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Temps de lecture estimé : 17 mn
02/06/12
Résumé:  Toujours avec mon érection dont je n'arrive pas à me débarrasser, voici la suite de mes aventures.
Critères:  fh hh hbi inconnu douche fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo hdanus hsodo humour -humour -inithh -hbi
Auteur : Jean57            Envoi mini-message

Série : Les aventures de Barre d'Acier

Chapitre 02
Chapitre 2 - Les bateaux

Résumé de l’épisode précédent : Une punaise me pique et voilà que je me retrouve avec une érection du tonnerre qui ne veut pas partir, pour mon plus grand bonheur.








Il y a une petite heure, j’ai rencontré Jean, un homme grand et musclé qui m’a glissé sa carte de visite dans l’ascenseur de l’immeuble. Seulement voilà, les mecs ce n’est pas mon truc. Alors je ne sais pas pourquoi je me retrouve finalement devant la porte de son appartement. Sans doute l’excitation provoquée par cette érection dont je n’arrive pas à me débarrasser. Après tout, ce Jean m’avait paru bien audacieux dans l’ascenseur. Je vais lui montrer de quoi je suis fait. Il va déballer sa chose, je vais lui montrer la mienne et il va se mettre à pleurer en me suppliant de le laisser seul. Et tout ça en cinq minutes chrono.


Je finis par sonner, commandé par un certain désir. J’attends ce qui semble être une éternité. Ouf, personne, plus qu’à rentrer chez moi. C’est alors que la porte s’ouvre et que Jean apparaît, souriant.



Idiot. Décidément j’ai l’art de me rendre stupide. J’entre et je m’installe sur le canapé du salon suite à l’invitation de Jean.



Il a dit cela en insistant sur le « cock » et en faisant un clin d’œil. Il continue :



J’ai envie de lui dire que le vieux médecin s’est métamorphosé en belle brune d’à peine trente ans avec de beaux seins et une énergie sexuelle étonnante.



Il s’installe enfin confortablement dans le fauteuil en face de moi. Je confirme : il est grand et très musclé, sans doute très sportif, avec des cheveux bruns et des yeux vert gris. Il sourit pratiquement tout le temps, ce qui le rend chaleureux.



Dois-je le contredire, lui dire que mon érection n’a rien à voir avec lui ? Je le laisse continuer pendant que je descends lentement le verre par petites gorgées.



Il doit s’apercevoir que je suis rouge. Eh oui, je suis un grand timide. Avec du mal, j’articule :



Il pose son verre sur la table basse et il me fixe en souriant.



Je ne sais pas trop comment réagir, un blocage mais une certaine excitation tout de même. Devant mon hésitation il propose :



Tout en me fixant, il se déshabille lentement. Je constate que les muscles sont bien là sur tout son corps. Il finit par enlever son shorty et je découvre alors un sexe entièrement rasé avec une demi-érection. Je fixe son engin que je trouve très beau, régulier et qui semble doux. Je suis surpris par l’attirance que j’éprouve. Je le trouve cependant un peu petit. Je bouge un peu sur place, comme gêné, tandis qu’il se rassoit en face de moi, prenant soin de bien écarter les jambes.



Le piège, que répondre. De toute façon, il est déjà trop tard, la situation m’excite et je n’ai plus envie de dissimuler mon désir.



Et me voici, me déshabillant devant Jean avec certainement moins de grâce. En enlevant mon slip, je me prends les pieds dedans et je m’écroule sur le canapé. L’air de rien, je me relève précipitamment et une fois nu, je me rassois rapidement. Et là je sens qu’il ne doit pas en mener large, le gars, avec sa petite queue face à moi, car je lui présente un sacré engin. D’ailleurs à la vue de mon engin, sa demi-érection se transforme quasi immédiatement en une érection du tonnerre.



Quel toupet ! Il parle de mon « paquebot » alors qu’il n’a qu’une petite barque, certes très belle mais petite tout de même.


