Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15094Fiche technique48393 caractères48393
Temps de lecture estimé : 28 mn
31/07/12
Résumé:  Un lecteur MP3 ? Elle en a déjà un. Un séjour en thalasso ? Elle est déjà bien assez jolie. Un voyage en avion ? Elle plane deja pas mal. Alors, pour l'anniversaire de notre amie Juliette, nous avons décidé de lui offrir un cadeau vraiment personnalisé.
Critères:  fh ff fhh ffh fhhh grp fbi jeunes cadeau collection voir exhib noculotte lingerie pénétratio sandwich jeu délire humour
Auteur : Someone Else  (Et si on s'essayait à une histoire qu'on lit d'une main ?)            Envoi mini-message
Ce soir, c'est soirée Foutre !

Ce soir, c’est soirée Foutre !



Tiens, mon portable sonne. C’est un mal pour un bien, depuis dix bonnes minutes, je commençais à avoir l’activité cérébrale d’une moule accrochée à son rocher. Y’a pas à dire, ces jeux télé à la noix, ce n’est ça qui va améliorer mon QI de poisson rouge.

Je décroche.



Ce n’est bien entendu que de l’humour. Parce qu’entre nous, nous aurions bonne mine, Andréa et moi, de reprocher à notre amie Juliette d’être à peu près aussi affamée que nous. Mon interlocutrice me décrit alors son plan, et j’avoue que si sa combine m’amuse, elle me fait aussi un peu peur…



Tu parles que je m’en souviens…

Souvent, le dimanche après-midi, entre copines, on va se faire un tour à pied, histoire de digérer et de papoter quelque peu. Or, cette fois-là et sans que ce soit prémédité, nous nous retrouvons à passer dans la rue où habite Dylan, un bon copain doublé d’un joyeux fêtard.

S’il nous voit, il va penser que nous lui faisons la gueule, aussi décidons-nous d’aller lui dire un petit bonjour, seulement, quand on se pointe chez lui, c’est pour tomber sur ses parents, en jogging, sur le pas de la porte.



Tu parles qu’on ne va pas faire de bêtises ! La maison est vide, nous sommes seules pour un moment, l’occasion est trop belle pour Andréa et moi, nous allons lui faire un petit réveil comme l’on n’en voit que dans les films…

Sans faire de bruit, nous montons l’escalier et, toujours sans dire un mot, nous nous déshabillons dans le couloir qui même à sa chambre.



Elle pouffe.

C’est donc toutes les deux totalement nues que nous entrons dans sa piaule, le sourire aux lèvres et la main dans la main. Bien sûr, cette fois, pas question d’être discrètes, il se réveille, Andréa se précipite sur lui pour l’embrasser à pleine bouche, tandis que je m’occupe de son bas de pyjama que j’envoie valser à l’autre bout de la pièce. Puis, toujours sans un mot, j’embouche l’objet qui, naturellement, ne tarde pas à ressembler à la tour de Pise en réduction que je suce avec délectation.


Ma copine s’en amuse, et nous inversons les rôles. C’est ainsi que lorsque, quelques instants plus tard, je m’en vais la rejoindre pour cajoler cette fois la queue de notre ami à deux en même temps, on se retrouve face à un pieu d’une taille qu’on ne lui connaissait pas.


La suite est assez simple, Andréa qui s’empale dessus pendant que je vais me mettre à califourchon au-dessus du visage de Dylan. Si c’est excitant sur le papier, le souci vient de ce que notre zouave, comme la plupart des hommes d’ailleurs et dans bien des domaines, est parfaitement monotâche et donc totalement incapable de faire deux choses correctement et en même temps.

Du coup, la cavalcade dure un moment, jusqu’à ce que nous inversions les rôles.


Mais comme Andréa a compris ce qui vient de m’arriver, elle préfère la jouer soft en se contentant de lui rouler galoches baveuses sur galoches baveuses. Moi, pendant ce temps, ce n’est pas que je m’ennuie un peu, mais puisque personne ne s’occupe réellement de moi, j’en profite pour m’humecter deux doigts et commencer à me caresser furieusement le clitoris tout en continuant de coulisser joyeusement sur ce dard dressé. Le résultat ne se fait pas attendre, je couine, et je m’écroule tranquillement sur le bord du lit.


