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Temps de lecture estimé : 16 mn
16/06/12
Résumé:  Mes aventures de jeunesse : 18 ans et la découverte du sexe plaisir...
Critères:  fh hplusag couleurs exhib cunnilingu préservati pénétratio confession -prememois
Auteur : Clara            Envoi mini-message
Clara - Les ouvriers

Coucou, je me présente : Clara, j’ai maintenant 26 ans. Je suis une fille simple, qui a été bien élevée par une famille attentionnée et catholique. Mon enfance a été heureuse et la nature m’a dotée d’un physique plutôt avantageux. Je m’en suis aperçue aux regards des hommes qui se posent souvent sur moi… Je fais 1,71 m pour 55 kg, blonde de nature et des cheveux qui retombent aux épaules, avec un tour de poitrine de 85b. J’ai eu ma première vraie aventure amoureuse à 17 ans avec Geoffrey. C’était un garçon de ma classe. Une relation normale entre jeunes gens du même âge. Après le bac, il est parti avec sa famille en province. Nous restions tout de même toujours officiellement ensemble.


Je me rappelle cet été-là, juste après le bac… Mon ami était donc parti et je me retrouvais seule chez moi, enfin chez mes parents, à essayer de tuer le temps comme je le pouvais. Je n’étais pas près de revoir mon petit copain qui déménageait avec ses parents loin de chez moi. C’était début juillet et je ne partais en vacances avec mes parents qu’en août. Je n’étais même pas sûre de voir Geoffrey cet été.


Cela arrangeait bien mes parents que je sois là car l’immeuble était en rénovation et des ouvriers travaillaient sur sa façade. Ils devaient aussi intervenir dans notre appartement pour repeindre les fenêtres et ma présence rassurait ma mère car ils ne resteraient pas seuls chez nous. Moi, cela ne m’enchantait guère.


Un matin de ce début juillet, une nacelle apparut devant le balcon du salon. Trois ouvriers dedans, Ils montaient et descendaient, ils n’arrêtaient pas. À un moment donné, l’un d’eux descendit sur notre balcon avec du matériel et un pot de peinture. Vu que la fenêtre était entrouverte, il toqua. J’y allai et, me voyant, l’ouvrier m’expliqua qu’il peindrait aujourd’hui ici, et pendant plusieurs jours. Je devais lui laisser les clefs ou être présente pour lui ouvrir les fenêtres.



Du coup, je n’étais plus à mon aise. Je pouvais tomber nez à nez avec cet homme à tout moment dans l’appartement, sans compter que je ne pouvais plus aller sur le balcon pour bronzer ! Enfin je me rassurais en me disant que ça ne durerait que quelques jours.


Midi sonnant, pause des ouvriers. Déjeuner léger et farniente devant la télé. Je m’assoupis sur le canapé. Un bon moment après, je me réveillai et je vis l’ouvrier qui peignait nos fenêtres, et ce, tout en me regardant ! Il se mit à me sourire, il avait l’air de m’observer depuis un moment. Je portais ce jour-là une petite jupe d’été très légère et un petit tee-shirt montrant mon nombril. Surprise de voir cet homme, je m’enfuis de la pièce… J’étais toute perturbée d’avoir été ainsi détaillée par cet homme. Il devait avoir plus de la quarantaine ; et d’origine nord-africaine. Entre eux, les ouvriers parlaient arabe.


Du coup, j’évitais de retourner dans le salon mais pour aller de ma chambre aux toilettes ou à la cuisine le passage obligé était cette pièce. De plus je devais débarrasser la vaisselle qui était restée sur la table du salon et la laver avant le retour de mes parents. Donc au bout d’un moment je m’y aventurai tout de même. J’évitai de regarder vers la fenêtre mais m’apercevant, l’ouvrier m’interpella :



Du coup je m’approchai de lui…



Je blêmis à l’idée que cet homme ait pu m’observer pendant plus d’une heure. Dieu seul savait où il avait posé ses yeux ! J’en étais du coup toute gênée et mal à l’aise. Je lui dis que ce n’était pas grave et que j’étais fatiguée. Oui, n’importe quoi : je me justifiais en plus, alors que j’étais chez moi !