Il continue quelques secondes à m’observer et à me sourire, puis il se décide à se lever pour venir s’asseoir sur le divan à côté de moi. Je n’ose pas bouger. Il pose une main sur ma cuisse gauche et commence à la caresser. Il approche sa bouche de mon cou pour y déposer de petits baisers en remontant lentement mais sûrement vers mes lèvres en passant par mon menton. Enfin ses lèvres se posent sur les miennes et sa langue essaie de se frayer un passage. Je la laisse pénétrer pour aller caresser ma propre langue. Au début je laisse faire sans vraiment bouger, puis l’excitation me gagnant je lui rends son baiser, nos langues jouant l’une avec l’autre. De la force de ses bras, il m’attire contre lui et finit par m’allonger et se coucher sur moi sans interrompre son baiser. Je sens son corps musclé contre le mien et nos mains se baladent sur nos corps nus. Je prends plaisir à caresser sa peau douce et son corps généreusement musclé qui frotte mon sexe tendu. Il faut imaginer une montagne de muscles sur un gars comme moi. On ne doit voir que la montagne. Je sens aussi son sexe bien raide contre mon ventre.


Jean finit par interrompre notre baiser fougueux et recommence à me donner de petits baisers dans le cou. Mais cette fois sa bouche suit un autre chemin. Il me baise le haut du torse puis descend lentement vers mon bas-ventre. Il évite mon sexe en le contournant pour finalement embrasser et lécher l’intérieur de mes cuisses.


Il passe ses mains sous mes cuisses et, sans effort, il les soulève et les ramène presque jusqu’à mes épaules. Me voici donc allongé sur le dos, les jambes relevées et présentant mon cul à Jean. Sans attendre il pose sa langue sur mon anus et commence à le lécher. La sensation est étrange, agréable, et la langue de Jean continue son travail. De temps en temps elle pousse pour pénétrer mon derrière et, à force d’essayer, elle finit par trouver l’ouverture qu’elle s’active à lubrifier et à élargir. Je sens qu’un doigt rejoint la langue et se fraie lentement un passage. Arrivé au fond, le doigt commence des va-et-vient réguliers. Je ferme les yeux pour mieux ressentir cette sensation bizarre mais assez agréable. Le doigt ressort et Jean place son gland sur mon anus. Je garde les yeux fermés pendant que la queue de Jean force le passage et pénètre dans mon trou bien étroit. Arrivé à la butée, Jean reste immobile, sans doute pour que j’apprécie la situation.


Je dois vous le dire. Les mecs grands et musclés de partout n’ont pas de petites bites. Elles font petites par rapport au reste du corps mais en réalité elles sont normales. Et celle de Jean, je vous assure que je la sens bien énorme plantée dans mes fesses. Les yeux toujours fermés, je n’ose bouger sous l’effet un peu désagréable de cette pénétration.



On peut dire qu’il sait casser une ambiance, celui-là.



Super ! Moi qui ai le mal de mer. Jean m’empoigne la queue et commence lentement à aller et venir en moi tout en me masturbant. De désagréable, le mélange d’une douleur légère et des caresses de mon sexe finit par me procurer du plaisir. Mon excitation atteint un niveau très élevé et je commence à ahaner. Je sens la jouissance qui arrive et j’essaie de me retenir mais Jean masse avec énergie ma queue tout en me défonçant le cul. Avec un tel traitement, je jouis et mon sexe crache un premier jet de sperme suivi de bien d’autres. À chaque fois que la bite de Jean atteint le fond, une giclée de sperme jaillit de ma queue. Mon éjaculation continue pour mon plus grand plaisir, prolongeant mon orgasme. Puis soudain Jean se met à haleter bruyamment, signe d’un orgasme proche. Il approche sa bouche de la mienne pour m’embrasser quand, dans un soubresaut, je sens qu’il se vide en moi. Il lâche alors mon sexe qu’il tenait encore jusque-là. Le baiser est assez long et je finis par sentir son sexe ramollir, rétrécir et sortir de mes fesses. Le mien est toujours bien tendu et dur comme du béton.


Il finit par rompre le baiser.



Et sans que j’aie le temps de dire quoi que ce soit, il se lève en me prenant dans ses bras. Par réflexe, je lui entoure la taille avec mes jambes. Arrivés dans la salle de bain, il me dépose. La pièce est assez grande et les murs comme le sol sont habillés de marbre. La douche est à même le sol, pas de bac et sans aucune paroi. Il ouvre le robinet et sans attendre il me resserre dans ses bras et m’embrasse. Complètement excité je me laisse faire. Ses mains caressent mon dos et mes fesses tandis que l’eau réchauffe mon corps. Enfin il se met à genoux et gobe sans détour mon sexe. Sa fellation est très dynamique, différente de ce que j’avais connu jusque-là. Il y met toute son énergie, sa bouche allant et venant sur ma bite, sa main droite branlant avec vigueur ma queue. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps avec ce traitement. C’est alors que je sens un doigt pénétrer mon anus. C’est un doigt de trop, l’orgasme est violent et je balance la sauce dans la bouche de Jean qui avale goulûment tout mon foutre.