Lorsque je rouvre les yeux, je me dis qu’Andréa doit être en train de tourner la suite du retour de la vengeance de la chevauchée fantastique numéro deux, tant elle met d’ardeur à monter et descendre sur ce pieu dressé, tout en se branlant furieusement. Visiblement, elle est sur le point de jouir, mais Dylan inverse tout de même les positions, la couchant sur le lit, et se met à la pistonner comme un dément. Andréa, qui ne s’en laisse pas conter, reprend sa masturbation là où elle en était restée, et part aussitôt dans une longue jouissance, tandis que notre homme, lui, se retire d’elle précipitamment.


Comme il se dirige vers moi, la queue à la main, je comprends tout de suite où il veut en venir. Alors, moi, dans le rôle de la bonne copine toujours prête à rendre service, j’ouvre largement la bouche tout en tirant la langue, message reçu. Les deux premières giclées partent n’importe où, j’en ai sur le menton, l’aile du nez, la joue et même un peu sur le front, mais sa semence est terriblement épaisse et ne coule pas.


Seulement, moi, je n’ai pas besoin de masque de beauté et, comme ce n’est pas non plus un prince et qu’il ne s’agit donc pas de gelée royale, je décide de prendre les choses en main, au sens propre comme au figuré, et je place son sexe juste face à ma bouche, où il finit joyeusement de se vider. Bien entendu, j’en profite pour la garder quelques instants toujours grande ouverte pour qu’il remarque clairement que sa semence y est toujours, et j’avale le tout avec un grand sourire. Tout va bien…


Sauf que, pendant ce temps, Andréa, qui vient de reprendre ses esprits, commence à me lécher soigneusement le visage… Il me faut une demi-seconde pour comprendre où elle veut en venir. Que peut-elle bien faire, je vous le demande, à part me nettoyer la figure de toutes les traces de sperme des premiers jets ? Et là encore, elle prend bien soin de lui faire remarquer que pas une goutte ne manque, avant elle aussi de l’avaler.


Là, notre homme pète un plomb, son membre qui pourtant commençait à se dégonfler reprend une belle vigueur, et il embroche Andréa avec la force et la vitesse d’un marteau-piqueur accidentellement branché sur le triphasé, avant de me faire subir le même sort. Malheureusement pour lui, il semble bien que le cœur n’ait plus assez de sang disponible pour irriguer simultanément sa queue et son cerveau, et il s’écoule entre nous deux, tandis que son visage passe par toutes couleurs de l’arc-en-ciel, du rouge au blanc et du jaune au vert. Pendant un moment, on se dit que ce couillon va passer l’arme à gauche, mais il se remet.



Non, parce qu’en vérité, de mon côté, il s’agit davantage d’une inondation qu’autre chose.



Lorsque j’arrive chez elle, Jennifer est déjà là.



Apparemment, d’après ce qu’elle m’en dit, Alizée et Natacha ont leurs bricoles, Marion est invitée chez son beau-père, Alexandra est en voyage, quant à Véro, Léa, Leloo et Caprice, elles sont injoignables.



Sous-entendu, capables de se contrôler, même dans les situations les plus chaudes. Sur la fameuse liste, il y a Bryan, James, Florian et Alan ainsi que Steve et Claudio, sans oublier Kévin, qui est quand même le type chez qui tout cela va se passer.





---ooooOoooo---




Le lendemain soir, toute l’équipe est réunie sur la place du village. Les discussions vont bon train, jusqu’à ce qu’Andréa rappelle la règle du jeu. Ça, c’est certain, en guise de cadeau d’anniversaire, ça a une autre gueule qu’un bidule à la con oublié aussi vite qu’il a été offert.



Elle sourit.





