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Temps de lecture estimé : 13 mn
12/07/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  Tanya et Stella s'installent chez moi, je vais pouvoir profiter à demeure de deux filles superbes. Puis, j'invite les amis qui nous ont rendu service à une soirée spéciale, dont ils ne se doutent même pas de comment elle va se dérouler.
Critères:  grp fbi fsoumise hdomine voir fellation cunnilingu pénétratio double sandwich partouze sm fouetfesse confession -groupes -sm -fsoumisah
Auteur : Azkinato            Envoi mini-message

Série : Tanya

Chapitre 06
Tanya - Chapitres 9 & 10

Résumé des chapitres précédents : J’ai fait la connaissance de Tanya, une jeune fille intéressée par ma « sexualité particulière ». Après lui avoir fait découvrir le monde de la soumission, celle-ci commence à apprécier mes petites manies.


Lors d’une sortie avec elle, je lui achète plusieurs tenues ultra sexy. Elle fait la connaissance de Stella, la vendeuse de la boutique de vêtements.


Stella est invitée à la maison, Tanya s’occupe du service totalement nue, elle déshabille Stella et, sur mes recommandations, les deux filles se donnent du plaisir.


Tanya et Stella font l’acquisition de nouvelles tenues sexy, et deviennent vraiment plus que des amies.


Sonia, la voisine, découvre la vie de mes deux compagnes, qui se font alors, sous ma supervision, un plaisir de les mettre au pas, elle et surtout son voyeur de mari, « toutou » Denis !









Chapitre 9 : Tanya et Stella s’installent chez moi.



Après nos petites péripéties avec les voisins, le week-end se passa calmement pour nous trois. Les filles reprirent leurs petites habitudes en me vouvoyant, et en étant aux petits soins pour moi.


Comme c’était devenu une habitude à présent, Tanya vint me voir le jeudi. Suivant le rituel établi, elle se présenta nue à ma porte, mais je remarquai sur son visage que quelque chose n’allait pas bien. Je la questionnai immédiatement :



Elle prit un peu de temps avant de me répondre :



Elle reprit son souffle pour enchaîner :



Elle s’arrêta quelques secondes avant de poursuivre :



Comme j’avais trouvé une perle rare, et que ces deux dernières semaines s’étaient très bien passées, je lui proposai :



Elle me sauta au cou, en me remerciant de nombreuses fois, et en me faisant plein de bisous partout sur le visage. Elle ne s’attendait pas à une telle proposition de ma part, je lui avais toujours dit que j’aimais bien ma solitude.


Après ce court moment fort en intensité, je constatai qu’il y avait encore autre chose qui la chagrinait :



C’était plus une affirmation qu’une question.


Gênée, elle m’annonça alors :



Une perle rare c’était magnifique, mais deux ensemble c’était presque inespéré. J’avais plusieurs chambres de libres dans ma maison, mais je voulais qu’elles couchent ensemble, au propre comme au figuré. La plus grande chambre inoccupée les ravirait.


Je voulais la taquiner un peu, je pris un air sérieux pour lui annoncer :



Je vis qu’elle était un peu déçue, je ne la fis pas attendre plus longtemps.



Cette fois, Tanya se permit une privauté qu’elle ne s’était jamais permise jusqu’à présent. Elle me sauta une nouvelle fois au cou, mais cette fois elle m’embrassa torridement sur les lèvres, en se plaquant tout contre moi.


Elle me remercia de nouveau mille fois, en me disant que je ne le regretterais pas.


Je repris vite mes sens pour lui annoncer :



Je m’installai sur une chaise, en lui demandant de venir chercher sa punition. Ce fut l’occasion d’un nouveau petit jeu sexuel.


Elle se coucha immédiatement en travers de mes genoux, les pieds d’un côté, et le haut du corps de l’autre.


Si mes premières frappes laissèrent quelques traces légèrement rosées sur ses fesses, les suivantes ressemblaient plus à des caresses. Je glissai un doigt entre ses cuisses ouvertes à la recherche de son petit bouton, pendant que l’autre continuait la supposée « punition ».


