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Temps de lecture estimé : 9 mn
04/07/12
Résumé:  Christophe H fait la connaissance d'Oriane et Karine, qu'on lui présente comme lesbiennes, pourtant Oriane tient à lui faire découvrir ses piercings intimes...
Critères:  fh inconnu grosseins fépilée exhib noculotte fetiche piquepince confession -occasion -mastf
Auteur : Christophe H

Série : Les mémoires de Christophe H

Chapitre 01
Le marié, les Harley et les percées

C’est au second mariage de François, mon ancien boss, que tout a commencé. J’étais plutôt surpris d’y être invité, à ce mariage. Après tout, même si nous avions été assez proches par le passé, il avait quitté la boîte depuis un peu plus de deux ans et ne m’avait donné aucune nouvelle depuis. Je ne savais même pas qu’il avait divorcé dans l’intervalle… Enfin, suite à son invitation, nous avions repris contact au téléphone, j’avais appris qu’il était désormais installé en Bretagne, qu’il s’était remis à la moto, qu’il avait rencontré sa nouvelle femme dans un club de riders, et qu’à leur mariage il y aurait un grand rassemblement de Harley Davidson et donc plein de belles gonzesses. Étant moi-même amateur de belles bécanes – même si je préfère les sportives japonaises aux américaines asthmatiques – et surtout célibataire récurrent et dragueur impénitent, je ne me fis pas trop prier pour accepter son invitation.


Le mariage avait lieu au tout début de juillet, dans un petit village non loin de la mer. Nous étions quasiment tous logés dans un hôtel situé juste en face de la salle de réception ; tout était donc prévu pour que les joyeux motards puissent aller bien au-delà du raisonnable en matière de consommation d’alcool, sans se mettre en danger sur la route en fin de nuit…


C’est François qui fit lui-même les présentations au moment de passer à table. Je me retrouvais avec un couple dans les trente ans, comme moi, et un autre un peu plus âgé. Il y avait aussi deux très belles plantes, très jeunes, vingt ans ou à peine plus, auprès desquelles je m’imaginais déjà déployer tous mes talents de dragueur. Mais comme les parents respectifs étaient assis à la table voisine et semblaient plutôt du genre étouffant, la tâche s’annonçait délicate. Enfin, il y avait un couple de motardes, que François m’avait décrites en aparté un peu plus tôt. « Tu verras, m’avait-il dit, tu seras assis à côté des deux plus belles femmes de la soirée, mais c’est bête pour toi, car tu n’as aucune chance. Pas une ! Elles sont lesbiennes, homo de chez homo, aucune chance ! ».


Et effectivement, je me retrouvais assis à côté d’Oriane, peut-être quarante ans, magnifique brune aux yeux bleus et à la plastique parfaite. Impeccablement maquillée, les cheveux très longs et ondulés rehaussés d’un petit chignon très travaillé, elle portait fièrement une robe bustier en satin blanc qui dévoilait largement ses épaules et la naissance de ses seins. Bien que de petite taille, sa carrure en imposait ; les muscles de ses bras bien dessinés trahissaient de longues heures passées en salle de gym ou à enchaîner les longueurs de piscine. Elle avait des traits bien dessinés, une peau halée rehaussée de quelques fines tâches de rousseur. Son nez fin et orné d’un petit diamant lui donnait un petit air mutin et juvénile, dont le contraste avec la maturité de son regard et le classicisme de sa tenue n’était pas pour me déplaire.


Mais si Oriane était une très belle femme, que dire alors de Karine, sa compagne ? Elle était certes la caricature de la motarde gouine : les cheveux courts teints en rouge criard, les bras tatoués, le visage hérissé de piercings ostensibles, un foulard noir serré autour du cou, portant de multiples bagues et de lourds bracelets du plus mauvais goût… mais quelle magnifique poupée ! Sa petite robe extrêmement moulante, du même rouge que sa chevelure, mettait sublimement en évidence sa taille fine et ses hanches très larges. Mais ce qui fascinait surtout, c’était son décolleté, énorme, provoquant ; aucun homme dans l’assistance (et sans doute aucun femme non plus) ne pouvait regarder dans sa direction sans être impérieusement obligé d’y plonger et de s’y perdre longuement. Sa poitrine donnait l’impression d’être bien plus large que sa cage thoracique ; ses seins parfaitement sphériques, énormes, étaient sans aucun doute possible le résultat d’une opération de chirurgie esthétique, et non le fruit de la générosité de la nature, mais quel spectacle !


