n° 15026 | Fiche technique | 14400 caractères | 14400Temps de lecture estimé : 9 mn | 12/06/12 |
Résumé: Une femme de quarante ans se découvre une voracité de cougar... | ||||
Critères: fh fplusag inconnu caférestau collection cérébral fmast 69 pénétratio fsodo portrait -fplusag | ||||
Auteur : Jeff 2 (Le retour de Jeff) |
Grande, blonde, la quarantaine, la jupe ample qui cache à peine de longues jambes nerveuses que la belle croise et décroise avec une certaine nonchalance, Adelbert, a trouvé une belle proie, juste comme il les aime. D’ailleurs, du coin de l’œil, il la jauge, la mesure, la respire. Il a remarqué qu’elle ne porte pas d’anneau marital, qu’elle ne s’est pas encombrée de la seconde chaise – qui lui a été volée par un groupe de jeunes lycéens. Elle ne semble guère pressée. Tout semble donc lui indiquer qu’il est à côté d’une femme divorcée et certainement en manque d’amour. Intérieurement, il jubile.
Alice, perdue dans ses pensées érotiques, n’a pas remarqué le manège de ce quidam. Bien entendu, elle a suivi, machinalement sa silhouette de faux marin ou de vrai marlou qui fendait la foule de la terrasse, mais sans plus. Ou plutôt, elle l’a suivi des yeux un instant en pensant que c’était certainement un mannequin, et forte de ses idées toutes faites, l’avait classé dans la catégorie « homo » et s’en était totalement désintéressée.
Aussi, quand le garçon surgit soudain en renouvelant sa consommation, sans qu’elle n’ait rien demandé, elle lève un regard troublé et interrogateur vers la table que lui désigne le loufiat avec son amabilité légendaire.
Adelbert salue en direction d’Alice, avec un grand sourire avenant et un clin d’œil complice. Alice ne sait qu’elle contenance adopter. Doit-elle refuser ? Doit-elle s’offusquer ? Accepter ? Mais elle n’a pas le temps de faire le tour des interrogations vertueuses qui l’assaillent que son « bienfaiteur » est devant elle. Pantalon moulant les fesses et mettant en valeur son paquet masculin, Alice n’ignore plus rien de sa virilité. Elle sourit, niaisement, sans arriver à détacher son regard de cette braguette et qui reste ostensiblement à la hauteur de sa vue.
Avec un instant d’hésitation qui permet à son interlocuteur de hisser au-dessus des têtes des consommateurs avoisinant une chaise et de s’y installer, Alice bredouille un « oui », gêné et à peine audible, impressionnée à la fois par le culot, la force et la désinvolture du garçon.
À mi-voix, il entreprend de la complimenter sur sa tenue, son bronzage, la boisson qu’elle boit… bref, en l’espace de quelques minutes, elle est étourdie de paroles, ne sait que répondre, hoche la tête, ouvre de grands yeux un peu effarés et finit par éclater de rire. Un rire de gorge qui éclate et fait tourner plusieurs tête. Adelbert, pour se mettre à l’unisson, rit aussi. Et leurs mains se touchent, leurs bras se frôlent, leurs jambes finissent par s’imbriquer. Une situation qui ne gêne nullement l’intrus mais trouble Alice qui était au bord de la jouissance. Ce contact viril, cette chaleur, cette odeur, cette voix grave et chaude subjuguent Alice et complètent son excitation. D’ailleurs, si elle n’était pas assise à une terrasse de brasserie au milieu d’une foule, elle se jetterait sur lui et le dévorerait, là, tout cru.
In petto, elle pense que oui, vraiment, elle est devenue cougar et décide de se laisser porter par l’aventure.
À peine les verres bus, Alice sort son porte-monnaie et paye la consommation que déjà, une main virile se pose sur son poignet et l’attire doucement vers l’avant. Deux lèvres chaudes viennent affleurer les siennes et dans un souffle rauque, une langue ferme et pointue viole sa bouche en lui roulant un long, puissant et profond baiser qui la laisse sans souffle et lui électrise la colonne vertébrale, lui fait mouiller son string. Toute étourdie, la peau électrique, elle sursaute presque au contact d’une main indiscrète qui lui palpe la cuisse et qu’elle referme brusquement sur les doigts de l’aventureux galant.
Entre deux prises de lèvres, elle a juste le temps de murmurer :
Déjà, ils sont debout, au milieu de la terrasse, elle pressée contre sa robuste carrure qui l’étreint dans un nouveau long et langoureux baiser.
Serrée contre son jeune amant, fière de se pavaner aux côtés de cette impressionnante carrure qui fend la foule avec détermination, Alice lui emboîte le pas et leurs pas les dirigent vers le métro.