Après plusieurs gorgées de mon sperme il se relève.



Trop excité, je ne le laisse pas en dire plus et je l’embrasse à pleine bouche. Involontairement mon coude heurte la bouteille de gel douche qui chute de son support pour atterrir par terre. Jean interrompt notre baiser.



Puis il se baisse pour se mettre à quatre pattes, son cul face à moi. Il ramasse la bouteille, me la tend et me lance :



Très excité, je ne me le fais pas répéter. Je me place à genoux derrière lui, j’ouvre la bouteille et je lui applique plein de gel douche sur l’anus. J’entre même parfois un doigt dans son trou. Enfin je place ma queue à l’entrée de son œillet et je le pénètre lentement. C’est une nouvelle sensation, il est bien étroit. C’est incroyable, je suis là à genoux, mon sexe planté dans le cul d’un mec bien bâti et la situation m’excite comme jamais. Je n’attends plus et je commence à le pistonner sans ménagement. C’est très agréable cette impression de domination sur un mec plus fort que soi. Je lui donne des coups que je pense incroyables et il ahane à chaque fois. Je finis par jouir mais je continue encore à aller et venir en lui. La jouissance est continue. Jean finit par s’écrouler sur le sol mais je ne décroche pas. Mes pieds de chaque côté de ses fesses, presque en position accroupie, je maintiens la pénétration et de nouveau je donne des coups de reins alors que ma verge déverse toujours ses vagues de spermes. Je l’entreprends encore un certain temps et il finit par me demander d’arrêter.


Alors mon gars, tu vois de quoi il est capable mon paquebot ? Et les mouvements de la mer ? Je me sens fort et dominateur. Je reste encore un moment sans bouger ma queue plantée dans ses fesses. Je me retire finalement et lui donne quelques tapes amicales sur les fesses. Je me relève et je commence à me laver.


Je suis heureux de lui avoir montré de quoi je suis capable. C’est moi maintenant le dominant. Jean se lève et vient pour m’embrasser. Je le repousse sans violence et lui empoigne son sexe ramollit pour lui montrer que maintenant c’est moi qui dirige. Je commence à le branler d’abord lentement puis avec énergie. Il ne tarde pas à éjaculer dans ma main. Toujours pour lui faire comprendre ma supériorité, je lui fais lécher ma main.


Je suis satisfait d’avoir réussi mon coup, je peux faire de lui ce que je veux maintenant. Mais je décide d’en rester là. Je l’embrasse goulûment et nous finissons notre douche. Enfin je m’habille sans oublier de mettre mon pull autour de ma taille pour cacher mon sexe en érection. J’embrasse une dernière fois Jean. Une petite tape sur ses fesses nues et hop, je m’éclipse. Avant de disparaître il me demande :



Avec ironie je lance :



Fier de moi, je sors de l’appartement. Je réfléchis pendant que je descends en ascenseur. Je suis sûr que maintenant plus personne ne peut me résister. Je suis Barre d’Acier et personne ne m’arrive à la cheville. Je me sens fort et grand. Je peux me faire qui je veux sans problème. D’ailleurs je vais le prouver par un défi simple : je me fais la première femme que je vois.




Arrivé au rez-de-chaussée, la porte de l’ascenseur s’ouvre.



Oups voilà que la porte s’est ouverte sur une vielle grand-mère de bien soixante-dix ans. Bon je décide de remettre mon défi à plus tard et je fonce en espérant qu’elle m’oublie.



Faire semblant de ne pas entendre et surtout ne pas me retourner.



