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Temps de lecture estimé : 39 mn
17/06/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  Un ami vient passer quelques jours chez nous et découvre notre vidéo intime...
Critères:  fh extraoffre anniversai cérébral exhib vidéox fellation cunnilingu légumes pénétratio fsodo jouet jeu champagne aliments yeuxbandés confession -totalsexe -couple+h -exhib -jeux
Auteur : Yonidouce  (Desesperate housewife)            Envoi mini-message
La cassette

Introduction


Ce texte n’est ni une fiction, ni un témoignage, il est les deux. Une uchronie.


Au commencement était le témoignage, véridique, totalement véridique. Une soirée en amoureux que mon mari a voulu immortaliser, l’un de ses amis venu vivre quelques temps à la maison et sa découverte de notre cassette intime. Tout cela s’est bien passé et a bien donné lieu à une suite. Mais cette suite est racontée ici un peu « différemment ». Qu’est-ce que nous avons réellement fait ? Qu’importe, j’en garde un merveilleux souvenir.








Il y a une vingtaine d’années (nous n’avions que cinq ou six ans de mariage, pas beaucoup plus), nous recevions un ami venu passer quelques jours à la maison (ami militaire en stage).


Il dort dans le salon. Mon mari lui montre la télé, le magnétoscope et mes quelques films stockés. À l’époque nous enregistrions les films X pour se les regarder à une heure décente. Il y en avait donc deux ou trois derrière. L’air de rien mon mari le lui indique au cas où ! Au cours du séjour, un peu gêné mais l’œil pétillant de malice et d’excitation, Marc m’interpelle alors que Pierre mon mari est sorti faire des courses.



Je tends la main pour prendre la cassette et mon cerveau me joue des tours. Je vis la scène au ralenti, comme paraît-il lorsqu’on vit un accident. Je vois ma main approcher de la cassette et en même temps je me dis « non, ce n’est pas possible ! Il n’a pas fait ça ! ».


« Il » c’est Pierre… l’idiot ! Et « ça »…


Je reconnais l’adaptateur de cassette qui permet de visionner les VHS de notre caméscope. Et quelques jours plus tôt, avant l’arrivée de Marc, nous l’avons regardée. Une cassette intime de couple. De notre couple. Pierre avait souhaité immortaliser une soirée anniversaire de rencontre, pour nos vieux jours, avait-il précisé. Il s’était surpassé pour cette soirée-là. Un petit repas aux chandelles, des fraises et du champagne, des boucles d’oreilles en saphir bleu qui essayaient de briller autant que mes yeux, disait-il, et un autre cadeau à ouvrir après le repas.


Ainsi débute la vidéo… La vidéo que manifestement notre ami a visionnée ! Imaginer que Marc ait pu voir cela me terrifie. Ce repas fut aussi extraordinaire qu’indécent. Pierre m’avait dit :



Je m’en souviens comme s’il venait de me le dire, tout est encore si présent dans mon esprit, mon regard se pose encore sur cette table si joliment dressée : chandeliers dont les bougies diffusaient une lumière douce, champagne rosé si frais que la condensation faisait déjà couler des larmes de rosée de long de son col, en entrée un magnifique plat d’asperges…


Que n’avons-nous pas fait ce soir-là ! J’en oublie Marc devant moi, car devant mes yeux je revois la scène, encore si proche ! Et quelle scène ! Mais jugez vous-même :





Pierre fit couler le breuvage pétillant dans des coupes en cristal. Nous trinquâmes à cette soirée qui s’annonçait des plus chaudes.



Nous nous embrassâmes tendrement et longuement, ce qui m’échauffe rapidement en général, comme si ma bouche, ma langue, mes lèvres étaient directement reliées à mes zones érogènes. La caméra était posée sur le buffet à deux mètres de nous, et seul le clignotement de la led rouge indiquait l’enregistrement.



Je l’ignorais et à bien y regarder, il est vrai que la forme, le volume évoquent un sein, bien rond.



Devant mon hésitation ou plutôt ma surprise, Pierre prit l’initiative et défit mes boutons un à un, puis pour être tout à fait à l’aise, il ôta mon chemisier.



Cette fois je réagis et dégrafai l’attache de mon soutien-gorge. Je l’aurais bien gardé un peu, un achat récent, spécialement prévu pour l’occasion, mais Pierre était plus intéressé par le contenu que par le contenant. Ma fine parure de dentelle noire alla rejoindre le chemisier sur le dossier de la chaise. Mes jeunes seins pointaient avec arrogance. Le baiser précédent ? Le froid ? Pierre ne put se contenir et déposa un baiser sur le téton érigé de mon sein droit. Puis d’une voix solennelle :



Puis il prit sa coupe vide dans laquelle perlaient quelques gouttes et l’appliqua sur mon sein. J’eus un mouvement de recul et un petit cri car le verre était glacé. La coupe en épousait parfaitement le galbe.



Il apposa la seconde coupe sur le sein libre, et il est vrai que mes pauvres seins couverts devaient offrir un spectacle bien surprenant sous leurs cloches de verre. Puis Pierre retira les coupes et s’empressa de les réchauffer d’une bouche gourmande, avide de chair et de champagne. Quel délice ! J’ai toujours adoré cette fougue de mon mari qui emporte tout, qui submerge tous mes barrages dans un torrent de désir.


Mes seins furent honorés on ne peut mieux, et d’autres parties de mon corps s’étaient enflammées. Ils sont assez menus mais terriblement sensibles. J’adore quand il me les caresse, quand il me les embrasse ! Les frissons parcourent tout mon corps et quand il me pince un téton avec ses lèvres c’est comme si mon corps était pris d’un spasme incontrôlable. Et lorsqu’il le relâche, une chaleur m’enveloppe. Mes seins, bien sûr, hypersensibles, se tendent vers sa bouche mais comme un tremblement de terre qui se prépare, je sens mon ventre qui brûle, mon sexe qui s’enflamme.



Sur chaque centimètre de peau dénudée il déposa un baiser, fit courir ses doigts. Lorsque je fus enfin nue, il me sembla être la corde d’un arc prête à se rompre. Sa bouche tournait autour de mon sexe, sans le toucher. Son souffle vint l’exciter ! Je tendis le bassin pour qu’il m’embrasse, il se recula.



