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n° 15048Fiche technique41939 caractères41939
Temps de lecture estimé : 25 mn
26/06/12
Résumé:  Simplement parti faire du camping avec un copain. Je vais me laisser aller, ce qui va bouleverser mes convictions.
Critères:  hh jeunes copains grossexe hépilé vacances plage douche exhib nudisme massage intermast rasage facial fellation 69 init confession -hhomo
Auteur : Zwico  (Tout le plaisir, tous les plaisirs)            Envoi mini-message
Souvenirs de vacances



Les examens sont passés, j’ai eu ma licence. Pas besoin de repasser la session de septembre. Je vais donc pouvoir bénéficier pleinement de mes vacances, d’autant plus que cette année, j’ai un plan plus sympa que les sempiternels congés en famille en Dordogne.


Il y a plusieurs mois, mon meilleur copain de fac m’avait parlé de naturisme, il voulait essayer. Moi, j’imaginais déjà les gonzesses à poil tout autour de moi, et j’avais dit sur le ton de la plaisanterie que ça me plairait bien aussi. Quand, le mois dernier, il m’a proposé de partir en vacances, j’ai accepté sans hésiter. Il a une voiture et pas moi et c’est l’occasion de partir enfin en vacances sans mes parents. Quand il m’a annoncé qu’il avait réservé le camping, j’étais super content. Quand il a dit qu’il comptait bien en profiter pour essayer le naturisme, ça m’a beaucoup moins amusé, mais j’ai préféré faire bonne figure et donner l’impression que j’étais d’accord. Malgré tout, j’ai mal dormi ces dernières semaines, et j’ai préféré laisser repousser mes poils pubiens, moi qui me rase le sexe régulièrement depuis des années, de peur de passer pour quelqu’un de bizarre.


Le jour du grand départ est arrivé, après plusieurs heures de route, nous arrivons enfin au camping. À peine la tente montée, mon copain est déjà impatient d’aller à la plage, ce qui n’est pas mon cas. Je prends néanmoins mes affaires et nous quittons le camping en direction de l’océan. Arrivés au bout du chemin, un panneau indique clairement le début de la zone naturiste à deux cent mètres. Nous marchons donc encore un peu. Lorsque je passe le panneau fatidique, celui qui marque le début de la zone, je sens ma respiration s’accélérer. Ça y est. J’y suis. La plage est immense et il n’y a pas trop de monde. Tant mieux. Nous ne tardons pas à trouver une place qui nous convient. Je n’ose pas me mettre nu tout de suite. Je reste donc en short, tandis qu’à côté de moi, mon copain n’a pas hésité un instant à se déshabiller. En plus, il s’est directement allongé sur le dos. Je peux voir son corps dénudé, ses poils pubiens bruns, assez fournis, qui cachent partiellement son sexe, qui a l’air bien plus long que le mien.


Mon copain semble s’être assoupi, probablement la fatigue du voyage. Quant à moi, je suis bien gêné avec mon short que je n’ose pas enlever. La pudeur est vraiment une sensation pénible à supporter. Comment faire pour aller au-delà ? À bien y réfléchir, plus j’attendrai et plus ce sera compliqué, d’autant plus que je n’ai volontairement pas pris de maillot de bain avec moi. Ainsi, je suis obligé de me mettre nu si je veux aller me baigner. Je profite donc que mon ami est en train de dormir pour ôter prestement mon short et je me rallonge immédiatement sur le ventre.


Le temps a passé, je commence à me détendre, je décide donc de me retourner. Mon ami se réveille, on commence à discuter. Rapidement, il se met sur le côté pour me parler. Ce faisant, je peux enfin constater l’ampleur de son sexe, qui est nettement plus gros que la moyenne, et donc que le mien. Malheureusement encombré de poils, il n’est pas facile de le voir en détail. Dommage. Ses testicules sont pendants, peut-être à cause de la chaleur. Je remarque également, qu’il en profite pour me mater le sexe aussi. Cela me gêne brièvement, mais comme je fais de même, je préfère rester détendu et m’efforcer de discuter le plus naturellement possible, ce qui n’est quand même pas vraiment évident.


On va se baigner. C’est lorsque je me lève que je réalise enfin que je suis totalement nu. Le souffle du vent me caresse la peau, c’est très agréable. Et lorsque je pénètre dans l’eau, je constate que, là aussi, les sensations sont décuplées. Je prends enfin du plaisir à être nu. Dix minutes dans l’eau à nager achèvent de me détendre.