---ooooOoooo---




Le surlendemain, quelle n’est pas ma surprise de voir trois des garçons devant ma porte alors que je rentre du boulot. Je suis vendeuse dans une boulangerie, j’ai des horaires assez coulants mais aussi assez irréguliers…



Lorsque je reviens, ils sont tranquillement assis à la table de cuisine, un paquet d’enveloppes devant eux.



En même temps qu’ils me parlent de ce sujet sérieux, je remarque que mes trois loustics ont un sourire jusqu’aux oreilles, je flaire le mauvais coup.



Une fois de plus, leur sourire en coin m’en dit plus que tous les longs discours.



Je me lève et, je me lance dans la grande scène de la pucelle effarouchée, acte deux, scène quatre.



Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai comme l’impression de ne pas être super crédible. D’ailleurs, l’un des garçons vient de se lever, et m’enfonce sa langue jusqu’aux amygdales, tout en me poussant contre le réfrigérateur. Je le soupçonne de le faire pour le plaisir, mais surtout pour que je me taise. Il relâche son étreinte, et je reprends.



Assez curieusement, trois secondes et demie plus tard, je me retrouve avec les mains attachées dans le dos et emmenée dans la salle à manger. Puk, puk, puk, font les boutons de mon chemisier, soudain épris de liberté tel le pop-corn quand on a oublié de remettre le couvercle. D’ailleurs, exactement comme ce maïs farceur, quelque chose me dit qu’il va y en avoir partout dans le paysage !


En fait de chemisier, il s’agit d’une sorte de bustier sans bretelles et sans manches, fermé précisément par des boutons – enfin, qui fut fermé par des boutons, à en juger de ce qu’il en reste – et qui a le bon goût de pouvoir être retiré sans pour autant me libérer les mains. Le porte-bagages, qui est également sans bretelles, se transforme très vite en objet volant non identifié qui finit sa course sur l’une des branches du lustre. Ma jupe et ma culotte, quant à elles, sont l’objet de plus de soins puisqu’elles se retrouvent tout simplement posées sur l’assise d’un des fauteuils.


C’est ainsi que je me retrouve sur le tapis, nue et les mains attachées dans le dos, avec un sexe de garçon dans la chatte, un autre dans le cul et un troisième dans la bouche. Je ne voudrais pas dire, mais il me semble bien que la vertu de la jeune fille en ait sérieusement un coup dans l’aile, même si en réalité je suis loin d’en être à mon coup d’essai.


Cela dit, s’ils continuent leur petit manège, mes trois zouaves, je sens que je ne vais pas tarder à jouir. Ce n’est d’ailleurs que parce que ma maman m’a toujours dit qu’il était impoli de parler la bouche pleine que je ne le manifeste pas plus bruyamment, mais je jurerais bien qu’ils ont compris ce qui se passe, et ils accélèrent la cadence. Pour faire décoller une fusée, il faut allumer une mèche, moi j’en ai trois pour moi toute seule, inutile de dire que je me retrouve très vite dans la stratosphère sans n’avoir rien vu venir.


Houston, nous n’avons pas de problème !


Tiens, les pompiers viennent éteindre le feu, enfin, non, c’est juste le garçon que je suçais tant bien que mal qui se répand dans ma bouche, et cela me ramène à la réalité. Il en balance une telle quantité que je n’ai d’autre solution que de tout avaler, quasiment à la vitesse où il éjacule, sous peine de m’étrangler comme jamais.

Sans doute par solidarité bien masculine, je sens les deux autres enfler en moi, et c’est à leur tour de se vider presque simultanément.

Ils sont bien gentils, tous les trois, mais y’a un petit souci…



Ils se marrent.



Tessa ! Je l’avais oublié, celle-là ! Elle a une grande spécialité, et qui plait particulièrement aux garçons. Dommage d’ailleurs qu’elle soit à Londres, elle aurait fait une cinquième admirable qui aurait, à elle seule, justifié d’inviter deux ou trois mecs de plus.



Alors, tandis qu’un de mes trois partenaires, resté debout, me tient la main pour assurer mon équilibre, je m’accroupis au beau milieu du salon comme si j’allais y faire un gros pipi, tandis que les deux autres s’allongent à même le sol pour ne rien manquer su spectacle.