Il se saisit de la bouteille de champagne et en versa une larme sur mes seins, puis les lécha. C’était froid et merveilleux à la fois.


Il recommença. Un filet de champagne s’échappa d’entre mes seins et coula sur mon ventre. Sa langue l’attrapa avant qu’il ne se perde trop bas. Il me lécha le nombril avec gourmandise, l’embrassa avec passion. C’était bon mais j’aurais aimé qu’il passe à plus sérieux, j’avais besoin qu’il s’occupe de mon sexe, j’avais besoin de quelque-chose en moi.


Nouvelle rasade de champagne qu’il laissa couler… La fraîcheur pétillante enflamma encore mon bouton et inonda mon sexe grand ouvert. Sensation aussi étrange que jouissive ! Il ne léchait pas, j’attendais, j’enrageais !


Il recommença, le champagne coulait sur mes seins, mon ventre, mon sexe. Je fermai les yeux et me laissai aller en arrière. D’un coup je sentis ses lèvres sur mon sexe. Je jouis immédiatement. Me connaissant il s’immobilisa, ses lèvres posées sur mon intimité. Puis se recula. Il me sourit.



Il souffla doucement sur mon sexe, j’aime bien, reprit la bouteille et en versa un peu directement sur mon clitoris. Sa langue pointée entre mes lèvres pour recueillir le cocktail champagne-plaisir féminin. Il recommença, une fois, deux fois… Sa langue pointait maintenant mon petit trou. Il me caressa avec le goulot, versa presque directement dans mon vagin un peu de champagne qu’il but immédiatement, la pointe de sa langue taquinant toujours mon petit trou.


J’étais sur un nuage. Il se recula un peu pour admirer son œuvre.



Il attrapa mes jambes sous les genoux et les rabattit sur ma poitrine. J’empoignai mes chevilles dans une position des plus indécentes, qui soulevait mon bassin et m’ouvrait complètement. Pierre glissa le goulot dans mon intimité et leva d’un geste vif la bouteille puis la rabattit aussitôt. Je sentis le liquide m’envahir et régurgiter, comme un volcan de lave froide et mousseuse.


Pierre me dévora littéralement, ne laissant perdre aucune goutte. Il s’attarda longuement sur la vallée entre mes fesses, explorant avec application mon autre orifice. Il posa la bouteille et je le devinais parcourir la table à tâtons, alors que sa bouche continuait à me gamahucher. Puis à nouveau, il se recula et je sentis sa langue sur mon clitoris et… En même temps sur mon anus ?


J’essayai de comprendre et soulevai la tête. Sa bouche était bien plaquée sur le haut de mon sexe. Mais ce n’étaient pas ses doigts qui me taquinaient l’œillet. C’était tellement bon que je décidai de n’élucider ce mystère qu’un peu plus tard. Je sentis cette langue souple s’introduire doucement dans mes reins. S’introduire et pénétrer encore, puis se retirer doucement et revenir toujours plus profond.


La sensation était délicieuse et les dents qui grignotaient mon petit bouton n’allaient pas tarder à me faire exploser. La phrase qu’avait prononcée mon mari tout à l’heure me revint comme une évidence, « … tout ce qui est sur la table je l’utiliserai pour te donner du plaisir… ». Les asperges ! Pierre était en train de me sodomiser avec une asperge !



Et après ce petit intermède, il replongea entre mes cuisses et me dévora le clitoris à nouveau. Il retira simultanément l’asperge et au fur et à mesure de la libération je sentis monter un orgasme gigantesque, comme si la crainte d’avoir ce légume dans le rectum m’avait empêchée de jouir jusque-là.


Mes fesses décollèrent et ma chatte se plaqua contre les lèvres gourmandes. Mon corps s’arqua, tétanisé, puis quelques secondes plus tard, il retomba lourdement. Il me connaît bien et me laissa revenir doucement. Il savait que s’il me touchait encore ce serait désagréable. Il m’embrassa amoureusement, me caressa les seins… et versa encore un peu de champagne sur mon sexe.



Et avant que je ne parle à nouveau il m’embrassa encore. Il sait me faire taire. Mais d’une main il reprit des asperges, je sentis leur contact frais sur mes lèvres intimes.



C’était comme une énorme langue froide et humide qui m’aurait léché à la fois mes lèvres intimes, mon clitoris. Je sentis un début d’intrusion. J’allais protester, ça suffisait comme ça. Mais les asperges commencèrent à avoir raison de ma résistance. Elles se glissèrent de partout, s’infiltrèrent, s’insinuèrent… En même temps je sentis le goulot dur et froid menacer mon petit trou.



J’étais en train de jouer dans « 9 semaines et demie », Kim Basinger aux mains de Mickey Rourke dans la scène cul-inaire mais en version hard ! Qu’est-ce qu’il n’allait pas encore inventer ? Il n’inventait plus, il continuait. Je sentis les asperges sortir.



Je la mangeai, c’était bon.



Puis une à une, il trempa les asperges en moi et nous les mangeâmes ensemble. Le champagne pas vraiment au frais ! L’entrée prit fin sur ces délices.


Pierre me redressa puis me nettoya gentiment de nos débordements, dans tous les sens du terme. Puis il revint de la cuisine, avec une superbe assiette de tournedos sauce au poivre. Au moins là je ne risquais pas d’intromission incongrue, bien que la recette d’asperge de Pierre méritât les éloges.


Pierre posa le plat sur la table, prit une serviette et me banda les yeux. Je ne m’étais pas rhabillée pour la suite du repas et je me sentis vulnérable entre les mains de mon « pervers » de mari. J’entendis des bruits de vaisselle comme si Pierre débarrassait la table. Puis il m’empoigna par les cheveux, me redressa puis me coucha à plat ventre sur la table.


Quelle force il se dégageait de lui dans ces moments-là. Je me sentis si menue, si faible dans ses bras. Il me saucissonna dans la nappe, bloquant tout mouvement de mes bras. Seules mes jambes étaient libres, mais pas pour longtemps. Il attacha chacune de mes chevilles aux pieds de la table, jambe largement écartées. Il fouilla entre mes fesses d’un index indélicat.



