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Temps de lecture estimé : 10 mn
29/07/12
Résumé:  Soumission et exhibe .
Critères:  grp couplus inconnu copains essayage fsoumise exhib noculotte strip lingerie fmast confession -initiatiq -couple -fsoumisah -exhib
Auteur : domisexy            Envoi mini-message
Mes débuts de soumise

Cela remonte à plus de vingt ans, jusque là notre sexualité était tout à fait classique. Celui qui n’était pas encore mon mari mais déjà mon amant avait trois amis. Nous allâmes dîner dans un restaurant, j’étais vêtue d’une jupe portefeuille assez sage et d’un chemisier avec juste deux boutons ouverts. La soirée était agréable, nous avions tous un peu bu et étions très joyeux. La conversation dévia tout d’un coup sur le sexe, parce qu’une femme d’une trentaine d’années était passée devant notre table et qu’elle semblait ne pas porter de soutien-gorge, ce qui émoustilla mes compagnons.


L’un d’eux me mit alors au défi d’en faire autant, je lui répondis que ce n’était pas un problème, que je pouvais même enlever ma culotte, cela ne me faisait pas peur ! Je ne voulais pas passer pour une fille coincée, et plus je parlais et plus j’étais acculée dans mes affirmations. Au bout d’un quart d’heure de discussion j’abdiquai : je me levai et allai aux toilettes, j’ôtai mon soutien-gorge et ma culotte en dentelle et retournai m’asseoir à table avec mes sous-vêtements dans la main.


Ils m’observaient tous les quatre et le plus effronté d’entre eux voulut voir mes dessous pour être sûr que je les avais bien enlevés. Je les lui tendis dans le creux de ma main mais il s’en saisit rapidement et les exhiba comme un trophée ! Il refusait de me les rendre et mon copain ne faisait rien pour m’aider. Il dit même à l’autre de les poser en évidence sur la table, ce qu’il s’empressa de faire tout en m’empêchant de les récupérer ! Plusieurs personnes passèrent devant notre table et les virent, le serveur aussi et il n’arrêtait plus de me regarder.


J’étais très troublée mais je jouais la fière devant mes amis et essayais de ne rien laisser paraître. Mais je sentais mes lèvres se mouiller et s’écarter. Mes copains ne me quittaient plus des yeux et continuaient à me provoquer. Nous partîmes du restaurant et il fut décidé d’aller chez l’un d’eux dont les parents étaient absents.


Arrivés chez lui, les autres continuèrent en me disant qu’on voyait bien que je ne portais pas de sous-vêtements parce que mes seins bougeaient beaucoup, vexée je leur rétorquai qu’ils étaient fermes et n’en avaient pas besoin ! Ils disaient aussi que ma jupe rentrait dans mes fesses et qu’on savait donc que je n’avais pas de culotte, etc.


Je voulais récupérer mes vêtements mais ils ne voulaient pas me les rendre. C’est alors que mon copain me dit :



Je refusai d’abord en les traitant de fous, mais je me résignai à le faire pour récupérer mes habits et faire plaisir à mon amant qui me regardait avec un drôle d’air. Ils mirent de la musique et je me levai pour commencer mon effeuillage.


Je dansai quelques instants devant eux, ils me servirent un whisky que je bus d’une traite tout en dansant pour me donner du courage, et je commençai à déboutonner mon chemisier, bouton après bouton. Au deuxième bouton on commença à entrevoir mes seins, l’atmosphère changea brutalement, plus personne ne riait et ils ne me quittaient plus des yeux. Je devenais moi aussi de plus en plus excitée et je perdais complètement pied. Tous mes principes et toute ma pudeur s’envolèrent d’un coup, j’avais devant moi quatre hommes qui étaient suspendus au moindre de mes gestes et je trouvai cela fascinant, mon ventre et mon sexe étaient en feu et je me laissai aller.