Ça peut paraître complètement idiot, mais savoir que j’ai le regard de ces deux clowns braqués sur mon cul et sur ma chatte, cela m’excite terriblement. Alors, à leur demande, je pousse alternativement devant et derrière, et assez rapidement, au prix de quelques contorsions, j’expulse leur semence à même le sol, sous leurs cris de joie.



Dix minutes plus tard, lorsque je reviens, simplement enroulée dans une serviette, je retrouve mes trois compères en caleçon. L’un est en train de nettoyer le sol des dernières traces des cochonneries qu’ils m’ont fait faire, l’autre vient visiblement de retrouver le dernier bouton de mon simili-chemisier, quant au troisième, il est tranquillement assis en train de les recoudre. Je ne sais d’où il a sorti le matériel, mais force est de constater que c’est du travail bien fait.



Même si j’ai tendu la perche, je ne m’attendais pas à cette réponse. Y’a pas à dire, ils sont aussi bons pour raconter des conneries que pour les faire, pour mon plus grand plaisir, dois-je dire.



Puis, plus sérieusement :



Bon, en fait, dans la mouise, je sais très bien m’y fourrer toute seule… Une fois prochaine, je n’oublierai pas d’aller décrocher mon soutif que ma mère a trouvé dans le lustre. Je ne sais pas pourquoi, mais elle a moyennement cru à mon histoire d’agrafe qui pète…




---ooooOoooo---




Jeudi matin. Comme tous les jours, Andréa vient à la boulangerie où je bosse chercher le pain pour ses grands-parents. Jennifer, qui passait justement dans la rue, et venue nous rejoindre, la boutique est déserte, on tape la discute. Andréa ouvre les hostilités.



Le visage d’Andréa vient de s’illuminer. Quant à Jennifer, même si elle ne dit rien, son sourire entendu me confirme qu’elle a parfaitement saisi où je voulais en venir.



Andréa hausse les épaules en souriant.





---ooooOoooo---




Samedi, début d’après-midi. Dès que j’ai quitté mon boulot, je me suis rendu à la salle, quasiment tout le monde est déjà là, à l’exception, bien entendu, de Juliette, qui n’est toujours pas censée savoir ce qui se mijote pour elle.


Kévin est le premier à m’accueillir.



La salle en question, c’est le dojo.



En disant cela, je pose ostensiblement ma main sur sa braguette, et masse tout aussi ouvertement l’objet qui s’y cache. L’intéressé ne s’en offusque pas, il sait très bien ce que cela veut dire, il sait aussi qu’il ne sert à rien de s’exciter pour le moment. Ce soir, il aura tout loisir de me baiser, moi et les autres, d’ailleurs.





---ooooOoooo---




Vingt heures trente. Comme convenu, Alan et Florian sont venu me chercher, Jennifer est déjà en voiture.



Il est vrai que nous portons toutes les deux le même genre de manteau. Pourtant, aucune pluie n’est prévue dans les jours qui viennent.



Je jette un coup d’œil malicieux à Jennifer, dont l’imper, encore plus court que le mien, est parfaitement incapable de masquer la lisière de ses bas et dévoile clairement l’attache d’une jarretelle. Cependant, les garçons ne semblent pas l’avoir remarqué et pourtant, je veux bien parier que lorsqu’elle est debout, cela se voit déjà. Alors là, assise sur la banquette comme elle l’est…


Le gag étant qu’entre chez elle et la route nationale où les garçons sont venus la chercher, il y a bien deux ou trois cent mètres, elle a donc certainement fait ce chemin à pied. Lundi, à la boulangerie, je veux bien parier que je vais en entendre parler, d’elle et de sa petite excursion. Le plus marrant dans l’affaire, c’est que personne ne pensera que j’étais de la partie, que je sais exactement ce qui s’est passé et combien toutes leurs suppositions graveleuses sont bien en dessous de la vérité. C’est assez marrant de passer éternellement pour la sainte nitouche de service !

Ah, nous voilà arrivés.