J’avais un peu peur, je ne savais pas ce qu’il voulait faire. Malgré tout, j’avais confiance et attendis la suite en fermant les yeux. Je sentis qu’il me badigeonnait l’entre-fesses ainsi que le sexe avec du gras… Je me demandais quoi ? Jusqu’à ce que je sente les premiers picotements. Non ! Mais décidément il était complètement fou ! La sauce au poivre ! Je sentis mon entrejambe s’enflammer, mes muqueuses gonfler…



Et il enfouit son nez entre mes fesses et vint laper la sauce à grands coups de langues gourmands.


La fraîcheur, la douceur de sa bouche m’apaisa aussitôt, et toute la zone hyper-sensibilisée devint volcanique, les nerfs à vif. Il joua de la pointe de sa langue et me fit sursauter en s’immisçant dans mes orifices brûlants. J’avais envie… J’avais envie…

J’avais envie qu’il me prenne. Qu’il me pénètre vraiment. Envie de me sentir pleine de lui, de sa virilité.

J’avais envie de quelque chose de plus sérieux en moi.

J’avais envie…



Je ne pus retenir mon cri, je n’en avais pas eu envie non plus.


Pierre s’était engouffré en moi ! C’était vraiment le mot. Il m’avait prise comme un soudard. Il faut dire que le pauvre (?) depuis le début de nos petits jeux était sous tension extrême. Et bien sûr, il avait choisi mes fesses (enfin l’accès, là, entre mes fesses) ! Souvent, il me prend comme ça, quand il est excité. J’adore cette sensation de plénitude malgré la douleur générée. Une douleur qui se transforme rapidement en jouissance.


Pierre était déchaîné et martyrisait mes petites fesses sans défense, les fessant avec vigueur. Toute la zone de mon bas-ventre à mon postérieur n’était plus qu’une fournaise, et le magma au centre de mon corps était en train de bouillonner, prêt à exploser. À grands coups de rein, il me défonçait.


J’avais envie de lui, vraiment ! Du sérieux ! Mais je ne pensais pas qu’il oserait me prendre ainsi. Il sait que je suis très douillette de ce côté et que je n’aime pas avoir mal. Il est vrai que l’air de rien il m’avait sacrément préparée, entre les asperges vinaigrette et le goulot de la bouteille de champagne, mon petit trou l’accueillit assez facilement. Mais malgré tout quand il rentre aussi vite ça me fait mal ! Pas longtemps mais quand même !



Il prit la caméra et vint faire un gros plan de notre union. Son sexe fiché en moi et le mien ouvert, grand ouvert, libre, disponible. Éclairée à la lueur des chandeliers, la scène était sombre ! J’aimais autant. Mais pas lui, et il alluma la torche pour mieux filmer notre petite cochonnerie. Puis il éteignit la torche et reposa le caméscope sur son pied, sans sortir de moi, et alluma un peu de lumière.



… et donc susceptibles de participer à la fête.


Je sentis quelque chose de dur se frayer un chemin entre mes lèvres enflées et grasses de cyprine. La bougie (eh oui !) entra aisément et la pénétration ne sembla jamais devoir se terminer. Le diamètre n’était pas bien conséquent et cette intromission avait plutôt tendance à me mettre sur les nerfs. Heureusement, derrière, Pierre continuait à me pilonner avec force.


Il se doutait de quelque chose, car il retira la bougie et la remplaça par… deux bougies… trois ? Je ne savais pas ! Toujours est-il que maintenant je me sentais bien remplie, et que le plaisir était proche. D’autant que Pierre accéléra la cadence, si c’était encore possible.


J’étais partagée entre gêne et plaisir. J’adore son sexe, mais là où il était cela me gênait, j’aime qu’il me caresse, voire qu’il me masturbe, mais là avec ces bougies ! Le plaisir montait mais restait bloqué par ces petites gênes. Il s’écarta un peu même et des idées bizarres me traversèrent : je devins spectatrice. Je voulais savoir s’il m’avait vraiment mis toutes les bougies. J’essayais de me relever un peu pour voir, ce n’était pas facile. Il était profondément fiché au fond de moi. Je n’eus que le temps d’apercevoir le blanc des bougies avant de devoir repartir en arrière. Alors instinctivement c’est ma main qui vint se poser dessus. Pendant qu’il me sodomisait je comptais. Oui il m’en avait mis trois ! Tout le chandelier (enfin juste les bougies) !



Je lui souris, laissai un doigt ou deux sur les bougies et tournai la tête. Le caméscope me regardait. Autre gêne. Et petite excitation. Mon esprit vagabondait : certes l’excitation initiale était passée, mais je venais de glisser ailleurs. Derrière la vitre du caméscope des gens me regardaient. Cela m’excitait. Je me caressais. Mon mari le sentit et accéléra ses mouvements, j’arrivai, je jouis !


Une main virile poussa les bougies au-delà de ce que j’aurais pu imaginer. Puis il attrapa mon sexe à pleine main et le chiffonna. J’adore quand il perd la tête, quand il ne maîtrise plus ses gestes… qui domine qui ? Dans un ultime coup de rein, mon mari se plaqua à mes fesses et grogna dans mon cou. Il se déversa au plus profond de moi, en pinçant mon petit bouton, ce qui déclencha en moi un nouvel orgasme. Nous étions tous deux un peu secoués. Mon mari reprit le dessus le premier.



Oh oui ! J’aurais bien aimé faire une petite pause, une petite douceur après tout cela. Non que je fusse totalement rassasiée, et il le savait, mais un petit répit était une bonne chose…


Après m’être vêtue d’un joli kimono, nous reprîmes presque notre petit repas en amoureux, et comme j’avais un appétit d’oiseau et la tête ailleurs, mon esprit vagabondait ; je voyais mon mari comme l’ultime gourmandise. Le sentit-il ? Il se leva, se dirigea vers le caméscope. Il l’avait mis sur pause, il devait le relancer. Mmmm ! Un frisson me parcourut.


