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n° 15102Fiche technique25343 caractères25343
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Temps de lecture estimé : 18 mn
13/08/12
Résumé:  De retour à la maison après quinze jours d'absence et un très long trajet en avion, je ne rêve que d'une chose : d'un bon lit ! Mais ma femme, elle, ne l'entend apparemment pas de cette oreille...
Critères:  fh couple fsoumise hdomine fellation cunnilingu 69 sm attache fouetfesse piquepince -dominatio
Auteur : Hidden Side      Envoi mini-message
De décalages en découvertes

J’avais presque fini de défaire ma valise. Après un voyage aussi long (plus de 24 heures plié en deux dans un avion), je n’aspirais qu’au repos. Ça, c’était sans compter sur Laure, ma femme. Nous ne nous étions pas vus depuis près de quinze jours et, malgré nos conversations téléphoniques et les nombreux mails échangés, elle souhaitait à présent que je lui raconte ma mission dans ses moindres détails, pratiquement heure par heure. Une curiosité un brin inquisitrice sous des dehors enjôleurs. Je détaillais les lieux, les circonstances, les personnes rencontrées… Non, je n’avais pas traîné dans les quartiers chauds de la capitale. Pas même mis les pieds dans un sex-shop pour lui ramener un petit cadeau. Pas de ce genre-là, en tout cas…


Je lui avais bien offert quelques babioles, un parfum, des livres. Au fond de ma Samsonite presque vide traînait un dernier paquet, dans un emballage kraft tout ce qu’il y a de plus ordinaire.



Avant qu’elle ne puisse protester, je m’étais réfugié dans la salle de bain, avais quitté mes vêtements et m’étais glissé sous le jet bienfaisant réglé en mode « torrent de l’Etna ». Je laissai les trombes liquides faire leur travail, détendre chacun de mes muscles, m’apporter l’apaisement requis pour me glisser entre des draps frais et goûter enfin une nuit de sommeil complète…


Quand je revins dans la chambre, une serviette autour des reins, Laure était assise sur le lit, toujours habillée. Aussi prestement qu’elle le put, elle tenta de dissimuler ce qu’elle tenait entre les mains : le fameux paquet.



Un bric-à-brac hétéroclite s’était répandu entre ses genoux : des sangles noires en nylon avec boucle métallique, des pinces à linge de tailles et de formes diverses, un masque de sommeil bleu roi chipé dans l’avion, une brosse à cheveux et, enfin, un collier de cuir doté d’une attache en acier.



Je luttai pour lui arracher son chemisier et son soutien-gorge, tandis que, piaillant et riant, Laure se tordait sous mes chatouilles impitoyables, menaçant à tout instant de me faire basculer hors du lit. Je parvins non sans mal à l’immobiliser sous mon poids et à la dénuder. Elle m’avait griffé la poitrine en se débattant, aussi je la retournai sèchement sur le ventre, lui attrapai les poignets et les liai avec une sangle.



Je pris des coussins et l’adossai confortablement à la tête de lit. Les bras attachés dans le dos, Laure me dévisageait avec une moue dubitative, s’interrogeant sur ce que j’allais lui faire subir.



Sans un mot, je commençai à lui embrasser les seins, suçotant ses mamelons qui ne tardèrent pas à se dresser sous mes caresses, mes coups de langue. Saisissant les pointes tendues, je les fis rouler entre mes doigts, lui arrachant des gémissements. Sa respiration s’était accélérée et son regard hautain s’était fait implorant.


Après m’être penché pour ramasser le masque Air-France, je dégageai les cheveux sur son front et lui bandai les yeux.



Je lui ôtai son jean, me réjouissant de la moiteur qui humectait son string en dentelle noire. Elle n’était pas tout à fait insensible au piquant de la situation, visiblement… Avant d’attaquer les choses sérieuses, je m’enquis de sa pleine coopération, l’embrassant à pleine bouche. Elle répondit à mon baiser avec empressement : sa langue cherchait la mienne, son souffle rauque ne laissait aucun doute quant à sa réceptivité. Comme si le fait d’être aveuglée et garrottée lui permettait d’exprimer librement l’excitation liée à cette situation inédite…


Deux semaines sans câlins, ça devait aussi aider !