Tandis que les mecs se déshabillent, nous attendons sagement autour d’eux qu’ils soient tous complètement nus.



Par la toute petite fenêtre à côté de la porte d’où je sais que l’on ne me verra pas, je remarque que Steve vient de bander les yeux de Juliette. Cela l’a visiblement surprise mais elle est tout sourire, et attend sagement d’être invitée à entrer.



Là, toutes les trois, nous ôtons nos impers, et le silence se fait. Jennifer la joue classique, bas noirs, porte-jarretelles de dentelle noire, je remarque par ailleurs qu’elle est retournée chez l’esthéticienne, son sexe est totalement lisse. Andréa a choisi exactement l’inverse, elle est tout en blanc, quant à moi, c’est bas noirs et porte-jaja rouge. Pour le reste, à part nos hauts talons, nous sommes totalement nues, d’où quelques sifflets admiratifs de la part de nos partenaires.



Je ne sais pas si nous sommes gonflées, mais leurs sexes à eux semblent subitement le devenir. Très vite, nous avons devant nous six belles queues dressées, c’est terriblement tentant pour nous trois… Mais il se trouve que ce n’est pas notre anniversaire à nous.

Pendant ce temps, Juliette, toujours les yeux bandés, vient d’entrer dans la pièce au bras de Steve.



Tout en donnant les consignes, il se déshabille rapidement, et tout en lorgnant ouvertement vers nous. Dommage que nous nous soyons interdit de nous photographier ou de nous filmer, parce que Juliette à genoux comme une communiante en prière, mais entourée de sept mecs aux queues dressées et en train de chanter « joyeux anniversaire », cela vaut le coup d’œil.



Lorsqu’elle ouvre les yeux, elle n’en revient pas.



Tandis qu’elle tourne la tête devant tous ces sexes en érection, je vois ses yeux briller. À quelque chose près, elle est comme une gamine qui vient d’entrer dans un magasin de jouets et à qui on a dit qu’elle pouvait prendre tout ce qu’elle voulait.

Enfin, magasin de jouets, peut-être pas, plutôt de confiseries, à en juger par le nombre de sucettes qu’elle est en train de s’attribuer. Une queue dans chaque main et un autre dans la bouche, mon petit doigt me dit qu’elle aimerait sans doute être comme cette déesse hindoue munie de six bras, histoire de pouvoir s’occuper de toute l’équipe en même temps.


Ah, ça, pour se régaler, elle se régale, mais nous, on s’ennuie ferme. Andréa se tourne vers nous deux.



Seulement, mes deux compagnes savent que j’ai toujours eu un peu de mal à lécher une chatte – ou à sucer une queue, d’ailleurs – en même temps que l’on s’occupe de ma case trésor. Sans doute mon côté masculin, je préfère ne faire qu’une seule chose à la fois mais le faire bien.

C’est ainsi que je me retrouve allongée sur le sol, et tandis que Jennifer s’attaque à grands coups de langue à mon clitoris, pauvre petite victime innocente mais qui ne demande que ça, Andréa s’occupe de mes seins. Elle les palpe, les caresse, en pince légèrement les pointes, les lèche avidement, et en quelques minutes, l’affaire est réglée, pas la peine de faire un contrat en trois exemplaires, je couine.


Lorsque je rouvre les yeux, les deux donzelles sont tête-bêche, leur soixante-neuf est assez superbe, je profite de ce que j’ai le cul de Jennifer à portée pour lui prodiguer une somptueuse feuille de rose, je sais que c’est son pêché mignon. Entre Andréa qui s’évertue à lui lécher le bouton magique et moi qui enfonce mes doigts ou ma langue dans son petit orifice, elle est véritablement gâtée, et elle nous en remercie à sa manière en partant, et là encore pas besoin de billet, dans une longue jouissance.

Quand, quelques instants plus tard, c’est au tour d’Andréa de crier grâce – curieux ça, nous n’avons pas de copine portant ce prénom – la boucle est bouclée.