Il disposa ensuite des petites coupelles de sucreries sur la table basse du salon. Miel, confitures, crème caramel, chocolat, vanille… Puis il s’assit dans le fauteuil juste au-devant de l’objectif de la caméra, qui était donc derrière lui à hauteur de ses yeux. Il ouvrit ses jambes et me dit :



Son sexe était plutôt flaccide, suite aux événements passés. Il m’attendait tel un pacha, devant une de ses concubines. J’approchai… Je préfère le salé au sucré, mais je n’étais pas contre une petite douceur. Je pris la coupelle vanille, m’agenouillai devant lui et approchai la crème. Je le regardai, pris son sexe peu alerte entre deux doigts.



Je plongeai le bout de son sexe dans la vanille et le léchouillai, un peu, beaucoup, passionnément. J’alternai la vanille, le chocolat et le caramel. Un pot de caramel au beurre salé ramené de Bretagne, mmm ! Ça c’est bon ! Il était déjà très dur, « il » me donnait envie d’un peu plus, encore, encore…



Le mufle ! J’étais à ses pieds, en train de le sucer « à sa demande », je réalisais ses fantasmes (et un peu les miens…) et il s’occupait de ma silhouette. Il mériterait que je les laisse en plan, lui et sa queue. Mais je ne sais pas qui aurait été le plus puni ? En plus, ces douceurs m’empêchaient d’apprécier le goût de sa queue, et Dieu sait si je l’apprécie.


Je continuais donc sans assaisonnement, j’avalais la hampe du mieux que je pouvais, mais je fus vite limitée par la taille imposante de la chose. Il posa ses mains dans mes cheveux, et je savais qu’il n’allait pas résister longtemps. Je glissai alors une main entre mes cuisses et caressai mon petit bouton et ma fente trempée.


Alors il attrapa le caméscope et me filma en gros plan en train de la manger. Je le regardai, regardai l’œil de la caméra et lui souris. Puis il fit courir jusque sur mon sexe pour capturer le jeu de mes doigts. De son autre main il essaya de prendre quelque chose sur la table… une banane. Une banane ! « Le » cliché ! Il n’allait quand même pas ?



Oh ! Après tout je l’avais bien déjà fait sans lui… Il trempa la banane dans la crème vanille et la glissa entre mes fesses. Une belle banane africaine, pas une petite banane des Antilles ! Ma chatte étant déjà occupée par mes doigts, il badigeonna de crème mon petit trou avec le fruit. Petit à petit, il insista et pénétra légèrement. Heureusement la précédente sodomie m’avait préparée, et mon anus était déjà assoupli. La sensation était étrange et il me sembla que si je serrais mes sphincters, j’allais couper la banane en deux.


Mon mari n’avait pas toutes ces considérations et continua la pénétration au plus profond de moi. C’était un peu difficile mais agréable ! Cette zone est très sensible et malgré ma gêne, j’aimais bien ce qu’il me faisait. Il poussa, la banane s’enfonça. Il lui donna un mouvement d’avant en arrière, frugale sodomie ! C’était horrible mais j’aimais ça et mes soupirs me trahissaient. Il s’arrêta, me regarda me caresser, la banane fichée dans mes fesses.



Il attrapa la caméra et zooma sur mon intimité.



J’imaginais cette vidéo vue et revue par d’autres personnes. Vue par mes voisins, mes amis… Je mouillais abondamment. Je ne savais que répondre. J’aurais préféré avoir son sexe à la place de la banane, mais alors je n’aurais plus pu le manger… et j’aime tellement ça, le manger. En fait, il m’aurait fallu plusieurs hommes, mais ça je ne pourrai jamais le lui avouer.



Il manipula à nouveau la banane et reprit ses va-et-vient.



J’imaginais des spectateurs en train de voir ça, d’entendre ça… Mon chéri est un poète méconnu !



Je n’en savais rien en fait, mais je savais qu’il attendait cette réponse. Je le regardai, regardai la caméra et lui encore, et complétai ma réponse (et là, vraiment sincère) :



Puis fixant la caméra :



Il se leva et m’ordonna :



Il les attacha avec… je ne sais quoi. Puis il se rassit dans le fauteuil, m’empoigna par les hanches, me fit pivoter et me fit monter sur lui à l’envers, ma bouche reprit sa place sur son phallus triomphant, mes jambes sur ses épaules, ma chatte à quelques centimètres de ses yeux. Un quasi 69 vertical, en équilibre précaire, je dus croiser mes jambes derrière sa tête pour rester en place. Il n’avait qu’à avancer sa bouche pour me lécher la fente. Mais ce n’était pas dans ses intentions apparemment. Il récupéra la banane qui était tombée lors de notre gymnastique, et la réintroduisit vaillamment dans mon orifice impatient. Je pense qu’il voulait vérifier mes dires. Le fruit dans une main, la caméra dans l’autre, il fit des gros plans de mon cul avalant le fruit avec avidité et de ma bouche gourmande qui faisait disparaître presque entièrement son membre.


La position était inconfortable et le plaisir n’était pas vraiment là, mais l’excitation oui. J’adore quand il s’excite comme ça. Ça m’amuse et m’excite à la fois. Pierre posa la caméra qui continuait à filmer mes fesses, et posa une main sur ma tête. Il se tendit, se cambra et rugit. Je l’avalai du plus que je pouvais et recueillis son nectar qui coula au fond de ma gorge. Je le nettoyai patiemment jusqu’à ce qu’il se détende doucement.



Il me fit glisser sur ses genoux, mes fesses exposées comme pour une fessée, et reprit la pénétration avec la banane. Il y mit une telle vigueur que je ne tardai pas à exulter, ayant ma récompense crémeuse, et imaginant les voyeurs en train de se masturber en visionnant la vidéo. C’est dingue l’impression que fait un simple caméscope !


J’étais fourbue, cassée mais heureuse. Il m’avait offert sa liqueur, un peu salée, doucement parfumée, je l’adore. Je regardai le caméscope.



Je passai ma langue, en effet il en restait dehors… J’aime ça.


Il coupa.