Je pus constater qu’elle était déjà toute humide d’excitation, décidément elle avait la soumission dans le sang. Je continuai quelques secondes, avant de la prendre alors dans mes bras et de la porter jusqu’à ma chambre. C’était la première fois qu’elle y pénétrait. Après l’avoir déposée doucement sur le lit, je me déshabillai lentement en la regardant. Elle comprit immédiatement que cette séance serait bien différente des autres.


Après m’être allongé tendrement sur elle, je l’embrassai aussi passionnément qu’elle l’avait fait l’instant d’avant. Puis, je fis courir ma langue sur tout son corps, passant beaucoup de temps sur sa poitrine. Une fois celle-ci bien dure, je continuai mon exploration jusqu’à son minou. Celui-ci ne m’avait jamais paru aussi humide. Ma langue experte savait comment s’y prendre pour torturer avec finesse son clitoris. Aussi, je ne fus pas surpris qu’elle ne résiste guère longtemps, et réponde bruyamment à cet assaut. Et là ce n’était pas le cinéma sonore qu’elle avait fait pour Denis, elle avait joui comme jamais.


Je la pris ensuite de nouveau dans mes bras, et la fit tourner pour qu’elle se retrouve à son tour allongée sur moi. Comprenant ce que je désirais, elle commença de petits mouvements de bas en haut, en frottant son intimité sur la mienne. Elle se releva ensuite, écarta ses cuisses, et s’enficha sur ma virilité. Ses mouvements la faisaient à présent osciller de haut en bas, et de bas en haut. Elle contracta au maximum ses lèvres, maintenant mon sexe dans un fourreau étroit et doux. Cette fois, ce fut moi qui n’opposai guère longtemps de résistance à ses compétences.


Pour cette première pénétration « normale » entre nous, moi seul eut du plaisir. Elle se releva, et pour faire bonne mesure, me prit dans sa bouche pour me nettoyer au mieux.


Je pris quelques secondes pour l’admirer pendant qu’elle terminait, avant de lui dire :



Elle descendit rapidement du lit, pour courir mettre ses vêtements, restés devant la porte.


Lorsque nous ne fûmes qu’à quelques mètres du magasin, en y apercevant Stella seule, elle se mit à cavaler vers elle pour se jeter dans ses bras.



Cette dernière eut un grand sourire, puis les deux filles s’embrassèrent passionnément sur la bouche. Leur baiser de joie n’était pas simulé, et dura un certain temps. Heureusement que personne ne passait dans les environs.


Je les mis tout de même en garde :



Elles furent d’accord pour tout, et promirent d’être très discrètes pour ne pas me déranger. Il fut décidé qu’elles s’installeraient chez moi dès le week-end à venir.


Je raccompagnai Tanya chez elle, pour qu’elle commence à faire le nécessaire.


Le lendemain soir, j’eus la surprise de voir Sonia me rendre visite.


Étonné par sa visite, je la fis entrer.



Cette appellation de Denis venant de sa part me fit sourire. Elle continua.



Je lui annonçai alors que ce que les filles lui avaient dit tenait toujours, qu’elle avait une dette envers nous, et que pour la payer, elle devrait revenir nous voir chaque fois qu’on la solliciterait. Puis, je lui expliquai les changements à venir :



Je lui fis comprendre que je voulais une petite amabilité buccale, et qu’elle pourrait rentrer chez elle ensuite.


Elle répondit favorablement à ma sollicitation, en s’appliquant à me donner beaucoup de plaisir. Puis elle reprit ses habits, et se dirigea toujours nue vers son pavillon.


Encore une qui avait bien compris sa place.


L’installation des deux filles se fit rapidement. Tanya débarqua chez moi avec seulement deux grosses valises. Pour Stella ce fut un peu différent. Comme elle avait déjà un appartement, en fait un petit studio, elle avait quelques meubles à déménager. Elle m’avait téléphoné la veille pour me demander mon avis. Je lui avais répondu qu’elle pourrait les amener ici, et qu’on les rangerait dans le hangar qui me servait de fourre-tout.


