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n° 15100Fiche technique25274 caractères25274
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13/08/12
Résumé:  Après la visite des caves alsaciennes, nous allons aux thermes en Allemagne. Comment passer le temps à l'hôtel le soir ?
Critères:  fbi couplus copains sauna hotel voyage nudisme massage fellation cunnilingu 69 pénétratio hdanus échange champagne -libercoup
Auteur : Ecrivain25      Envoi mini-message
Un week-end en Allemagne

Depuis quatre heures déjà, nous sillonnions les caves d’Alsace en quête de vins de qualité à acheter. Mon épouse était devenue une spécialiste après avoir découvert différents viticulteurs de la région et avait sélectionné ceux chez qui nous devions passer pour « goûter » aux vins.


Comme je ne bois pas, j’étais le parfait chauffeur de service, ce qui permettait à chacun de se lâcher sans crainte de la maréchaussée. Et nul doute que mes trois passagers avaient un peu dépassé la dose prescrite pour conduire en toute sécurité. Leurs yeux se faisaient un peu plus vitreux, leurs rires se déclenchaient sans raison sur une phrase prononcée par l’un d’entre nous. Je peux dire que Patrick, Sophie et Cathy étaient tous trois gais.


Nous étions désormais dans la deuxième phase du week-end, sur la route qui nous menait en Allemagne, à l’hôtel puis aux thermes. En roulant correctement, nous arriverions à 17 h à l’hôtel et, avant 18 h, nous serions aux thermes. Cela nous laissait cinq bonnes heures pour nous reposer de cet après-midi « montées et descentes » de verres. Et comme le lendemain nous avions prévu la journée dans les mêmes thermes, nous n’avions pas le feu au lac, comme l’on dit de l’autre côté de la frontière, en Suisse.


Depuis plus d’un an nous avions déjà remis ce week-end, les obligations de l’un de nous quatre empêchant toujours la réalisation de celui-ci. Il faisait beau et chaud, les enfants étaient placés et nous avions enfin un week-end à nous. Le GPS me donnait encore trois minutes de route.



Depuis une heure de route, tout le monde s’était un peu assoupi. Le fait de sortir de la voiture allait faire du bien. Patrick et moi prîmes les sacs de voyage pendant que les filles se tenaient pour ne pas chavirer, suite à une sortie un peu rapide de la voiture.



Cathy voulait que nous prenions un seul grand appart pour que nous soyons tous ensemble, mais il n’y en avait plus. Alors chacun chez soi ce soir.

Notre hôte, qui ne parlait pas bien français, n’avait pas suivi notre conversation et, après avoir donné nos noms, nous distribua les clés des appartements. Nous sommes montés jusqu’au second et dernier étage et entrâmes dans nos beaux appartements. 50 m² chacun avec une grande chambre avec lit à l’allemande deux mètres sur deux et deux couettes, un salon avec un grand canapé, balcon, grande salle de bain, bref super sympa. Sauna et centre de remise en forme figuraient aussi aux prestations. Sans parler du petit déjeuner allemand qui nous faisait déjà saliver.



Deux minutes après, nous étions en voiture. Bon d’accord, je parle en horaire féminin. Remettons les choses dans leur réalité. Dix minutes plus tard, les portes de la voiture se referment et nous faisons les quelques kilomètres qui nous séparent des thermes. Contrairement au matin, la queue pour payer vers 18 h est beaucoup plus réduite et nous en profitons pour prendre les billets pour les deux jours. Cathy demande si quelqu’un veut faire un massage.



Rendez-vous est pris pour une plage horaire allant de 11 h à midi. En attendant nous allons nous reposer et récupérer de cette journée arrosée d’alcool, à défaut qu’elle le soit par la pluie. Nous montons aux vestiaires de la partie sauna. En cinq minutes, nous avons rangé les affaires dans les casiers et nous nous dirigeons avec nos serviettes et peignoirs vers les saunas.