Pendant ce temps, la sucette-party continue de plus belle. Alors, laissant mes deux amies à leur contemplation, je file vers la cuisine. À un moment ou un autre, il faudra bien casser une graine, tout est prêt mais je me charge de ramener tout ça. Et puis, en vérité, bouffer du minou, c’est sympa, mais ça creuse.


Tandis que je pénètre dans la cuisine en question, je remarque que l’un des garçons vient de quitter le groupe et se dirige vers moi. Que ce soit pour me filer un coup de main ou pour m’en filer un coup tout court, il est le bienvenu.



Tandis qu’il me pétrit les seins – quoi de plus normal – je ne peux m’empêcher de sourire. On ne me l’a jamais faite, celle-là.



En vérité, je suis mal placée pour dire le contraire, dans la mesure où je sais que si je me regardais dans une glace, je serais capable de me faire mouiller moi-même. Ce n’est pas que je m’aime particulièrement – enfin, sauf quand je m’occupe de moi, toute seule sous la couette – mais cette tenue m’a toujours excitée terriblement, et je n’en ai même pas honte.

En attendant, comme je sens sa queue dressée contre mon cul, j’en remets une couche.



Là-dessus, et sans s’éterniser en parlotes, il me penche en avant, relève ma jambe droite dont je pose le genou sur le rebord le plan de travail, et il m’enfile sans coup férir. Mon dieu, c’est divinement bon, il a adopté dès le début une cadence idéale, et mon plaisir va croissant. Croissant, encore une fois, logique pour une boulangère…



Je comprends très bien où il veut en venir.



Trêve de plaisanterie, il repart pied au plancher, et je m’envole bien vite pour mon second orgasme. Quand j’ouvre de nouveau les yeux, c’est pour passer un doigt, inquiète, entre mes lèvres, mais je n’y trouve aucune trace de semence. Par contre, mon partenaire a disparu.

Lorsque je le retrouve, à peine quelques instants plus tard, il est en train de s’astiquer comme un furieux au-dessus du visage de Juliette, visiblement ravie de ce qui va se passer.


Comme, en même temps, un autre garçon est en train de lui en coller une pétée carabinée, autant dire qu’elle est aux anges… Elle n’a pas longtemps à attendre, la première giclée l’atteint en plein visage, elle en a plein le menton, plein la joue et peut-être même jusqu’au front. Elle lui attrape alors la queue, l’embouche rapidement, et il finit de se vider ainsi. Juliette est radieuse, le visage plein de foutre, et elle prend un malin plaisir à faire remarquer qu’elle vient de tout avaler. L’autre garçon, pendant ce temps, accélère encore le mouvement, et son long grognement ne laisse aucun doute, il vient d’éjaculer en elle, il prend d’ailleurs tout son temps pour se retirer du ventre de notre amie. Tandis qu’elle passe un doigt à l’entrée de son sexe, un mince filet de sperme s’en échappe, pour son plus grand bonheur.


Sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, un autre garçon le remplace, je ne sais pas trop ce qu’il doit ressentir dans une situation pareille, mais lui aussi se vide bien vite, et il s’écroule sur le côté. Cette fois, elle ne s’en préoccupe pas, il faut dire qu’elle est terriblement occupée à sucer un autre garçon qui, lui aussi, ne résiste pas bien longtemps et décharge cette fois l’intégralité de sa cargaison sur le visage de Juliette.

Elle se redresse alors, radieuse, du foutre plein le visage, qui coule lentement jusque sa bouche. Par contre, du côté de sa chatte, c’est l’inondation la plus totale. Andréa me regarde alors, et a un sourire entendu.



Elle se précipite alors vers notre joyeuse enfoutrée, la plaque au sol et commence à lui lécher consciencieusement le portrait. Tout le monde a compris, elle est en train de récupérer le plus de semence qu’elle le peut, et personne n’en perd une miette, que ce soit pour elle au sens propre pour elle ou au figuré pour les autres.