Je l’ignore, j’ouvre la porte d’entrée de l’immeuble et au moment où je m’apprête à sortir elle ajoute :



Oups de nouveau. Maladroitement, je marche à reculons pour saisir le pull qu’elle me tend sans qu’elle puisse voir mon érection. Je la remercie en m’éloignant rapidement sans trop la regarder. Et j’entends de loin :



L’espoir fait vivre, me dis-je. Je marche dans la rue d’un pas rapide en direction de mon immeuble. Plus loin devant moi une mère et son enfant me font face. Le petit dit à sa mère en me montrant du doigt :



Et voilà que le petit monstre imite ma démarche. Je les croise sans les regarder et en jurant intérieurement : sale gosse !


Mais c’est vrai que j’ai l’impression d’avoir encore une queue dans les fesses. Ah ! ma première sodomie.


Arrivé à mon appartement, je me prépare un petit repas. Pendant que je mange, je consulte machinalement mon téléphone portable. Je découvre alors un SMS de ma copine. Je l’ai sans doute reçu alors que j’étais en plein ébats. Le SMS dit :



Je dois te voir, peux-tu venir à mon appart début d’aprem ? Bisous.



Je lui réponds que je passe dans une demi-heure.




Je me retrouve alors devant sa porte et j’élabore un scénario pour tenter de me rattraper de ma médiocre performance de la veille. J’avais éjaculé en moins de deux minutes et j’étais parti honteusement. Mais tout a changé. Je suis un empereur du sexe maintenant, plus personne ne peut me résister. Je vais entrer, baisser le pantalon et hop emballée. Je sonne et Émilie m’ouvre.



Ok, vous aller dire qu’elle est plus romantique que moi. Eh ben je crois que c’est vrai. Un petit baiser sans la langue, j’entre et me dirige vers le salon juste en face de l’entrée. Pas de temps à perdre, en franchissant le seuil du salon, je défais mon pull de ma taille et je le balance en direction du divan. Estelle prend mon pull en pleine figure. Estelle ?



Qu’est-ce qu’elle fait là, celle-là ? C’est la meilleure amie de ma copie et ma pire ennemie. Je ne peux pas la sentir et c’est réciproque. Je remets rapidement mon pull en place pour cacher mon érection.



Elle embrasse ma copine avant de s’éclipser. Inutile de vous dire qu’elle ne m’a même pas regardé. Émilie prend sa défense :



Des fois je ferais mieux de me taire. Émilie continue à la défendre :



Bon, il est peut-être temps que je change d’attitude pour obtenir ce que je veux. J’enchaîne alors :



Quel faux-cul je fais ! Il ne faut pas que j’en fasse trop. Je la prends dans mes bras et je l’embrasse. Elle se laisse d’abord faire puis elle rompt le baiser et s’écarte :



Je la reprends dans mes bras et je l’embrasse. Elle se laisse faire, c’est bon signe. Je la serre bien contre moi pour qu’elle sente bien mon membre raide. Apparemment elle apprécie. Ses mains se baladent dans mon dos et elle finit par enlever mon pull qui entoure ma taille. Je lui caresse le dos et les fesses à travers ses vêtements. Nous sommes de plus en plus excités. Mon t-shirt finit par voler ainsi que son chemisier. J’essaie d’enlever son soutien-gorge, mais je suis trop maladroit. Elle le fait elle-même. J’ai plaisir à frotter ses seins contre mon torse tout en l’embrassant. Avec doigté, elle me défait ma ceinture et me fais glisser mon jean. J’en fais de même avec le sien. Elle glisse une main dans mon slip à la rencontre de mon sexe qu’elle caresse. Je vois sur son visage une expression de surprise. Je ne lui laisse pas le temps de poser une question, je l’embrasse pour l’empêcher de parler. En même temps, je passe une main dans sa culotte pour lui caresser les fesses. Ça lui plaît et elle continue à me caresser le sexe.


Je romps et je l’entraîne sur le canapé. Je passe mes mains sous ses fesses pour lui enlever sa culotte. Je retire mon slip et je m’allonge sur elle en prenant soin de ne pas l’écraser. Je l’embrasse puis ma bouche descend vers ses seins que je mange l’un après l’autre en titillant les tétons de ma langue. Je sens qu’elle aime. Je me dirige maintenant vers son sexe et ma langue lèche son nombril en passant. J’arrive enfin au niveau de sa chatte que je commence à lécher en insistant un peu plus sur le clitoris. Elle montre son plaisir en se cambrant. Ma langue masse bien son sexe mouillé et pénètre de temps en temps bien profond entre ses lèvres.