Avant d’aller plus loin, je retirai sa petite culotte, admirant son corps nu et languissant. Je pouvais me repaître à loisir de cette vue, sans qu’elle ne puisse rien objecter. Son abandon manifeste m’ouvrait un monde de possibilité… Ma femme se disait résistante et dure au mal ? C’était l’occasion rêvée de le vérifier…


Je fis courir mes doigts sur ses cuisses, ses genoux, ses mollets, oscillant entre pincements et caresses. L’effet ne se fit pas attendre, une soudaine chair de poule hérissa son épiderme. Insensiblement, Laure écartait les jambes, espérant que mes attouchements remonteraient vers son aine. Pas si vite, poupée !


Ligotant ses chevilles avec une nouvelle sangle, la boucle de métal bien serrée contre sa peau frissonnante, je m’assurai d’elle. Ma rudesse déclencha une protestation angoissée. Laure n’était pas habituée à être traitée ainsi. Mais si je pouvais en juger par l’état de sa chatte, ce n’était pas fait pour lui déplaire… Quant à moi, je bandais comme un taureau sous stéroïdes. Toutefois, je ne comptais pas la pénétrer immédiatement. Pas avant qu’elle me supplie de le faire. Pour l’heure, elle allait bénéficier de toutes mes attentions, les pires comme les meilleures…


Je palpai son sein gauche, étirant la peau entre le pouce et l’index, puis, sans prévenir, je crochetai une pince à linge tout près de son aréole. Bien décidée à museler sa douleur, Laure serrait les dents. Une pichenette, et la pince valdingua gentiment, mordant dans les chairs. Ma chérie laissa échapper un soupir pointu.



Elle répondit par l’affirmative, un peu pâle tout de même. Tant mieux, je me voyais plus en lutineur amoureux qu’en sadique sans pitié !



J’accrochai une seconde pince à linge près de la première, puis une troisième. Laure ne disait rien ; elle soufflait doucement, comme pour exhaler la douleur. J’entrepris de décorer son autre téton. Bientôt, sa poitrine fut hérissée de tiges colorées. Empoignant la base de ses nichons, je secouais les chairs meurtries, faisant s’entrechoquer les colifichets de plastique. Petits cris endoloris de ma douce, et premiers signes de faiblesse…


On arrivait à un moment crucial : tirant sur la pointe bandée de son sein, dressée comme un pistil cramoisi au centre de l’aréole froncée, j’approchai une nouvelle pince à linge.



J’hésitai un instant, déstabilisé. Devais-je insister, la conduire aux limites de la souffrance ? Après tout, si cela devenait intolérable, elle pouvait toujours utiliser le mot magique…


J’écartai donc doucement les doigts, relâchant les mâchoires de la pince sur la pointe gorgée de sang. Laure serrait les dents, un gémissement sourd coincé au fond de la gorge. J’épinglai l’autre téton pareillement, sans qu’elle ne dise rien cette fois.


Plaçant ma main bien à plat sur son pubis, je la palpai ; elle était carrément poisseuse. Laure ondula du bassin pour m’inciter à pousser mon avantage. Son con était inhabituellement trempé. Rassuré par l’effet inédit de ce traitement, je décidai de poursuivre crescendo. Léchant la sueur qui ourlait sa lèvre supérieure, je l’embrassai longuement avant de fixer le carcan à son cou. Elle tressaillit sous la caresse du métal, sans toutefois protester. Ce soir-là, elle avait décidé de pratiquer pleinement le jeu de la soumission.


Dans ce genre de jeu, il convient d’alterner fermeté et indulgence… Aussi, avant de poursuivre ces tendres tortures, je décidai de la récompenser, tout en me faisant du bien. Nous l’avions mérité tous les deux, non ?