Alice ne réfléchit plus. Instinctivement, elle resserre son étreinte et murmure, presque honteuse :
Les mains d’Adelbert semblent être devenues des pieuvres aux mille tentacules, envahissantes, indiscrètes, gênantes et en même temps tellement excitantes qu’Alice est sur un petit nuage et se souvient du temps lointain où ses premiers petits amis tentaient maladroitement – eux – de parfaire leurs connaissances anatomiques du corps féminin.
Moins d’un quart d’heure plus tard, deux stations de métro plus loin, Alice a les mains qui tremblent en introduisant la clef dans la serrure de sûreté. Elle n’a qu’une hâte : celle de se lover dans les bras d’Adelbert et de se laisser emporter loin… loin… aussi loin qu’il est prêt à aller avec elle.
La porte est à peine claquée que les lèvres d’Adelbert s’emparent de la bouche d’Alice et appuient un nouveau long et profond baiser. Mais cette fois, seuls au milieu du petit hall, ses mains entrent réellement en action. Avec dextérité, elles montent et descendent le long de ses bras, ses flancs, son dos, ses fesses, ses cuisses. Elles remontent en faisant crisser la soie de sa blouse, de sa jupe et dénudent ses jambes, en quelques palpations insidieuses au tant qu’indiscrètes, ses doigts s’immiscent entre la fine toile de son string et son ventre.
Un doigt raide et électrisant, légèrement boudiné, s’introduit de bas en haut de sa fente et vient se mouiller au contact de ses lèvres intimes, puis remonte prestement vers le clitoris sur lequel il vient s’appuyer, pour le faire rouler, l’écraser, le titiller, l’exciter. Alice n’en peut plus.
Elle halète, siffle, souffle, sirote la langue qui continue à la fouiller. Elle s’accroche au cou large et fort et se laisse déborder, s’abandonne et feule son plaisir. Elle écarte ses cuisses, perchée sur la pointe de ses pieds, puis les referme dans un léger claquement avant de les rouvrir pour inciter à une caresse plus longue, plus profonde. Elle veut le sentir en elle, aller et venir. Elle veut jouir. Elle veut du plaisir. Elle veut hurler. Elle veut crier. Elle… n’en peut déjà plus. Au bord de l’asphyxie, Alice a l’impression de se noyer. Entre deux spasmes, elle tente de reprendre ses esprits, voudrait reprendre la main, mais prisonnière des bras, des mains, de la langue et surtout du plaisir, elle finit par céder totalement.
Soudain, elle se sent soulevée de terre et, de façon aérienne, elle se retrouve à cheval sur l’un des fauteuils de son salon, nue, la tête d’Adelbert enfouie dans son giron. Une langue dure et fouineuse a remplacé les mains et les doigts. Deux mains lui écartent les jambes tandis qu’une terrible succion aspire ses lèvres intimes. Elle a l’impression que tout son sexe va être absorbé, avalé et l’onde de plaisir qui s’échappe d’elle est tellement forte que son corps se tend comme si elle était traversée par un arc électrique. Elle pousse un cri sauvage qui n’interrompt en rien la langue qui lui fouille l’intimité. Elle sent les dents d’Adelbert qui excitent ses chairs et son nez qui appuie sur son clitoris. Et alors qu’une seconde vague commence à la tétaniser, un pouce raide se plante dans ses fesses, écarte son anus, remue jusqu’à entrer en contact avec la paroi de son vagin et vient butter contre la langue qui sert de pénis et qui ne cesse de tourner, d’aller et venir. Alice hurle son plaisir et lâche un puis deux longs jets d’un liquide chaud qui inondent tout sur son passage avant de retomber épuisée, en travers du fauteuil.
Alice plane… Alice est épuisée mais heureuse et, en même temps, pas encore rassasiée.
En ouvrant les yeux, elle découvre, à hauteur de sa bouche une longue queue, fine et tendue qu’Adelbert lui présente. En un tour de rein, Alice s’installe plus confortablement et sans se poser de question, elle embouche le dard qui lui est présenté et s’applique à l’exciter.
