n° 15071 | Fiche technique | 19400 caractères | 19400Temps de lecture estimé : 12 mn | 12/07/12 |
Résumé: Après une rupture, Natacha décide d'essayer les rencontres sur Internet. Elle va y faire une rencontre étonnante | ||||
Critères: fh telnet cérébral lingerie pied intermast nopéné confession -internet | ||||
Auteur : Lentai91 Envoi mini-message |
32 ans… Célibataire… Le boulot qui va mal… Et j’ai l’impression de ne rien avoir fait de ma vie…
Je m’appelle Natacha, la trentaine, standardiste célibataire depuis deux mois… Une rupture d’une relation de six ans. Je ne sais pas si cette rupture est « bien ». Je tenais beaucoup à lui, mais les derniers mois c’était engueulade sur engueulade… Et au lit, il me prenait pour un objet, ne comptant que sur son propre plaisir. Ça me plaisait… Mais bon, je ne suis pas un objet non plus. Il m’a peut-être même trompée, qui sait… Je me suis un peu amusée avant d’être avec lui, je ne dis pas le contraire, et puis je pensais avoir trouvée le « Prince Charmant », mais je crois bien que ça n’existe pas.
Le boulot, répondre au téléphone… Même si ça dépanne, il y a mieux c’est sûr. De longues heures à passer à renvoyer les appels, ou à se faire draguer par tous les hommes qui viennent me demander leur chemin, leurs rendez-vous. C’est agaçant à force.
Ma meilleure amie, Marion, que je connais depuis plus de quinze ans, fait toujours tout pour que je sois avec un mec. Elle en connaît plein, elle a énormément de fréquentations. Elle adore draguer, se faire draguer, et ça finit souvent pareil : au lit ! Je l’ai déjà surprise à quatre pattes avec un homme derrière ! Et une fois même avec un autre devant… Parmi tous les mecs qu’elle me présente, les neuf dixièmes sont des abrutis, sont moches, ou ne regardent que mes seins. Je ne suis pas contre le coup d’un soir mais… je sais pas.
Marion est une pro des rencontres par Internet, que ce soit pour une simple sortie, ou d’un plan cul. Plusieurs fois elle m’a conseillé d’y aller. J’y suis allée une fois, mais je me suis crue dans un club échangiste de mots crus.
Elle insistait pour que j’y retourne, en me disant que je ne m’engageais à rien, je pouvais juste discuter, ou plus, par exemple juste webcam, en cachant le visage. Pour lui faire plaisir, j’allais y retourner ce soir, après le taf.
18 h, boulot fini, enfin ! Après une bonne douche, je m’installe devant mon ordinateur, et me mets sur le site de tchat qu’elle m’a donné.
Pseudo : Natacha32
À peine connectée, plein de mecs viennent me parler. Peu seulement avec des photos. Ils ont des pseudos comme Letombeur, beaugoss, veuxducul… Mais pour cela, aucune photo à l’appui. Je ne parle à personne, pas besoin, ils viennent tous me parler. Je commence à consulter les messages… Alors…
Bon, bah, pas beaucoup de choix. Certains même me lancent des choix de scénarios : rencontre dans un bar, sœur de la copine, chantage… J’ai le choix du scénario, c’est déjà ça.
Mais un message a l’air intéressant. Enfin… Il se démarque des autres, surtout.
« Coucou jolie demoiselle. Un message de trop peut-être. Un message qui sera peut-être mis à l’écart, mais je tente ma chance quand même. Je m’appelle Jacques, 35 ans, père célibataire, cherche moment posé avec une femme sans prise de tête, plus si intimité. Ou juste petit moment coquin virtuel ou réel, j’accepte aussi. »
Je me lance. Je commence à faire connaissance avec lui. Bien sûr, le sujet qui vient le plus vite, c’est le sexe. On parle de nos expériences passées, de nos goûts, puis il me demande si je suis d’accord pour un petit scénar. Pourquoi pas ? comme dit Marion, ça ne m’engage à rien.
Il me propose « rencontre dans un mariage ».
Il se présente comme « un homme brun, cheveux court, de 1, 75 m, 78 kg, que du muscle ». Si ça se trouve, c’est un gros qui s’imagine beau gosse.
