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Temps de lecture estimé : 9 mn
03/06/12
Résumé:  Suite à la demande de plusieurs lecteurs, ceci est la suite de mon récit « Thé dansant (n°14948)» ou mes premiers pas en milieu cougar...
Critères:  fh fplusag nympho collection pied facial cunnilingu fdanus init -totalsexe -fplusag
Auteur : Scorpiondeluxe            Envoi mini-message

Série : Le jeune homme et les cougars

Chapitre 02
Brigitte la cougar

… Brigitte avait 55 ans et c’était une sacrée bourgeoise libérée…




Sitôt sa majestueuse fellation prodiguée dans ma voiture, elle recommença à me parler de tout et de rien, comme s’il ne s’était absolument rien passé. Nous partîmes donc pour chez elle. Sur le chemin, elle s’épancha un peu sur sa vie en tirant sur sa fine cigarette.


Sur la route qui nous menait vers son appartement à Neuilly, elle avait cette allure de femme bourgeoise qui s’était peu à peu muée en demi-mondaine, une femme qui avait le démon de midi, qui voulait redevenir femme… Elle m’expliqua qu’elle était séparée, son mari l’ayant quittée cinq ans auparavant pour « une jeunette, ce beau salaud ». Dès lors, depuis sa séparation, elle avait décidé de reprendre les choses « en mains », de redécouvrir sa féminité et de s’offrir de « petits plaisirs » comme elle disait.


Ah ! c’est clair que Brigitte avait de sacrés arguments pour faire plaisir à un homme… Elle avait fait le deuil de sa séparation en se découvrant un côté « femme libérée », en fréquentant d’abord les « thés dansants » puis de fil en aiguille, les partouzes et autres soirées parisiennes débridées. J’appris ainsi que ces « après-midi » se continuaient en soirées olé-olé et en parties fines chez les uns et les autres « habitués », qu’elle s’était régulièrement tapé des gigolos qui l’avaient « baisée comme une pute » et qu’aujourd’hui, elle aspirait tout simplement à se faire plaisir sexuellement au gré des hommes « plus ou moins jeunes » qu’elle rencontrait…


Nonchalamment, je laissais glisser le bout de mes doigts sur ses jambes tout en conduisant. Écartant ses cuisses, elle me facilita même le passage pour que je puisse caresser son abricot mûr à travers le tissu de son string… Tout en lui caressant doucement les cuisses, je lui rappelai combien j’étais charmé qu’elle ait pu me choisir MOI plutôt qu’un autre… Elle eut ce sourire carnassier en me disant qu’elle aimait la chair « fraîche »…



Elle habitait donc Neuilly dans un de ces immeubles haussmanniens qui donnent tout de suite le ton d’une « certaine bourgeoisie ». Comme je ne cessais de me le répéter en moi-même : « Tu vas te taper une belle salope de bourgeoise qui a le feu aux fesses, applique-toi bien, il faut assurer ce soir ».


Son appartement était décoré avec goût et je me souviens surtout de ce tapis en panthère qui traînait majestueusement dans le salon :



Un canapé en cuir crème, des meubles anciens, de grandes plantes vertes et surtout son parfum qui semblait flotter partout : j’étais simplement une jeune proie prête à se faire déguster, dans la tanière d’une belle cougar.


Elle me demanda ce que je voulais boire :



Et elle se prit un whisky.

Je me sentais comme dans une salle d’attente. Je la regardais revenir vers moi se déhanchant sur ses hauts talons de 15… Brigitte, le noir lui allait si bien… Elle vint s’asseoir à côté de moi, se déchaussant pour venir sur le canapé. Elle posa ses jambes sur moi et je commençai à lui caresser les pieds. J’aime les pieds surtout quand ils sont gainés de bas noirs, avec ces renforts au talon et près des orteils qui font ressortir le côté « fumé » des bas. Mes doigts glissaient doucement, allant et venant avec beaucoup de délicatesse sur ses jambes. Je devinai un fin bracelet en or à sa cheville, je matai ses doigts de pieds recouverts de vernis rouge, comme on dit, « Brigitte était une femme raffinée jusqu’au bout des ongles… »