De retour sur le sable, mon copain me propose que faire quelques pas sur la plage. Je commence à me détendre, à m’habituer à la nudité, j’accepte donc volontiers. En fait, il voulait surtout mater les autres naturistes. Du coup, moi aussi, je me fais mater par les autres, mais cela me gêne moins, ce sont des inconnus, ce n’est pas pareil. C’est alors que je réalise que, outre les femmes pour lesquelles c’est quasiment systématique, de nombreux hommes se rasent aussi le sexe. Finalement, ce n’était pas la peine que je laisse repousser mes poils.


De retour à nos serviettes, je m’empresse de me recouvrir de crème solaire. Je sens l’excitation monter lorsque je m’enduis le sexe. Je m’assieds promptement, puis je m’allonge sur le ventre, juste à temps, mon sexe est en train de grossir. À côté de moi, mon copain se recouvre aussi de crème solaire, je le regarde discrètement, cela m’excite encore plus. Qu’est-ce qui m’arrive ? Je suis attiré par un homme, et un copain en plus.


De retour au camping, je commence par prendre une douche pour me dessaler. En prenant mon gel douche dans la trousse de toilette, mon rasoir attire mon regard. C’est tentant. Dans ce genre de situation, il faut agir sans trop réfléchir, sinon on n’ose pas. Je fais couler de la mousse à raser, m’enduis le sexe et son pourtour et je commence à me raser le pubis. Maintenant, je suis bien obligé d’aller jusqu’au bout. Cinq minutes plus tard, c’est terminé. J’ai retrouvé mon sexe lisse et doux, comme il y a un mois.


Le soir, je n’arrive pas à trouver le sommeil. Je ne peux résister à l’envie de me caresser le sexe. Sa douceur retrouvée m’excite tellement que je me retrouve rapidement en érection. N’y tenant plus, je me mets à me masturber tout en repensent aux personnes nues sur la plage. Le sexe de mon copain me revient régulièrement à l’esprit, et cela m’excite encore plus, c’est alors que me mets à éjaculer tout en pensant à lui, une éjaculation abondante et puissante, comme je n’en avais pas connu depuis longtemps, du sperme est même arrivé sur ma joue. Je l’enlève avec les doigts et, pris de curiosité, je les porte à la bouche. Cela faisait longtemps que je n’avais pas goûté mon sperme. C’est tiède et gluant, légèrement salé, pas vraiment agréable, un arrière-goût reste au fond de ma gorge. Finalement calmé, je finis enfin par m’endormir, ma veste de pyjama collée à mon ventre couvert de sperme.





2



Le lendemain, lorsque l’on arrive sur la plage, je sais bien que je vais surprendre mon copain à cause de mon sexe imberbe, mais c’est ce que je recherche. Jusqu’à présent, c’est lui qui m’a surpris, maintenant cela va être mon tour. Et cela ne manque pas, le regard de mon camarade se porte effectivement sur mon sexe pendant plusieurs secondes sans rien dire. Je suis plutôt content du petit effet que je viens de produire. Autant hier, je me sentais gêné quand il me regardait, autant aujourd’hui, je trouve cela plutôt plaisant.


Après une heure passée à somnoler, nous avons commencé à discuter de tout et de rien. La discussion a fini, je ne sais trop comment, à s’orienter sur le sujet de l’épilation. En fait, je pense que mon copain a intentionnellement amené le sujet pour en savoir un peu plus. Je décide donc de ne rien lui cacher, un peu par provocation, un peu pour lui montrer que, moi aussi, j’ose.



Pendant que nous discutions, nous nous sommes assis face à face, mon copain commence alors à se caresser machinalement le sexe tout en continuant à parler. Ceci attire brièvement mon regard mais je m’efforce de ne pas y prêter attention. Il prend alors le bout de son sexe et le décalotte nonchalamment tout en continuant à discuter. Il fait cela pour me gêner ou bien c’est que je l’excite ? À moins qu’il y ait une femme en train de s’exhiber derrière moi et qu’il profite que je fais écran pour se tripoter en toute impunité. Je ne vais pas me laisser intimider. Après tout, je peux en faire autant. Je prends aussi mon sexe en main et m’efforce de faire comme lui, alors qu’il continue de se caresser la tige. Cette situation si inhabituelle m’excite fortement, mon sexe se redresse soudain devant mon copain, j’en suis si gêné que je cesse mes caresses et que je resserre les cuisses pour cacher ma bite toute raide. Mon copain s’en est sûrement rendu compte, mais tant pis.