En fait, même pas, mais j’acquiesçai pour m’en débarrasser mais il renchérit en me posant plein de questions. Et comment je m’appellais, mon âge, si mes études ça allait, il n’arrêtait pas. Et moi qui lui répondis, n’osant pas m’en aller. Il me parla aussi de lui, qu’il avait 44 ans, Tunisien, Mustapha comme prénom… J’ai même su qu’il était célibataire et venu en France depuis seulement quelques mois pour travailler. Au bout d’un moment, je lui dis qu’il fallait que je fasse la vaisselle, il sourit alors et me dit :



Je lui souris, gênée, et me retournai, sentant que je rougis alors subitement. J’étais super mal à l’aise et je ne voulais pas qu’il s’en aperçoive. Lui faisant dos, je ramassai les couverts, toute tremblante… Il fallut que je fasse plusieurs allers et retours et chaque fois l’homme me regarda de plus belle. La vaisselle terminée, je m’apprêtai à regagner ma chambre en traversant le salon aussi vite que possible mais tout en m’apercevant qu’il me regardait toujours.


Vers 16 h 30, j’entendis la nacelle venir récupérer notre ouvrier. J’observai la scène de ma chambre en prenant soin que les hommes ne puissent pas me voir. Ils étaient trois dedans, tous des étrangers. Il y avait mon ouvrier et deux autres. Un d’une vingtaine d’année, un Black, et l’autre devait être cinquantenaire. Ils se parlaient arabe bruyamment.


On était lundi et il y en avait pour la semaine…


Le soir, je repensais à tout cela et je m’aperçus que cela m’avait perturbée. Je repensai à la façon très insistante dont l’ouvrier m’avait regardée et mine de rien regardait mon corps : mes seins, mes hanches, mes jambes. Toujours un petit coup d’œil appuyé. Et aussi sa façon de me dire que j’étais belle. Un sentiment bizarre était en moi. À la fois un rejet de cet homme et, a contrario, comme une sorte d’attirance. Je ne comprenais pas, tout se chamboulait dans ma tête.


Le lendemain je me réveillai vers 8 heures. Mes parents partaient et ma mère me demanda de surveiller les ouvriers ! Encore une journée enfermée et à les éviter, pensai-je. Je pris ma douche et, tout en me lavant, mes pensées s’égarèrent. J’en fus sortie en entendant des petits coups à la fenêtre du salon. Je réalisai alors que ce devait être l’ouvrier qui voulait commencer à travailler et il fallait lui ouvrir la fenêtre !


Surprise, je me dépêchai et sortis en enfilant mon peignoir. J’arrivai ainsi accoutrée devant la fenêtre et devant l’ouvrier de la veille. Comme je m’approchai je vis ses yeux s’écarquiller en me voyant ainsi vêtue et moi, du coup, réalisant ma faute !


J’ouvris tout de même la fenêtre, peu rassurée. Il s’excusa un peu comme la veille mais encore plus de m’avoir sortie de ma salle de bain. C’est alors que je vis la nacelle d’où il venait, monter et passer devant notre balcon. Les deux autres ouvriers de la veille dedans et tous leurs yeux scotchés sur ma personne ! L’un d’eux, le plus vieux, ne put s’empêcher d’émettre un coup de sifflet admiratif. Je n’osai pas les regarder et fis semblant de me concentrer sur la conversation avec mon ouvrier. Lui se retourna et leur parla en arabe et ils rirent alors et disparurent dans les étages supérieurs. Dieu seul, à part eux, savait ce qu’ils s’étaient dit…


Je restai ainsi là plus d’un quart d’heure, ne pouvant m’en dépêtrer. J’eus encore droit entre autres à des compliments sur ma beauté naturelle de jeune femme…


Finalement retournant dans la salle de bain je pris tout mon temps. Je me surpris à me maquiller alors que je ne le faisais pas habituellement quand je restais à la maison. Puis, devant mon placard je pris un soin particulier à choisir ma tenue. Je sortis enfin une robe d’été rose bonbon et courte à mi-cuisses. C’était une robe de plage très légère. Il faisait chaud ce jour-là. Je sortis aussi des dessous blancs en dentelles ; le haut et le bas faisaient partie du même ensemble et la culotte était un string. Peut-être que les compliments de l’ouvrier m’avait donné envie de me faire belle, ma parole !