Le fameux Jacques rajoute : « 21 cm de longueur, 5 cm de large ». Le vantard ! C’est bien un mec ! Mais bon, je peux bien l’imaginer.
À mon tour de me présenter ? Je lui dis que je suis une blonde avec un 90c de poitrine ? Non je ne vais pas m’embêter, autant dire la vérité.
Ah, ouais, c’est vraiment détaillé… « Robe blanche avec quelques détails noirs ».
Le scénario commence…
Assez excitant, mais pas assez pour moi, loin de là même.
Je le laisse pour ce soir-là, à rêver tout seul, il est temps d’aller dormir. Bien sûr, je me couche avec certaines idées perverses… J’aurais peut-être dû me toucher un peu. Je suis en manque, mais je n’ai jamais fait ça…
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Le lendemain, je retourne sur le site. Le fameux Jacques est encore là. Pas moins de dix secondes sur le site, qu’il vient me parler. Mais cette fois-ci, il me propose de mettre la webcam.
Très hésitante, j’ai refusé. Il insiste, je refuse encore. Il ajoute :
Cette fois-ci, j’accepte. Je me mets en petite culotte, on est bien là pour ça non ? Je règle ma webcam pour qu’il ne puisse voir que mon ventre et un peu plus bas. Et c’est parti !
Je vois sa webcam avant qu’il ne me voie. J’aurais dû m’en douter ! Sa queue à l’air, bien raide. Il se branle déjà. Il ne m’avait pas totalement menti, y’a une part de vrai : il a une très belle queue !
Lui, dès qu’il m’as vue, m’annonce un « quel corps de rêve ! », pourtant je ne me trouve pas si jolie que ça. Il arrête de se toucher pour m’écrire un message « Tu la trouves comment ? »
Sur ce coup-là, je ne peux vraiment pas mentir :
Que dire… Allez, il ne voit pas mon visage, je peux faire ma « cochonne » :
Je réponds quoi maintenant ? Je risque de le vexer si je dis non. Je peux toujours continuer sur ma lancée, et sortir ce que Marion m’as offert, mon gode de 25 cm.
Non, pas ce soir…
On reparle de sexe, en se répétant un peu de la veille, de ce que j’aime, de mes expériences passées… À chacune de mes réponses, il a l’air d’aimer, en se branlant un peu plus vite à chaque fois.
Je me lève, m’éloigne un peu sans qu’il voit mon visage, et retire ma culotte. Je me rassois, jambes serrées. Il doit vraiment être en manque, il aime tout ce que je dis, tous mes mouvements.
Il décide de m’exciter pour que je me laisse aller
Je rêve, il y arrive ! Ma main se trouve déjà à l’entrée de ma grotte secrète. Tout en lisant ces phrases, ces phrases qui me décrivent comment il me prendrait sensuellement, mes doigts caressent mes lèvres inférieures.
Mes cuisses s’écartent doucement, ce qui fait passer Jacques à la vitesse supérieure.
Je ne pensais pas que le sexe par Internet pouvait être aussi bon, même si il y a mieux, bien sûr. Il change vite de « position », il passe à la levrette. Les phrases se succèdent.
Je sens que je vais venir. Il se branle vite, il ne doit plus en avoir pour longtemps, lui non plus. Encore quelques secondes… Mais… C’est pas possible !
« Déconnecté du serveur. »
Non, pas maintenant ! Ma box a lâché !
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Quelques jours plus tard
J’ai enfin ma nouvelle box. Je la branche à la place de l’ancienne. Il est 23 h passées, je me reconnecte, je ne pense pas qu’il sera connecté. Et bah, si ! Et comme la dernière fois, il vient instantanément me parler. Je m’excuse pour la dernière fois. Il me dit que c’est pas grave, et qu’apparemment j’ai raté quelque chose d’impressionnant. On discute un peu de tout et de rien. De comment s’est passée la journée…
Et là, une phrase que je ne voulais pas spécialement, ou pas encore, qu’il me demande :
Là, je ne sais plus quoi répondre. C’est vrai qu’il me plait bien.
Question pour réponse difficile.