Je sens que le plaisir monte en elle et je décide de la prendre dans la position du missionnaire. Quand je la pénètre, elle pousse un petit gémissement. Je la lime doucement et lentement. Mon excitation est à son apogée et le plaisir est intense. Sa respiration s’accélère et elle bouge de plus en plus son bassin. Je sens mon orgasme approcher et j’essaie de le contenir mais je donne plus de puissance à mes coups qui sont aussi plus rapides. Je la sens proche de l’orgasme quand moi-même je balance la sauce. Je continue quand même avec la même cadence mes va-et-vient. Alors que je continue à me vider, elle jouit d’un orgasme puissant.


Nous restons enlacés un moment à nous embrasser, nos mains caressant nos corps et mon sexe toujours dur et planté dans sa chatte. C’est à ce moment que me vient ma première idée lumineuse. Je ne sais pas pourquoi je repense au bon moment que j’ai passé avec Jean.


Je romps le baiser et je commence à l’embrasser dans le cou puis lentement ma bouche descend vers son bas-ventre. Au passage, je lèche ses tétons, je masse ses seins. Bien sûr, ma queue sort de son sexe trempé. Ma bouche continue son chemin et arrive enfin sur sa chatte. Je lui titille le clito et passe ma langue entre ses lèvres, elle apprécie. Avec mes mains sous ses cuisses, je lui lève les jambes. Elle m’offre ainsi à la fois son sexe et son anus. Elle se trouve dans la même position que moi-même plus tôt avec Jean.


Ma langue passe de sa chatte à son anus que je lèche en m’appliquant. J’essaie de pénétrer son anus et si au début il est fermé, il finit par s’ouvrir à moi de plus en plus. Je lui lime le petit trou avec ma langue et je finis même par y introduire un doigt. Elle ne semble pas du tout réticente, bien au contraire.


Je continue un long moment à la lécher et à la doigter puis je me décide. Je présente mon gland à l’entrée de son anus. Très lentement j’appuie le gland contre son trou et il finit par entrer. Toujours lentement ma queue pénètre et je l’amène le plus loin possible. Une fois au fond, je ne bouge plus. Je vois une légère grimace sur son visage et je n’ose faire le moindre geste. Je reste un moment ainsi à ressentir un certain plaisir à la situation.


C’est alors que me vient ma deuxième idée lumineuse. Je ne sais pas pourquoi je lui dis :



Oups. Voilà ce qu’on appelle un suicide. Elle ouvre les yeux :



Je m’enfonce dans ma stupidité et elle se débat pour se dégager. Bien entendu, je la laisse faire.



Bien, tant pis pour mon érection et le pied que je m’apprêtais à prendre. Je me lance et je lui raconte tout : la punaise, la toubib et Jean. Et voilà, elle sait tout et je la vois songeuse. Je me demande à quoi elle peut penser. Puis elle saisit mon sexe et commence lentement à le masturber.



Je me laisse caresser et pris dans mon plaisir je lui réponds :



Elle continue à me masturber et je ferme les yeux. Elle approche sa bouche de mon oreille et ajoute :



C’est comme un déclic en moi et tout en sachant que de toute façon Estelle refusera, je lui réponds :



J’en dis pas plus et je profite des caresses que me prodigue Émilie. Tout en continuant à me masturber, elle se saisit du téléphone et appelle sa meilleure amie. Je suis étonné par la capacité féminine à faire plusieurs choses en même temps.


Je vous fais grâce de la conversation. Au ton d’Émilie, je comprends qu’Estelle l’envoie balader, ce qui augmente encore mon plaisir. Cela doit énerver ma petite amie qui accélère le mouvement.


En même temps, elle essaie de faire changer d’avis cette garce d’Estelle. La conversation est longue et mon plaisir est au plus haut niveau. Je n’écoute même plus, tellement je suis pris dans mon excitation. Elle parle et parle toujours mais je n’entends plus vraiment ce qu’elle dit. L’orgasme est proche et au moment où mon sperme jaillit, j’entends cette fois distinctement :



Je suis là les yeux ouverts d’étonnement, bouche bée, totalement abasourdi tandis qu’elle gobe mon sexe pour le nettoyer de sa langue. Je suis totalement paralysé par la nouvelle et Émilie arrête sa fellation pour me dire :



Un seul mot me vient à l’esprit : punaise !