Karine les portait de plus avec une fierté et avec un aplomb digne d’une star du X. Perchée sur des talons vertigineux, exagérément cambrée, le menton haut, tout dans sa position était étudié pour mettre son buste en valeur. Et pourtant, il n’y avait ni dans son regard ni dans ses attitudes quoi que ce soit d’arrogant ni d’orgueilleux, bien au contraire. Son sourire discret et son regard fuyant lui donnaient un air un peu timide qui collait mal avec ce physique de bimbo. Lorsque nos voisins de table essayèrent d’engager la conversation, ce fut le plus souvent Oriane qui répondit à sa place, Karine se contentant de tourner la tête vers elle, ou de baisser les yeux en bredouillant quelques monosyllabes en guise de réponse.


La soirée avançait doucement sans que je puisse parvenir à établir le dialogue avec les deux jeunettes qui se complaisaient en messes basses et en petits ricanements d’adolescentes. Pas de doute, elles m’avaient catalogué parmi les vieux… Les deux couples « mixtes » devant s’occuper d’enfants en bas âge étaient peu présents et nous n’avions pas grand-chose à nous dire. Heureusement pour moi, Oriane s’est révélée une voisine aimable et volubile, et Karine bien que manifestement mal à l’aise participait de loin en loin à la conversation.


Nous en vînmes forcément à un moment à aborder le sujet des piercings, les deux jeunettes ayant branché Karine sur les différents bijoux qu’elle portait. Oriane nous fit le catalogue des différents perçages que portait sa bimbo : le labret sous la lèvre inférieur, au milieu, où elle portait un anneau qui rentrait dans sa bouche, la narine évidemment avec un petit anneau, le septum ou cloison nasale, comme les vaches, d’où un gros anneau pendait jusqu’à sa lèvre. Les trous de ses lobes d’oreilles avaient été largement étirés, elle portait de chaque côté une sorte de tube nommé flesh tunnel qui devait faire environ un centimètre de diamètre (Oriane nous montra qu’elle pouvait presque passer son petit doigt à travers). Enfin, une forêt d’anneaux courait jusqu’en haut de son oreille droite, tandis que son oreille gauche était traversée de part en part par une longue barre nommée industrial. Puis Karine tira la langue, et nous découvrîmes avec surprise non pas la traditionnelle petite boule brillante que portent tant de jeunes filles aujourd’hui, mais une série de trois boules d’un diamètre imposant, alignées sur le sillon central de sa langue.


Les deux jeunettes pouffèrent et reprirent leurs messes basses. Je me penchai vers Oriane, interrogateur :



Et comme elle ne répondait pas tout de suite, j’ajoutai, gentiment provocant :



Elle plongea son regard dans le mien, et sa réponse fusa, du tac au tac :



Puisque c’est elle qui me lançait sur la pente glissante d’une discussion au niveau de l’entrejambe, je ne pouvais pas me dérober.



À ces mots, Oriane avança sa chaise au plus près de la table, se redressa, et saisissant son verre de champagne d’une main, elle vint avec l’autre main saisir la mienne, qu’elle amena directement sur sa cuisse. Je restai un moment pétrifié par son audace. La salle était certes plongée dans une demie-pénombre, la nappe longue cachait plutôt bien se qui se passait sous la table, mais nous étions tout de même exposés à tous les regards. Karine me fixait comme si elle savait exactement quel jeu se jouait entre sa compagne et moi, et peut-être même comme si elle savait exactement la tempête qui se déroulait à cet instant sous mon crâne. Oriane me relança :



Je ne me le fis pas dire deux fois. Ma main remonta librement le long de sa cuisse. Non seulement sa robe était très courte et fendue haut sur les côtés, mais en s’asseyant, elle l’avait relevée complètement. Ses jambes écartées de la largeur d’une main, elle ne faisait aucun obstacle à ma progression, et manifestement ne portait pas de culotte.


