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Temps de lecture estimé : 15 mn
13/08/12
Résumé:  Julien est amoureux d'Isabelle, mais quelles sont les relations de celle-ci avec Simone ?
Critères:  fh ffh fbi vacances hotel voyage amour voir fellation cunnilingu pénétratio -amourpass -couple+f
Auteur : Filou      Envoi mini-message
Embrouilles à Marrakech

Au loin je commençais à distinguer les remparts en terre fauve de la capitale du pays berbère. La route étaient encombrée de chaque côté d’une quantité incroyable de charrettes tirées par des ânes, de carrioles primitives poussées par des enfants et de nombreux piétons en djellaba. À chaque fois que notre bus croisait un autre véhicule, il devait mordre sur le côté droit en faisant fuir ce flot humain à coups de klaxon. Étant l’accompagnateur du groupe, j’étais assis devant, à côté du chauffeur, et étais le spectateur de ce singulier spectacle. Incroyable ! Tout se passait parfaitement bien, sans accident ; c’était normal !


Finalement ce circuit se terminait, j’étais parti voilà huit jours et je rentrais à Marrakech où j’étais basé au Club pour toute la saison. Je devrais avoir quelques jours de libre, car le prochain circuit ne repartait que la semaine prochaine. Le groupe que j’accompagnais avait été pénible et j’avais hâte de revoir mes amis qui travaillaient comme moi dans ce superbe club de vacances situé juste à côté de la fameuse place Jema el Fna.


Le soir même à l’apéritif, je retrouvai Stefano mon meilleur ami « gay de son état » qui me faisait toujours mourir de rire, un jour il m’avait déclaré que j’étais son seul copain homme. Lui aussi travaillait comme accompagnateur touristique et lui aussi était en période de repos.

Après quelques échanges sur nos expériences professionnelles récentes, il commença à me poser des questions sur un client qui venait de faire le circuit avec moi. Il était sûr que lui aussi était gay et que les deux filles qui voyageaient avec lui étaient lesbiennes. Pour lui le monde entier était peuplé de personnes avec une sexualité ambiguë. Effectivement ce client, dont me parlait Stefano, pouvait être gay maintenant que j’y pensais ; il était très érudit en art, un peu précieux, il s’appelait Pierre et était indéniablement un beau garçon.



Isabelle était très jolie, c’était une grande fille blonde avec des cheveux courts coiffés à la garçonne, un visage un peu long, un très joli nez bien proportionné et de grands yeux bleu-foncé. Le plus impressionnant, c’était ses jambes, longues et fines, par contre elle semblait avoir très peu de poitrine. Simone, elle, était plus quelconque, une brune de taille moyenne qui, sans être corpulente, avait des formes très féminines, un visage avec un nez un peu aquilin et des yeux sombres. Avant d’en parler avec Stefano, je n’avais pas pensé à elles en ces termes et avec ses allusions, je me les imaginais dans des situations érotiques.


Nous nous retrouvâmes à table pour le dîner. Grâce à mes soins, Stefano était assis à côté de Pierre et moi entre les deux filles. Rapidement, le vin aidant, Stefano anima le repas avec ses blagues, pour lui, nous étions tous des « pauvres filles ». Quand je déclarai que je croyais Pierre avec Isabelle et Simone leur amie, tous trois se mirent à rire sans nous préciser exactement quelles étaient exactement leurs rapports. Je remarquai que Pierre, lui aussi, était très intéressé par Stefano. Arrivé au dessert, ils parlaient entre eux en ignorant un peu le reste du groupe. Moi, je n’avais d’yeux que pour Isabelle maintenant qu’elle devenait une possible conquête.



Et nous voilà affalés dans les coussins dorés et argentés dans le pur « style Marocain pour touristes » disposés autour du bar. Stefano et Pierre ne se cachaient plus, ils parlaient entre eux en intimité et je crois même qu’ils se tenaient la main.


Simone, qui était assise à ma droite, mit la main sur mon épaule et me demanda ce que l’on pouvait faire tous les trois, le spectacle du club ne les attirait pas Pierre et Stefano ne viendraient certainement pas avec nous, vu la tournure que prenait leur soirée.



Pendant quelque temps nous déambulâmes sur la place Djemaa el Fna au milieu d’une effusion de sons, de lumières et d’odeurs qui, comme à chaque fois qu’on la traversait, vous projetait dans un autre monde. Puis nous nous engageâmes dans les ruelles du souk toujours très illuminées, je tenais par la main les deux filles car elles ne semblaient pas très rassurées et se laissaient traîner et guider au milieu des échoppes. Nous arrivâmes chez Mohamed qui tenait un petit café et surtout le magasin de tapis où j’emmenais mes clients, je crois que la moitié des marocains s’appellent Mohamed !



Toujours les mêmes blagues, mais cela avait fait sourire mes compagnes, il nous installa autour d’une petite table basse et je commandai une pipe à eau ou « chicha » et trois thés. De la musique marocaine sortait par des haut-parleurs dissimulés derrière des tentures, je tenais toujours la main d’Isabelle et elle ne me faisait pas signe de vouloir la retirer.


On papota de tout et de rien, mais après quelques temps, Simone qui semblait être curieuse, commença à me poser des questions sur mon mode de vie si différent du leur, par contre Isabelle restait silencieuse mais de temps en temps, je sentais quelques pressions dans ma main. Mon cœur commença à s’emballer et je pensais aux possibilités pour la suite de la soirée, mais avant, il fallait que je clarifie les choses.



Elles éclatèrent de rire… Simone me regarda dans les yeux et me déclara de façon très directe.