Un ami était passé avec sa camionnette, et avait tout embarqué en un seul voyage. Comme mon ami médecin, il serait remercié à sa juste valeur.


Les règles de vie changèrent quelques peu mes habitudes. Mes deux nouvelles compagnes promirent de s’occuper de tout à la maison : rangement, nettoyage, lessive, etc. Je serais comme un coq en pâte.


Pour le reste, leur attitude envers moi serait la même. Elles vivraient nues à la maison, sauf lors de leurs petites périodes spécifiques aux filles, ou quand je recevrais des amis qui n’étaient pas au courant de mes tendances sexuelles.


Si le besoin s’en faisait sentir, je ferais une petite mise au point avec elles.


Par l’intermédiaire d’un ami qui connaissait la patronne de Stella, je lui demandai qu’il intervienne auprès d’elle, pour que Stella puisse avoir ses jeudis. Il me promit de faire le nécessaire, et de me tenir au courant. Si cela se faisait, c’en était un de plus que les filles devraient remercier bientôt.


L’avenir ne s’annonçait pas si mal pour moi.





Chapitre 10 : C’est l’heure des remerciements.



J’avais invité Mika le médecin, Cris qui était venu avec sa camionnette, et Alain l’ami de la patronne de Stella, pour venir prendre l’apéritif, sans leur parler de la finalité de la soirée. Tanya et Stella savaient ce qu’elles auraient à faire. Après leur arrivée, et avoir échangé des banalités d’usage, mes deux compagnes étaient chargées du service.


Pour cela, elles avaient mis leurs robes triangle qui étaient si excitantes. À chaque fois qu’elles remplissaient les verres, elles n’hésitaient pas à se pencher plus que nécessaire, afin que mes convives aient une excellente vue sur leur anatomie. Ces derniers, qui ne se gênaient pas avec moi, me firent remarquer que j’avais de la chance d’être avec elles. Je leur proposai alors d’assister à une présentation de mode de mes deux amies. Ils acceptèrent avec enthousiasme.


Tanya et Stella partirent dans leur chambre pour se changer, et revinrent avec la robe de soirée. Au fil de la soirée, la longueur des vêtements raccourcissait, et ils devenaient de plus en plus sexy. Je voyais à leur attitude que le spectacle était plus que plaisant pour mes invités. Ils se tortillaient sur leur canapé, et essayaient de cacher la bosse qui déformait leurs pantalons. Le défilé se termina par des applaudissements lorsque les filles apparurent dans leurs maillots de bain brésiliens.


Mes amis me remercièrent chaleureusement, pensant que c’était la fin. Je leur expliquai alors que pour les remercier de leur aide, chacun pourrait retirer une pièce des derniers vêtements qu’elles arboraient, et le garder en souvenir. Mika, par politesse, opta pour le haut de Stella, Cris garda celui de Tanya, et Alain hésitait entre les deux bas restants, il se décida pour celui de Tanya. Stella pour ne pas être en reste, retira le sien, et me l’offrit. Toutes deux étaient maintenant dans leur plus simple appareil, et prenaient différentes poses, comme si mes invités étaient en train de les photographier.


Avant l’apothéose, elles firent quelque chose qui n’était pas prévu au programme. Elles embrassèrent passionnément tour à tour chacun de leurs bienfaiteurs, en se collant à eux comme des ventouses. Ces derniers, pris par l’ambiance, n’hésitèrent pas à laisser leurs mains courir sur les corps offerts.


Il était temps qu’elles terminent, la sonnette d’entrée retentit. Mes invités furent surpris de cette ingérence si tardive, et semblaient empruntés et inquiets. Nullement embarrassées par leur tenue, ou plutôt par leur manque de tenue, Tanya et Stella se dirigèrent immédiatement vers l’importun. C’était plutôt une importune, qui en fait ne l’était pas, mais au contraire qui était attendue : Sonia arrivait juste à l’heure. Fidèle à mes recommandations elle se présenta nue, sans se douter que nous n’étions pas seuls.