Nous avons en gros cinq heures devant nous pour profiter des piscines extérieures, des saunas, du hammam, des salles de repos. Nous choisissons de prendre quatre places qui sont encore disponibles dehors, un peu en retrait de la piscine, mais encore au soleil. Il fait bon et le soleil couchant ne risque pas de nous donner des coups de soleil. Patrick a envie de transpirer, mais les filles préfèrent rester dehors. Je l’accompagne et, comme il n’y a pas grand monde dans le sauna que nous choisissons, nous avons le temps de papoter. Quand nous revenons vingt minutes plus tard, cela papote aussi beaucoup entre les deux filles. Un peu de piscine, quelques saunas et une ou deux boissons plus tard, il est temps de quitter pour ce soir le centre thermal.


De retour à l’hôtel, nous avons la bonne surprise de trouver dans chaque appartement, une bouteille de crément local avec un petit mot de bienvenue. Décidemment les Allemands savent bien recevoir. Nous allons toquer chez nos voisins pour savoir s’ils ont reçu le même cadeau.

Patrick ouvre la porte et nous confirme qu’ils ont le même exemplaire.



Nous déposons la bouteille « cuvée du patron » dans le freezer du frigidaire pour la faire tomber rapidement en température. Pendant ce temps, nous prenons un café et les filles, un thé, mis à disposition par l’hôtel. Il est minuit quand nous sortons la bouteille du freezer. Elle semble à bonne température. Je fais le service et moi, je prends une eau gazeuse, mais dans une flûte pour faire comme les autres. Nous trinquons à notre week-end.



On trace la ligne de lancer et on commence par ordre d’âge. Je lance et avec un 52, je remporte la première manche. Cathy perd et se voit infliger la première punition d’un verre cul sec. À raison de sept verres dans la bouteille, le nombre de tours sera réduit. Sophie perd le second tour avec deux fléchettes en dehors de la cible. Elle perd la troisième manche et les deux verres d’affilés ne vont pas aider à sa concentration pour les parties suivantes. À la quatrième partie, c’est l’égalité entre Patrick et sa femme. Nous décidons qu’ils doivent boire un verre chacun. Patrick boit le sixième verre et montre que le gage est pour le suivant, car il ne reste plus beaucoup de crément dans la bouteille.


Chacun se concentre sur ses lancers. À deux points près c’est Cathy qui perd la manche. Elle boit donc son deuxième verre alors que nous réfléchissons au gage. C’est Patrick qui trouve l’idée.



Tout le monde est d’accord avec le gage infligé à Cathy.

Patrick pense déjà à la suite du jeu. Il va chercher la deuxième bouteille qui attendait au frigo. Il l’ouvre et annonce que les règles sont identiques pour celui qui finira aussi la bouteille.


Sophie et moi terminons derniers de cette seconde manche. À défaut d’avoir trouvé du coca dans le mini bar, c’est sur du Schweppes que je pars, Sophie, elle, attaquant la bouteille et surtout son quatrième verre. Ses yeux commencent à briller de nouveau. Décidemment, ne voulant pas perdre, les joueurs assurent les points, mais du coup nous tombons sur une nouvelle égalité, mais cette fois entre Cathy et Patrick. Je perds la partie suivante et encore la suivante mais avec Sophie.



12 pour moi et 7 pour Sophie. Je passe près de la correctionnelle. Sophie fait la moue en attendant le gage. La sentence est délivrée. Comme Cathy doit tous nous masser et que nous sommes paresseux, Sophie devra elle nous déshabiller en commençant par elle, mais uniquement avec la main gauche et les yeux bandés.


En regardant la bouteille, je constate que l’on peut y faire encore trois verres. Je propose que le perdant de la bouteille ait double gage pour pimenter le jeu. Comme Cathy et Patrick boivent les deux verres suivants, il ne reste plus qu’une coupe à verser. Le dernier lancer de Sophie voit la fléchette ne pas tenir sur la cible et le décompte la pousse à la dernière place. La sixième coupe vient aux lèvres de Sophie qui est obligée de s’asseoir pour la boire. Il fait chaud dans la pièce et ce n’est pas que l’alcool.

Elle se demande bien qu’elle gage nous allons lui trouver.