Je me souviens de cette soirée comme si c’était hier. Et depuis hier soir notre invité en a aussi une bonne idée…


Le sourire peint sur les lèvres de Marc en dit plus que tout commentaire. Il a vu, tout vu, sans aucun doute. Que faire ? Faire comme si rien ne s’était passé ? Attendre sa réaction ? Peut-être ne dira-t-il rien… Mais mon mauvais génie commence à me murmurer : c’est l’occasion rêvée, tu as toujours voulu savoir l’effet que tu pouvais procurer sur les autres ? L’as-tu excité ? S’est-il masturbé en regardant la cassette ? D’un autre côté, je suis une femme « honorable » (enfin après ce que je lui ai montré…) et s’il ne dit rien on en restera là…


J’attends, un peu, j’attends, puis je ne peux plus résister. J’essaie de ne pas éluder tout en essayant d’écarter le danger.



Je suis un peu perdue, je répète mécaniquement sa question, « si j’étais dans la situation de lui demander de participer à mes ébats avec mon mari ? ».



Marc est intrigué ou ne veut pas comprendre.



Marc semble perdre pied.



Marc est surpris, cela semble en contradiction avec ce que je viens de dire.





Pierre rentre des courses, interrompant nos confidences, laissant Marc sur des charbons ardents et moi tout de même fortement troublée par cette conversation. Nous passons à table comme si de rien n’était, avec je le sens des regards lourds de la part de Marc. Pierre semble ne rien remarquer, ce qui m’étonne, vu sa finesse d’esprit pour ces choses-là.


Puis nous poursuivons au salon, digestif et discussions animées et variées. Fourbue, je décide d’aller me coucher, laissant les deux compères en plein débat politique. Je ferme les yeux et plonge presque aussitôt dans une nuit troublée, où des scènes de la vidéo viennent hanter mes rêves, dans lesquels Marc s’est invité, Marc et son sexe énorme, gigantesque… Des caresses me font frissonner… Éveillée, endormie… Pierre est contre moi et ses mains parcourent mon corps… Ou rêvé-je encore ?



Bien sûr, il ne me l’a pas dit directement, mais ses sous-entendus laissent peu de place au doute.



Pierre me connaît par cœur, et il sait ce qu’il doit faire pour que je ne sois plus qu’une poupée molle dans ses bras.



Je retiens mes soupirs et dans le noir les mains qui me caressent n’ont plus d’identité. Des mains de mâle en train d’échauffer sa femelle. Les mains de Pierre, les mains de Marc… J’ai peur des rivages vers lesquels il veut m’emmener, mais ma libido me joue des tours. Ces caresses de plus en plus précises, ces mains qui me pétrissent gagnent peu à peu le combat. Tout à coup, tous mes sens sont en alerte. Un courant d’air ? Un grincement de porte, un couinement de parquet ? Une raie de lumière dans l’obscurité ? Une respiration… Je suis pétrifiée… Je bloque les mains de Pierre là où elles se trouvent. Ses doigts continuent sournoisement à me supplicier…



Je murmure :



Il me murmure :



Nous essayons d’être silencieux, je ne veux pas qu’il sache que nous l’avons découvert.



Et il reprend ses caresses de plus belle, et un peu rassurée, je me laisse aller d’avantage. Mais je n’avouerai pas ma complicité. Je n’ai rien vu. C’est moi qui suis du côté de la porte. Insidieusement, Pierre tire les couvertures à lui. Je résiste, gardant mes épaules couvertes, étant en chien de fusil, mon visage tourné vers lui. Ainsi mes soupirs sont dirigés vers mon homme et je peux lui parler très doucement.


Quelle contrainte que le silence ! Aussi excitante que d’avoir les yeux bandés ou les mains liées. Ce qui d’ailleurs n’est pas loin de la réalité, étant donné que j’essaie de bouger le moins possible, d’avoir le souffle régulier, souhaitant vraiment faire croire que je suis endormie. Pierre tire encore sur le drap, dernier rempart de ma nudité. Je sens l’air frais envelopper mes hanches comme une délivrance. La fraîcheur que je ressens sur mes fesses se transforme en chaleur sur mes joues et dans tout mon corps.


Marc est-il vraiment là, en train d’observer mes fesses blanches dans la nuit ? Ou suis-je en train de fantasmer ? Mon plaisir coule littéralement entre mes cuisses, d’autant plus que Pierre continue ses investigations. Sa main ferme se pose doucement sur ma cuisse. Il tire vers lui, me forçant à m’allonger, à plat ventre. Sa main me caresse les fesses, les cuisses, remonte, s’insinue et tire encore vers lui, doucement, fermement, m’obligeant à m’ouvrir. Ainsi allongée je me cache, je ne vois rien, et dans l’obscurité de la chambre Marc ne devrait rien voir non plus. Il me caresse désormais, vraiment, intimement. Je relève un genou, je m’ouvre d’avantage, je m’offre d’avantage.



Je l’entends farfouiller dans sa table de nuit. Puis je sens un objet pointer entre mes cuisses et s’appliquer contre mes lèvres. Une pression et hop ! Il disparaît dans ma chatte. D’après ce que je ressens, on dirait un œuf, dans la taille comme dans la forme. Puis sans aucun contact de Pierre, je le sens ressortir doucement, comme si on le retirait à l’aide d’une ficelle. Puis un doigt le pousse à nouveau, et après une légère hésitation, l’œuf reprend sa place à l’intérieur de moi. Puis plus rien… quasiment rien, si ce n’est un imperceptible chatouillis au plus intime de moi-même. Une très légère vibration, inaudible, qui enfle doucement. L’œuf doit appuyer sur mon point G car je ne tarde pas à m’agiter sérieusement… Tout en essayant de continuer à donner le change de la belle endormie. Pierre doit avoir la commande de l’objet en main car il tremble de plus en plus fort au fond de moi et j’ai vraiment du mal à rester stoïque.


Je chuchote à l’oreille de Pierre qui est tout contre moi :



L’épreuve est difficile et presque douloureuse… Alors, doucement, je me laisse aller, je me laisse envahir par le plaisir. Je le sens monter, monter… cela n’explose pas, pas encore, ça monte mais n’explose pas…



Je l’entends se lever, quelques pas et il revient sur le lit. Il caresse mes fesses. J’aime ça. Les vibrations baissent et se relancent. Cela me surprend, m’empêche d’arriver mais me maintient dans une situation d’excitation très forte. Je sens sa main, ses doigts qui écartent mes fesses et le contact d’un objet froid. D’une main il ouvre, de l’autre il joue avec son objet et mon petit trou…


Et les vibrations changent encore ! Sacrée télécommande. J’ai la tête dans l’oreiller et j’étouffe mes cris. Je suis aussi tétanisée, car je ne veux pas montrer mes réactions. Si Marc est dans la chambre, il ne faut pas qu’il croie que j’aime ça.