Quant à moi, ce n’est pas le moment de me dégonfler, je plonge la tête entre les jambes de Juliette, mais je n’ai pas le temps d’atteindre sa chatte, un mec vient de m’attraper par les hanches avec la ferme intention de m’embrocher. Je tourne la tête, ils sont en fait deux, et se sont d’ailleurs bousculés. Je me retourne.



Pas la peine de les blâmer, personne n’a compris ce que je comptais faire, et il est vrai que dans une situation pareille, une fille qui se fout à quatre pattes avec le cul offert comme je le suis, c’est assez tentant.


Je m’allonge donc cette fois complètement sur le sol et commence à lécher la chatte de Juliette, lui tète légèrement le clitoris, sa réaction est immédiate, son ventre se contracte… Je n’ai plus alors qu’à récupérer le plus possible de ce divin nectar blanchâtre qui s’écoule de son sexe béant. J’aspire goulûment, il y en a une quantité invraisemblable, je me relève, la bouche ouverte, la langue sortie, histoire de bien faire voir à tout le monde la nature et la quantité de mon chargement. J’attends quelques instants, puisque Andréa est elle-même en train de déverser toute sa récolte dans la bouche de Juliette, qui s’empresse de tout avaler goulûment sans l’ombre d’une hésitation. Puis, c’est à mon tour, elle n’en demandait visiblement pas tant, et de nouveau elle engloutit le tout avec un sourire absolument radieux.

Je me tourne vers Andréa.



De fait, les queues qui s’étaient quelque peu renfrognées après leurs giclées respectives sont de nouveau opérationnelles, mais c’est à ce moment que choisit Jennifer pour se précipiter vers notre amie, toujours allongée. Pas la peine d’être un génie pour comprendre ce qui vient de se passer, elle était en train de sucer l’un des garçons, mais elle l’a sans doute fait avec une telle énergie que celui-ci n’a pas pu se retenir et a jouit dans sa bouche. Du coup, elle vient, elle aussi, déverser le précieux nectar dans le gosier grand ouvert de Juliette qui, une fois encore, se fait un plaisir de tout avaler.



Puis, cette dernière, s’adressant à nous.



Et, passant du coq à l’âne.



Pourtant, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle devrait avoir l’estomac plein.



En réalité, mes deux lascars ne s’impatientent pas, ils sont d’ailleurs tranquillement en train de discuter, un verre de soda à la main. Pour un peu, j’aurais presque l’impression de les déranger.



Je m’agenouille alors, j’avoue que le fait de sucer deux queues en même temps est assez jouissif.

Non, pas l’une après l’autre, les deux en même temps…


Certes, ce n’est pas facile, je n’ai pas particulièrement une grande bouche – une grande gueule, peut-être, mais cela n’entre pas en ligne de compte – et ils ne sont pas non plus montés façon acteurs pornos, mais j’y parviens quand même. Ma langue, là, qui virevolte autour de leurs glands, c’est sûrement aussi agréable pour eux que pour moi, même si la manœuvre tient tout de même de l’acrobatie.


Cela ne dure que quelques minutes à peine, l’exercice est tout de même assez éprouvant, surtout pour le souffle et les crampes dans la mâchoire viennent assez vite. Alors, comme ils savent que je n’aime pas trop être prise et sucer en même temps, je me retrouve très vite allongée sur le sol avec une queue dans le ventre et une autre dans le cul. Ils y vont doucement mais sûrement, mes deux lascars, certains de leur coup et de l’effet qu’ils me font.


À ce moment, je tourne la tête, juste pour apercevoir Juliette, à quatre pattes et visiblement très occupée, à en juger par les coups de reins du garçon placé derrière elle. Elle se dirige lentement vers moi, en prenant bien garde de ne pas désarçonner son chevalier servant, puis, arrivée à ma hauteur, elle me murmure à l’oreille.



Même s’ils n’étaient pas censés entendre ce qu’elle me disait, mes deux zigotos n’en ont pas perdu une miette.