Allez oui, pourquoi pas. Au mieux, on s’entend bien, ou on couche juste le temps d’un soir, au pire, je coupe le contact.
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Une semaine plus tard
J’ai fini le boulot assez tôt, parfait pour en profiter pour me préparer tranquillement. Je prends une bonne douche. Je me pose deux questions… Comment je m’habille, plutôt décontractée ou sexy ? Et surtout… Comment va se finir la soirée ? J’ai trouvé. Un peu décontractée, un peu sexy. Une petite robe noire moulante, arrivant à mi-cuisse, avec des bas noirs, et petites chaussure à talon.
Mince, j’ai rendez-vous dans une heure, je ne dois plus tarder !
Arrivée chez lui, avec une demi-heure de retard car je me suis perdue, Jacques m’a super bien accueillie.
Jacques est bien mieux que virtuellement. Plus costaud que je le pensais. On s’installe sur le canapé, il m’offre un verre. Il me parle de sa fille qui a deux ans, de son boulot… Je fais de même, bien sûr, sans trop me plaindre de mon manque d’intérêt pour mon travail.
Il part dans la cuisine. En buvant mon verre, je regarde un peu partout tout autour de moi. Tiens, c’est bizarre, il n’y a aucune photo. Ni de lui, ni de sa fille. Ni de personne d’ailleurs. Il est peut-être pas photo du tout.
Je me lève et m’approche de la table. Il me tire la chaise, quelle galanterie ! Une toute petite table pour deux personnes, avec une rose dans un petit vase au centre de la table. Il baisse un peu la luminosité du plafonnier, il joue le grand jeu. Ou il est sincère, ou il veut tout faire pour juste tirer son coup. Dans les deux cas… Je suis tentée !
Poulet-frites. Bon, le repas pourrait être plus romantique, mais c’est un très bon cuisinier. Il a sorti un bon vin rouge qui date de dix ans. Je confirme, il sort vraiment le grand jeu. À la fin du plat principal, la conversation se dirige vers la vie de couple. Il ne parle pas beaucoup de son ex-femme, je peux comprendre. Je le complimente sur ce repas
Oh, je sens que la soirée va se finir dans la chaleur de l’érotisme. Mais pas ce soir, pas le premier soir. J’en ai envie, je suis en manque, mais pas le premier soir. Par contre pour lui, pour le remercier de tout ça, j’ai ma petite idée…
Pendant que Jacques m’explique qu’il est capable de donner beaucoup, qu’il aime faire plaisir aux gens, je retire une chaussure, et commence à lui faire du pied. Mon interlocuteur s’arrête de parler un instant au premier contact. Il ne devait pas s’attendre à que je fasse le premier pas. Mais je n’arrête pas, avec un petit regard coquin, je continue. Il continue à parler, tout en rajoutant trop, se vantant, mais ce n’est pas grave. Peu à peu, doucement, je lui fais du pied en montant plus haut. Il est troublé, ça se voit, et ne sait plus quoi faire.
J’arrive au genou, puis je passe à sa cuisse, me rapprochant un peu plus vite.
Il me propose un autre verre de vin. J’accepte avec plaisir. Pendant qu’il remplit mon verre, mon pied atteint son sexe. Là, il ne s’attendait vraiment pas, il en met un peu à côté.
Je masse la bosse déjà bien dure qui se trouve à son entrejambe. Il m’avait dit sur Internet que ce que je faisais sur le moment, avec des bas, ça le tentait. Que cette pratique était un de ses fantasmes. Je lui fais un signe de la tête. Jacques a compris tout de suite, il a juste une chose à faire, descendre sa braguette.
Mon pied masse la longueur de son sexe qui se trouve sous son boxer. Il essaye de continuer son monologue, mais j’ai comme l’impression qu’il a du mal à se concentrer. Je tire son boxer pour laisser se dresser son membre. Son gros membre. De légères caresses de haut en bas, juste en effleurant. Je pourrais utiliser autre chose, le branler avec mes mains, lui faire une petite gâterie, mais sans qu’il s’y attende, je vais réaliser son fantasme. Mon deuxième pied se joint à la partie. Je bloque son sexe avec l’un, le caresse avec l’autre.