Enjambant son torse, je présentai mon membre à l’orée de sa bouche aveugle. Sentant l’arrondi du gland peser sur son visage, elle entrouvrit les lèvres, léchant doucement le casque humide et salé. Sucer la pointe de mon sexe ne lui suffisait pas : elle avança la tête, entreprenant de me guider au fond de sa gorge. Je m’esquivai avant qu’elle n’y parvienne, m’attirant un feulement frustré :



Mes doigts enfoncés dans sa chevelure, je propulsai alors ma bite en elle, la poignardant avec une sauvagerie soudaine, comme si j’avais baisé sa chatte. Ses gargouillis comblés m’encouragèrent à poursuivre ce traitement de choc, et je cognai donc mon membre avec enthousiasme contre ses joues, son palais, l’enfonçant dans sa gorge plus profondément encore que d’habitude. Pour corser le tout, je passai une main derrière moi et jouai avec les banderilles qui lui épinglaient les seins, provoquant des râles de plaisir et de détresse mêlés.


Il me fallut un effort violent pour ne pas me satisfaire dans la bouche de Laure, animée parfois de haut-le-cœur tant elle me prenait loin. Non ! Elle n’allait pas s’en tirer à si bon compte !


J’ôtai ma pine de son organe avide, la frustrant brusquement de mon dard en surchauffe.



Laure poussa une plainte sourde ; sa proie venait de lui échapper (tout près du but, mais ça, elle ne le savait pas encore).



Aïe ! Cette partie-là promettait d’être délicate… Tout amateur de sévices sait qu’il est bien plus douloureux de retirer une pince que de la placer. En affluant dans la chair meurtrie, le sang fait exploser la souffrance, qui flambe comme une torche.



Les mâchoires de la pince s’écartèrent à regret, libérant la pointe aplatie et violacée de son pauvre téton, sur lequel je fonçai lèvres baissées pour le suçoter. L’effet analgésique de ma bouche sur son bout ne tarda pas à se faire sentir, apaisant Laure qui poussa un soupir soulagé…



C’est qu’il n’y avait pas moyen de faire mieux, malheureusement…


Opération menée de façon identique : re-aaaAhhh à l’écartèlement des cruelles serres en plastique, et re-pshhhhhttt de son bout brasillant au contact de ma salive…


Profitant de la décontraction consécutive à cette douloureuse étape, j’attaquai la phase suivante, bille en tête. Je pris les pieds de Laure dans mes mains et poussai jusqu’à ce que ses genoux remontent bien haut sur sa poitrine enguirlandée. Puis, utilisant une nouvelle attache pour relier la boucle du collier à la sangle qui lui entravait les chevilles, je fis en sorte de la maintenir dans cette position. Deux coussins finirent de lui soulever le cul.


Le résultat était à la hauteur de mes espérances : un continent de chairs déployées et baveuses s’offrait à mes yeux. Entre les encoches de ses grandes lèvres, les pétales lisses de sa chair secrète se déployaient largement, double ourlet rougeâtre suintant de mouille. Tenant écartées les lamelles de chair entre le pouce et l’index, j’approchai mon visage de la source de son plaisir. Ça fleurait bon la femelle en rut…


Je caressai longuement son sexe avant de porter ma bouche à son clito, provoquant moult soupirs et gémissements quand je me mis à laper et taquiner la crête de chair raidie. Laure devait me trouver bien timide, car elle remuait du cul tant qu’elle pouvait (pas beaucoup, vu ses entraves) cherchant à accroître ses sensations en enfouissant mon museau dans la béance de sa chair, pressant la languette pourpre de son capuchon contre mes lèvres.



Ses geignements se bousculaient sur un rythme soutenu, accompagnant les mouvements désordonnés de ses fesses et de son bassin. Mon adorable salope était sur le point de jouir… Sans ma permission ! Ça, pas question.


Je me retirai donc de son entrecuisse, provoquant aussitôt des râles frustrés.