Deux boules bien lourdes, viennent heurter son menton. D’une main plus timide qu’experte, Alice vient jouer avec les bourses de son amant. Quelle belle sensation… la peau chaude, odoriférante et imberbe prolonge son plaisir. Ses mains, se font rapidement de plus en plus légères et s’enhardissent pour venir papillonner sur le fessier, dur et musclé, puis les doigts descendent vers la raie des fesses, grattent timidement l’entrée de l’anus de son amant qui pousse son sexe dans sa gorge en signe de contentement. Alice s’ingénie à mouiller la queue raide sur sa longueur, puis s’attarde sur le gland, sur le frein. Elle s’enivre de l’odeur, s’étourdit de la dureté, se grise de sa longueur, s’imprègne de son souvenir, de peur de se réveiller de ce rêve…
Mais ce n’est pas un rêve. Son sexe trempé, son anus écartelé et qui la brûle, cette queue qu’elle suce, chaude et vivante, sont bien la preuve que ce n’est pas un rêve. Et voilà que deux mains viennent enserrer sa tête et donnent un nouveau rythme à sa succion. Un rythme qui s’accélère et qui excite son partenaire. En quelques secondes, Adelbert utilise sa bouche comme un déversoir et propulse au fond de sa gorge deux ou trois longs jets d’un liquide chaud, visqueux et gluant avant de se ramollir entre le palais et la langue d’Alice.
Alice, le ventre en feu, les seins durs, les fesses humides, reste un instant interloquée. La bouche pleine de la virilité de son amant, elle attend avec impatience la suite… Péniblement, elle déglutit, avec application et alors qu’elle s’apprête à interroger Adelbert, ce dernier s’étend sur le sofa et lui empoigne le bras, l’attire à nouveau vers lui. En une simple rotation des poignets, Alice se retrouve à califourchon au-dessus de son amant, tête-bêche. Devant son nez, un sexe à moitié débandé tandis que ses fesses sont tirées en arrière, écartelées et qu’un souffle chaud vient réveiller son plaisir.
Dans une stabilité toute relative, Alice pratique pour la première fois de sa vie de femme, un soixante-neuf… À peine a-t-elle le temps de sentir une longue langue qui fouille son intimité, écarte ses lèvres qu’une main impérieuse appuie sa tête vers la verge qui recommence à se déployer. En quelques instants chacun a retrouvé sa superbe. Adelbert bande, Alice se liquéfie et feule la bouche pleine. Mais Alice est bien décidée à ne pas donner totalement le plaisir attendu car elle veut sentir cette belle queue en elle.
Aussi, dès qu’elle sent que le durcissement atteint son apogée, elle se contorsionne et finit par venir s’empaler sur elle. Elle est tellement mouillée, tellement excitée qu’elle a l’impression de ne pas la sentir. Pourtant le feu qui anime son sexe redouble d’intensité au contact du corps charnu qui la sabre et voilà qu’à son tour elle monte et descend à grande vitesse pendant que des mains empoignent ses fesses, les écartent, les maltraitent et impulsent un rythme endiablé avant de se calmer pour mieux recommencer.
La chevauchée semble durer une éternité. Alice a la tête à l’envers. Elle crie, hurle, bave, feule, siffle… les cheveux en bataille, les mains accrochées aux seins d’Adelbert, les deux amants semblent à l’unisson. Tête renversée, Alice lâche son plaisir. Le plaisir de sentir un mâle lui labourer le ventre, la faire jouir, lui donner enfin le plaisir qu’elle attendait depuis…
Adelbert s’immobilise, puis change de position.
Alice, appuyée contre le sofa, se laisse totalement faire. Les cuisses brûlantes, tétanisées, luisantes de son plaisir qui déborde, elle se laisse prendre par derrière.
La queue de son amant écarte largement son sexe qui est gonflé de plaisir et de désir. Après quelques va-et-vient excitants, Alice sent l’engin sortir d’elle puis une main écarte largement ses fesses et elle sent le bout de la queue taper sur son anus, humide et ouvert. En une poussée elle se sent ouverte et respire pour absorber la douleur de la sodomie. La queue bute au fond d’elle, s’immobilise un instant, se retire un peu, revient, s’immobilise puis se retire et rentre rapidement à nouveau. La douleur est oubliée, le plaisir revient, rapidement. Alice plonge ses doigts vers son sexe et entame la masturbation de son clitoris tandis que son anus sert de vagin à son amant qui entre et sort à un rythme de plus en plus effréné. Et le plaisir monte chez les deux amants pour atteindre rapidement une surexcitation qu’Alice ne pouvait imaginer. Elle hurle de bonheur, lui, râle de plaisir et accule ses bourses à son sexe qu’il vient battre violemment dans sa jouissance puis remplit le ventre d’Alice en s’accrochant fermement à ses hanches et en se tétanisant.
Alice est ivre de ce plaisir et attend, extatique, le bon vouloir de son amant pour qu’il s’écarte un peu pour pouvoir souffler.
Plus tard, dans la nuit, après au moins trois douches et bains, dont au moins un totalement dépravé, un grand paquet de spaghettis à la sauce tomate avalé, et avoir refait plusieurs fois l’amour, Alice, tendrement calée sur l’épaule de son amant s’apprête à s’endormir quand il lui susurre à l’oreille, perfidement :