Une fois qu’elle prit conscience de la présence de mes convives, elle marqua un arrêt net, figée par la stupéfaction. Tanya lui glissa un mot à l’oreille, puis Sonia reprit sa progression vers notre direction.



Celle-ci pâlit, rosit, puis finit par être rouge comme une pivoine, en se doutant de ce qui l’attendait.


Tanya et Stella la placèrent au centre de la pièce, puis se dirigèrent pour aller chercher mes amis. À peine ceux-ci furent-ils levés de leurs sièges, que leurs deux hôtesses entreprirent de les déshabiller méticuleusement. Après un instant, il n’y avait plus que moi à être encore vêtu.


Je ne sais pas si Mika, Cris et Alain avaient déjà vécu ce genre de situation, ou s’ils pensaient ou non à leurs compagnes respectives, en tous cas ils semblaient totalement à l’aise. Leur excitation inhiba tous leurs complexes, et sans attendre, ils se dirigèrent vers Sonia.


Celle-ci, sachant ce qu’elle nous redevait pour son nouveau bonheur retrouvé, et peut-être heureuse d’une nouvelle expérience, n’opposa aucune résistance.


De leurs côtés, mes amis, bien que plus que fortement attisés par ce qu’ils venaient de voir, n’en étaient pas pour autant des fauves assoiffés de sexe. C’est avec beaucoup de prévenance qu’ils commencèrent par la caresser.


Alain lança le premier timidement ses mains en direction de la poitrine de Sonia. Voyant qu’elle se laissait faire, Cris s’appropria les fesses. Mika semblait attendre patiemment, et profitait du spectacle. Pour sa part, Sonia restait presque totalement inerte à ces divers attouchements. En voyant nos trois invités prendre de l’ampleur du côté du bas-ventre, Stella appuya légèrement sur les épaules de Sonia. Comme si elle n’attendait que cet encouragement, Sonia se mit à genoux, et prit les deux sexes les plus proches dans ses mains. Tanya, d’une légère pression sur les fesses de Mika, l’encouragea à participer plus activement. Lorsque la troisième virilité fut tout proche d’elle, Sonia n’eut pas d’autre choix que de le glisser entre ses lèvres.


Ne voulant pas faire de jaloux entre les trois hommes, sa bouche papillonnait de l’un à l’autre des attributs masculins prêts à exploser.


Absorbé par le spectacle, je n’avais pas vu venir mes deux amies. Ce n’est que lorsque je sentis leurs mains me dévêtir, que je sortis de cette belle contemplation.


Lorsque je fus nu à mon tour, elles copièrent leur attitude sur celle de Sonia. Maintenant, nous les garçons, étions bien pris en main, ou plutôt en bouche, par ces demoiselles.


Alain, qui avait été le premier à franchir le pas, se déversa sans retenue entre les lèvres de Sonia. Elle ne fit pas de façon, pour bien déguster entièrement ce cadeau. À peine celui-ci fut-il satisfait, que Sonia repartit à l’assaut des deux autres invités, qui attendaient leur tour avec impatience. Mika ne tarda pas à imiter Alain, en faisant don lui aussi de son nectar. Sonia eut à peine le temps de déglutir, que Cris lui prit la tête, et la dirigea derechef vers son extrémité. Si Alain avait été à peine plus long à se répandre, la pauvre Sonia aurait eu le visage et les cheveux aspergés par le trop plein de plaisir de Cris.


Cette dernière m’étonna par la facilité avec laquelle elle subissait ce que nous lui imposions. Nous n’avions eu aucunement besoin de la forcer. Je trouvais cela un peu dommage : un peu de résistance de sa part m’aurait davantage exacerbé les sens, même si je n’en avais guère besoin.


Je ne fis guère le malin, car à mon tour, et fidèle à une habitude maintenant, je partageai le plus équitablement possible mon bonheur entre Tanya et Stella.


Pendant que nous reprenions un peu de force, Tanya et Stella firent comprendre à Sonia, qu’après les garçons, elles aussi voulaient leur part de satisfaction.


