n° 15022 | Fiche technique | 23844 caractères | 23844Temps de lecture estimé : 15 mn | 09/06/12 |
Résumé: Jean et Gauthier se retrouvent dan la nuit tombante à 800m de leur bivouac. Gauthier vient d'assister à l'étreinte entre Abdou et Jean (voir épisode 1). | ||||
Critères: hh jeunes vacances lingerie hféminisé fellation hsodo confession -coupfoudr -hhomo -nature | ||||
Auteur : Mario (J'ai vécu une expérience similaire dans le désert) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Dans le Hoggar Chapitre 02 | Fin provisoire |
Résumé de l’épisode précédent : Jean réalise un trek dans le sud de l’Algérie. Décor minéral, Gauthier l’indécis qui partage sa tente, et Abdou le jeune garçon cuisinier… les vacances commencent et la saga aussi.
La nuit est en train de tomber. Dans cette partie du monde, cela se fait très rapidement. Et la fraîcheur vient avec, très vite aussi. Gauthier porte en collier sa lampe frontale. Il a mis une laine polaire et un chèche autour des épaules. Comme souvent quand je ne suis pas à l’aise, je préfère attaquer :
Ses yeux en amande sont tout sourire quand il me répond :
Le temps de se parler, de s’exprimer, le silence environnant, c’est ce que je découvre et apprécie dans cette aventure. Je veux dire le trek.
Et surtout dans ce désert minéral où chaque bruit est source d’intérêt. Parce qu’on a le temps, tout le temps qu’il faut, parce que le téléphone ne va pas sonner, parce que rien pas même une mouche ne va interrompre le silence continu, et qu’un garçon réservé comme Gauthier, surtout sur ce sujet, qui pour des garçons de nos âges est tout de même critique, peut se raconter sans dramatiser. En oubliant son possible mal-être, les questions sans réponses, les mauvais feelings, le regard des autres, le regard interrogatif de ses proches…
Par la longueur… proustienne de ma phrase, j’essaie de traduire l’effet que l’on ressent tous à un moment ou à un autre, cette angoisse, ce doute dont la fin est rarement écrite.
La tension est bien retombée entre nous. Pendant que je parlais et posais ma question, ma main est venue doucement caresser la joue de Gauthier, descendre le long de son cou, puis effleurer son torse et deviner son téton charnu sous son vêtement. Gauthier me laisse faire. Il rentre son ventre et m’aide dans ma volonté de découvrir la réalité… tétonique, car ma main passe sous la laine polaire, rencontre le tee-shirt, le soulève, caresse délicatement le nombril, puis remonte lentement vers la courbure de son sein… Qu’est-ce qu’il est musclé ! Lorsque mon index rencontre le téton, celui-ci semble répondre en ayant comme une légère contraction !
Comme si mon geste avait électrifié Gauthier, celui-ci sursaute légèrement en me répondant :
Son bras est venu entourer mon cou. Ses lèvres s’approchent de mon visage, semblent quêter un assentiment. Moins d’un quart de seconde plus tard, ma bouche vient à la rencontre de la sienne. Ses lèvres ont le goût du lipstick et aussi du dentifrice. Sa langue prend l’initiative suivante en venant forcer son passage jusqu’à la mienne. Lorsque le contact se produit, j’ai l’impression de recevoir une décharge d’électricité tant c’est agréable ! J’ai dû gémir de plaisir et Gauthier, comprenant ce que je ressens, m’enserre alors avec force avec ses bras, et la force de son baiser vient me montrer que mon bonheur est bien partagé.
Voilà ce que me dit Gauthier entre deux fougueux baisers. Je ne dis rien, je l’écoute. Ma main curieuse vient soulever la ceinture élastique du short et rencontrer un slip fait d’une étrange matière… sous lequel je ne suis pas surpris de trouver son sexe en érection et ce liquide visqueux autour de son gland pour témoigner de… son émoi !
Lui se contente pour l’instant de garder ses deux mains autour de mon cou et à s’appliquer dans le long baiser qu’il me donne, comme si sa vie en dépendait.
Il sourit à nouveau. Ses mains vont vers son short :
Il descend son short et je découvre dans l’obscurité presque totale maintenant, un slip… comment dire en dentelle noire, avec des motifs de fleur, et qui joliment, laisse deviner le corps qui se cache dessous.