Après une nouvelle heure passée à profiter du soleil tout en somnolant, c’est une impérieuse envie d’uriner qui me tire de ma torpeur. Plutôt que d’aller seul dans l’eau, ce qui n’est pas très discret, ni très aisé, je préfère prendre la direction de la dune. Alors que je suis à la recherche d’un coin tranquille, je suis surpris de constater que des gens se sont installés entre les monticules de sable, ce qui m’oblige à marcher plus que prévu pour pouvoir enfin me soulager. C’est sur le retour que je découvre un couple d’hommes dans une situation plutôt intime. L’un des deux est allongé sur le dos, le sexe en érection. L’autre est penché vers lui, la tête sur la poitrine. Sa main caresse le ventre de son partenaire et s’avance vers son sexe redressé.


Un sentiment de gêne, d’excitation et de curiosité me parcourt. Je resterais bien quelques instants à les regarder, mais peut-être veulent-ils être tranquilles. Mais s’ils voulaient vraiment être tranquilles, seraient-ils installés sur le bord d’un chemin ? Finalement, je ralentis ma marche pour profiter aussi longtemps que possible de ce spectacle inattendu. Les deux hommes ont le sexe intégralement épilé, comme moi. Celui qui est penché dessus prend en main le sexe de son partenaire et commence à le caresser. Je sens que dans quelques instants, il va le prendre en bouche pour le sucer, mais je préfère continuer à marcher plutôt que de m’arrêter pour les regarder. C’est donc à regret que je retourne vers la plage avant d’avoir pu assister au début de la fellation.


Le soir est arrivé. Au moment de se coucher, mon copain m’annonce fièrement que lui aussi s’est rasé le sexe tout à l’heure tout en prenant sa douche.



S’ensuit un moment de silence, puis je reprends la conversation.



Sans plus attendre, nous ôtons nos pyjamas. Je peux enfin voir son sexe tout lisse. Enfin débarrassé de ses poils disgracieux, sa verge semble encore plus longue et bien plus appétissante. Je ne peux m’empêcher de le féliciter pour son rasage. Nous commençons à nous caresser côte à côte tout en échangeant nos impressions. C’est la première fois qu’il se rase le sexe et il apprécie énormément la sensation que cela lui procure et cela, c’est grâce à moi. Je me sens énormément fier de lui avoir fait découvrir ce nouveau plaisir.


Notre conversation se fait de plus en plus rare car les caresses se sont transformées en masturbations, je ne peux me retenir de penser à cette journée, mais ce qui me revient le plus souvent à l’esprit, c’est mon copain et sa belle bite, et quand j’ouvre les yeux, je la vois en vrai, en érection et toute lisse. Je suis sur le point de jouir lorsque je réalise que mon copain est lui aussi en train de me mater tout en se masturbant. Cela achève de m’exciter et je me mets à éjaculer aussi copieusement que la veille. Mon sperme gicle abondamment sur son mon ventre, mon torse et jusque sur mon cou. Mon copain, qui n’a rien manqué du spectacle, jouit à son tour, recouvrant lui aussi son corps de sperme.


Alors que je suis en train de reprendre mes esprits, il s’adresse à moi.



Suite à ce que je viens de dire, je recueille du sperme sur mes doigts et les porte à ma bouche pour les lécher. Il me regarde faire, bouche bée. J’ai dû le surprendre encore. Poussé par la curiosité, il fait de même et suce ses doigts couverts de sperme.



Épuisés par toute cette journée et cette branlette tardive, nous ne tardons pas à nous endormir d’un sommeil lourd et la bouche pleine d’un goût prononcé et salé.





3



En ce troisième jour, nous sommes fiers d’exhiber tous les deux nos sexes imberbes aux regards des autres naturistes et des quelques voyeurs qui circulent sur la plage. Deux mecs ensemble sur une plage naturiste, cela peut sembler curieux, mais qu’en plus ils aient le sexe rasé… Je me demande au fond de moi si nous n’allons pas passer pour des pédés.


Comme si cela ne suffisait pas, mon copain, qui s’est allongé sur le ventre, me demande, le plus naturellement du monde, si je peux lui appliquer de la crème solaire sur le dos. Après tout, pourquoi pas… Il faut reconnaître qu’il est difficile de s’étaler soi-même de la crème dans le dos. Par ailleurs, pas question de refuser, j’ai déjà suffisamment pris sur moi pour ce qui est de la nudité, et maintenant que j’ai osé me raser le sexe je ne vais quand même pas hésiter à étaler un peu de crème solaire.


