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n° 15012Fiche technique15411 caractères15411
Temps de lecture estimé : 10 mn
02/06/12
Résumé:  Kris reçoit notre voisine, éplorée...
Critères:  ff voisins intermast cunnilingu fist -fhomo -fbi
Auteur : Kristal      Envoi mini-message
L'imprévu a aussi son... charme !

L’imprévu… a aussi son charme !





Même au sein de notre couple, on ne s’attend pas toujours à tout ! Cela fait aussi partie des charmes de la vie. En plus de mon mari adoré, j’ai un deuxième amour… Mon chat ! Eh oui… Un beau chat tigré qui courtise la chatte de ma voisine, Nathalie. Cette amitié entre chats nous a rapprochées, chacune d’entre nous gardant l’animal de l’autre lorsque celle-ci s’absente quelques jours.


Moi, vous me connaissez déjà, je suis Kris et nous vous avons déjà confié un certain nombre de nos jeux et aventures. Nathalie ? Plus jeune que moi de quelques années, est divorcée. Blonde, fine, elle semble fragile avec ses grands yeux clairs, son sourire timide. Nous nous retrouvons assez souvent chez l’une ou l’autre pour papoter un moment, boire un verre et parler de nos… chats ! Avant-hier, en fin de journée, elle sonne à notre porte. J’ouvre et me retrouve face à une Nathalie catastrophée, à demi en pleurs. Je la précède jusqu’au salon et l’invite à s’asseoir dans le grand canapé.



Un instant après, je la rejoins, avec un plateau et deux cafés. Je m’installe à côté d’elle. Je me rends compte que ma jolie voisine doit être bouleversée car elle est vêtue d’un simple peignoir et de petites babouches de cuir. Ce n’est vraiment pas dans ses habitudes de sortir ou recevoir quelqu’un dans ce genre de tenue.



Je sentais bien que Nat était au bord des larmes… Je me suis levée pour ouvrir la porte-fenêtre qui donne sur le jardin afin d’appeler mon chat et devinez ? Ils arrivèrent tous les deux, trottinant gentiment ! Le temps que je revienne vers le canapé, Câline était déjà sur les genoux de sa maîtresse qui la prit dans ses bras. Nat affichait un sourire radieux, les yeux humides de larmes. C’en était presque attendrissant ! Mais ce qui était plus attendrissant encore et qui fit monter en moi une étrange sensation, c’est que, dans son geste pour saisir son chat, son peignoir venait de s’entrouvrir sur la courbe d’un sein nu, rond comme un beau pamplemousse, à la pointe rose foncé et sur deux jambes fines, adorablement galbées.


Je préfère de loin les hommes mais j’avoue que je ressentis un trouble qui fit battre mon cœur plus vite. À nouveau assise près d’elle, je tentais de reprendre contenance et d’oublier la vision du corps de ma si jolie voisine. Hélas… ! Je ne pus m’empêcher de regarder Câline qui frottait son petit museau au creux de la main de sa maîtresse. Mon regard accrocha encore l’entrebâillement du peignoir pour se perdre sur cette masse ronde, soyeuse qui, bien que ferme, se balançait doucement au rythme des gestes de mon amie. Cette fois, une envie folle de frôler, caresser, toucher, embrasser cette chair tendre fit monter en moi une vague de chaleur affolante.


Heureusement, Câline sauta des genoux de Nat pour rejoindre Ponpon sur le tapis !



Elle riait comme une enfant, essuyant du bout des doigts les restes de larmes au coin de ses yeux. Dans un geste puéril, elle se tourna brusquement vers moi, me prit par les épaules et m’embrassa sur la joue. Dans un geste réflexe, je posai aussi mes mains sur ses épaules et lui rendit son baiser. Penchées l’une vers l’autre, j’ai entouré ses épaules de mes bras, comme pour consoler une enfant. Elle a posé son visage contre mon épaule, ses cheveux caressèrent ma joue. Je sentais son souffle tiède dans mon cou, sa poitrine contre la mienne et je ne résistai pas à l’envie de caresser ses cheveux. Nous sommes restées enlacées ainsi une minute. (Que c’est long ou bien trop court une minute !) Toujours contre moi, elle s’est légèrement redressée, a plongé un regard étonné dans le mien, silencieuse, semblant surprise de notre attitude mutuelle. À quelques centimètres de mon visage, je contemplai le sien, son regard très doux, ses cheveux blonds, son nez fin, ses lèvres brillantes, entrouvertes comme dans l’attente d’un baiser.