Et sur ces mots, elle agita sa croupe, exposant l’orifice sombre entre ses fesses ainsi que la corolle épanouie de sa vulve, dans l’espoir que ce spectacle lubrique m’inciterait à la combler. Fieffée femelle frénétique… Au lieu de la prendre, je claquai son cul du plat de la main, ce qui fit comme une détonation dans le silence de la chambre. Elle se cabra sous la brûlure soudaine de mes doigts, lesquels avaient laissé de belles marques pourpres sur son fessier.


Loin de la calmer, cet affront sembla au contraire attiser sa concupiscence. Elle se remit à onduler des hanches, me défiant de la claquer encore (ou espérant que je le ferais ?) Mes mains s’abattirent alors sur ses fesses, qui virèrent rapidement au rouge brique. Ce n’est pas par pitié que je m’arrêtai, mais parce que je commençais bel et bien à avoir les paumes en feu ! Les narines frémissantes, la bouche entrouverte, Laure haletait. N’y avais-je pas été un peu fort, pour une première fois ?



Avais-je rêvé ? Non, c’était bien Laure qui me suggérait une nouvelle méthode pour agrémenter ce traitement de choc. Je ne la reconnaissais plus du tout, elle d’habitude si classique, si rangée !


Avant de poursuivre, j’embrassai les marbrures écarlates sur le haut de ses cuisses et sur ses fesses. Son épiderme était bouillant. Après avoir tâtonné avec prudence entre les bords boursouflés de sa chatte, j’y introduisis mon index et mon majeur, les ressortant gluants.



Les yeux bandés, les mains ligotées dans le dos, les genoux écartelés de part et d’autre de la poitrine, maintenus par la sangle qui reliait ses chevilles au collier de cuir, elle était totalement à ma merci. Il lui fallait une belle dose de courage pour affronter la situation et, par-dessus le marché, une sacrée confiance pour m’encourager à la faire souffrir… Ce soir, décidément, je découvrais une toute nouvelle Laure !


J’allais la prendre au mot… d’une façon à laquelle elle ne s’attendait pas. Tirant sur les lèvres de son con pour en déplier les nymphes luisantes, je poinçonnai chaque côté de sa vulve avec trois épingles à linge. Puis, choisissant une pince plus large que les autres, j’agrafai le haut de sa fente, faisant attention à ne pas blesser son clito. À présent, son sexe ressemblait à une fleur aux pétales de plastique. Je fis jouer mes doigts au milieu de cette forêt de tiges, faisant geindre Laure sous la morsure des pinces.


Après l’avoir fait rouler sur le côté, je l’aidai à se mettre à genoux, la joue posée sur un coussin, les seins écrasés sur le matelas, la croupe cambrée de la plus impudique des façons. Elle était parfaitement positionnée pour que je la prenne en levrette. Mais non, je n’allais pas la pénétrer de suite. Je voulais d’abord la faire réagir un peu… J’assenai donc quelques coups de brosse sur son cul, les cruels picots en avant, n’hésitant pas à tourmenter son épiderme à vif. Laure tremblait de tout son corps, les globes rubiconds de ses fesses tendus vers moi, ses muscles tétanisés, sa chair malmenée et rougie par le battoir de mes mains, enfouissant la bouche dans l’oreiller pour y crier cette étrange jouissance que de se faire rudoyer ainsi.


Elle était plus que prête à présent pour la « saillie ». Je délivrai donc ses poignets et ses chevilles, la positionnant à quatre pattes sur le lit, cuisses largement écartées, dos creusé pour mieux me recevoir. Empoignant les pinces à linge, je lui écartai froidement la vulve avant d’y enfourner mon membre jusqu’à sa base, d’un seul élan. Tandis que je plongeais dans ce bonheur liquide, les griffes de plastique cliquetaient, se heurtant au rythme de mes coups de reins…


Comme à son habitude, Laure me massait les couilles, accompagnant et même guidant les mouvements de ma bite dans le fourreau de son vagin en fusion. Celui qui n’a jamais limé en se faisant palper les testicules ne connaît pas le vrai bonheur ! Chacun de mes assauts faisait trembler son cul et tressaillir les pinces. Pendant ce temps, le visage coincé au creux du bras, mon épouse émettait de délicieux petits cris. Tendu vers un unique but, je m’arc-boutai pour mieux la remplir, m’enfouissant en elle de toute la longueur de ma pine, écrasant avec mes bourses les serres plantées dans le renflement joufflu de sa motte.