Premier gage pour Sophie donc, qui avec tous les verres bus doit se déshabiller avec la main gauche et les yeux bandés. Elle n’est pas gauchère et le fait d’avoir une robe ne lui facilite pas le travail. Enlever la manche droite passe encore, mais pour la gauche impossible. Elle réfléchit pour savoir comment faire. Par le bas, cela ne peut passer et donc elle essaye en remontant la robe à une seule main par petites parties successives. Cela dure bien trois minutes à se contorsionner et à nous maudire d’avoir eu une telle idée. Quand elle arrive enfin à faire passer sa robe par-dessus sa tête, c’est sous nos applaudissements que nous l’encourageons. Elle se débarrasse rapidement de son slip et avec la main gauche dans le dos, dégrafe son soutien-gorge. Enfin nue, nous l’applaudissons et nous mettons autour d’elle.



Les chaussures ne posent pas de problème. Les chemisettes des hommes non plus, pas plus que le T-shirt de Cathy. Son soutien-gorge tombe tout aussi facilement. Les shorts des deux garçons sont plus complexes à enlever, mais la gravité fait son effet et une fois la ceinture défaite et la braguette descendue, ils rejoignent le reste des habits. Mais pour en arriver là, Sophie a dû passer plusieurs fois sa main sur mon sexe et chemin faisant, celui-ci a pris de la consistance, idem côté Patrick mais lui certainement excité par la situation. Le string de Cathy ne met pas longtemps à descendre le long de ses jambes. Il n’y a pas beaucoup de tissu et pas de retenue. Toujours masquée, Sophie se représente devant moi et tâtonne pour repérer mon boxer. Elle commence par descendre un côté, puis refaisant le tour, s’attaque à l’autre côté. Mais cela ne se passe pas comme elle veut.


Elle se met à genoux pour être plus à l’aise car n’oublions pas qu’elle a un certain nombre de verres de crément dans l’estomac et donc l’alcool commence sérieusement à perturber ses facultés. Sans la vue, difficile de savoir pourquoi cela bloque. Cathy et Patrick, eux, ont bien compris. Ma verge en totale érection dans le boxer fait effet de ressort qui empêche la descente. C’est en décidant de mettre sa main gauche devant qu’elle comprend alors pourquoi blocage il y a. Elle tire le boxer vers elle pour relâcher la tension. En fait la tension lui vient en plein dans le visage. Cela nous fait tous rire.



Elle sait mieux comment agir avec son mari et surtout avec moins d’appréhension. Mais elle fait le même constat qu’il aborde une forme olympique.


Le premier gage de Sophie est enfin terminé sous une nouvelle salve d’applaudissements. C’est au tour de Cathy d’intervenir. Nous enlevons le bandeau des yeux de Sophie pour le passer sur ceux de Cathy. Sophie peut enfin constater que les deux hommes sont en pleine forme. Cathy perd cette vision intéressante et se rapproche du lit. Je suis le premier à m’allonger.



Munie de l’huile de massage que nous emmenons toujours avec nous, elle commence à me masser les pieds puis les mollets. Elle remonte ensuite le long de mes cuisses, les fesses et fait exprès de me mettre une bonne dose sur la raie des fesses pour mieux pouvoir l’étaler et passer une dizaine de fois malencontreusement sur mon anus. Bon, je ne vais pas me plaindre.


Puis c’est au tour du dos, des bras et du cou. Elle me fait me retourner pour commencer par le torse et le ventre. En arrivant autour de mon sexe, elle ralentit le rythme du massage en prenant bien soin d’éviter celui-ci pour me faire languir. Elle passe directement aux tibias pour remonter le long de la jambe. Quand elle sait qu’elle arrive à la fin, elle verse une bonne dose sur une zone qui doit être d’après elle, car elle ne voit pas, autour du sexe. Et avec ses deux mains, elle malaxe aussi bien une barre de béton que de souples ris de veau prêts à servir.


Après vérification auprès de Patrick et Sophie que j’ai bien été traité sur toutes les zones du corps, je me lève et laisse ma place à Sophie. Une chair plus tendre, une peau sans poils, voilà des différences tout de suite constatables, même les yeux bandés. Cathy trouve d’ailleurs que le massage des fesses d’une femme est très agréable, certainement aussi agréable que pour celle qui se fait masser. Quand elle doit descendre dans le sillon des fesses de Sophie, elle le fait avec douceur et délicatesse. En effleurant tout juste la peau de Sophie qui frémit sous le contact. Malgré la chaleur dans la pièce, la chair de poule se forme sur la peau de Sophie. Cathy remarque l’émoi de Sophie et en profite pour descendre un peu plus loin sa main huilée touchant désormais les grandes lèvres de Sophie. Son majeur s’introduit même entre celles-ci jusqu’à toucher le clitoris de Sophie qui sous le contact contracte ses fesses de façon ferme emprisonnant la main de Cathy qui continue malgré tout le massage avec trois doigts.