Si Marc est dans la chambre… Je le sens, je le vois… C’est peut-être lui qui s’occupe de mon anus… Non ! Il ne faut pas ! Je rêve… je fantasme… C’est Pierre qui m’a conditionnée, mais en fait nous sommes seuls… J’en suis sûre ! Je m’en persuade !


L’objet pénètre difficilement entre mes fesses. Pas très large, mais froid ! L’œuf dans mon sexe se met à bondir, comme s’il avait à l’intérieur une bille métallique qui sauterait dans tous les sens. Je mords l’oreiller et tend mes fesses en remontant encore plus mon genou sous moi. Quel spectacle je dois offrir ! Mais à qui ? Qui en profite ? Je cambre mon cul, je m’ouvre, je m’exhibe…


Et malgré moi, j’aime ça.


Pierre murmure à mon oreille (ce n’est donc pas Marc, ouf !) :



Et disant cela il fait sortir le petit cylindre froid de mes fesses. Machinalement j’ouvre les yeux, la tête sur le côté. De la lumière éclaire mes fesses !



Je ne suis pas certaine que ce soit la réponse que j’attendais.



Pierre sort de la chambre. Je suis pétrifiée. Comment ai-je pu me mettre dans une telle situation ? D’un autre côté, je n’ai qu’un mot à dire et tout s’arrête. Tout s’arrête ! Est-ce que c’est ce que je veux vraiment ? Je suis si excitée… au bord de l’explosion depuis plusieurs minutes. Mais la pointe d’appréhension qui persiste m’empêche de basculer dans le plaisir.


Avant de partir Pierre a ralenti les vibrations de l’œuf, ce qui me maintient sous tension… Je mijote à feu doux. Je suis toujours dans la même position, pour obéir au maître de mes désirs, pour répondre aux désirs de mon « maître », le cul en l’air, exposée, la croupe illuminée. Mon sexe coule, fond. Je sens de l’air parcourir ma nudité. La porte est entrouverte… pourtant Pierre n’est pas encore remonté. J’entends des bruits éloignés au rez-de-chaussée.


Enfin je l’entends revenir, mon cœur semble vouloir exploser pris entre l’excitation et la peur, je ressens un petit courant d’air, surtout entre mes cuisses mouillées par mon plaisir… Les murmures de Pierre me rassurent (s’il murmure c’est que Marc dort) :



Et il me pose un foulard autour des yeux. Je ne sais pas s’il est censé me rendre aveugle ou juste discrète. Je pense qu’il espérait me rendre aveugle… mais je vois au travers.



Je joue le jeu (« mon » jeu ?) :



Il allume la lumière de la chambre. Je suis toujours le nez dans les couvertures, et je me risque à tourner la tête pour essayer de voir derrière moi. Je vois une ombre se déplacer et suppose que c’est Pierre qui s’affaire pour installer la caméra sur son pied. Je tourne un peu plus la tête, et je me fige et resserre mes cuisses. Dans le fauteuil, là, il y a quelqu’un… je crois… je gémis…



Les sons ont du mal à sortir de mes lèvres.



J’ai du mal à distinguer avec ce satané foulard, d’autant plus que la lumière m’aveugle un peu. À moins que ce soit des vêtements entassés sur le siège. La forme reste parfaitement immobile, aussi je me décontracte un peu. J’ai vraiment les nerfs à vif.



Et puis sa demande me reviens : « montre à la caméra comment tu t’y prends pour exciter un homme à distance », alors je pense à Marc… Je reste dos à la porte, je me redresse, à genoux mais les épaules sur le drap, mes fesses plein cadre.



Et sortant l’œuf vibrant de mon sexe j’ajoute :



Je ne murmurais plus, je parlais normalement, voire peut-être même plus fort que normalement. Tant pis ! À Dieu vat ! À nouveau, je l’entends se diriger vers les escaliers. Pendant qu’il cherche, je remue les fesses, effectuant lascivement un mouvement rotatif, comme si je voulais écrire des « huit » avec mon cul. Et lorsque j’arrive au terme de ma figure, je me cambre au maximum et tends ma croupe à la caméra. Si j’osais, je m’ouvrirais à deux mains…


Si j’osais… et pourquoi n’oserais-je pas ?


Mes épaules plaquées sur le lit, j’envoie mes mains en arrière et empoigne mes fesses à deux mains, ouvrant un peu plus mon entre-fesse, m’exhibant comme jamais. J’imagine la cassette diffusée dans un cinéma porno, avec des dizaines d’hommes en train de se branler. Je vois leurs glands rouges et gonflés surgir entre leurs doigts serrés, se masturber autour de moi, comme s’ils voulaient remplir les deux puits que je leur offre. Je m’excite toute seule et je décide de me libérer avant que Pierre ne revienne. J’en avais tellement envie que je jouis en une minute, deux doigts sur mon petit bouton, un autre tapotant mon anus. Je ne veux pas que Pierre le sache, aussi je fais le moins de bruit possible mais les soubresauts de mon corps ne laissent aucun doute sur la puissance de mon orgasme.


Je me sens un peu soulagée mais loin d’être rassasiée. Cette situation me met dans un tel état qu’il va falloir assurer pour éteindre l’incendie en moi. J’entends Pierre arriver.



Sa voix est enjouée. Qu’est-ce qu’il va encore inventer ?



Il délire ? Et puis je me souviens que c’est moi qui l’ai traité de « bon chien » tout à l’heure.



Il me pose l’objet dans la main. J’ai du mal à évaluer, ayant toujours les yeux bandés. En tout cas, c’est très gros et très dur. On dirait un énorme sexe en pierre ou en bois, avec comme une paire de testicules des deux côtés ! Enfin, de petits testicules… Non ! Il n’a pas fait ça ! Il est complètement à la masse mon chéri. Si je ne me trompe pas, c’est l’os de bœuf que j’ai acheté pour Skill, notre chien !


