n° 15081 | Fiche technique | 18725 caractères | 18725Temps de lecture estimé : 11 mn | 20/07/12 |
Résumé: Un concours de tee-shirt mouillé est organisé dans le bar de l'hôtel où nous séjournons. Ma chérie va se coucher et moi je vais de surprise en surprise. | ||||
Critères: fh jeunes fépilée vacances boitenuit voyage voir exhib strip -couple -exhib | ||||
Auteur : RafaL Envoi mini-message |
Ce voyage devait être le paradis et c’est en train de tourner à l’enfer. Les finances d’abord ont été sérieusement mises à mal par les dépenses imprévues pour réparer l’épave roulante qu’on avait cru bon d’acheter en quittant Sydney. Cette voiture n’a été, dès le début, qu’une source ininterrompue d’ennuis, ça avait commencé par la fermeture centralisée qui n’avait jamais marché, puis les feux qui ne fonctionnaient pas non plus (forcement on avait essayé la voiture en plein jour, alors penser à vérifier les feux…). Le sommet avait été atteint lorsque l’embrayage avait cédé, nous immobilisant pour une semaine entière, le temps que le garagiste reçoive les pièces.
Les relations entre Rafaele et moi s’étaient détériorées à mesure que nos maigres économies partaient dans les réparations. Deux mois dans le confort sommaire d’une tente sous la chaleur écrasante de la côte-est australienne, et les heures passées au volant sans le réconfort d’un autoradio (il était bien là, mais ne marchait pas non plus) avaient achevé de plomber l’ambiance. L’arrivée à Airlie-Beach, sorte de mini paradis sur la côte queenslandaise nous avait fait le plus grand bien, car elle signifiait du repos aussi bien pour nos corps que pour nos esprits.
Après avoir pris possession de notre chambre et fait un petit tour sur la plage, nous rentrons à l’hôtel, où une affiche attire mon attention. Il y est écrit que le bar de l’hôtel organise le soir même un grand concours de tee-shirt mouillé.
C’est ce qui s’appelle une fin de non-recevoir ! Pas la peine d’insister, on verra plus tard, il n’est que 19 heures et le concours ne commence pas avant 23 heures. Après un bon repas et un film dans la salle vidéo, il est 22 h 30.
A-t-elle oublié la fameuse animation du soir ? Ou n’a-t-elle pas envie que l’on se dispute une fois de plus ? Toujours est-il que j’ai carte blanche pour ce soir. Je me dirige donc vers le bar, où une bonne centaine de personnes sont entassées. Sur scène l’animateur de la soirée est en train de faire monter l’ambiance.
Je me demande s’il y aura beaucoup d’inscrites vu que le public est essentiellement masculin. Des groupes de jeunes hommes au physique de surfeur pour la plupart. J’entame la conversation avec un groupe de quatre australiens autour d’une bière. La soirée s’annonce plutôt bien. 23 heures, les lumières s’éteignent, les cris de mâles en rut montent des quatre coins de la sale. C’est parti pour le show.
Le traditionnel cri Ausie Ausie Ausie Oï Oï Oï se fait entendre pour saluer la présence d’une compétitrice locale. Elle aussi, est le cliché de l’australienne, une grande blonde aux yeux bleus, athlétique mais pas dénuée de charme. Je me dis qu’elle pourrait tout à fait jouer les sauveteurs en mer pour une version locale d’Alerte à Malibu.
Le public est visiblement aussi composé d’anglais vu qu’elle obtient une belle ovation également. Moins grande que la précédente, elle a un physique plus commun, mais elle a aussi à un certain charme.
Les deux suivantes sont encore australiennes, et bien plus quelconques que les deux premières candidates, elles se nomment Vicky et Ashley. Mes camarades de tablée ne semblent d’ailleurs pas convaincus par les chances de victoires de ces deux-là.
La candidate suivante est allemande et dénote en tous points des précédentes, elle est petite, fine, des magnifiques yeux verts et des cheveux noirs. Elle fait presque trop classe pour l’endroit et le contexte. Elle s’appelle Lili.