Quand Sophie se retourne pour se faire masser le côté face, son excitation est aussi visible que l’érection chez un homme. En effet ses mamelons qui durant tout le séjour aux thermes étaient normaux, sont là, fermes, serrés et pointus comme si elle avait été dehors nue en plein hiver. Si Cathy a toujours les yeux bandés, Sophie elle, garde les yeux fermés pour profiter du massage de la façon la plus agréable. Le massage de ses seins est encore pour nous un grand moment d’excitation tellement les signes de jouissance sont proches chez elle. Pourtant elle fait tout pour se retenir.


Mais Cathy qui a décidé d’être sadique comme pour moi, arrête son massage et demande à Patrick de se mettre en place. Les yeux de Sophie quand elle les ouvre sont toujours brillants, mais pas comme avec l’alcool. Là ce sont les yeux d’une femme qui vient de prendre beaucoup de plaisir et dont la jouissance lui donne un visage rayonnant. Patrick allongé sur le ventre savoure lui aussi son massage et Cathy, toujours aussi maîtresse dominatrice, nous approche du plaisir sans nous laisser le prendre. Il n’y a que pour Sophie qu’elle aura raté sa mission, car Patrick et moi en étions certains désormais, Sophie a bel et bien jouit sous les massages de Cathy.


Patrick n’en a pas été loin quand Cathy avait son sexe en mains pour assumer son gage en massant bien toutes les parties du corps. Mais quand elle sentait qu’il devenait trop contracté, elle relâchait son massage pour faire retomber la tension. Il n’y a pas à tergiverser, ma femme est une sadique.


Fin de son gage. En fait de cinq minutes chacun, le massage aura duré plus d’une heure au total, mais nous n’avons pas vu passer l’heure. Il ne reste plus qu’un gage pour Sophie. Initialement, nous voulions Patrick et moi proposer que Sophie se fasse caresser par nous trois durant une demi-heure sans avoir autorisation de prendre de plaisir. Mais comme elle venait tout juste de jouir entre les mains de Cathy, nous avons dû changer notre gage. En fait, nous avons inversé la situation. Elle a maintenant pour objectif de nous faire jouir tous les trois dans un délai d’une demi-heure. Elle choisit la méthode qu’elle juge nécessaire pour arriver à ses fins. En fait, elle décide de nous bander les yeux à tous les trois et nous allonger sur le lit en formant un triangle autour duquel et dans lequel, elle pourra se déplacer.


Sophie se dit que faire jouir un homme sera très facile et après la soirée que nous venons de passer, elle n’aura aucun mal à nous faire passer du côté obscur de la force. Par contre, elle n’a jamais caressé de femme, même si elle vient juste de se rendre compte que cela pouvait être hyper agréable. Elle décide donc de commencer par Cathy.


Cathy est allongée sur le dos. Je suis à ses côtés, ma tête à côté de la sienne avec un angle de 30°. Patrick forme la base du triangle sa tête au niveau des pieds de Cathy. Il n’aurait pas eu de bandeau sur les yeux, il aurait eu une vue sur le sexe de Cathy à moins d’un mètre. Sophie écarte la jambe gauche de Cathy et s’approche lentement. Son nez tout proche de son sexe, sa bouche entrouverte vient effleurer les grandes lèvres de ma femme. C’est un mélange d’excitation et un reste de pudeur qui guident ses mouvements. L’odeur n’est pas désagréable et son premier coup de langue furtif comme un enfant qui veut goûter à un bonbon dont on lui a interdit l’accès.