Je suis vraiment très surprise. Il a déjà essayé tout ce qui peut entrer, tout ce qui a un manche ou une forme longue… mais jamais l’os du chien !



Oh oui, je l’imagine, je les imagine… dans une région chaude, en Afrique équatoriale, la chaleur, l’humidité, les hommes en pantalons de treillis et en marcel, la sueur sur leur peau qui fait luire les muscles… Je me tourne sur le dos, je me caresse, je presse mes seins, j’en pince les pointes… Gros plan sur mes tétons dressés. Les hommes crient, ils m’encouragent, m’invectivent, la tension monte… J’ai chaud moi aussi, mes mains glissent sur mon corps, elles sont inexorablement attirées vers mon entrecuisse, mes cuisses s’ouvrent, mes doigts ouvrent ma chatte poisseuse…



  • — Elle est trempée cette salope !

Je me sens prête à tous les accueillir entre mes jambes.


  • — La vicieuse… Elle est ouverte ! Elle nous attend !


Je découvre mon petit bouton entre deux doigts et le caresse, je coule, ruisselle…



  • — Vas-y fais-toi jouir !

Les treillis s’ouvrent et libèrent des sexes tendus vers moi…

Je prends l’os et cherche le côté le plus adéquat. Il est énorme ! J’en fais à peine le tour avec mes doigts !



  • — Défonce-toi ! Prends-le bien au fond ! Tu nous sens au fond de toi ?

Les mains s’agitent sur les sexes rougis, sur les glands congestionnés.


Je glisse l’os entre mes lèvres. La boule, comme un gros gland, distend mes chairs, puis s’engouffre dans mon sexe.


Les mains accélèrent… les sexes sont rouges ! Les muscles saillent sur les avant-bras… les tatouages… la chaleur… l’odeur mâle…


Je sens leurs odeurs, je les entends. Ils n’existent pas vraiment (pas encore ?) mais je sens leur présence.


Je fais glisser l’os monstrueux dans mon sexe, je tends mon bassin, mon sexe, vers la caméra, je vérifie le foulard sur mes yeux…



  • — Venez bandes de monstres ! Plantez-moi cette chose au fond de moi, faites-moi jouir avec ce truc comme si c’était vos sexes réunis. Aussi gros que tous vos sexes ensemble, aussi durs que votre excitation !… Venez !


Mmmmm ! Sensation assez inédite que ce renflement qui ramone mon intimité. Et qu’est-ce que c’est dur ! Rigide ! Je pousse, je pousse, mais l’os est interminable… Heureusement que je suis passablement excitée.


Les hommes ont les yeux exorbités… Leurs sexes cramoisis gouttent… Ils crient indistinctement… des grognements…


J’entame des va-et-vient avec mon substitut. Il me semble que j’atteins des endroits inexplorés… dans mon sexe, dans mon cortex… Je vais jouir à nouveau…


Un viol collectif… Tous les membres sont en moi ! Leurs mains rugueuses me palpent ! Ils m’empoignent…



En fait, j’ai envie de me voir et de voir un homme, un inconnu profiter de moi. Je lâche la chose, tends mon sexe vers la caméra.



J’attends quelques instants puis j’aperçois la silhouette masquée de Pierre approcher. Il prend en main l’objet et commence à me tarauder. Mes mains libérées peuvent s’occuper de mon petit bouton. La pénétration est plus virile.


Ça y est ! Ils sont en moi ! Leurs bites dures me remplissent. Je sens l’odeur de leurs organismes en surchauffe. Pierre regarde, ils me baisent ! C’est bon ce qu’ils me font !



Bizarrement la voix de Pierre me semble plus loin que ce que j’imaginais. Mais je suis dans un tel état ! Sa main attrape une de mes chevilles, la soulève, et replie ma jambe contre ma poitrine. Il fait de même avec l’autre jambe, m’ouvrant complètement à la caméra. Puis il reprend son va-et-vient entre mes cuisses. J’entends un bruit près de la caméra.



Je n’ai plus de doute mais en avais-je encore ? J’aime me cacher, me poser en victime. C’est plus difficile de s’avouer ainsi. Comment dire, vicieuse ? Non je n’aime vraiment pas. Mais c’est si vrai. J’aime le plaisir, j’aime exciter mon mari, je suis trempée et j’ai une boule de feu dans le ventre à imaginer Marc dans la pièce. Marc qui me touche… Non ! Ils n’ont pas osé ! Je veux garder un peu de mon intimité. Ne pas savoir. Pas vraiment. Pas officiellement. Mais moi je veux savoir. Et je sais comment… J’attrape son bras pour qu’il reste là :



C’est le branle-bas de combat (?). J’entends bouger et sens l’affolement. Je tire sur le bras et rapproche l’homme qui s’y rattache. Ce n’est pas Pierre. Je le sais. Son bras, ses vêtements… Je le défais fébrilement. Un sexe lourd surgit et heurte ma joue. L’odeur… et maintenant le goût, la texture de la peau… Ça fait longtemps que mes doutes se sont envolés. Il est très large et j’ai du mal à prendre son gland dans ma bouche. J’adore cette grosse queue qui m’envahit. J’en rajoute un peu, innocente.



Je fais honneur à notre invité et mange sa queue avec avidité. J’essaie de l’avaler le plus loin possible, ce qui me fait énormément saliver.



Je suis le petit chaperon rouge et manifestement ce n’est pas mère-grand qui peut s’enorgueillir d’un si appétissant appendice… Je pense que plus personne n’est dupe mais tout le monde respecte le pacte. Je suis une hétaïre à genoux et j’honore tous les jeunes militaires de mon fantasme.



Je le mange comme une folle. Bien sûr que ce n’est pas Pierre, bien évidemment. Et j’aime ça. J’essaie d’aller très loin mais je ne suis pas très douée pour cela. Et j’ai envie de lui faire plaisir.



Ce n’est pas la voix de Pierre.