Je prends donc le flacon et m’applique à étaler consciencieusement la crème sur ses bras, ses épaules et son dos. Alors que je suis en train de reboucher le flacon, mon copain me fait remarquer qu’il serait préférable que je recouvre tout son corps. Je m’arme d’un peu plus de courage et après avoir fait couler de la crème dans le creux de mes mains, je me charge d’enduire ses mollets, puis je remonte vers ses cuisses. Il ne me reste plus que les fesses à faire. Alors que je suis en train de les enduire de crème, je ressens des picotements sur le visage, c’est pour moi le signe évident que je suis en train de transgresser les règles.


Alors que je suis en train de finir en passant mes mains de chaque côté de son corps, je ressens de nouveaux picotements, mais cette fois-ci au niveau de mon intimité. J’ai l’impression que mon sexe est en train de grossir, un rapide coup d’œil à mon entrejambe me le confirme, il est même en train de se redresser. Qu’est-ce qui m’arrive ? Caresser un autre homme m’excite. Sans prendre le temps d’y penser plus, je m’allonge promptement avant une imminente érection intempestive. Ce faisant, toujours par défi, je suggère à mon copain de me rendre la pareille. Il ne faut pas le lui dire à deux fois, il s’est déjà relevé et approché de moi. Je suis curieux de voir son sexe. Je suis persuadé qu’il a grossi. Pendant que je me laisse faire sous la caresse de ses mains, j’observe discrètement sa bite qui continue de prendre de l’ampleur tandis qu’il me pétrit les fesses. Lui aussi préfère s’allonger avant d’être également surpris par une érection spontanée.


Une demi-heure s’est écoulée lorsque la chaleur de mon dos me rappelle qu’il est temps de se retourner. Alors que je viens de changer de côté, mon copain se relève à son tour et se met à discuter tandis qu’il vient de prendre en main le flacon de crème solaire.



C’est donc là qu’il voulait en venir. Honnêtement, je m’y attendais quand même un petit peu, avec son air candide et sa façon de tripoter anxieusement le flacon de crème. Je me demande si cela ne va pas trop loin. Je commence à nouveau à ressentir des picotements un peu partout sur mon corps. Que faire ? Et si j’acceptais ? Qu’est-ce que je risque ? On est sur la plage, il y a d’autres gens non loin de nous, il n’osera pas aller trop loin. Enfin, je l’espère. De toute façon, si je n’essaye pas, je risque d’avoir des regrets plus tard.


C’est alors que je m’entends dire d’accord, mais j’ai l’impression que ce n’est pas moi qui viens de parler. Mon copain n’attend pas plus longtemps pour se mettre à m’enduire le corps de crème. Il commence par mes épaules, puis descend pour s’occuper de ma poitrine, puis il descend encore vers mon ventre. Va-t-il continuer ainsi ? Non. Il passe maintenant à mes pieds, puis mes mollets, puis remonte vers mes cuisses. Tandis qu’il se rapproche de plus en plus de mon sexe, ses gestes se font de plus en plus langoureux. Le geste technique se transforme en caresse. Ses mains se font de plus en plus proches de mon pubis, je le sens. L’excitation monte de plus en plus en moi. Je ressens de plus en plus de picotements. Mon sexe se redresse soudain, c’était à craindre. Mon camarade sourit en le regardant, je crois bien qu’il est plutôt fier de lui, mais je constate que le sien est aussi fortement gonflé, prêt à se redresser.


Il a presque fini de me recouvrir le corps de crème solaire, mais pas encore tout à fait. Il n’hésite guère longtemps, tout en me regardant droit dans les yeux, il prend ma bite en main, un frisson intense parcourt tout mon corps. Il achève de recouvrir ma verge de crème solaire en faisant quelques mouvements de va-et-vient qui augmentent encore un peu plus mon excitation. Je me retrouve alors au bord de l’éjaculation, mais c’est alors qu’il relâche mon sexe. Visiblement heureux de ce qu’il vient de me faire subir, il se rallonge nonchalamment sur le dos, tout en reposant le flacon de crème, attendant visiblement quelque chose de ma part.