Leurs pistonnages, qui s’étaient plutôt ralentis pendant que Juliette me parlait, reprennent de plus belle, et je sens le plaisir qui monte, qui monte, qui monte… Et comme, pendant ce temps, le garçon qui baisait consciencieusement Juliette vient d’exploser en elle, nous partons quasiment simultanément pour une énième jouissance. Lorsque je rouvre les yeux, c’est pour voir deux queues s’agiter au-dessus de mon visage, et à en juger par l’ardeur qu’ils y mettent, l’explosion est proche, au grand ravissement de celle à qui tout ce foutre est tout de même destiné et qui n’en perd pas une miette.


J’ai le visage en feu, et ça tombe bien, j’ai l’impression d’être un incendie de forêt aux prises avec deux Canadairs… Un premier largage s’abat sur mon menton et mes lèvres, suivi d’un deuxième qui ne vient pas de la même direction. Et le feu ne risque pas de reprendre tout de suite, puisque j’en ai jusque dans les cheveux.


Ah, c’est au tour de la pompière de venir s’assurer qu’il ne reste plus de flammèches, elle s’y prend d’une bien curieuse manière puisqu’elle lèche consciencieusement le théâtre d’opération, récupérant ainsi l’excèdent de produit retardant. Puis, comme il ne faut rien perdre, elle avale le tout, et après avoir vérifié qu’il ne restait plus rien sur les lances d’incendie, s’en va sur une autre zone d’embrasement.


Ah, après le feu, les inondations ! Celles-ci ont changé de secteur, elles se déroulent plutôt au niveau de mon entrejambe. Je ne sais pas quel est le sexe du sapeur qui est train de s’en occuper, mais il ne cesse d’aller de mon bouton magique à l’orée de ma chatte…


Du coup, j’ai plutôt affaire à un pompier incendiaire, qui passe son temps à rallumer le brasier qu’il a lui-même éteint deux minutes plus tôt. Mais je crois bien que tout cela va bientôt finir, un tsunami se profile à l’horizon, il s’approche, s’approche encore et, une fois de plus, je couine, sans vraiment avoir compris ce qui se passait.


Quelques minutes plus tard, les idées vaguement remises en place, je me retrouve au buffet, j’ai faim. C’est bien connu, les émotions, ça creuse ! Tandis que je me bricole un en-cas, l’un des garçons m’aborde. En fait, il ne s’agit pas de n’importe qui, il s’agit de celui du tout début de la soirée, quand nous étions dans la cuisine. Il me sert un soda, et embraye tout de suite.



Le message est reçu cinq sur cinq.



On se marre tous les deux.



Sur ces mots, les hurlements de bonheur de Jennifer parviennent à couvrir le brouhaha ambiant. De là où nous sommes, le doute est difficilement permis, le gars est en train de la prendre par la porte de derrière, elle se régale et tient visiblement à nous le faire savoir.



Il me prend par la main et m’emmène au beau milieu de la salle.



Ah, le cochon ! Et chapeau, l’artiste. J’étais à peine à quatre pattes que sa queue franchissait – défonçait, serait plus juste, mais c’est vulgaire – ma petite porte. Pourtant, je suis loin d’en être à mon coup d’essai, ne serait-ce que ce soir, mais aucun d’eux ne m’a fait un tel effet. Si, pendant les premiers instants, la douleur l’a emporté sur le plaisir, il n’en est plus de même, il est en train de me pistonner avec une telle vigueur que j’en vois des étoiles. Cela ne dure pas longtemps, mais mon orgasme monte, monte, monte encore, cela va être le plus fort de la soirée, je hurle…


Je m’en écroule sur le sol, et lorsque je rouvre les yeux, il sourit.





---ooooOoooo---




Trois heures du matin. Combien de fois ai-je joui ? Je n’en sais rien. Combien de litres de foutre Juliette a-t-elle ingurgité, que ce soit dans sa bouche ou ailleurs ? Je n’en sais rien non plus. Par contre, ce que je sais, c’est que cette dernière vient de nous prendre à part, Andréa et moi.



Là, à trois mètres de nous, l’intéressée est en train de s’en prendre une tournée phénoménale par l’un des garçons. Et la position ne laisse aucun doute, il est en train de la prendre par le cul, elle en hurle de bonheur.