Une fois habillée, je ne sus que faire. Soit rester dans cette chambre à m’ennuyer ou aller dans le salon regarder la télé. Mais alors cet homme serait là. Finalement, je pris la décision d’aller dans le salon tout de même. L’homme était toujours là, s’affairant à peindre les fenêtres en sifflotant. J’allumai la télé comme s’il n’était pas là mais, me voyant, il ne put se retenir de changer le son qui sortait de sa bouche en sifflet admiratif du plus mauvais genre ! Je fis comme si je n’avais pas entendu.


C’est alors qu’il se remit à me parler encore et encore… D’abord, il me félicita sur ma tenue me trouvant très belle et moi essayant de faire dévier le sujet pour éviter de rougir lamentablement. Il changea de sujet, ouf ! Mais mine de rien il cherchait à savoir si j’avais un petit ami. Je lui dis que oui. Il trouvait cela normal et s’étonnait que je ne sois pas avec lui. Et moi qui lui expliquais qu’il était parti loin et que je n’étais pas près de le revoir. Il se mit à me plaindre, trouvant cela anormal et injuste pour une si belle jeune femme ! Comme toujours, il s’arrangeait pour faire des compliments sur ma personne.


Contre toute attente, à force de me parler je trouvais finalement la présence de l’ouvrier plutôt agréable. Je commençais à prendre goût de cette compagnie, je me sentais moins seule et j’avoue que l’attrait que je procurais à cet homme me flattait. La façon qu’il avait de me regarder en disait long sur l’envie que je lui procurais. Il était rare que je me laisse « draguer » comme cela. Habituellement je ne leur en laissais pas l’opportunité.


En fait j’étais curieuse de voir jusqu’où cet homme irait. Oserait-il aller plus loin avec moi ? Me ferait-il des propositions somme toute indécentes ? Même si je le redoutais, je ne pouvais m’empêcher de continuer à jouer ce petit manège.


Nous discutions toujours ensemble, lui perché sur son escabeau peignant les fenêtres et moi, assise sur le canapé pas loin de lui. La télé était allumée mais je n’en suivais pas le déroulement. Je la regardais distraitement par moments tout en l’écoutant ou en lui parlant. À un moment, alors que je relevai les yeux de l’écran pour le regarder, je vis ses yeux rivés sur mes cuisses découvertes. Il avait une vue plongeante de son perchoir ! Sacré lui ! pensai-je, il ne perdait pas une miette de la vue de mes cuisses grâce à ma robe très courte qui lui permettait d’en voir une grande partie. Je faisais comme si je ne l’avais pas vu et l’idée me vint de croiser et décroiser mes jambes plus souvent. Effet immédiat, mon ouvrier avait maintenant les yeux dessus ! Je m’étonnai moi-même de jouer à ce petit jeu-là, mais pourquoi ? pensai-je.


Puis la nacelle redescendit des étages supérieurs avec ses autres collègues afin de venir le chercher pour la pause déjeuner. Eh oui, il était déjà midi ! Nous discutions au moins depuis deux heures. Incroyable je n’avais pas vu le temps passer, lui non plus d’ailleurs car il paraissait surpris et aussi n’était pas pressé de s’arrêter ! Du coup il tenta :



Ce n’était pas vrai mais c’est le seul argument que je trouvai pour m’en sortir… Il insista un peu mais voyant que je ne pouvais pas, il arrêta. Le voyant partir, j’en fus sur le coup soulagée. Tout remontait maintenant à la surface, je me posais mille questions sur mon comportement. Le petit jeu des croisements de jambes me parut fou. Je poussai un petit cri de surprise quand je m’aperçus que le fond de mon string était tout mouillé ! Mais que se passait-il ? À ce moment j’avais deux côtés en moi. Le premier celui de la petite fille bien élevée qui protestait énergiquement contre la façon de se comporter et l’autre qui, a contrario, me faisait m’amuser de cette situation. Bref, j’étais toute chamboulée et mes pensées n’étaient que sur ce sujet-là.