Ses doigts viennent écarter les grandes lèvres et découvrent le clitoris. La respiration de Sophie s’accélère. Pendant que deux doigts flirtent avec sa vulve, sa langue désormais fait des allers-retours sur le clitoris de ma femme qui commence à avoir des mouvements de contraction. Au bout de cinq minutes de ce traitement, Sophie décide de passer à la phase II. Elle se redresse. Elle prend le bras gauche de son mari et le dirige vers le sexe de Cathy. Elle met la main en contact avec le pubis de Cathy. Patrick comprend très vite où sa main doit aller. Cathy sent que la main qui arrive n’est pas une main de femme. Mais est-ce la mienne, celle de Patrick ? Elle qui pensait être moins participative du fait d’avoir les yeux bandés trouve finalement cette situation excitante. L’ignorance, laisse planer le doute et celui-ci génère l’excitation.


Une fois que Sophie a constaté que son mari saurait gérer la situation, elle vient poser quelques baisers sur les seins de Cathy. C’est à la fois chaud, doux et vite ferme. Les deux tétons se transforment comme pour elle tout à l’heure et elle se dit que, finalement, elle est aussi douée que Cathy pour donner du plaisir à une femme. Elle va maintenant passer à ce qu’elle a rêvé plusieurs fois dans sa vie sans jamais avoir osé le faire, embrasser une femme sur la bouche. Ses lèvres se rapprochent centimètre par centimètre alors que ses mains continuent à caresser le torse et le ventre de Cathy. Le contact se fait comme l’alunissage d’Apollo XI. Un contact ferme qui une fois la surprise passée fait que chaque partie vient épouser l’autre et s’ouvre pour mieux s’amarrer. Les langues commencent à s’échanger, les lèvres s’aspirent, s’éloignent, reviennent pour des baisers fougueux échangés entre les deux filles.


Comme Patrick s’occupe lui aussi correctement de Cathy avec deux doigts dans le vagin et le pouce sur le clitoris, le bassin de Cathy se balance de plus en plus. Sophie sait qu’elle a partie gagnée. Elle sent la respiration de Cathy qui s’accélère, son ventre se contracte, son bassin ondule de plus en plus. Au moment où Patrick rajoute deux autres doigts dans le sexe de Cathy, celle-ci explose littéralement en poussant de grands « ahhh » et des « ouiiii » explicites. Il s’est passé à peine quinze minutes et, si mon sexe s’est un peu ramolli, le fait d’entendre ma femme prendre du plaisir, me redonne de la vigueur. Je ne parle même pas de Patrick dont la masturbation de Cathy l’a mis dans un état de donner envie à un castor de casser cette branche dressée. Surtout que Cathy dans ses mouvements de bassin s’est rapprochée de Patrick et son pied gauche est en contact avec sa verge. C’est d’ailleurs en sentant la différence de pilosité autour de celle-ci qu’elle a pris conscience juste avant de jouir que la main qui la masturbait n’était pas celle de son mari.


Sophie pour s’occuper de moi, décide de me chevaucher et de pratiquer un 69. Je sens tout de suite à l’approche de la vulve que celle qui se met au-dessus de ma bouche n’est pas Cathy. Son parfum intime est différent et tout aussi plaisant que celui de mon épouse. Je donne tout de suite du travail à ma langue, même si celle-ci n’a aucun besoin d’humidifier la zone. En effet, Sophie est parfaitement lubrifiée par ses propres sucs et quand je commence à lui lécher son sexe, la cyprine commence à couler sur mon visage. Ses mains sont vite rejointes par sa bouche pour donner à mon sexe sa pleine dimension. Elle ne tarde pas à passer à un régime rapide pour me faire jouir le plus rapidement possible. Son majeur lubrifié introduit dans mon anus augmente encore mon érection. Moins d’une minute après nous jouissons tous les deux en même temps dans la bouche de l’autre.


Ces quelques minutes n’ont pas été perdues non plus par Cathy. Excitée comme pas deux, elle s’est redressée et en se penchant à gauche a réussi à trouver la verge de Patrick. Elle l’a masturbé et en lui donnant quelques coups de langue supplémentaires a déclenché quatre grands jets de sperme qui retombèrent à droite, à gauche et le dernier dans la bouche de Cathy qui resta soudée pour bien avaler la semence.


Sophie se releva et annonça que le gage était terminé et qu’il serait temps pour nous d’aller nous coucher si nous voulions profiter demain des thermes. Nous étions d’accord mais d’un commun accord, nous avons décidé de tous rester dans ce lit pour la nuit…