C’est une grande blonde, à la peau très blanche. C’est visiblement la candidate dotée d’atouts les plus impressionnants pour ce genre de concours. C’est aussi la plus délurée, qui se dandine sur scène et lance des œillades au public. Et il faut reconnaître que cela fait son effet sur le public et surtout sur ma tablée, où deux des australiens s’imaginent bien finir la soirée avec elle.
L’avant-dernière candidate, Stephanie, est encore une locale, sans doute pour la parité avec les candidates internationales. Elle est dénuée de tout charme, légèrement enveloppée et semble visiblement gênée d’être là.
Et là, les bras m’en tombent, c’est MA Rafaele, que je croyais bien tranquillement endormie dans notre chambre qui est sur scène devant ces mâles hystériques. Les questions se bousculent dans ma tête. Pourquoi fait-elle ça ? Que dois-je faire ? Dois-je me réjouir ou sauter sur scène ? Abasourdi, je reste planté là, muet. Visiblement je suis le seul à avoir perdu ma langue. Mes compagnons de table s’en donnent à cœur joie sur la petite française qui a l’air « fuckable » d’après eux. Ils me demandent si je la connais, ce à quoi je réponds sans même réfléchir par la négative, et si j’aimerais me la faire. S’ils savaient…
La première phase consiste en un passage d’une minute pour chaque candidate. Chacune vêtue d’un tee-shirt blanc, est copieusement arrosée par l’animateur à grands coups de pichet d’eau glacée. Les quatre qualifiées pour la deuxième phase seront désignées à l’applaudimètre.
La première candidate, Stacy, en locale a déjà dû assister à ce genre de concours, car elle sait parfaitement jouer avec le public. Faisant pression avec ses bras sur les côtés de sa poitrine, elle met parfaitement celle-ci en valeur. Sous l’effet de l’eau froide ses tétons se mettent à pointer et c’est un public déchaîné qui salue la performance. Le maître de cérémonie la raccompagne à sa place avec une tape sur les fesses. C’est un triomphe, le présentateur annonce 96 décibels.
Viens ensuite, Jane l’anglaise, qui à la grande surprise et déception du public a gardé son soutien-gorge sous son tee-shirt. Le présentateur annonce 83 décibels mais ce sont surtout des huées. Mes compagnons de tables sont visiblement eux aussi déçus par le manque d’audace de la jeune anglaise.
Les deux suivantes, australiennes toutes les deux, Vicky et Ashley obtiennent respectivement 85 et 88 décibels, pour une prestation que je juge, même si c’est mon premier concours, tout à fait banale.
Viens le tour de la concurrente allemande, Lili. Même s’il me tarde de voir la prestation de Rafaele, j’attendais impatiemment le tour de la jolie allemande. Quelque chose en elle est incroyablement troublant, sans que je puisse le définir exactement. Elle se déhanche lascivement, et si ses seins sont sans doute les plus petits du groupe de candidates, ils sont magnifiques et leur tenue est parfaite sous le tee-shirt blanc. Je ne suis visiblement pas le seul à être sous le charme. Le public la gratifie d’un joli 90 décibels.
Lorsqu’Emma s’avance sur le devant de la scène, la température a déjà monté de plusieurs degrés. Emma avait semblé la plus délurée lors de la présentation des candidates. Elle se trémousse et saute dans tous les sens, offrant au public la vision de ses seins lourds bougeant de bas en haut à un rythme frénétique. Si la prestation n’est pas la plus esthétique, c’est sans doute l’énergie et l’envie de gagner que le public récompense avec un beau 92 décibels. Le présentateur l’invite à regagner sa place tout en lui pinçant discrètement le téton droit.
Stéphanie, l’avant-dernière candidate, ne récolte que 85 décibels. Sa prestation ne me fascine pas, tant j’attends avec impatience la dernière candidate. Le présentateur récapitule les scores et annonce que pour se qualifier pour la suite Rafaele devra battre le quatrième meilleur score provisoire qui est de 88. Je ne sais toujours pas si j’ai envie qu’elle se qualifie pour la suite ou qu’elle soit éliminée immédiatement.
Le présentateur la pousse vers le devant de la scène, d’une main un peu trop appuyée sur ses fesses. Je suis ébahi, mais je ne peux m’empêcher d’encourager ma chère et tendre d’un cri d’admiration. La minute au cours de laquelle elle est sur le devant de la scène me semble durer une heure. Je vois par transparence ses seins que je connais si bien avec leurs petites aréoles et leurs tétons si sensibles. Le présentateur annonce 93 décibels et en profite pour lui retoucher les fesses. Décidément, celui-ci profite vraiment de la situation.