Je mangeai, comme à mon habitude légèrement, et je me surpris à penser à cet homme… Son aspect un peu rustre, la peau mate du Tunisien qu’il était, l’odeur du travailleur, ses habits de travail peinturlurés, son langage tellement différent du mien. Je n’étais pas habituée à côtoyer ce milieu.


Après le repas et pour me changer les idées, j’entrepris de lire un magazine sur les « people » et aussi de mettre la TV en fond. Ça avait au moins le mérite de ne pas me faire trop réfléchir. Puis, à un moment, j’eus une idée folle ! Je décidai de m’allonger sur le canapé. Ce dernier était placé perpendiculairement à la fenêtre. Je pris soin de me placer de façon à ce que mes pieds soient côté fenêtre. Il était presque 14 heures et c’était l’heure où l’ouvrier devait reprendre. Je décidai de faire semblant de dormir pour l’observer et voir sa réaction. En effet, du balcon, il aurait une belle vue sur ma personne et notamment sur mes jambes.


Je l’entendis arriver. J’ouvris à peine les yeux mais je pus tout de même l’observer sans qu’il puisse deviner que je ne dormais pas. J’écartai alors doucement mes jambes… Il m’aperçut et me voyant dormir, il s’approcha du canapé. Il avait les yeux rivés sur mon entrejambe ! Il pouvait observer mon petit string d’où il était. Il ne se privait pas de bien regarder avec des yeux ronds de satisfaction… Je le laissai regarder pendant au moins cinq minutes puis je resserrai mes jambes et me mis sur le côté. Me voyant bouger, il retourna vite fait à son poste de travail !


Je fis alors mine de me réveiller. Il se remit alors à me faire la conversation de plus belle. Me glissant des compliments sur ma beauté, naturelle d’après lui. Je ne fis mine de rien et m’efforçai de changer de sujet chaque fois, mais il revenait de plus en plus à la charge. J’en étais, au fond, de plus en plus flattée. À un moment donné, cela faisait bien une heure et demie qu’on bavardait et qu’il faisait de plus en plus chaud, je décidai d’aller à la cuisine me désaltérer. Voyant l’ouvrier et en plein soleil, je lui proposai s’il voulait boire aussi. Il accepta volontiers.


Dans la cuisine en train de préparer les boissons, je revoyais le regard obsédé de l’homme sur mon string quand je dormais. J’étais de plus en plus perturbée par cette situation… Je revins dans le salon les bras chargés d’un plateau contenant une carafe d’eau citronnée bien fraîche. Je le posai sur une petite table basse entre le canapé et un fauteuil en face. Je lui proposai de s’asseoir sur le fauteuil et moi en face de lui, sur le canapé. Je vis l’homme assoiffé boire goulûment. Je fis de même car cet après-midi-là était vraiment chaud.


Il reprit la conversation de plus belle et je voyais ses yeux passer de mon visage à mes jambes… En effet, face à lui, elles offraient une vue imprenable. Je m’amusai de cette situation, finalement sans me rendre compte d’un quelconque danger. Puis parfois, ne faisant mine de rien je croisais et décroisais mes jambes tout en regardant mon verre. À ce petit jeu-là il pouvait apercevoir en un éclair le fond blanc de mon petit string. Quand je le regardais, après, il regardais vite mon visage à nouveau, je sentais que la pression montait de plus en plus. J’étais en nage et l’ouvrier aussi, l’atmosphère devenait électrique.