N’y tenant plus, mes doigts crispés sur son cul endolori, je déchargeai enfin en longs jets de foutre. Rhaaa ! Jouir en elle, la remplir jusqu’à la dernière goutte ! Ruisselant et quelque peu hagard, je m’effondrai à ses côtés, repu de sexe et de plaisir. Je dérivais lentement dans les limbes de la fatigue post-coïtale, et je crois bien que je me serais assoupi si la pointe souple de sa langue ne m’avait tiré de cette somnolence. Blottie contre moi, Laure m’embrassait avec une passion inaccoutumée, les yeux brillants d’envie.



Joignant le geste à la parole, elle s’était emparée de ma main et l’avait glissée entre ses cuisses. Les pinces à linge étaient encore sagement en place, ce qui m’inspira aussitôt un dessein démoniaque. Du bout de l’index et du majeur, réunis en spatule, je récupérai un peu de sa mouille mélangée à ma semence et l’étalai sur le haut de sa fente, là où son bourgeon s’épanouissait dans l’attente de mes caresses. Faisant rouler sa petite fève dure et fiévreuse sous la pulpe de mes doigts gluants, je m’appliquai à lui faire du bien, provoquant moult soupirs et gémissements. Puis, juste au moment où sa main se crispait sur mon bras, ses fesses arquées à vingt bons centimètres au-dessus du lit, j’empoignai les pinces crochetées à son sexe et tirai sans ménagement.


La bouche ouverte sur un cri muet, les larmes aux yeux, Laure gigotait furieusement, sa jouissance stoppée net. Au lieu de bondir sur moi griffes en avant, elle se fit très douce, enfouissant son visage dans mon cou pour un chuchotis fébrile :



Je repris mes caresses, bloquant à chaque fois la montée de son plaisir juste avant qu’elle ne vienne, variant l’intensité de mes punitions, martyrisant tout à tour ses tétons et sa vulve. Il me semble que Laure « jouissait » autant que moi de cette quête orgasmique sans cesse interrompue.



Je me tournai sur le côté, éteignant la lumière avant de ramener le drap sur moi. Stupéfaite, Laure, un instant immobile, vint finalement se lover contre mon dos, sa cuisse au-dessus de la mienne.



Je restai insensible à ses supplications, lui conseillant simplement d’enlever les pinces à linge pour éviter un véritable calvaire au réveil. Boudeuse, Laure s’exécuta avant de s’enfermer dans la salle de bain. Éreinté par mon trajet en avion, je me laissai glisser au pays des rêves sans même attendre qu’elle sorte de la douche. Il faut croire que cette baise mémorable m’avait farci le cerveau d’idées libidineuses, car, cette nuit-là, mes songes prirent un tour éminemment érotique…


Je rêvai en particulier d’une sirène délicieusement impertinente, rencontrée au détour d’un massif corallien, au large de Cairns en Australie. Cette créature blonde aux grands yeux gris, de petite taille malgré sa longue nageoire caudale, en avait après mon chibre glorieusement bandé. Sa technique était irréprochable : je sentais très précisément la douce pression de ses lèvres sur mon braquemart, comme sculpté par ses coups de langue… Quoi de plus planant que de se faire téter la queue par une poupée amphibie, en apesanteur dans une eau turquoise à 27 degrés ? J’émergeai brutalement de ce songe… pour m’apercevoir que la scène n’était pas complètement irréelle ! Une bouche ardente était bel et bien vissée à mon membre en érection, copieusement enduit de salive et très amoureusement pompé…


Laure ! C’était bien la première fois qu’elle me prodiguait cette gâterie pendant mon sommeil ! Voyant que j’étais à nouveau vif, ma femme pivota souplement, enfouissant mon visage au creux de ses cuisses, le nez planté dans sa touffe odorante. Elle n’avait pas lâché ma bite dans la manœuvre, poursuivant sans heurt son inlassable travail de sape… Ma douce moitié m’avait rarement sucé aussi fort et aussi bien !


