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Temps de lecture estimé : 9 mn
29/07/12
Résumé:  Oriane invite Christophe H à profiter de Karine, avant de lui imposer un cunnilingus.
Critères:  ffh inconnu fépilée fsoumise fdomine noculotte cunnilingu préservati fsodo sm piquepince confession -hff -fsoumisaf
Auteur : Christophe H

Série : Les mémoires de Christophe H

Chapitre 02
Une pause cigarette

Résumé de l’épisode précédent : Invité au mariage d’un ancien collègue, j’ai fait la connaissance d’Oriane et Karine, deux belles femmes motardes qui m’ont été présentées comme homosexuelles. Cependant, après m’avoir discrètement fait découvrir ses piercings intimes, Oriane m’invite à les suivre lorsqu’elles vont prendre l’air.







Je suivis Karine et Oriane qui s’éloignaient des lumières de la fête, sans oser rompre leur silence. Au fond du jardin, Karine s’assit sur un banc et alluma sa cigarette. Sa compagne se plaça debout derrière elle et commença à lui caresser la nuque, semblant oublier ma présence. Je restais planté, les mains dans les poches, terriblement excité par la vision de ce geste tendre entre ces deux femmes autant que par le souvenir de mon exploration de la chatte d’Oriane et de ses trésors, mais ne sachant quelle contenance prendre. En m’invitant à les suivre hors du restaurant, m’avaient-elles invité à partager leur câlin ? Comment interpréter l’attitude d’Oriane, qui m’avait largement ouvert ses jambes, alors que Michel me l’avait décrite comme « homo de chez homo » en début de soirée…


Elle se pencha finalement sur l’épaule de sa compagne et lui dit :



La syntaxe était celle d’une question, mais le ton était plutôt celui d’une affirmation. Karine souffla la fumée par les narines, reprit une bouffée, puis répondit très distinctement :



Après une petite pause, elle leva enfin les yeux vers moi et ajouta :



Oriane me fit signe d’approcher.



Je restai interloqué. Karine écrasa sa cigarette. Même si mes yeux commençaient à s’habituer à l’obscurité, je ne distinguai le visage ni de l’une ni de l’autre. Impossible de me baser sur un regard ou sur un sourire pour savoir comment interpréter ces paroles. Devant mon hésitation, Oriane dénoua le foulard de Karine, ce qui dévoila un lourd collier en métal rigide, semblable aux bracelets qui ornaient ses deux poignets. Allumant un briquet, elle me montra aussi un tatouage situé sur la nuque de la jeune femme, et qui était jusque là caché par le foulard. Les lettres étaient petites et ornementées, inspirées du sanskrit ou d’un autre alphabet indien, mais on pouvait lire très distinctement les trois mots « submissive sex slave ». Impossible d’être plus explicite. Juste en dessous, en plus petit, il y avait un numéro formé de trois groupes de trois chiffres séparés par des tirets.


Oriane revint à la charge.



Karine s’était levée et était venue nous rejoindre derrière le banc. Elle posa ses mains sur le dossier, et sans la moindre hésitation se plaça en position de levrette, le dos complètement cambré, les fesses jetées vers l’arrière. Elle écarta largement les jambes pour ramener son bassin à ma hauteur malgré ses très hauts talons, puis remonta sa robe sur ses hanches, se découvrant totalement ; elle ne portait pas non plus de culotte. Oriane ralluma le briquet. Comme de nombreuses jeunes femmes, la bimbo était ornée d’un large tatouage triangulaire au creux des reins, ce que les anglo-saxons nomment un tramp-stamp. Le sien représentait un long ruban dessinant de multiples nœuds et entrelacs. Ses deux cuisses étaient quant à elles entourées d’un motif de dentelle, à la manière de deux jarretières. Oriane guida ma main jusqu’au mont de Vénus, parfaitement glabre, et me fit descendre sur la chatte.


Karine avait les grandes lèvres percées et fermées par trois gros anneaux, qui passaient à travers six trous renforcés de flesh tunnels. Les anneaux étaient assez espacés pour pouvoir glisser un ou deux doigts, mais toute pénétration par un sexe d’homme était manifestement impossible. Remontant à la recherche du clitoris, je butai sur une sorte de grille en plastique qui couvrait le haut de son sexe. Comme tout à l’heure lorsque j’étais en train d’explorer son propre vagin, Oriane retira ma main.



Là-dessus, elle déboutonna mon pantalon et fit jaillir mon sexe. Je bandai comme jamais. Avec dextérité, elle déroula un préservatif sur mon membre et me poussa rapidement entre les fesses offertes.


À ma grande surprise, mon pénis traversa l’anus de Karine sans rencontrer de résistance. J’avais eu à de nombreuses reprises l’occasion de sodomiser des femmes, et j’étais pleinement conscient de l’effort que celles-ci doivent habituellement faire pour décontracter leur sphincter jusqu’à ce qu’il daigne s’ouvrir, pour accepter la pénétration malgré la douleur initiale. Mais cette sodomie ne ressemblait à aucune autre. Sans doute la lubrification du préservatif y était pour quelque chose, en tout cas je m’étais glissé en elle sans qu’elle n’exprime la moindre gêne et sans ressentir la moindre opposition, comme si son trou du cul était déjà largement ouvert avant mon arrivée. À présent, j’allais et venais avec ampleur, les mains posées sur ses hanches ; je ramonais profondément sa croupe sans parvenir à lui arracher ni soupir de plaisir ni soupir de protestation.