Et ce qui devait arriver arriva… J’ai posé mes lèvres sur les siennes ! Elle a eu un léger mouvement de recul mais m’a abandonné sa bouche, doucement, tendrement. Brusquement, le baiser devint plus ardent, nos langues se découvrirent, se mêlèrent… Avant que Nat ne rompe notre étreinte pour murmurer dans un souffle :



Elle me regarda encore fixement, semblant se poser brusquement mille questions. Ses mains glissèrent sur mes joues, jusque sur ma nuque et ses lèvres retrouvèrent les miennes, cette fois dans un baiser enflammé ! Sans abandonner sa bouche, je l’ai repoussée contre le dossier du canapé puis j’ai posé la main sur le bord de l’échancrure de son peignoir, à hauteur de son cou. Je la sentais frémir contre moi. Sa langue fouillait ma bouche. Mes doigts sont partis lentement à la conquête de ses seins, découvrant un globe gonflé, souple, chaud à la pointe dressée par ma caresse. Son jumeau était tout aussi doux ! Quel délice de laisser courir ma main sur cette poitrine offerte ! La respiration de Nat s’accéléra. N’y tenant plus, je m’arrachai à notre baiser pour poser les lèvres sur ses seins, embrassant, mordillant, lapant la peau douce, les pointes durcies, j’étais comme folle ! Nat prit ma tête entre ses mains comme pour m’empêcher de m’évader, me maintenant contre elle en gémissant :



La ceinture du peignoir ne résista pas et c’est le corps totalement dénudé de mon amie qui s’offrit à mes yeux, à mes caresses, à mes baisers. Bien plus encore, c’est elle qui se cambra comme pour quémander le plaisir. Son ventre plat frémissait sous mes lèvres, ses cuisses s’ouvrirent doucement sous mes doigts et je glissai pour me retrouver à genoux entre ses jambes, le visage contre une jolie toison claire, semi épilée. La chair tendre, sensible de ses lèvres roses semblait appeler le plaisir. Du bout de la langue, j’ai effleuré l’entrée de sa grotte déjà humide de désir. Elle sursauta, comme sous l’effet d’une décharge électrique :



Ma langue a retrouvé la fleur palpitante de son sexe offert cette fois totalement. Du bout des doigts, j’ai ouvert lentement les fins pétales qui cachaient le bourgeon luisant pour le butiner longuement tout en enfonçant deux doigts juste à l’entrée du vagin pour appuyer par petits à coups sur le haut de son pubis, là où les chairs sont si sensibles. Ses cuisses, son ventre, ses hanches se sont mises à onduler au rythme de mes caresses. Brusquement, tout son corps s’est raidi, tendu en avant comme pour s’empaler plus encore sur mes doigts. D’une main, elle a plaqué mon visage sur son sexe béant tandis que son autre main torturait ses seins. Elle a jouit longuement, tétanisée par le plaisir, laissant échapper une plainte sourde :



Tous ses muscles se sont relâchés, les yeux fermés, elle semblait évanouie, abandonnée… Longtemps encore j’ai couvert ce corps délicat de tendres caresses, longeant ses cuisses, son ventre, ses seins, ses joues. Dans ma tête, tout se mélangeait. Qu’est-ce qui m’avait pris ? Devais-je regretter ? Non ! Tout me guidait vers une suite encore plus douce, plus tendre, plus torride… Et c’est Nat qui m’a persuadée du contraire en ouvrant les yeux, me regardant tendrement avant de saisir mon visage entre ses mains si douces pour m’offrir un long et langoureux baiser qui remit le feu à tout mon corps !