Je me lance donc sans plus hésiter, je préfère ne pas y réfléchir trop longtemps. Malgré ma bite toute raide, je me relève, nos plus proches voisins de plage ne font pas attention à nous. Après avoir rapidement fait couler une copieuse quantité de crème dans le creux de mes mains, je commence par lui enduire les épaules. Je me sens dans un état second, plus spectateur qu’acteur de mes actes. Mon cerveau fiévreux devient incapable de réfléchir, je me contente de refaire scrupuleusement ce qu’il m’a fait précédemment : son torse, son ventre, ses mollets, ses cuisses. Me voici enfin arrivé devant l’objet de toute mon émotion : la grosse bite toute raide et toute lisse de mon meilleur copain de fac. Sans plus attendre, je franchis enfin le pas et la prends en main. C’est la première fois que j’ai dans ma main une autre verge que la mienne, c’est une sensation curieuse, d’autant plus qu’elle est nettement plus grosse que la mienne. Je prends alors tout mon temps pour enduire de crème le membre de chair que j’ai entre les mains. Je continue même mes mouvements plus que nécessaire. Jusqu’où oserai-je aller ? Mon copain inspire soudain, son corps se raidit, je sens sa verge trembler entre mes doigts. Je n’ai plus à me poser de question. De puissants jets de sperme fusent de sa bite toute raide que j’ai encore en main. Je la relâche. Mon copain me sourit affectueusement, je pense qu’il a bien apprécié ce que je viens de lui faire. À bien y réfléchir, je regrette vraiment qu’il n’ait pas été jusqu’au bout tout à l’heure.


Le soir venu, dans la tente, nous sommes allongés, nus, lorsque mon copain me reparle de la branlette de l’après-midi.



Tout en disant cela, je me tourne vers lui. Nos regards se croisent dans la pénombre. Il se rapproche alors de moi et reprend mon sexe en main tandis que je rallume l’éclairage de la tente pour mieux profiter du spectacle de mon copain en train de me branler. Très excité par la situation, je ne tarde pas à me retrouver en érection. Mu par mon désir, je pars à la recherche de sa verge, elle est déjà toute dure, je la prends en main et je me mets à le masturber à mon tour. Notre excitation est à son comble et nous ne tardons à nous éjaculer copieusement dessus.


Je reprends mes esprits tout en observant mes doigts. Ils sont constellés de sperme, mais pas le mien, celui de mon copain. Le plaisir pervers que je viens de ressentir est tel que sans hésiter plus longtemps, je les porte à ma bouche pour les lécher, comme je le ferais avec mon propre sperme. C’est lorsque je l’avale que je réalise qu’il n’a pas le même goût que le mien. Moins fade, légèrement piquant, c’est donc vrai que chaque sperme a un goût différent. Mon copain me regarde étonné, il ne devait pas s’attendre à ce que je fasse cela. Je dois reconnaître que je l’ai fait tout naturellement, sans tenir compte de sa présence. Finalement, il me sourit et ose lécher ses doigts couverts de mon sperme tandis que je lui rends son sourire.





4



Suite à ce que j’ai vu dans les dunes deux jours avant, je suggère à mon ami de nous installer dans ce secteur. Un choix judicieux, car nous ne tardons pas à constater une importante circulation dans les environs. Nous quittons donc nos serviettes de bain et ne tardons pas à découvrir un univers nouveau. Dans les petits sentiers, nous croisons à plusieurs reprises d’autres hommes dont le sexe encore à moitié gonflé nous laisse deviner qu’ils viennent juste d’éjaculer. Nous continuons notre petite marche jusqu’à ce que nous voyions deux hommes debout en train de se masturber. En nous approchant d’eux, nous réalisons qu’ils sont en train de mater un couple en train de faire l’amour. L’homme est en train de prendre sa femme en levrette, celle-ci gémit sous l’effet des coups de boutoir, ses gros nichons pendants se ballottent au rythme de leurs mouvements. Intéressés par la scène, nous nous arrêtons et commençons à nous masturber aussi. Malheureusement pour nous, le couple ne tarde pas à jouir et les deux voyeurs aussi. Satisfaits, ils quittent le lieu. Nous nous donc retrouvons à nouveau seuls avec le sexe en érection. Dommage.


Peut-être y a-t-il mieux plus loin. Nous continuons donc notre marche, le sexe encore bien raide. Bien nous en prend, car un autre couple est en train de pratiquer un 69 un peu plus loin. Nous commençons à nous masturber tout en nous rapprochant, nous sommes les seuls voyeurs. Lorsque nous arrivons enfin à leur hauteur, nous réalisons qu’il s’agit en fait d’un couple d’homosexuels. Les deux garçons, intégralement épilés, sont à peine plus âgés que nous. Ils sont nonchalamment en train de se sucer mutuellement avec application. Lorsqu’ils remarquent notre présence, alors que nous avons toujours la bite en main, ils nous sourient pour nous inviter à rester auprès d’eux. Nous continuons donc à les observer tout en nous masturbant.