Je jouai à ce petit jeu-là de plus en plus, croisant et décroisant mes jambes de plus belle, je ne pouvais plus m’en empêcher. À un moment donné, tout en le fixant du regard, j’écartai doucement mes jambes. Petit à petit et l’air de rien. Il avait de plus en plus de mal à me regarder dans les yeux. En effet, ses yeux basculaient de plus en plus dangereusement vers mon entrejambe de plus en plus ouvert aussi. C’est ainsi qu’à un moment, j’avais les cuisses carrément écartées et face à lui ! Je le regardai fixement dans les yeux mais lui ne regardait maintenant que mon entrejambe…


C’est alors que je réalisai vraiment ce qui se passait. Un sursaut d’orgueil de jeune fille bien élevée me fit me rasseoir normalement et lui dire :



Je me relevai alors et me précipitai dans le couloir pour rejoindre ma chambre. Je l’entendis m’emboiter le pas. J’entrai dans ma chambre le cœur battant et je m’apprêtais à fermer la porte mais l’ouvrier m’en empêcha. Il put entrer. J’étais seule face à lui, il me regarda d’un regard qui voulait en dire long. Je reculai et lui avança vers moi. Je ne prononçai pas un mot, lui si :



Je reculai toujours et lui s’approcha toujours plus. Je finis par toucher mon lit ce qui eut pour effet de me déséquilibrer et de me faire tomber dessus sur le dos. Il se précipita alors sur moi en me saisissant les jambes et me les écartelant encore plus. Je protestai mais rien n’y fit. L’ouvrier me pelota avidement maintenant et sa force était bien supérieure à la mienne. Je finis par abdiquer et le laisser faire…


En relevant ma robe il put admirer ce qu’il convoitait tant, mon mini string. Il en était ravi et il sortait des commentaires en arabe, incompréhensibles pour moi. Il s’en saisit et me l’enleva promptement en l’admirant. Il vit alors mon petit ticket de Ratp ! Je m’étais épilée quelques jours avant en donnant cette forme. Il n’en revint pas, je crois que c’était la première fois qu’il voyait cela. Il entreprit alors des attouchements osés avant d’y attarder sa langue. Je me laissai alors aller complètement. Laissant mon côté jeune fille sage de côté et autorisant l’autre à s’exprimer totalement.


Ses coups de langue étaient ceux d’un expert explorant chaque détail de mon intimité. C’était nouveau pour moi et j’avoue que j’appréciai beaucoup cela. Il la tournait et la retournait autour de mon petit bouton me procurant tantôt du plaisir tantôt de la frustration. Il jouait avec mes nerfs du plaisir. Un moment donné la cadence se fit plus forte et plus soutenue. Je sentis un plaisir nouveau monter de plus en plus. Cette sorte de plaisir m’était inconnue mais je sentis que sa puissance était hors-norme. Je haletai et poussai des petits cris aigus ; dans cette chambre silencieuse, on entendit que cela. Et puis le plaisir monta, monta jusqu’à parvenir au paroxysme me faisant hurler et trembler de tous mes membres ! Le plaisir avait été si fort que j’en restais sous le choc. Quand j’ouvris enfin mes yeux, je vis mon amant debout devant moi en train d’enlever sa blouse de travail et moi j’étais allongée sur le dos, cuisses complètement ouvertes et robe retroussée au-dessus de ma taille. Il était nu sous sa blouse, je n’en revins pas. Il avait le sexe dressé fièrement. Il était imposant et plus gros que tous ceux que j’avais jusqu’alors vus. Il sortit de la poche de sa blouse un préservatif et l’enfila. Il avait tout prévu le bougre !


Il me parlait en arabe, s’approcha et me saisit par la taille, me releva puis me retourna et m’obligea à me mettre à quatre pattes sur mon lit. J’avais la position de ce qu’on appelle la levrette et que je ne connaissais pas encore. Je sentis déjà son sexe me fouiller. Il trouva facilement l’entrée et n’eut pas trop de mal à s’y introduire. J’en étais étonnée, vu la taille de son sexe.


