Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15098Fiche technique11064 caractères11064
Temps de lecture estimé : 7 mn
03/08/12
Résumé:  À l'occasion d'une demande de sa chef, un jeune employé doit se rendre chez elle en son absence pour récupérer un document important. Il en profite pour visiter son appartement et découvre sa lingerie, source de fantasmes...
Critères:  h collègues travail cérébral revede voir lingerie hmast confession -masth -vêtements
Auteur : Julien Mar  (jeune auteur qui voudrait faire partager ses textes)            Envoi mini-message
Les dessous chics de ma chef

Je travaille au département exportation d’une marque de spiritueux. J’aime bien voyager et mon travail me le permet, quand il faut aller à la rencontre des clients. Les hôtels, je connais bien, ainsi que les balades le soir dans les quartiers « culs » des villes qui m’hébergent.


Parfois il faut voyager avec des collègues et je suis chanceux, mes collègues féminines sont plutôt jolies notamment la chef de mon département avec qui il m’arrive souvent d’aller en déplacement. Une brune, plutôt petite, les cheveux raides aux épaules, parfois attachés en chignon et des rondeurs aux seins et aux hanches qui font de son corps une courbe qui appelle l’amour.


Elle est d’origine tchèque mais sa venue en France alors qu’elle était encore enfant ne lui a laissé qu’un tout petit accent quand elle prononce certains mots. Monika est toujours très séduisante pour nos clients. Des jupes plutôt courtes, des talons, des décolletés plongeants. Ça participe de l’argument de vente sans doute. Monika est une fille bien, intelligente, bosseuse et qui motive ses équipes en les responsabilisant. Elle est célibataire, n’ayant de son propre aveu pas le temps d’avoir un mec stable. Si le quotidien du travail laisse peu de temps pour s’amuser, les repas tous ensemble ou les trajets sont toujours l’occasion de discussion plus légère. Monika n’est pas la dernière à sortir parfois des réflexions crues.


Son physique avantageux et sa situation hiérarchique sont souvent pour moi des sources de fantasmes. Je me suis déjà masturbé dans les toilettes de l’entreprise pour me soulager de la tension en moi qui naissait quand je voyais son jean moulant laissant trop bien deviner son goût pour les strings ou son chemisier gonflé par sa poitrine. Quand on rentre le soir à notre hôtel après de longues discussions pour présenter nos produits, il y a parfois un moment étrange dans le petit ascenseur de l’hôtel ou au moment de nous quitter pour rejoindre nos chambres respectives…


Elle a cette façon de me souhaiter bonne nuit avec un regard qui parfois me fait comprendre qu’elle voudrait plus. Ça ne fait pas longtemps que je suis dans cette boîte et les relations avec une chef, ça n’est pas conseillé pour la carrière. Je me fais peut-être aussi des films, je n’ai jamais manqué d’imagination en matière de sexe et si je ne suis pas un Apollon, je n’ai jamais eu de difficultés à séduire les femmes. En tout cas, à sa façon parfois de parler avec des clients masculins, je suis sûr qu’elle n’est pas contre de s’offrir à eux pour décrocher des contrats. Elle ne rate jamais une occasion de me faire une description toute personnelle du physique d’un client que je vais rencontrer pour la première fois.


Un jour qu’elle était en déplacement en Suisse, elle m’appelle à mon bureau. Elle avait oublié un important document chez elle qui devait être absolument faxé afin d’être présenté le lendemain. Dans le tiroir de son bureau que j’ai ouvert pour la première fois à cette occasion, se trouvait le double des clefs de son appartement qu’elle laissait là au cas où. Après une courte explication de l’endroit où se trouvait ce papier, elle me demandait donc d’aller le chercher, en s’excusant de m’envoyer chez elle pour réparer sa propre erreur, mais elle n’avait pas le choix.


Après avoir informé mes collègues de mon absence pour régler ce problème, je me retrouve une vingtaine de minutes plus tard devant son immeuble. Je ne savais pas où habitait Monika et mon cœur commençait à battre en montant les escaliers. Je me rendais compte que j’allais pouvoir visiter l’appartement de ma chef, pénétrer l’intimité de son chez-elle et découvrir son environnement personnel. L’envie me prend d’aller ouvrir les placards de ses vêtements pour regarder sa lingerie et pouvoir mettre des tissus, des couleurs et des formes sur ce cul et ces seins que je voyais chaque jour. Des fois, je me dis que je suis un peu dérangé pour avoir des idées comme ça. Mais après tout, il n’y a rien de bien méchant. Je tourne la clef dans la serrure et j’ouvre la porte, je me retourne pour voir dans le couloir si personne ne m’a vu, des fois que des personnes trop bien intentionnées trouveraient bizarre qu’un homme entre en l’absence de Mme B. Des pensées coupables m’envahissent mais mon cœur bat la chamade en découvrant l’appartement moderne et élégant de ma chef.


Une fois le papier mis dans mon sac, je quitte le salon. Mon sexe devient dur dans mon caleçon, j’ai l’impression qu’à tout moment, elle va apparaître pour me demander ce que je fais encore là, mais non, il n’y a personne. J’aperçois la chambre, toute beige avec un grand lit qui trône au milieu. Les draps ne sont pas faits, le désordre est resté celui de Monika quand son corps nu s’est levé pour prendre son avion ce matin. Mon excitation est trop grande, sur le petit meuble de chevet, des photos, un rouge à lèvres et un livre tout écorné. J’ouvre le petit tiroir en dessous et je vois avec plaisir des préservatifs et un gel lubrifiant. Je m’imagine les hommes passés dans cette chambre, le corps chaloupé de Monika et ses seins qui balancent au rythme de l’étreinte.