J’avais maintenant ouvert mon corsage jusqu’au nombril et toutes mes ondulations découvraient ma poitrine à leurs yeux gourmands, je jouai à me caresser les seins pour les faire encore plus darder sous le tissu. Je continuai à ouvrir les boutons très lentement jusqu’au dernier, puis je leur tournai le dos et fis glisser mon chemisier sur mes épaules et descendre sur mes reins avant de le laisser tomber par terre. Je me tournai alors vers eux, les mains sur les seins, tout en continuant à danser. J’écartai d’abord les doigts pour montrer mes tétons dressés, puis j’enlevai mes mains l’une après l’autre pour offrir ma poitrine à leurs regards.


Ils étaient suspendus au moindre de mes gestes, je caressai mes seins et mes mamelons qui étaient maintenant complètement érigés, puis je m’attaquai à ma jupe. Cela fut rapide puisqu’elle n’était fermée que par un nœud. Je l’ouvris en retenant le vêtement, la fis glisser sur mes hanches puis remonter puis laisser à nouveau glisser jusqu’à ce qu’ils aperçoivent mon buisson, puis je leur offris ma croupe petit à petit tout en ondulant du bassin à un mètre de leurs yeux.


Quand ma jupe tomba au sol je me tournai lentement devant eux pour qu’ils puissent admirer mon minou. Ils étaient scotchés devant moi, les yeux rivés sur mon sexe et mes seins, et je voyais leur pantalon bien tendu par une solide érection que j’avais provoquée !


Je voulus reprendre mes habits mais mon copain me dit :



Nous restâmes encore une heure chez son copain, moi totalement nue devant ces quatre garçons qui m’observaient sous toutes les coutures. J’essayai de ne pas trop bouger, de garder les jambes serrées pour ne pas trop m’exhiber, mais mon amant voulut que je vienne m’assoir en face d’eux sur l’accoudoir d’un fauteuil à côté de lui, face à ses amis. Je m’exécutai, une jambe de part et d’autre de l’accoudoir, sexe encore béant offert à leurs regards. Ils me voyaient dans toute mon intimité encore mieux que pendant mon strip-tease, parce que dans cette position je ne pouvais pas serrer les jambes que mon copain me faisait encore écarter plus en me chahutant. Je rougissais à chaque regard sur mon sexe ou mes seins parce que j’avais pris conscience de mes actes, mais je n’osais pas contredire mon copain et leur montrer ma gêne.


J’attendis donc qu’il me dise de me rhabiller, ils en profitèrent encore tous pour m’observer parce que je dus le faire devant eux et sans remettre mes sous-vêtements parce que mon ami avait dit que j’étais mieux sans, puis nous partîmes, mon copain et moi, en voiture. Mais il ne me ramena pas directement chez mes parents, il s’arrêta dans une ruelle et me prit sur la banquette arrière en me traitant de cochonne (pour mon plus grand plaisir)…





À partir de ce jour, mon copain me demanda souvent de ne pas mettre de soutien-gorge, puis après quelques temps où je m’y étais habituée, il me demanda de ne plus mettre de culotte et je le fis parce que cela me plaisait mais surtout pour lui faire plaisir : j’avais vu pendant mon strip-tease qu’il était fier de moi et je trouvais excitant de lui obéir…


Après notre mariage il exigea que je ne porte plus aucun sous-vêtement en sa présence et je lui obéis encore. Il commença à choisir mes vêtements, jupes courtes ou fendues, vestes échancrées, chemisiers très légers, etc. J’étais de plus en plus sexy pour son plus grand plaisir.


Quelques mois plus tard il m’emmena dans une boutique de lingerie, c’était au printemps et je ne portais qu’une robe assez sagement boutonnée sur le devant. J’étais un peu étonnée puisqu’il ne voulait pas que je mette de sous-vêtements. Une femme d’une soixantaine d’années tenait la boutique. Elle nous demanda si elle pouvait nous aider et il lui répondit qu’il voulait m’offrir un porte-jarretelle et des bas. Elle nous montra différents modèles, Dominique en choisit un noir en dentelles et des bas à couture et me dit de les essayer. J’entrai dans une cabine et tirai le rideau, j’enfilai le tout sous ma robe déboutonnée et rouvris pour me montrer. Dominique me dit qu’il ne voyait rien ainsi et m’ordonna d’enlever la robe. Je voulus tirer le rideau mais sa main bloqua la mienne :



Heureusement la patronne servait une autre cliente. Je m’exécutai donc et retirai mon vêtement. J’étais nue en bas et porte-jarretelle dans une boutique du centre-ville avec une femme de soixante ans et une autre cliente à deux pas de moi !