Et effectivement, la première chose que je sentis une fois arrivé en haut de sa cuisse, ce fut le contact froid d’un objet métallique, puis d’un second, identique. Mes doigts jaugèrent délicatement de leur forme et de leur poids. Ils avaient sensiblement la forme et la taille d’un gland de chêne ; en les soupesant, je me rendis compte de leur poids conséquent (j’apprendrai ultérieurement que chacun de ces glands en acier massif pesait un peu plus de trois cent cinquante grammes, l’équivalent d’une canette de soda pleine !). Poursuivant mon investigation, mes doigts découvrirent les deux gros anneaux qui les suspendaient aux grandes lèvres d’Oriane, percées profondément et renforcées de flesh tunnels comparables à ceux que Karine portait aux oreilles.


Oriane continuait à tripoter son verre de champagne tout en regardant au loin, comme si de rien n’était. Un peu enhardi, je remontai sur le bord de sa fente lisse et douce, me demandant quelle surprise j’allais trouver plus haut. J’étais presque déçu d’arriver au mont de vénus – parfaitement épilé – sans avoir rencontré aucun autre anneau sur ses grandes lèvres, quand je découvris une bille plantée tout en haut de sa vulve, un peu au-dessus de l’endroit où les lèvres se rejoignent. Elle se retourna un peu dans ma direction, et murmura sans me regarder :



En appuyant doucement sur sa peau de part et d’autre de la bille, je me rendis compte que la tige du bijou devait partir « plein sud », en direction de son intimité. Je ne me fis pas prier pour farfouiller, selon son expression, et je pinçai doucement le sommet de sa vulve entre le pouce et l’index pour bien sentir la présence de la tige, et je commençai à descendre. En chemin je croisai un autre anneau, un peu plus petit que ceux des grandes lèvres, qui s’ancrait profondément dans sa chair, à la hauteur du clitoris.



J’entendis à peine ce qu’elle ajouta en soufflant dans ses dents :



Je finis par trouver l’extrémité de son isabella juste sous son anneau de triangle. La bille de sortie de l’isabella était bien plus grosse que la bille d’entrée, et la bille centrale de l’anneau de triangle venait reposer dessus. Je jouai un petit peu avec son anneau. À chaque mouvement les deux billes s’entrechoquaient, un peu à la manière d’un heurtoir de porte, mais à cause du volume sonore ambiant je ne parvins pas à entendre le bruit que le choc produisait. Oriane resta totalement impassible.



Je posai doucement ma main à plat sur sa vulve pour tenter d’y découvrir le bijou que j’aurais manqué. Mes doigts étaient posés sur les anneaux qui portaient ses poids, ma paume couvrait son triangle, et le haut de ma main appuyait nettement sur la bille supérieure de l’isabella. « Il ne reste qu’un endroit où je n’ai pas cherché », pensai-je. Et au même moment elle confirma :



Je repliai mon majeur et vins l’enfoncer sans hésitation entre ses lèvres. Et effectivement, j’y découvris immédiatement un anneau de même taille que le triangle, qui semblait sortir de la paroi supérieure de son vagin. Je mis un certain temps à comprendre comment il était installé ; manifestement, il s’enfonçait dans sa peau juste au-dessus de l’ouverture du vagin et en ressortait à l’intérieur après quelques centimètres.



Je n’appris que plus tard que ce piercing rentrait en fait par son méat urinaire, cheminait dans son urètre, et ressortait dans le vagin à l’endroit où l’urètre fait un coude pour remonter vers la vessie. Une installation de haute précision que bien peu de femmes au monde doivent porter…


Excité comme jamais, et mesurant l’excitation de ma voisine à l’humidité intense de son sexe, je commençai à faire aller et venir mon doigt en elle, mais après avoir reposé son verre, elle vint retirer ma main et l’amena devant sa bouche ; rapidement, elle introduisit mon doigt entre ses lèvres et passa la langue dessus. Une nouvelle fois je sentis le contact du métal sur ma peau : sa langue aussi était percée, mais contrairement à Karine d’un seul bijou.


Karine justement se levait.



Oriane sortit sur ses talons et me fit signe de les suivre.