Rapidement, il finit d’enlever son short, fait aussitôt glisser le slip et me le tend. Ce faisant, son sexe qui n’est plus retenu, apparaît dans toute sa beauté et sa raideur, et même si je suis tenté par le slip, c’est vers le pénis que je me penche.
Je l’embrasse délicatement, et mes lèvres sont aussitôt en contact avec ce liquide visqueux autour du gland. Je lèche le gland. Je bois le liquide… C’est bon… Davantage de liquide, sans doute en attente dans le canal s’en dégage. J’aime le goût de ce liquide, plus que celui du sperme je crois !
Alors qu’il tient son slip de la main gauche, ma bouche enfourne sa queue, et je commence de lents va-et-vient.
Mes mains ont pris possession avec fermeté de ses fesses bien lisses et ma bouche descend et remonte lentement le long de sa tige…
Je sens l’effet que je lui procure non seulement aux contractions de son sexe, mais également à celles diffuses de son bas-ventre. Son sexe est différent de celui d’Abdou, moins charnu à la base mais plus long, beaucoup plus long même… Je sens les efforts de Gauthier pour aller au plus profond de ma gorge, et je me détends autant que je peux pour que le contact en douceur de son gland ne vienne pas provoquer un hoquet malencontreux qui viendrait gâcher son plaisir, notre plaisir.
Je réponds par un grognement en lui signifiant de se laisser aller.
Lorsque son sperme m’envahit, je ne suis pas surpris, j’ai deviné l’instant d’avant, j’ai senti l’extrême dureté, puis l’ultime contraction, j’ai entendu son gémissement, sa plainte. J’essaie de ne pas changer le rythme de pénétration buccale afin que son plaisir ne soit pas diminué. Gauthier essaie de ne pas crier trop fort, mais ses bruits de plaisirs continuent tout au long d’une vingtaine de va-et-vient après le début de son éjaculation.
Je ne me suis même pas posé la question d’avaler ou pas… J’ai avalé presque contraint… Je sens alors sa volonté de sortir. Ma bouche s’accroche à son sexe, mes mains contiennent les efforts de ses fesses pour aider sa sortie de ma bouche. Il se bat. Je résiste. Ses cris deviennent plus forts et il parvient enfin, et de force, à s’extraire et se projeter sur le côté…
J’aspire à fond depuis plusieurs mouvements pour être sûr qu’aucune goutte de sa semence ne m’échappera. Je le laisse récupérer sa respiration en caressant doucement sa poitrine, faisant naître en lui quelques frissons que je ressens en touchant la chair de poule que crée ma caresse. L’instant d’après, nos bouches sont de nouveau emmêlées dans un délicat baiser.
Nous rigolons. Nous sommes allongés côte à côte, les yeux hypnotisés par le splendide spectacle des étoiles dans la nuit noire. Au loin, c’est-à-dire à 800 m, on entend à peine parfois une voix un peu plus forte que les autres. Je me demande si eux-mêmes ont entendu quelque chose de nos ébats. Je ne pense pas. Qu’importe. Je suis heureux. Je sais que Gauthier est heureux aussi. Je devine que Gauthier a besoin de quelques minutes pour respirer. Je ne veux pas l’agresser. Je ne veux pas qu’il ait envie de me refuser à cause du vide qui suit le coït. J’ai envie de lui faire l’amour. Je ne pense qu’à ça. Et j’espère que lui aussi ne pense qu’à ça.
Et il est sérieux en me disant ça, je le sais, je le vois.
Il sourit et ne répond rien. J’ai toujours été gêné par une attitude ou un propos trop sentimental. C’est vrai. Cela me met mal à l’aise. Et souvent dans ce cas-là, je botte en touche d’une façon ou d’une autre.
J’enfile le slip de Gauthier qui se révèle très confortable. On doit plus ou moins avoir la même taille. Il faudra que j’attende pour m’admirer dans un miroir, mais je m’y sens bien dedans. Mon érection est toujours intacte et le haut de mon gland vient buter contre l’élastique qui maintient le slip au corps. Je me lève dans la pénombre, fais un tour sur moi-même, mets les mains sur les hanches de la façon la plus suggestive possible. En gros, je fais mon show.
Je le sens hésiter un bref instant, puis il se lance.