Je me dépêchai de remettre ma robe avant que la patronne ne vienne et me voie, sous le regard amusé de mon mari. Elle revint avec une très jolie guêpière noire tout en dentelle.



J’en restai bouche bée. Je n’avais encore jamais mis de guêpière et en voyant toutes les agrafes à fermer dans le dos, je me doutais que je n’y arriverais pas seule. Le regard de Dominique me fit aussi comprendre qu’il ne m’aiderait pas…


Je rougis et commençai à dégrafer ma robe, le rideau de la cabine d’essayage à moitié ouvert. Je l’accrochai au porte-manteau puis enlevai le porte-jarretelle. J’enfilai la guêpière et commençai à l’agrafer, mais je ne pus en fermer que quelques une.



Je baissai la tête, résignée et soumise à mon mari. La vendeuse arriva, elle ne dit rien, passa dans mon dos pour fermer toutes les agrafes puis elle attacha les bas aux jarretelles, mais elle laissait traîner ses mains plus que de raison sur mes fesses.



La patronne partit chercher l’article et je restai en guêpière dans la cabine en essayant tant bien que mal de me soustraire à la vue de l’autre cliente. Elle revint et me dit :



Avant que je puisse dire quoi que ce soit elle avait déjà commencé à enlever les attaches des bas et en profitait pour laisser ses mains sur mes cuisses, puis elle me fit me tourner vers l’intérieur de la cabine pour dégrafer la guêpière. J’offrais ainsi une vue imprenable sur mes fesses. Quelques secondes plus tard je me retrouvai totalement nue devant elle et mon mari. Elle tendit alors un corset à mon mari.



À ce moment d’autres personnes entrèrent dans la boutique et elle nous demanda de l’excuser quelques instants. Dominique prit sa place dans mon dos et continua le laçage, au fur et à mesure qu’il fermait le corset je me sentais emprisonnée. La patronne revint.



Je m’exécutai sans un mot, les yeux baissés.



À cet instant je levai la tête pour m’apercevoir que la première cliente et le couple qui venait d’arriver s’étaient rapprochés et ne perdaient pas une miette du spectacle que j’offrais bien malgré moi. Je reculai dans le fond de la cabine.



Après une hésitation je m’avançai, rouge de honte, tête baissée, et restai au seuil de la cabine.



Je fis deux pas supplémentaires, j’étais maintenant complètement sortie de l’abri de la cabine et tout le monde pouvait me voir nue, avec le corset qui étranglait ma taille.



Je m’exécutai encore et offris à tous une vue de ma croupe soulignée par le corset. La patronne mit sa main sur mes fesses pour me faire tourner puis elle prit mon sein droit dans la paume de sa main comme pour le soupeser et dit :



Et c’était vrai, le corset faisait remonter mes seins comme jamais un soutien-gorge ne l’avait fait, mais j’étais très troublée par les attouchements de cette femme qui aurait pu être ma grand-mère. Le couple sortit de la boutique mais la femme seule s’approcha encore plus.



J’obéis à mon mari et me mis à aller et venir dans la boutique, m’exposant aux regards des deux femmes et de celui qui devenait mon maître. La boutique étant petite je frôlai ces dames à chaque passage, et cela me troublait énormément, mes seins devinrent tout durs et pointés, de même je sentais ma vulve se mouiller et s’ouvrir.



Je me suis exécutée sous le regard de la cliente, mais je n’arrivais pas à défaire les lacets du corset.



La cliente entra dans la cabine et dégrafa le corset, elle en profita pour caresser mes seins et enfouir deux doigts dans ma vulve pour me masturber. Je n’osais rien dire. La situation tellement exceptionnelle et son habileté m’amenèrent à la jouissance en quelques instants à peine. Elle éclata alors de rire en disant que je démarrai vite, puis me laissa et quitta la boutique, je me rhabillai penaude et je rejoignis mon maître qui avait fini de payer et nous sortîmes sans un mot.