Je n’entends plus Pierre, mais je sais qu’il doit être aux anges. Marc sort de ma bouche dégoulinant de salive, tellement il a visité le fond de ma gorge. Je me retourne, soulève mes fesses et enfouis ma tête dans l’oreiller. Je sens qu’on s’active derrière moi. Mes fesses sont écartées, une sensation fraîche sur mon petit trou (du gel ? de la salive ?), puis je sens une énorme boule venir buter dans ma raie, à la recherche de la grotte interdite.


Après que je les ai mis au garde à vous avec ma bouche, les militaires m’ont retournée, et maintenant ils s’occupent de ma croupe… Ils m’ont promis de tous y passer…


Le gros sexe a trouvé l’entrée. Il pousse doucement mais fermement. Il pénètre inexorablement entre mes fesses. J’en ai le souffle coupé.



Je sens mon amant remonter derrière moi, presque debout. L’angle de pénétration est incroyable. Il entre dans mes fesses mais il me semble qu’il remplit mon vagin aussi !



J’ose tout désormais. Je n’ai rien avoué mais tout cela m’amuse. Et puis quel plaisir aussi. J’entends du bruit. Je sens aussi qu’il y a plus de lumière. Pierre a dû s’avancer avec le caméscope !



Marc (même si je ne me dévoile pas, je peux le nommer désormais), Marc donc s’introduit complètement en moi. Heureusement, il n’est pas très long, mais il est si large que je me sens remplie comme jamais. Je sens ses testicules venir buter contre moi. Ouf ! Je suis écartelée. La sensation est étrange car de par sa position, le seul contact que j’ai avec lui, c’est sa queue dans mon cul.


Il se retire lentement et je sens le renflement de son gland, chacune de ses veines, ses pulsations tout au long de son retrait. Que c’est bon ! Avant de ressortir totalement, il entreprend de se réintroduire en moi. J’entends le zoom de la caméra et j’imagine le gros plan. J’imagine…


… le voyeur dans la chambre d’hôtel se branle, parfaitement captivé par l’action. Les militaires sont tous avec moi. Ils me pénètrent de concert avec Marc. Ils sont tous entre mes fesses… Je délire.


Marc commence les allers-retours avec toujours autant de lenteur et de fermeté. Comme un piston bien huilé ayant atteint sa vitesse de croisière. Et que c’est bon ! Je ne suis pas sûre d’avoir tenu plus d’une minute avant de jouir. Je me lâche, mon râle s’intensifie, je hurle presque… Si Marc dort encore il va se réveiller !



Déçu et insatisfait. Fourbue je me laisse doucement aller à plat ventre mais Marc m’accompagne, toujours planté en moi.



Je ne sais pas ce que pense Pierre de ces mots d’amour, sont-ils pour lui ou pour Marc ? De toute façon cela paraît avoir un effet sur mon amant qui me semble durcir et grossir encore ! Ses mains se posent sur mes reins, il prend appui sur moi, me plante dans le lit et reprend ses mouvements entre mes fesses. Profonds, puissants. Il ne me faut pas longtemps pour jouir encore. Marc s’arrête.



Mais il exécute mes ordres à sa façon. Il replie mes jambes sous moi, puis toujours fiché au plus profond de moi, il attrape mes jambes sous mes genoux et me retourne, me faisant coulisser autour de son pieu. Quelles sensations ! Étonnant ! Il faudra que je réessaie ça ! Maintenant mes jambes repliées, il les ouvre. J’entends le ronronnement de la caméra tout proche. Pierre doit se régaler à faire des gros plans de mon sexe ouvert et de mon cul empalé. Marc reprend ses va-et-vient et dans cette position, il pénètre encore plus profondément en moi.


C’est incroyable ! Je vais jouir à nouveau. Je perds pied !



Les mots ont un effet dévastateur.



Marc est toujours fiché en moi. Il n’a toujours pas joui, et il veut tenir sa promesse. Je me demande quand va-t-il m’offrir sa liqueur… Toujours empalée, face à la caméra, je me détends un peu, me laisse un peu aller, les yeux fermés derrière mon foulard. Soudain je sens quelque chose de froid et dur contre mon sexe. J’ouvre les yeux. Je vois au travers du foulard la silhouette de Pierre juste devant moi. J’entends sa voix :



Mais ça ne rentrera jamais ! Déjà, Marc me remplit le fondement de son gros mandrin, comment veut-il faire pénétrer cet os qui est au moins aussi large ? Pierre ne s’est jamais arrêté à ce genre de considération, et je n’ai plus beaucoup de volonté pour résister, après ces trois orgasmes successifs. Marc ne bouge plus, il semble apprécier, d’autant plus que les agissements de Pierre lui génèrent des sensations à travers la mince paroi séparant les deux orifices.


Je suis tellement excitée, ouverte, que Pierre réussit à me pénétrer avec l’os, et commence à agiter l’intrus dans mon sexe. Je n’ai jamais été aussi pleine. Pleine, il n’y a pas d’autre mot ! Une nouvelle vague de plaisir se crée dans mon ventre. Et lorsque Marc se met à bouger, le tsunami se déclenche. L’os est poussé par le ventre de Marc et s’enfouit petit à petit dans mon sexe.


Je suis submergée, mais je suis sans force. Ma bouche s’ouvre sur un cri qui ne sortira jamais. Je suis tétanisée. Je jouis. Marc se retire doucement. Je sens une présence toute proche, je tourne la tête… ma récompense !


Presque instinctivement j’ouvre la bouche. Un jet chaud et puissant me fouette les lèvres. J’ouvre plus grand pour ne rien perdre. Je sens le second jet sur ma langue. J’avance et attrape son gros gland entre mes lèvres. C’est moi qui va-et-vient, et lui qui jouit, qui se répand dans ma bouche. Il semble ne devoir jamais s’arrêter. Il est bon, salé, pas trop épais. Un petit goût de vanille derrière, une légère amertume aussi. J’adore. Je le garde entre mes lèvres, longtemps.


Alors que Marc se relâche, que moi-même je ralentis et ne bouge plus, son sexe vide toujours entre mes lèvres, je sens l’os monstrueux qui sort de mon sexe.

Marc recule, s’échappe doucement. Je suis un peu déçue. Il comprend, son gland gorgé de plaisir se pose à nouveau sur mes lèvres. J’ouvre à nouveau ma bouche.


Ce n’est pas Marc…