Je me sens comme un voleur, j’ai cette sensation à la fois excitante et intimidante de violer son intimité. Surtout, ne rien déranger qui pourrait lui montrer que quelqu’un est venue fouiller. J’ouvre donc avec grande précaution la grande armoire qui occupe tout un pan de mur de la chambre. Une garde-robe impressionnante, toute la féminité de Monika se retrouve ici. En dessous des vêtements sur les cintres, de petits tiroirs. J’ai l’impression d’accéder au Graal de mes fantasmes. Se trouvent dans ces tiroirs les charmes de Monika : des strings par dizaines, des soutiens-gorge de belle qualité, quelques bustiers, des bas, des porte-jarretelles et même un sextoy. Il y a là de la soie, de la dentelle, du nylon, de la flanelle de grandes marques.


Je prends dans mes mains ces armes de séduction, mes doigts parcourent les détails des bustiers, caressent la fine bande de tissu du string que Monika place entre ses fesses. Des images d’elle me viennent en tête. Je peux maintenant m’imaginer quels sous-vêtements elle portait pour donner à son cul ce beau déhanchement, le genre de soutif qu’elle met pour offrir à nos clients ce décolleté sous son chemisier. Et si Monika, en me demandant d’aller chez elle chercher ce document, n’avait-elle pas imaginé avec délice que j’allais faire un petit tour chez elle ? Je me plais à m’imaginer qu’elle souhaite me donner un avant-goût de ce que je pourrais peut-être un jour découvrir sur sa peau.


Serait-ce au bureau tard, un soir ? Je m’imagine sa jupe relevée et son chemisier déboutonné sur un décolleté opulent, ouvrant la braguette de mon pantalon pour découvrir mon sexe circoncis et le placer dans sa bouche chaude. Le string qu’elle ferait ensuite descendre le long de ses bas pour s’allonger sur son bureau, ses jambes sur mes épaules en attendant de sentir mon sexe entrer dans sa chatte rasée. Et nos regards ensuite, mi-coquins mi-pudiques d’avoir osé franchir le pas, ces regards qu’on s’échangerait une fois nos corps rassasiés et nos vêtements remis en ordre, elle n’oubliant pas de remettre un peu de rouge sur les lèvres qui ont caressé avec gourmandise mon sexe.


Ou dans une chambre d’hôtel de Berlin, de Rome ou de Zurich… un appel prétexte pour aller la rejoindre dans sa chambre. La voir ouvrir la porte avec le petit sourire mutin que parfois je lui connais, une nuisette transparente et un tanga bien échancré. La surprise de mon regard, des excuses bafouillées sans doute et sa main qui, prenant la mienne, m’invite à entrer. Découvrir ainsi dans la neutralité et l’anonymat d’une chambre d’hôtel la croupe de Monika, en levrette sur son lit. Goûter au plaisir du sexe avec un supérieur, quand les relations d’autorité et de hiérarchie deviennent la source de fantasmes, quand les rôles s’inversent et où ma chef devient le jouet de mon plaisir au rythme de mes aller-retour.


Je suis soudainement tiré hors de mes rêveries par des bruits. Je ferme les tiroirs puis les portes de l’armoire et sors prudemment de la chambre. Le fait d’être rassuré de ces bruits qui proviennent du voisin d’en face rentrant chez lui calme à peine les battements de mon cœur. Mon excitation est trop grande et il serait préférable de ne pas rester trop longtemps dans cet appartement.


J’ai un grand besoin de me masturber et j’ai envie de le faire dans la salle de bain. Mon regard se porte sur le bac à linge sale et je cherche au milieu des nombreux vêtements froissés ses culottes. Je trouve un tanga noir avec de légères traces blanches de sa mouille que je respire avec délice. Monika a tellement de sous-vêtements qu’elle ne remarquera sans doute pas qu’un de ses tangas a disparu. J’ai bien envie de le garder en souvenir et de l’emporter avec moi mais avant, j’ai trop envie de me soulager, de faire sortir mon sexe qui commence à me faire mal à force de bander.


Assis au bord de la baignoire, je commence à me masturber pour m’apaiser de mes émotions. Les parfums qui se dégage de cette salle de bain remplie de parfums et de produits de beauté sont agréables, ce sont les odeurs du corps de Monika quand nous nous croisons au bureau. Il n’en faut pas plus pour que très vite l’extase arrive. Je lâche des jets de sperme chaud et toniques sur le tanga qui me sert de mouchoir. Me retrouver seul dans l’appartement de ma chef à regarder sa lingerie m’a mis dans un état d’excitation et de fébrilité que j’ai rarement connu. Je regarde une dernière fois si tout est bien remis en ordre. Le tanga souillé dans la poche de ma veste et les idées apaisées, je ferme la porte de son appartement et reprend le chemin du travail.


Le travail au bureau continue avec Monika et mes collègues. Elle m’a remercié le lendemain pour ce service rendu en me demandant avec humour si je n’en avais pas profité pour me servir un Bas-Armagnac parmi les meilleurs qu’elle possède dans son bar. J’aurais aimé lui dire que je me suis fait servir une autre sorte d’ivresse chez elle… Maintenant que je sais ce qu’elle peut porter sous ses vêtements, je me mets à regarder avec un peu moins de discrétion son postérieur et sa poitrine. Ces petites imprudences pourraient bien montrer à Monika que je ne suis pas insensible à ses charmes. Le mois prochain nous irons ensemble en déplacement pour une nouvelle discussion de contrat et je suis sûr qu’un jour, nous aurons l’occasion de faire l’amour ensemble…