Était-ce l’effet de l’alcool ? Je me mis à rapprocher mon visage de ses pieds, comme pour venir la respirer jusqu’au bout d’elle-même. Je passai mes lèvres sur le bout de ses doigts de pieds, je me surpris même à lui lécher le dessous de ses pieds, comme pour la chatouiller. Elle avait l’air d’aimer ça, elle me dit que « ça lui faisait du bien »… Je m’occupai, d’un pied, puis de l’autre, avec une infinie douceur, comme si je savourais à fond ce moment unique, comme si j’étais l’élève d’une maîtresse femme qui voulait tester mes capacités à devenir un bon amant… Elle avait de très jolis pieds pour son âge et même si je n’étais pas particulièrement fétichiste, je m’amusais à les parcourir avec mes lèvres. Comble du comble : c’était moi qui me régalais de ma belle Cougar !


Brigitte avait cette sensualité de la femme bourgeoise qui n’a plus de leçon à recevoir et qui a la force de l’âge et de l’expérience comme principal atout de séduction. C’était une sacrée séductrice, la Brigitte ! Sans avoir l’air d’y toucher, elle faisait ce qu’elle voulait de moi. Elle me menait où elle voulait par le bout du nez. Je continuai de la caresser langoureusement, en remontant avec ma bouche le long de ses jambes, en écartant un peu ses cuisses car j’avais très envie de sa chatte. Elle se laissait faire, les yeux mi-clos, elle me laissa poser mon visage sur l’intérieur de ses cuisses, je remontai un peu sa jupe, découvrant le haut de ses bas et l’attache de ses porte-jarretelles… C’était hyperexcitant, et inutile de dire que j’étais aux anges.


Délicatement, je lui ouvris encore un peu plus les cuisses, dévoilant une superbe culotte noire toute transparente, qui rendait son sexe imberbe encore plus désirable. Je posai ma bouche dessus. Je pris d’abord soin de humer ce parfum si caractéristique d’une femme en chaleur, cette odeur mêlée de mouille et d’urine qui transperçait à travers sa culotte. Je respirais sa belle chatte de bourgeoise, je posais ma bouche en respirant dessus, j’allais et venais avec ma langue, je voulais m’enivrer de son intimité la plus secrète.


Mais j’en voulais plus.


Je lui enlevai sa culotte et repris mon bel ouvrage. Je reposai mes lèvres sur ses lèvres intimes et elle me prit la tête entre ses mains. Peu à peu je la fis comme ronronner. Elle commença à murmurer des « c’est bon, continue », des « tu me fais du bien, tu sais » ou bien encore des « tu es doué, mon salaud »… Je lui léchais la chatte avec application et je sentais le goût de sa mouille qui venait imprégner ma langue. J’écartais ses lèvres avec mes doigts, histoire de venir la fouiller encore plus intimement. Elle avait pris soin de dégrafer son chemisier et son soutien-gorge et elle se caressait les seins tandis que je la léchais. Je remontai ma langue jusqu’à son clitoris, tout en lui caressant le ventre et les hanches avec mes mains : j’aime sentir ces tremblements préorgasmiques qui étreignent les femmes quand on leur lèche la chatte. Elle gémissait de plus en plus sous mes caresses buccales. Je sentais surtout sa mouille qui dégoulinait intensément sur ma langue et mes lèvres qui faisaient ce bruit de succion si caractéristique dans le silence de l’appartement et qui rajoutaient à mon excitation.


Du bout de la langue, je ne la lâchais pas, je sentis qu’elle se tortillait de plus en plus. Moi j’agrippai mes mains à ses fesses pour bien plaquer mon visage contre sa chatte et d’un coup elle commença à me dire :



Et je sentis sa belle chatte s’ouvrir, sous mes coups de langue, avec son jus encore plus abondant qui sortait du plus profond d’elle-même. Dans un râle primal, qui venait du fond d’elle-même, elle se mit à jouir avec une tonalité grave, presque animale. Je continuais encore et encore de la lécher, me régalant de sa belle mouille de femme mûre.


Inutile de dire que j’étais super excité et que je n’avais plus qu’une seule envie : c’était de la baiser sans ménagement.


J’enlevai fébrilement ma chemise, mon pantalon, mon boxer, dévoilant mon sexe au garde-à-vous. Je pris ses jambes pour les mettre sur mes épaules et la pénétrai comme ça, d’un coup. Après son orgasme, sa chatte était brûlante et ma queue y glissait comme dans du beurre.