Il me raconte qu’il a assisté à mes ébats avec Abdou. Il était tellement surpris qu’il n’a pas osé intervenir, même si l’envie était grande.
Je me retourne vers lui et l’embrasse. Il me répond avec fougue. Je l’embrasse ensuite partout sur le corps, le mordillant au passage ce qui provoque chez lui des petits cris étouffés.
Ma bouche s’empare de l’un de ses tétons pendant que ma main vient caresser l’autre. Incroyable, ses tétons, les miens sont ridicules à côté…
Ma langue tourne et retourne encore autour de son téton. Lorsque celui-ci est suffisamment dur, ce que je vérifie en donnant un petit coup de langue dessus, je viens ensuite le mordre. Gauthier gémit mais je sais que cette douleur lui convient. Pendant ce temps, mon pouce et l’index de l’autre main font naître un effet similaire sur son autre téton, et là aussi, je viens le pincer méchamment. Un mouvement du corps, des fesses de Gauthier m’indiquent quand il faut que j’arrête.
Bientôt nous nous retrouvons l’un par dessus l’autre. Lui dessus, qui me lèche très lentement le sexe, moi dessous qui lui lèche les fesses… et bientôt l’anus. Le bout de ma langue vient explorer sa petite cavité, je l’humidifie, je décris des cercles, et quand je pénètre un tout petit peu plus loin, Gauthier avale mon sexe un peu plus loin pour étouffer le gémissement de plaisir que cela fait naître en lui.
Plus tard, c’est mon doigt qui rentre en lui et vient à son tour décrire des cercles. Gauthier, à ma demande, a ralenti ses va-et-vient, car je me suis senti trop proche de l’éjaculation et ce n’est pas à ce plaisir que je veux goûter. Pas maintenant.
Toutefois, lorsque mon doigt vient en contact avec un point bien particulier à l’intérieur de son anus, Gauthier réagit aussi en me mordant le sexe. Il me fait mal… un peu… beaucoup… En fait j’adore ! Je vais avoir la queue bien rouge demain ! Pour marcher ça va être coton… encore un souvenir… À un moment je suis obligé de sortir rapidement de sa bouche par peur de ne plus me contenir.
J’attends suffisamment pour contenir en moi les flots de sperme qui menacent de jaillir, puis demande à Gauthier de se mettre à plat dos. Il relève ses jambes et les fait passer par-dessus mes épaules. L’instant d’après mon gland vient délicatement taper quelques petits coups à la porte de son anus. À plusieurs reprises, Je laisse couler un long filet de bave sur mon gland. Lorsque j’essaie de le pénétrer, ce n’est pas possible. Il s’en rend compte :
En lui disant cela, je tente en douceur de faire avancer mon gland. Au début, il résiste, puis prend l’habitude du contact de mon gland et dès qu’il se détend, j’en profite pour passer la première porte.
Car d’un seul coup, Gauthier a compris et me laisse progresser librement. À chaque coup de queue, je gagne environ un demi-centimètre, tout en douceur ! J’arrive à la deuxième porte, Gauthier gémit mais il manque toujours quelque chose pour que le passage soit complètement libre.
Il sourit mais fait comme je dis, et d’un coup je me sens comme aspiré tout au fond de son cul… mon sexe est alors introduit jusqu’à la garde. Au même instant, Gauthier émet un long soupir je ne sais si c’est de douleur ou de plaisir ! Je devine ses yeux grands ouverts ! Je me mets à le pénétrer de plus en plus vite, puis de plus en plus fort, puis sans plus aucune douceur, je le pilonne avec force… Ma main, dès le premier cri a recouvert la bouche de Gauthier qui ne peut plus retenir son plaisir… Je sens aussi qu’il me mord !
Je suis tellement excité, tant par le plaisir que me procure mon sexe en mouvement que par la vision de Gauthier qui ne se maîtrise plus du tout, que j’explose !
Nous sommes deux à gémir sans retenue l’un sur l’autre !
Nous nous arrêtons enfin ! Retombons l’un à côté de l’autre ! Je distingue du sang sur ma main ! Je suis exténué de la fatigue… de la journée et du bonheur de ce qui nous est arrivé ce soir… se connaître, faire l’amour… Nous nous endormons… un petit peu… C’est Gauthier qui me réveille…