Stacy, Lili, Emma et Rafaele sont donc les qualifiées pour la suite. Pour demi-finale à quatre les candidates repassent dans les mêmes conditions. L’ordre de passage se fera suivant l’ordre croissant des scores de la première manche. C’est donc Lili qui commence. Son tee-shirt est encore largement mouillé et un seul pichet suffit à le rendre de nouveau complètement transparent. La performance n’apporte rien de nouveau par rapport à la première manche et la note ne s’élève qu’à 86 décibels.
Vient ensuite Emma. Celle-ci a compris en voyant la concurrente allemande qu’il va falloir innover pour aller en finale. C’est donc tout naturellement qu’elle se débarrasse de son tee-shirt pour permettre à la foule en délire d’admirer ses deux gros seins aux aréoles brunes. Le public semble ravi de l’audace et la gratifie d’un superbe 93 décibels. Le présentateur ne peut s’empêcher de soupeser un de ses seins, d’une manière plus proche du comice agricole que du concours de beauté. Emma ramasse son tee-shirt, le remet et retourne s’installer au fond de la scène.
C’est maintenant au tour de Rafaele. Avec un score de 93 pour l’anglaise et une concurrente locale à venir, nul doute qu’il va falloir aller plus loin que la simple danse en tee-shirt mouillé pour se qualifier pour la finale. Alors que mon voisin, de plus en plus éméché, me dit espérer qu’elle enlèvera le tee-shirt, je me demande si elle en est capable, elle qui a toujours refusé le topless à la plage. Je suis fixé rapidement, en moins de dix secondes le tee-shirt se retrouve par terre, et ma belle s’exhibe seins nus devant une centaine d’hommes. J’oscille entre le choc et l’excitation et je commence à avoir une érection. Le présentateur lui signifie la fin de la minute en arrivant par derrière et en posant carrément une main sur chaque sein de Rafaele. Je bande de plus en plus et attends la note. 96 décibels, ma belle a visiblement convaincu le public. Je vois un sourire sur son visage alors qu’elle ramasse son tee-shirt.
Lorsque Stacy entre en piste pour la deuxième fois de la soirée, le public frôle l’hystérie. Elle aussi a décidé de mettre le paquet et son tee-shirt, vite enlevé, se retrouve carrément dans le public, lorsque celle-ci après l’avoir fait tourner au-dessus de sa tête tel un lasso le jette au loin. Ses seins, bien que légèrement plus petits que ceux de Rafaele, ont un maintien superbe et sont terminés par des tétons bruns fièrement dressés. Consciente de devoir frapper fort pour se qualifier, elle se caresse ouvertement les seins et les fesses seulement protégées par une mini-jupe noire. Le résultat sur le public est sans appel : 98 décibels, record de la soirée.
Le présentateur annonce donc que les deux finalistes sont Rafaele et Stacy. La finale aura lieu dans cinq minutes, après une courte pause-boisson pour le public. La tablée autour de moi est déchaînée de voir ses deux favorites en finale. Même si je regrette la jolie allemande, je suis ravi de l’affiche de la finale. J’ai l’impression de découvrir une nouvelle Rafaele, décomplexée, et une nouvelle facette de sa personnalité m’apparaît. Je ne l’aurais jamais crue capable de montrer ses seins en public et encore moins devant une centaine de paires d’yeux rivées sur elle.
Celle-ci étant privée de son tee-shirt depuis la manche précédente démarre directement la finale topless. Au bout de vingt secondes de déhanché subjectif, elle défait la fermeture éclair de sa mini-jupe noire et se retrouve en tanga. Mon érection qui s’était calmée pendant la pause revient de plus belle lorsqu’elle se retourne et que je détaille son magnifique postérieur galbé. Cette fille est vraiment magnifique des pieds à la tête et ne semble pas avoir froid aux yeux. Le présentateur la prend par la main et la présente au public, recto et verso, tâtant encore une fois son magnifique derrière. L’applaudimètre livre son verdict, la barrière des 100 décibels est passée : 101 décibels.
