresse, se lève pendant qu’Alain me fait agenouiller à sa place, sur le canapé, toujours une main entre mes cuisses. Marc a une vue imprenable sur mes fesses, mes seins, et moi j’ai devant les yeux sa queue toujours aussi raide, brandie comme un pieu devant lui. Je frissonne, totalement trempée par les caresses d’Alain et le désir qui brûle mon ventre ! Sa queue me semble énorme, menaçante… Mais j’ai pourtant très envie de me sentir forcée, perforée, remplie, défoncée, inondée et comblée.


Il ne peut savoir ce que je ressens lorsqu’un pieu épais, long et raide s’enfonce lentement en moi, écartant mes chairs, dilatant ma vulve ou mes reins… J’aime cet instant où un gland congestionné par le désir se pose au creux de mes reins, cette douleur quand il force très lentement ma rondelle plissée et que, d’un petit coup brutal, il franchit ma porte secrète ! J’aime qu’il s’immobilise alors, je le sens frémir en moi, avide d’aller plus loin mais prenant le temps de laisser s’apaiser la brûlure qui me fait gémir, j’ai l’impression qu’il gonfle encore, qu’il va me déchirer.


J’aime les hommes attentifs au plaisir de leur partenaire, ils savent avoir la patience de les satisfaire avant de se déchaîner pour, à leur tour, prendre tout le plaisir que je suis prête à leur offrir. Et je suis persuadée qu’il est ce genre d’homme. Viril, vicieux, voyeur, parfois directif, brutal aussi mais dans des limites qui ne peuvent que combler ses partenaires et qui sait savourer tous ces instants follement excitants. De plus, la nature lui a offert un bel instrument dont il doit savoir se servir à merveille.

J’ai vraiment envie de le faire bander, de l’exciter… ! J’aimerais qu’Alain, comme il le fait parfois, le laisse me guider, qu’il me prête à lui pour qu’il soit mon maître du moment.


Mais mes reins s’apaisent… L’envie continue de monter en moi et il est toujours immobile. C’est moi qui, doucement, ondule des hanches pour faire glisser sa hampe un tout petit peu plus loin. C’est trop bon, je n’y tiens plus ! Et, brutalement, je m’empale sur lui d’un coup de reins. Il est enfoncé jusqu’à la garde, m’arrachant un cri ! Cette fois je suis à lui, totalement, il peut enfin jouir de moi comme il le désire, je suis son esclave, soumise, offerte, ouverte et je veux jouir moi aussi. Il peut se laisser aller à toutes les folies, maintenant seule m’importe sa queue qui me perfore, m’emmène au septième ciel. Il va loin, il est énorme, je le sens au plus profond de moi.


Je vais jouir ! Et je jouis en hurlant lorsqu’il inonde mes reins.



À suivre… Car suite il y a eue !