C’est elle encore qui a découvert mes seins, posé sa bouche sur ma peau… Laissé courir ses mains, ses lèvres sur mon corps. Mes vêtements se sont volatilisés, je me suis retrouvée aussi nue qu’elle au creux du canapé. Beaucoup plus audacieuse que je ne pouvais l’imaginer, elle a très vite enfoui son visage entre mes jambes pour me rendre toutes les caresses que je lui avais prodiguées auparavant. Rien à voir avec la langue virile de mon mari, si agréable soit-elle ! Là c’est une lenteur, une douceur infinie, une pointe agile qui frétille sur mes lèvres, mon clitoris que je sens gonfler, un doigt fin qui s’immisce au fond de mon ventre, qui s’arrondit pour suivre les contours les plus sensibles de ma vulve, me faisant frémir de joie. Elle m’amène au bord de l’orgasme puis laisse mes chairs se calmer, m’obligeant à me tordre sous elle pour tenter d’achever cette lancinante montée vers le plaisir. J’ai envie de hurler, de la supplier de m’achever mais je n’arrive qu’à prononcer des mots sans suite :



Et les caresses recommencent, plus gourmandes encore, je sens que je vais crier, mes mains se crispent sur mes seins douloureux à force d’être malmenés par mes doigts. Tout en me léchant lentement, Nat relève légèrement la tête et son regard croise le mien. J’y vois luire une flamme étrange, ce n’est plus le regard timide que je connaissais. Celui-ci est empreint d’une lubricité inquiétante, affolante ! Je suis trempée, le doigt de Nat accélère son jeu, rejoint par un, deux, trois autres qui écartèlent ma vulve.



Mais la folie ne fait que commencer ! Du bout des lèvres, Nat aspire mon bourgeon, faisant monter mon plaisir d’un cran, je suis au bord de la jouissance. De sa main libre, elle écarte un peu plus mes cuisses, se redresse, abandonnant mon clitoris. Ses doigts fichés en moi s’agitent lentement, je retrouve son regard, elle me sourit et là, la folie s’empare de moi. Ses doigts, sa main fine, commencent un lent mouvement circulaire, je me sens écartelée. Deux ou trois va-et-vient encore et je pousse un cri lorsque mon ventre cède à la douce poussée. Sans aucune douleur, la main de Nat vient de me pénétrer jusqu’au poignet ! Elle se penche sur moi, lèche, aspire mes seins tout en agitant sa main en moi, comme un énorme sexe qui aurait plusieurs ramifications indépendantes. Toute sa main, abondamment lubrifiée sort de mon ventre puis y replonge jusqu’à ce que le bout de ses doigts caresse mon utérus.



L’affolante pénétration s’accélère, je suis envahie, pleine de cette main qui s’agite horriblement en moi ! Nat se penche sur moi, ses dents emprisonnent la pointe de mon sein droit, une morsure tendre et cruelle m’achève… J’explose ! ! !



Lorsque je rouvre les yeux, Nat est assise à mes côtés, me couvant de son regard qui a retrouvé toute sa douceur. Elle n’a que refermé légèrement son seul vêtement qui laisse encore admirer ses seins fiers. Je suis bien, le calme est revenu dans ma tête, mon corps et je me sens sereine. Nous échangeons un sourire, nos doigts se frôlent un instant. Le café est froid, nous avons toutes deux la gorge sèche. Je me lève pour servir deux grands verres de jus de fruits, j’en profite pour inviter Nat à prendre une douche. Lorsqu’elle redescend de la salle de bains, je m’offre le même luxe, bien mérité, puis la rejoint au salon après avoir passé un peignoir.

En riant elle me dit :



À nouveau, nos regards se sont croisés. Ses prunelles reflétaient me même éclat que lorsqu’elle m’avait fait l’amour. Un long frisson est remonté dans mon dos. Mais, avec le même sourire si tendre elle ajouta :




Mais ça, c’est une autre histoire qui fut très… chaude !