Dans la pénombre, son con chaud et humide se pressait contre ma bouche, cherchant à me bâillonner de la plus lubrique des façons. La senteur de sa mouille me remplissait les narines, mêlée à une touche plus poivrée, animale, trahissant la fureur de ses envies. Je refermai mes bras sur ses reins, faisant fléchir son bas-ventre contre mon torse, aplatissant sa poitrine sur mon aine. Face à moi, ses fesses s’étaient ouvertes comme la mer rouge devant Moïse. Je glissai une main fébrile vers les chairs luisantes de ma chère débauchée, avide de la pénétrer par tous les trous. Ruant en elle, j’enfournai ma pine au fond de sa gorge, mes doigts dans sa chatte et dans son cul. Véritable « multiprise » organique, électrisée par 220 volts de luxure, Laure s’agitait comme une diablesse, pompant tout à la fois en elle mon dard et mes doigts…


Comme affolée par ce traitement de cheval, bondissant de la croupe sous mes rudes assauts, ma moitié appréciait chaque centimètre de phalange fouisseuse plongé dans ses entrailles en folie. Ôtant soudain le pouce et l’index de ses orifices visqueux, je l’attrapai par les fesses et la tirai violemment à ma bouche, léchant tout ce que je pouvais d’elle au passage, tandis qu’un peu plus bas elle faisait de même. Nous n’étions plus que deux mécaniques emboîtées tête-bêche, suçant, léchant, broutant tout ce qui tombait sous nos doigts et nos langues déchaînées… Je découvrais à cet instant qu’il n’y a pas femelle plus délurée et avide que celle délibérément privée d’orgasme !


Avec des grognements muselés par la longueur de mon sexe, ma docile petite pute pressait sa languette de chair contre ma bouche, en poussées spasmodiques. Je la capturais par instant entre mes lèvres, aspirant avec brutalité ce clito gonflé, jusqu’à arracher de véritables cris de douleur à Laure, à l’agonie du désir. Elle s’interrompait alors quelques secondes, avant de replonger aussitôt sur ma bite, l’enfournant en elle avec violence pour mon plus grand bonheur.


C’était mon tour à présent de donner des coups de reins désordonnés, mon gland doucement choyé au fond de sa bouche, mes couilles télégraphiant des S.O.S. à mon cerveau… Je bloquai soudain ma verge aux tréfonds de sa gorge, ses joues plaquées contre ma colonne de chair, et là, béatement, j’éjaculai des litres de semence dans ce puits de douceur. Lorsqu’elle eut tout avalé, tout bien léché, ma bite pulsant encore dans sa main docile, Laure se cambra en arrière, échevelée, me demandant d’une petite voix inquiète :



Constatant que je ne daignais plus gougnouter sa mignonne petite fente écarlate d’excitation, elle se retourna pour me faire face, passablement énervée…



Laure était très belle en colère, écartelée entre désir et frustration… Mais je ne pouvais me permettre de paraître faible. Notre petit jeu n’était pas terminé. Médusée par mon attitude, et surtout ce mépris flagrant pour ses besoins de femme, elle se rallongea en me tournant ostensiblement le dos. Quelques minutes plus tard, épuisée et déboussolée, elle éclatait en sanglots, avant de chercher le réconfort de mes bras.



Ma femme poussa un long soupir. Puis, timidement, elle se lova contre mon torse, tout en poussant doucement ses fesses vers mon bassin. Mon membre flaccide ne lui laissait rien espérer avant quelques heures. Nos souffles s’accordèrent et, peu à peu, nous nous engourdîmes.


Juste avant de s’endormir, elle murmura dans un souffle :