Stella approcha alors son ventre du visage de Sonia, qui lança sa langue droit devant elle. Stella lui prit la tête à deux mains, et la colla contre elle, en lui imprimant la cadence. Tanya, qui ne voulait pas rester simple spectatrice, investit la poitrine de Stella. La vue des trois filles collées l’une à l’autre était hautement érotique, mes invités ne s’attendaient pas à une telle soirée.


Stella finit par avoir ce qu’elle attendait, et laissa la place vacante à Tanya, qui ne perdit pas une seconde pour la remplacer. Elle aussi savait ce qu’elle voulait, en guidant les mouvements de tête de notre voisine. Tanya fut un peu plus longue à exploser que Stella. Sa jouissance ne se vit que par la raideur que son corps prit en une seconde, mais aucun son n’était sorti de sa bouche.


Les invités, émus par cette scène, commencèrent par reprendre un peu de dynamisme, et voulaient encore profiter de Sonia. Mika se lança le premier cette fois, et l’invita à s’allonger sur le canapé. Il s’étendit sur elle, et l’embrassa tendrement. Son bas-ventre commença alors à s’affairer sur celui de Sonia, en un rien de temps il la pénétra sans façon. Cette dernière fit de son mieux pour recevoir son visiteur, en lui caressant le dos pour le stimuler.


On voyait au visage de Cris qu’il n’allait pas rester spectateur bien longtemps. En effet, alors que Mika était en pleine action, il lui fit comprendre que lui aussi aimerait bien participer. Mika fit un savant demi-tour, en entraînant sa compagne dans son mouvement. Sonia présentait à présent son fessier à Cris. Celui-ci caressa les fesses offertes, et glissa un doigt entre les deux. Sonia écarta davantage les cuisses pour lui faciliter la caresse. Un deuxième doigt vint titiller la petite rosette déjà bien échauffée. Puis Cris dirigea son sexe au même endroit, et pénétra Sonia. Pendant que Mika et Cris s’agitaient en cadence, Alain se dirigea vers le seul endroit qui pouvait encore l’accueillir : la bouche de Sonia.


Celle-ci était comblée dans tous les sens du terme. Physiquement parce que trois mâles avaient pris position dans toutes ses ouvertures, et moralement parce que cela n’avait pas l’air de lui déplaire. Et elle le démontra rapidement, en râlant de plaisir assez bruyamment. Mika fut le suivant, et Alain ensuite. Sonia était inerte à présent, attendant que Cris se libère à son tour.


Mais ce dernier n’était pas encore prêt, et continuait ses va-et-vient dans les reins de Sonia. Peu à peu, elle sembla reprendre vie, et calqua les mouvements de son bassin sur ceux de Cris. Ils parvinrent simultanément au plaisir.


Durant tout ce temps, Tanya et Stella étaient restées dans les bras l’une de l’autre à se caresser délicatement, scotchées par la vision du quatuor.


Lorsque les trois invités eurent libéré Sonia de leur étreinte, cette dernière demanda à se rafraîchir. Tanya et Stella la guidèrent et l’accompagnèrent à la salle de bain. Leur absence dura assez longtemps, et pendant que l’on entendait l’eau de la douche couler, d’autres sons nous arrivèrent également. Les trois filles n’avaient pas l’air de s’ennuyer.


Tout le monde se remit à l’ouvrage après un petit temps de repos, et c’est lorsque que tous furent repus de sexe que la soirée s’acheva.


Mes amis repartirent chez eux, non sans me remercier chaleureusement, et en me complimentant sur la surprise que je leur avais offerte. Ils me précisèrent qu’ils seraient toujours présents pour une prochaine soirée. Sonia regagna elle aussi son domicile, sereine, elle n’avait plus à se justifier auprès de toutou Denis.


Quand à Tanya et Stella, je les autorisai exceptionnellement à passer la nuit avec moi. Mais assommé par la fatigue, je ne tardai pas à m’endormir.




Merci d’avance pour vos commentaires, plaisants ou non : azkinato@hotmail.fr