Ce qui m’excitait le plus, c’était de la baiser alors qu’elle était encore en lingerie. Je sentais ses bas noirs qui caressaient mes épaules alors que je rentrais et sortais en elle. Mon sexe faisait ces bruits de succion, comme si elle était littéralement aspirée par sa chatte en fusion. Je la baisais jusqu’au fond de son ventre, lui donnant de grands coups de queue. Ça avait l’air de lui plaire car elle gémissait en me disant :



Je tenais ses jambes écartées. J’avais une belle salope de bourgeoise sous l’emprise de ma bite et elle aimait ça. Oui, Brigitte, cette belle chaudasse, aimait mes bons coups de queue et la baiser chez elle, sur son canapé, m’excitait au plus haut point. Les « floc-floc » de sa chatte sous mes coups de reins, ses halètements, ses jambes que je tenais écartées, tout ça décuplait mon envie de bien la baiser. Ah, elle était sacrément bonne, la Brigitte !


On changea de position, elle se mit à quatre pattes, je la pris en levrette, lui tenant et lui pétrissant ses gros seins avec mes mains : je voulais sentir ses tétons durs entre mes doigts. Elle avait gardé son chemisier noir transparent, je la tenais bien par les hanches pour la prendre « sauvagement », comme elle me le demandait. Mon bassin claquait contre son entrejambe, je me surpris même à lui claquer les fesses de la paume de ma main, bien à plat et elle en redemandait ! :



À ce rythme-là, excité comme j’étais, je n’allais pas tenir très longtemps et alors que je la besognais, que je n’arrêtais pas de lui dire :



Je finis par lui dire :



Elle se dégagea pour m’offrir sa bouche. Elle avait ces yeux de vicieuse chaudasse qui réclamait sa dose de sperme. Oui, Brigitte était une sacrée gourmande. On aurait dit une scène de film de cul au ralenti… Moi, en train de me branler devant son visage, elle qui me caressait les couilles tout en ouvrant sa bouche à fond. Elle m’encourageait par des :



Et des :



Ce qui devait arriver… arriva, dans un dernier mouvement du poignet, je lâchais la purée sur sa langue, sur sa bouche carmin et jusque sur ses cheveux platine, quelques gouttes allant même s’écraser sur son chemisier de soie noire… C’était elle la prédatrice et pourtant, souillée de mon foutre, c’était elle l’arroseur arrosé…


Son petit sourire en coin me fit comprendre que j’avais, haut la main, réussi mon examen d’entrée. Elle m’entraîna jusque dans sa chambre où l’on remit le couvert plusieurs fois…


Brigitte était insatiable.


Brigitte avait le feu aux fesses.


Je l’ai prise allongée, assise, debout : c’était une vraie chaudasse, assoiffée de plaisir. Le top du top, ça a été quand elle m’a demandé de lui mettre entre les fesses un magnifique gode en inox qu’elle avait sur sa table de nuit.



Je lui ai écartelé son petit trou, tout en lui possédant sauvagement la chatte. Je sentais le gode dans son cul qui frottait contre ma bite : c’était divin !


On a baisé toute la nuit, j’ai cru que j’allais lui défoncer son matelas tellement elle en voulait ! Sous ses airs de sainte-nitouche, c’était une sacrée bombe sexuelle, ma Brigitte ! C’est aussi ça qui m’excitait terriblement chez elle : la défoncer comme la dernière des putes alors que j’aurais pu la croiser en train de faire ses courses, en serre-tête, jupe plissée et ballerines, très snob et hautaine, du style « Brigitte-la-coincée-du-cul » !


On finit par s’endormir, complètement cassés l’un et l’autre par nos parties de jambes en l’air. J’avais la bite en feu tellement je l’avais limée. Je m’endormis auprès d’elle, mes mains sur son ventre tout chaud, un peu protecteur…


Puis, tel un Arsène Lupin du sexe, un cambrioleur de chattes, un voleur d’orgasmes, je la laissai au petit matin, endormie, jetant un dernier regard attendri sur elle, ma cougar Brigitte, une lascive chienne fidèle… Elle avait les cheveux en bataille, son parfum imprégné sur ma peau, et je la quittai à regret, lui laissant sur sa table de nuit mon numéro de téléphone griffonné sur un papier accompagné d’un laconique :


« Rappelle-moi quand tu veux… »