Il rentrait et ressortait d’abord doucement, prenant le temps de glisser dans mon intimité. La cadence augmenta petit à petit et me laissa échapper des petits râles de plaisir. Cela avait l’air de l’exciter et il me parlait tantôt en arabe tantôt en français. Les mots que je comprenais étaient crus, du plus mauvais genre pour une jeune femme de mon âge. Je ne m’en offusquai pas et même au contraire cela augmenta mon plaisir me faisant crier de plus en plus.


Il s’affairait toujours dans cette position tout en vociférant des jurons et accélérant sans cesse la cadence. Je n’en revenais pas d’être ainsi malmenée. Ma position était indécente, j’étais complètement accroupie relevant mes fesses très haut et ma tête plaquée sur le matelas. Je criais de plus en plus fort, sentant un plaisir venu du plus profond de moi remonter à la surface. Cela dura, dura et je me laissais aller de plus en plus. Au bout d’au moins 15 minutes, et me tapant si fort et si vite maintenant avec son sexe, j’eus un autre orgasme, ce qui eut pour effet de me faire carrément hurler. Une vraie décharge de plaisir m’électrocuta à ce moment. Complètement fou… Lui continuait en râlant maintenant et, tapant toujours aussi fort, il finit par s’immobiliser se laissant aller lui aussi en tremblant…


Il ne bougea plus, respirant fort. Il avait son buste collé à mon dos et je sentis ses mains me peloter doucement les seins sous ma robe. Nous sommes restés dans cette position un moment, tous les deux essoufflés. J’étais comme dans un autre monde, des étoiles plein la tête.


Puis j’entendis comme des bruits de roulement me parvenir aux oreilles et un moment après, quelqu’un tapa sur la fenêtre ouverte du salon en appelant :



C’était l’un de ses collègues qui venait le chercher. Il se retira alors très vite de moi, enfilant sa blouse à la hâte. C’est à ce moment-là que je pus voir qu’il ne portait pas de sous-vêtements et qu’il avait gardé le préservatif sur son sexe ! Puis il partit sans même me regarder et précipitamment. Puis je les entendis monter dans leur nacelle et redescendre les étages. Je m’étais relevée et regardai discrètement à la fenêtre. Je vis mon ouvrier, l’air tout content, qui plaisantait avec les autres en arabe. Ils riaient bruyamment…


L’esprit tout chamboulé, je ramassai mon petit string qui avait fini sa course à l’autre bout de la chambre près de la porte. Je retrouvai aussi l’emballage du préservatif à côté. Je me sentis tout à coup sale, très sale même. Je m’empressai d’aller prendre une douche. Je savonnai, savonnai, savonnai encore tout mon corps, partout où il avait posé ses mains, son sexe. Je ne voulais pas garder de trace de cet égarement. Mon côté de jeune fille sage reprit tout à coup le dessus et essaya d’effacer pour toujours les traces de cette mésaventure. Je mis au sale tous mes vêtements sans exception et enfilai mon pyjama de nuit.


Je passai le reste de l’après midi « toute chose ». Les moments de cette étreinte inattendue refirent surface souvent dans ma tête. Je n’en revenais toujours pas de mon abandon au plaisir. Je me sentis coupable vis-à-vis de mon ami mais curieusement pas plus que cela. Je me dis que ce n’était pas de l’amour, juste un moment d’égarement, sans aucun sentiment d’amour.


En fin d’après-midi je retrouvai ma mère qui me questionna sur le travail des ouvriers. Je lui dis que tout allait bien, qu’ils travaillaient bien. Ah là là si elle savait, pauvre maman ! La soirée se passa vite car j’allai me coucher tôt étant très fatiguée.


Nous n’étions que mardi et les travaux ne devaient finir qu’en fin de semaine. Comment allai-je réagir les jours suivants ? J’étais incapable de le savoir.


Mais ceci fera l’objet d’un autre récit…