Il ne parle plus, la seule chose qu’on peut entendre, c’est la musique de fond, qu’il augmente un peu avec la télécommande. Je ne pensais pas lui faire ça le jour où il est venu me parler. Je lui demanderai plus en échange la prochaine fois.
Son sexe est déjà humide, c’est parfait. Je caresse le bout du gland, redescends doucement le long, remonte, m’occupe du gland… Des mouvements plus rapides pour passer aux choses sérieuses. Je cale sa queue bien droite avec un pied, et avec deux doigts du deuxième, je serre comme je peux, et le branle doucement comme ça. Oh, je crois que je m’y prends bien, il me prend la main et me la caresse, mais à sa force je sais où est-ce qu’il en est.
De haut en bas, j’accélère mes mouvements. Il ne devrait plus tarder. Sa bite au meilleur de sa forme, bien en l’air, va bientôt exploser. Je ne peux pas aller plus vite, mais je serre plus. Un léger gémissement de sa part m’a fait comprendre que c’était bon. Sa bite se durcit encore plus, et je sens une première pulsation. Son premier jet s’étale sur tout le long de mon pied jusqu’à ma cheville. Les suivants coulent le long de sa bite et sur le bout de mon pied. Les jets ne sont pas puissants, mais il y a une grande quantité de sperme. Jacques est en extase, je le sens car il serre bien ma main.
On reste un petit moment comme ça, sans bouger, avant que je lui dise :
Avec un petit sourire gêné. Il me dirige vers la salle de bain du rez-de-chaussée. Juste histoire de me nettoyer un peu.
En ressortant, il me dit qu’il allait bientôt se coucher, il commençait sont taf à 6 h 00 le lendemain. Je le remercie de cette super soirée, lui me remercie pour « tout ». Je repars doucement vers ma voiture, heureuse de cette soirée, et de ce que j’ai fait, qui était une nouvelle expérience pour lui comme pour moi.
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Le lendemain
Je reçois un texto de sa part :
« Coucou ma chère demoiselle. Comment tu vas ? Moi super. Je suis encore sous l’effet de ton charme d’hier. On peut se revoir quand tu veux, et cette fois je te montrerai mes talents. Bisous sur les pieds. »
Je ne peux m’empêcher de sourire. Un sourire de plaisir, et de ce que je m’imagine pour la prochaine soirée. Je ne tarde pas à lui répondre :
« Salut bel homme. Oui hier ce fut une très belle soirée. Et je suis d’accord pour une nouvelle. J’ai hâte de voir tes « talents », mais sache que je ne t’ai pas tout montré encore. Demain soir, ça te va ? »
Jacques m’a répondu en acceptant pour le lendemain, et qu’il venait me chercher en voiture. J’ai vraiment hâte…
Le lendemain
J’ai remis des bas, je sais qu’il adore ça. Avec une jupe assez courte, et un débardeur. Au cas où, j’ai pris quelques capotes, ça pourrait durer la nuit !
18 h. Il ne devrait plus tarder à arriver. Je me sens déjà chaude rien qu’à penser à ce qui va se passer ce soir.
18 h 10. Tiens… Un léger retard. Je pourrais lui refaire ça s’il m’emmène au resto, il se saurait pas comment réagir.
18 h 20. Je lui envoie un texto lui demandant où il est. Ou peut-être une gâterie dans les toilettes du resto…
18 h 30. Pas de réponse, je l’appelle, pas de réponse. Étonnant, mais s’il ne répond pas en voiture, c’est normal.
18 h 45. Je reçois une réponse de sa part :
« Écoute, je suis désolé, je t’ai menti depuis le début. Je suis encore marié, ma femme n’était pas à la maison il y a deux jours, et ne devait pas être là ce soir. Oui, je suis marié, je t’ai menti, je ne te mérite pas. STP ne répond pas à ce message, et oublie-moi. »
Mais quel… Mais quel CONNARD !
Je me suis laissée berner par un salopard de ce genre ! Ça m’apprendra à aller trop vite avec un mec… Ça ne recommencera pas.
Mais je suis en manque, dès que je rentre, je retourne sur le site…