Quelques minutes plus tard, ils se mettent à jouir presque simultanément. Leur sperme se répand copieusement dans leurs bouches et s’écoule sur leurs joues. Lorsqu’ils ont fini de jouir, ils se relèvent et s’embrassent langoureusement tout en se partageant leur semence. C’est à ce moment-là que je me mets à éjaculer, suivi de près par mon copain. Je viens de ressentir du plaisir à regarder deux pédés se sucer. Qu’est-ce qui m’arrive ? De toute façon, j’ai déjà masturbé deux fois mon copain, lui aussi m’a masturbé et j’ai goûté à son sperme. Serais-je en train de devenir homosexuel ? C’est avec l’esprit perturbé par cette perspective que je retourne vers la plage en compagnie de mon ami.


Nous sommes finalement restés assez sages à la plage. Probablement parce que nous nous posions tous les deux des questions quant à notre homosexualité. Le soir est arrivé. Je suis toujours tourmenté par mon comportement avec mon copain. Que faire ? Nous venons de prendre une douche pour nous rafraîchir avant de nous coucher et nous sommes à présent allongés nus dans la tente. C’est le moment de la journée où nous pouvons enfin discuter tranquillement. J’ai préféré laisser la lampe allumée. Nous en arrivons rapidement à discuter du 69 de cet après-midi, mon copain semblant lui aussi préoccupé par la question.



Sans plus attendre, je change de sens pour que nous soyons placés tête-bêche. Je n’avais jamais vu le sexe de mon copain d’aussi près, il me semble encore plus gros. Je commence par le prendre en main tandis que je sens que mon ami a déjà commencé à me masturber. J’ai l’impression d’être dans un rêve, de ne pas réellement contrôler ce que je suis en train de faire. Je me mets à mon tour à masturber mon camarade. Son sexe grossit rapidement. Je me rapproche un peu plus de ce gros membre de chair. J’hésite encore un peu. Maintenant, il est totalement en érection. Il faut que je me décide. Je ne vais quand même pas reculer maintenant, ce n’est plus possible. Je choisis donc d’aller de l’avant, au propre comme au figuré. J’ouvre la bouche pour accueillir la bite de mon copain entre mes lèvres. Attendait-il ce signal ? En tout cas il semble avoir lui aussi pris mon sexe en bouche. Nous commençons à nous sucer fébrilement. Finalement, c’est plutôt agréable de sucer un autre homme. Je prends même rapidement du plaisir à lécher, sucer et avaler cette grosse bite et ces belles couilles toutes douces. Simultanément, je ressens la succion et les léchouilles de mon copain qui me rend la pareille. Il me pompe merveilleusement bien, je sens rapidement le plaisir monter en moi et je m’efforce de le lui rendre en soignant autant que possible ma fellation.


Mes convictions hétérosexuelles sont en train de voler en éclats. Malgré le caractère profondément homosexuel du rapport qui nous unit, la honte ne m’envahit pas. Je ressens même beaucoup de plaisir à faire ce que je fais. Ma jouissance est proche. Dois-je prévenir mon copain ? Après tout, ce sera la surprise. Je jouis alors sans retenue, tandis qu’il est en train de m’aspirer le gland avec application, inondant ainsi sa bouche de sperme tiède. Surpris, il en recrache une bonne partie, légèrement dégoûté tandis que je termine en éjaculant sur son visage. Néanmoins, je continue ma fellation avec application, avalant avec délice sa bite aussi profondément que je peux. Après ce que je viens de lui faire subir, c’est la moindre des choses que moi aussi je le reçoive dans ma bouche. Et cela ne tarde pas, je ressens soudain un première giclée de sperme qui m’envahit le palais et s’écoule jusqu’au fond de ma gorge. Plusieurs autres suivent, me remplissant totalement la bouche. Je ne peux faire autrement qu’en avaler une partie si je ne veux pas m’étouffer. Son sperme a un goût assez prononcé, et là j’en ai plein la bouche, je l’ai bien cherché. Lorsque je retire enfin sa grosse bite d’entre mes lèvres, je porte mon regard vers mon copain. Il est en train de me regarder, un grand sourire béat se dessine sur son visage couvert de sperme.


Je change alors de sens tandis que mon copain est en train de se nettoyer du sperme qu’il a sur les joues, le menton et le cou. Évidemment, comme il n’a pas gardé ma verge dans la bouche, il en a reçu pas mal sur le visage. Pour ma part, ayant consciencieusement conservé sa bite dans ma bouche jusqu’au bout, je n’ai guère qu’un peu de sperme à la commissure de mes lèvres et c’est tout. Tandis que nous reprenons lentement nos esprits, tout en nous laissant gagner par le sommeil, nous discutons tranquillement de l’expérience inédite que nous venons de vivre. Nous partageons le même sentiment. Nous n’avons aucune honte que ce que nous venons de faire, nous n’en avons ressenti que du plaisir et nous serions prêts à recommencer dès que possible.