Je me dis que ce score va être dur, voire impossible à battre pour ma dulcinée. Elle qui a déjà repoussé ses limites en apparaissant topless ne va pas enlever sa jupe et dévoiler sa petite culotte devant la foule. Ma chérie va devoir se contenter de la deuxième place. Dommage, en un sens, les 1 000 dollars de récompense nous auraient fait du bien.
Après avoir de nouveau enlevé son tee-shirt, elle le jette dans la foule, comme sa rivale l’avait fait lors de la manche précédente. Il reste une minute et demie. Que va-t-elle faire maintenant ? À ma grande stupéfaction, elle défait les trois boutons retenant sa jupe. Sous mes yeux de plus en plus ébahis, apparaît une magnifique petite culotte blanche que je connais par cœur. Et pour cause, c’est moi qui la lui ai offerte ! Elle est sage sur le devant, mais le derrière laisse apparaître une grande partie de ses fesses. Elle se retourne pour permettre à tous d’admirer ses deux globes rebondis.
Je suis estomaqué par son audace. Mes yeux sont prêts à sortir de leurs orbites et mon sexe de mon bermuda, lorsque, toujours de dos, elle fait mine de passer une main sous l’élastique. Elle fait semblant de descendre sa culotte sur quelques centimètres et la remonte. Finalement, après quelques secondes elle descend vraiment sa culotte jusqu’à la naissance de ses cuisses, dévoilant ainsi intégralement ses fesses. Je n’ai jamais été aussi étonné de ma vie lorsque d’un geste agile, elle envoie sa culotte sur ses pieds. Le temps s’est arrêté pour moi sur cette image de ma belle, de dos, mais intégralement nue devant cette foule. Au bout de quelques secondes, elle se retourne et présente son sexe rasé à la foule, tout en envoyant sa culotte d’un brusque mouvement du pied dans le public. Je balance entre tellement de sentiments différents : la colère, l’étonnement, la joie, la fierté, l’excitation.
C’est mon voisin qui me sort de ma torpeur.
J’essaye de ne pas m’offusquer du terme qui en anglais est bien moins puissant qu’en français. Mais force est de constater, de toute manière, que c’est le qualificatif qui me passe aussi par la tête pour désigner ma chérie à ce moment-là. Et mon voisin dit vrai, la scène surélevée me permet de constater que ses lèvres intimes sont effectivement luisantes. Mon sexe me fait mal comme jamais.
Le présentateur la présente au public, version recto verso comme pour Stacy, sauf que cette fois ce n’est pas ses fesses qu’il caresse, mais bel et bien son sexe. Après avoir retiré sa main, il porte celle-ci à son nez et à sa bouche pour apprécier l’odeur intime de ma douce. À ce stade de la soirée, je ne sais plus quoi penser et ne m’étonne plus de rien. En une soirée, Rafaele est passée à mes yeux de jeune fille prude à véritable exhibitionniste sans aucune pudeur.
Avant d’annoncer son score, le présentateur fait venir les deux finalistes côte à côte sur le devant de la scène. Il en profite bien évidemment pour les tripoter allégrement une fois de plus. Il se risque même à glisser un doigt entre les lèvres de Rafaele. Celle-ci ne dit rien et se contente de sourire.
Pour finir de m’achever, alors que Stacy s’approche pour lui faire la bise, Rafaele saisit la tête de celle-ci et dirige sa bouche vers la sienne. La jeune australienne se laisse faire et je devine la langue de ma chérie, entièrement nue, jouer avec la langue d’une inconnue, elle seulement vêtue d’un tanga pour un savoureux et interminable french-kiss. Le public n’en revient pas et heureusement que l’applaudimètre est éteint sinon il aurait explosé. Quant à moi, j’ai définitivement basculé dans la quatrième dimension, Rafaele ajoute le saphisme à la liste des nouveautés du jour, et moi je découvre un certain plaisir à la voir s’offrir aux yeux du public, à la main du présentateur et à la bouche de Stacy.
La voix du présentateur me tire de ma rêverie :
L’avenir s’annonce plein de nouvelles perspectives pour la fin de notre voyage, 1 000 dollars en poche et de nouveaux horizons pour notre vie de couple. J’applaudis, pensif.