Je profitais de la situation pour partir à la découverte de son buste. Mes mains quittèrent les hanches où elles avaient atterri pour s’installer fermement sur sa poitrine. Elle ne portait évidemment pas de soutien-gorge sous sa robe moulante, mais celle-ci était dotée d’armatures et de baleines, certainement nécessaires pour assurer son sublime décolleté pigeonnant malgré la masse imposante de ses seins. Je les malaxai pendant quelques secondes à travers le tissu, mais Oriane était décidée à me faire profiter de tous les avantages de Karine. Elle ouvrit quelques boutons puis fit glisser les bretelles de la robe sur les épaules de la jeune femme, et enfin libéra sa poitrine en repliant les bonnets.


Oriane me plaça les mains bien ouvertes sur les deux globes. Ils étaient si gros que je ne les recouvrais que partiellement. Je sentais sous mes paumes les grosses billes de piercings qui traversaient les deux tétons.



J’aimais tellement que je ne répondis pas… Je la pelotais sans retenue, tour à tour malaxant les seins avec force, pinçant les tétons, tirant sur les barres de piercings pour les allonger… Karine ondulait son bassin d’avant en arrière pour faire écho à mes propres mouvements. À ce train là, il ne me fallut pas longtemps pour atteindre l’orgasme. Dans un dernier coup de rein, je remplis le préservatif en râlant.


Karine se redressa pour se libérer de ma pénétration puis se retourna pour me faire face ; s’agenouillant devant moi, elle ôta le préservatif et vint lécher le sperme qui restait sur mon membre. La sensation de sa langue et de ses trois billes métalliques sur ma bite alors que je venais juste de jouir était extraordinaire. Après m’avoir ainsi nettoyé, elle remonta mon caleçon et referma mon pantalon sans un mot.


Je n’en avais pas pour autant fini avec les deux motardes. Oriane s’était assise face à moi sur le dossier du banc. Karine s’étant écartée, elle me fit m’agenouiller à mon tour, le visage à hauteur de sa chatte. Oriane remonta doucement sa robe. La lumière lointaine de la fête et le faible clair de lune faisaient briller les bijoux qui apparurent alors. Je découvris ainsi les anneaux et les deux poids que mes doigts avaient sentis en explorant sa chatte sous la table. Comme elle était debout, ses grandes lèvres étaient étirées vers le bas – sans doute de plusieurs centimètres – par les masses métalliques qui y étaient suspendues, et qui oscillaient lentement. Je ne pus m’empêcher de penser que ces deux glands d’aciers ressemblaient à deux grosses couilles, incongrûment accrochées sous son sexe de femme.


Passée derrière moi, Karine m’attrapa les mains et me fit croiser les bras dans le dos, puis elle me poussa doucement mais fermement vers l’entrejambe de sa compagne. Je léchai d’abord autour du clitoris, ma langue parcourant avec avidité la zone délimitée par son anneau de triangle, avant de descendre plus bas. Je suçai ses petites lèvres, enfonçai ma langue dans son trou aussi profondément que possible, suivant l’étrange piercing princess albertina qui barrait le haut de son vagin. Oriane ne faisait pas non plus de bruit, mais je sentais aux mouvements de son bassin qu’elle appréciait la caresse. J’embrassai le haut de ses cuisses, remontai sur son mont de Vénus parfaitement lisse, suivis doucement le parcours de son piercing isabella qui me ramenait à son clitoris…


Après m’avoir laissé œuvrer librement pendant un petit moment, elle plaça ses mains sur l’arrière de ma tête et me guida vers l’entrée de son vagin. J’embrassai et léchai tout ce qui était à ma portée, puis finis par saisir l’anneau de son princess albertina entre mes lèvres pour le faire coulisser dans son trou. Je compris au petit soupir qui lui échappa et à ses doigts crispés dans mes cheveux que j’étais sur la bonne voie. Elle m’écrasa plus fermement encore le visage contre sa vulve, et me maintint ainsi jusqu’à atteindre la jouissance.


Son orgasme me sembla durer plusieurs minutes pendant lesquelles ma bouche restait accrochée à son anneau. Karine tenait toujours mes mains dans mon dos quand enfin Oriane libéra son étreinte et se redressa contre le dossier du banc. Elle redescendit sa robe sur ses cuisses avant de rompre le silence.



Elle reprit après un petit temps :



En disant cela, elle sortit un stylo de son petit sac à main et m’écrivit les neuf chiffres à l’intérieur de l’avant-bras. Elle rajusta ensuite le foulard au cou de Karine et posa un rapide baiser sur ses lèvres.



Se tenant par la main, les deux femmes reprirent le chemin de la salle où se tenait le repas de noce. Je marchais derrière, songeur, et contemplant les deux magnifiques culs qui ondulaient devant moi. Puis un petit détail me sauta aux yeux, ou plutôt aux oreilles : à chaque pas que faisait Oriane, et même à quelques mètres de distance, on pouvait entendre tout à fait distinctement le bruit de ses deux poids qui se heurtaient. Mon esprit dut interpréter ce petit détail comme extrêmement érotique, car mon pénis se cabra instantanément dans une érection digne d’un adolescent.