5



Le dernier jour est arrivé. Déjà ! Tout ceci est allé vite, très vite, trop vite, peut-être. Nous venons à peine de découvrir nos désirs mutuels que cela va déjà se terminer. Fermement décidés à profiter à fond de cette dernière journée, nous choisissons de retourner directement dans la dune.


Quelques voyeurs sont déjà en train de circuler à la recherche d’un couple en pleine action. Nous nous installons à peu près à l’endroit où les deux gays se suçaient hier. Nos serviettes dépliées, nous ôtons nos vêtements sans plus attendre. Je sens déjà une sensation d’excitation parcourir mon corps. D’ailleurs mon sexe est déjà légèrement gonflé. Sans plus attendre, nous nous installons tête-bêche. Mon copain semble lui aussi déjà excité, sa bite, déjà imposante au repos, semble encore plus grosse. Impatients, nous commençons immédiatement à nous sucer mutuellement. Je sens la grosse bite de mon copain grossir dans ma bouche pour mon plus grand plaisir. Je m’applique, léchant avec avidité sa longue verge, ses bourses et son gland. Avalant avec délice sa tige toute raide. Le suçant et le pompant avec application pour lui prodiguer autant que plaisir qu’il m’en procure en retour.


Je lève les yeux. Plusieurs voyeurs se sont arrêtés pour nous regarder. Trois hommes qui se masturbent frénétiquement tout en nous regardant faire. Être ainsi observé, alors que je suis en train de sucer un autre homme, décuple mon excitation et mon désir. Je reprends ma fellation de plus belle, avalant bien à fond la grosse bite de mon copain. Pendant ce temps-là, l’un des voyeurs a déjà éjaculé. Il s’accroupit alors devant son voisin, certainement son partenaire, et se met à le sucer avec tendresse. Ceci renforce encore plus mon excitation. Alors que je sens la jouissance arriver, le sexe de mon ami tremble légèrement, signifiant l’approche imminente de son éjaculation. En effet, je ne tarde pas à avoir la gorge remplie par le sperme tiède de mon amant. Je m’efforce de bien tout recevoir dans la bouche tout en continuant à le sucer avec douceur. C’est maintenant à mon tour de jouir. Cette fois-ci, mon copain conserve consciencieusement ma bite dans sa bouche, je me réjouis de prendre ainsi possession de son corps, ma jouissance n’en est que plus intense. Simultanément, je peux observer nos voyeurs. Ils jouissent à leur tour, l’un dans le sable et l’autre dans la bouche de son partenaire.


Maintenant calmés, nous nous redressons, du sperme encore plein la bouche, malgré tout ce que nous avons déjà avalé. Le voyeur solitaire vient de partir, le couple est encore là. Celui qui vient de sucer son amant s’est relevé, du sperme s’écoule de sa bouche, il se rapproche de son ami et l’embrasse goulûment. Nous les regardons faire, puis nous nous regardons. Nous aussi avons du sperme qui coule de notre bouche. La même idée nous traverse l’esprit. Nous nous rapprochons et, tout en nous caressant mutuellement, nous nous embrassons tendrement, mélangeant nos langues pour partager amoureusement notre sperme sous les regards de nos deux voyeurs.


Épuisés et satisfaits, enfin calmés, nous nous allongeons pour nous reposer, non sans nous être préalablement enduits mutuellement de crème solaire. Chacun insistant langoureusement sur la verge, encore gonflée de plaisir, de son partenaire, mélangeant sans vergogne la crème et le reste de sperme. Durant l’après-midi, nous alternons la baignade et le bronzage, non sans nous permettre un second 69 devant d’autres voyeurs toujours aussi intéressés par notre prestation. Cette jouissance mutuelle étant pour nous une nouvelle occasion de nous embrasser affectueusement pour partager notre sperme.


Après cette folle journée à la plage, nous retournons assez tardivement au camping, ayant prolongé autant que possible cette dernière journée. Du coup, à cette heure-là, beaucoup de monde fait la queue devant les douches. Au bout d’un quart d’heure, les cinq personnes qui nous précédaient sont enfin passées et une douche se libère enfin. Mon ami, qui est devant moi, me propose alors de prendre la douche avec lui pour que je n’attende pas plus longtemps. Nous entrons donc ensemble dans la même cabine de douche sous les regards surpris de la dizaine de personnes qui attendent encore derrière nous.


Du coup, plutôt que juste nous doucher, nous en profitons aussi pour nous caresser et nous masturber mutuellement tandis que l’eau coule abondamment sur nos corps nus, imberbes et bronzés. Nous sommes si excités que nous n’hésitons pas à nous embrasser goulûment. Nos langues se mélangent tandis que nous nous savonnons mutuellement tout en nous tripotant. Ce qui devait arriver finit par arriver, nous nous éjaculons mutuellement dessus. Maintenant un peu plus calmes, nous terminons de nous laver et de nous essuyer. Lorsque nous ressortons enfin de la cabine, nous remarquons évidemment les regards pesants des autres campeurs qui attendent leur tour pour prendre leur douche.


C’est notre dernière soirée au camping. Ces quelques jours de vacances seront vraiment passés trop vite. Nous commencions à peine à profiter de notre relation sexuelle. Dès que nous sommes couchés, nous nous plaçons immédiatement en position de 69 pour partager ensemble un dernier moment de jouissance mutuelle. Portés par notre plaisir, ainsi que par le désir d’en procurer aussi à l’autre, nous nous suçons avec application jusqu’au moment où, presque simultanément, nous nous éjaculons copieusement dans la bouche. Ressentant tous les deux une incroyable sensation de bonheur, nous rapprochons nos lèvres pour unir notre désir dans un baiser long et fougueux où nos langues se mêlent avec ardeur. Heureux et enfin calmés, nous nous allongeons et continuons à discuter tranquillement, comme si de rien n’était, en attendant que le sommeil nous gagne.





6



Le lendemain matin, je me réveille le premier. La lueur du jour traverse la toile de tente et me permet de voir mon copain, en train de dormir, allongé nu sur le dos. Son gros sexe est en érection. Je suis alors pris d’une envie d’autant plus grande que ce sera peut-être la dernière occasion. Je me penche vers lui et commence à lécher son sexe. Son sperme a séché durant la nuit, donnant à sa verge un goût assez prononcé, mais ce n’est pas grave, après tout, ce n’est que du sperme. Tandis que je commence à le sucer avec application, mon ami commence à se réveiller. Il réalise rapidement ce qui se passe et semble visiblement apprécier, puisqu’il m’encourage à continuer en prenant mes cheveux entre ses mains pour accompagner mes allers-retours, imposant ainsi le rythme de mes mouvements. Quelques minutes plus tard, j’ai le plaisir de recevoir dans ma bouche de copieuses giclées de sperme tiède, que je me fais un devoir d’avaler consciencieusement tout en lui souriant tandis qu’il me remercie.


C’est alors mon amant qui m’invite à m’allonger pour pouvoir me rendre la pareille. Je le laisse faire, impatient de me faire sucer. Lui aussi découvre le goût inhabituel de ma verge couverte de sperme sec, et lui aussi accepte néanmoins de la lécher avec appétit. Sans attendre, il se met à me pomper avec gourmandise, avalant ma bite à fond.


À mon tour, je prends ses cheveux entre mes mains et je me mets à accompagner ses mouvements. Progressivement, je me fais plus dirigiste, mais mon copain se laisse faire. C’est formidable, j’ai l’impression de me branler avec sa bouche. Je ne tarde pas à sentir la jouissance venir. Je me laisser aller, éjaculant sans hésitation au plus profond de sa gorge. Je lui ai rempli généreusement la bouche, du sperme s’écoule à la commissure de ses lèvres tandis qu’il s’efforce de tout avaler. Je le remercie à mon tour, il me sourit aussi, me manifestant ainsi sa gratitude envers moi. Je m’approche de lui et nous nous embrassons à pleine bouche. Nous langues se mélangent tandis que nous partageons son sperme et que nous nous caressons mutuellement.


Repus de sexe, nous nous allongeons, profitant une dernière fois de la quiétude béate qui suit tout grand moment de jouissance. Nous parlons de tout et de rien, essayant désespérément de faire durer ce dernier moment de bonheur. Malgré tout, il va nous falloir partir. Les meilleures choses ont une fin. Deux heures plus tard, nous quittons le camping. Nos vacances sont dorénavant terminées.


Je suis ému. Durant le trajet retour, les questions se bousculent dans mon esprit. Aurons-nous d’autres occasions d’avoir des rapports ensemble ? Quand ? Et les filles ? Est-ce que je dois y renoncer ? Ou pas ? Aurais-je trouvé ma voie, ou bien tout ceci ne serait qu’une passade sans conséquence ? Je n’ose en parler à celui qui a été plus qu’un ami pendant quelques jours. Lui aussi ne dit rien de tout cela. Peut-être la peur de rompre le charme. Je me sens aussi mélancolique que lui, même si ces quelques jours demeureront malgré tout un excellent souvenir.



– FIN –