Je me tournai vers Isabelle, elle me sourit en haussant les épaules sans rien dire tout en continuant à me regarder. J’étais estomaqué et je ne savais que faire.



Je les regardai d’un air surpris, elles souriaient en se moquant un peu de moi. Je me tournai vers Isabelle, mis ma main sur son cou et lui dit :



Sur le chemin du retour, je commençai à me poser des questions sur les relations qui liaient ces deux filles, peut-être me trompai-je et qu’en étant de grandes amies, elles ne se cachaient rien ? En attendant je sentais mon désir monter à l’idée que dans quelque temps, je pourrai déshabiller et caresser cette « superbe plante ». Après avoir salué Simone sur le pas de la porte de sa chambre, nous nous dirigeâmes vers la mienne et déjà mes mains commencèrent à se balader sur son corps et ses jambes magnifiques. Deux ou trois fois avant d’arriver, nous échangeâmes de longs baisers mouillés et nos étreintes se firent de plus en plus enflammées. Arrivés dans ma chambre, elle fureta un peu en observant les lieux.



J’aime l’ordre et j’avais récupéré la chambre d’une ancienne accompagnatrice qui m’avait laissé ses tentures, coussins et bibelots qu’elle avait achetés dans les souks ; la pièce était vraiment très agréable et chaleureuse. J’allumai deux petites lampes d’ambiance, m’assis sur le lit et fixai Isabelle qui était restée debout. Elle portait un petit top un peu transparent très serré qui lui arrivait au-dessus du nombril, un soutien-gorge sans bretelles qui n’avait pas grand-chose à soutenir, une jupe très courte et des sandales à talons qui allongeaient encore ses jambes interminables.


Je me levai, la pris dans mes bras et la renversai sur le lit, nos bouches ne se quittaient plus et ma main commença à remonter sur sa cuisse jusqu’au bord de sa culotte très échancrée, elle glissa vers son intimité. Je sentis une grande chaleur à travers le tissu et rapidement mon doigt, se glissant dessous, vint caresser ses grandes lèvres, déjà très humides, au milieu de poils fins et soyeux.


Je me relevai, lui soulevai sa jupe et lui écartai un peu sa culotte blanche en dentelle, sa toison était très claire et soigneusement entretenue, je voyais sur les côtés, la peau plus sombre où elle s’était épilée. Ses petites lèvres de couleur plus obscure ressortaient un peu, je les ouvris pour apercevoir l’intérieur qui était d’un rose pâle très invitant. Tout en observant ce puits d’amour que je caressais, je sentais mon sexe rigide comprimé dans mon caleçon. D’un commun accord, nous retirâmes nos vêtements qui atterrirent sur le plancher. Elle garda son top, car elle n’eut pas le temps de l’enlever et je m’allongeai sur elle en la pénétrant.



Ses mains rythmaient mes va-et-vient et rapidement je m’épandis en elle. Comme souvent avec les femmes, je n’avais pas bien compris si elle aussi avait eu un orgasme ? En tout cas, elle semblait apaisée. Nous restâmes quelque temps allongés dans la pénombre, sans parler, on entendait le souffle et les vibrations de la climatisation.



Elle avait très peu de poitrine, mais ses pointes étaient proéminentes et se raidissaient sous mes caresses. Je relevai son petit vêtement et pris ses mamelons dans ma bouche, tandis que j’introduisais un doigt dans son intimité, son corps commença à se contorsionner et elle me dit :



Elle se mit à quatre pattes et tendit ses fesses vers moi. Mon sexe reprit toute sa raideur, je m’introduisis en elle et entamai un va-et-vient, elle glissa sa main entre ses cuisses et commença à se masturber. Au-dessus de mon vit, qui allait et venait, je voyais son anus plissé et un peu de sa toison qui y finissait avec quelques poils clairs. Quand je voulu y introduire mon index, elle se déroba violemment en se couchant sur le côté.



Nous reprîmes notre position et quelques minutes plus tard, je vins en elle. Nous nous écroulâmes l’un sur l’autre, rassasié de nos corps. Nous primes une douche et je lui demandai si elle voulait dormir avec moi ?



Nous parlâmes encore longtemps jusqu’à ce que sommeil nous prenne enlacés l’un à l’autre. Le matin, je fis une chose incroyable : je lui portai son petit-déjeuner au lit. Tous les animateurs, que je croisais entre le restaurant et ma chambre, plaisantèrent en me voyant avec mon plateau. Isabelle me plaisait vraiment et, une fois de plus, j’étais amoureux !


Plus tard, à son départ de la chambre, nous nous donnâmes rendez-vous autour de la piscine de la Palmeraie. Je passai un instant au bureau excursion pour vérifier mon emploi du temps avec Géraldine, ma responsable.



Incroyable ! Presque une semaine de libre à faire le touriste et surtout, Isabelle restait jusqu’au dimanche suivant. Je pris la navette pour la Palmeraie le cœur léger.


La Palmeraie était l’annexe du club, située au milieu d’une forêt de palmiers-dattiers, on y trouvait le restaurant pour le midi, une piscine, des cours de tennis et le ranch pour l’équitation. Nous traversâmes certains quartiers miséreux de la ville et comme toujours, je ressentis un peu de culpabilité de vivre dans ce luxe au milieu de cette pauvreté. Sur le chemin, on traversait une petite rivière d’une saleté repoussante où coulaient quelques filets d’eau, quelques femmes tentaient d’y laver leur linge. Arrivés à la Palmeraie, c’était autre chose, les décors y étaient enchanteurs, le vert de la végétation contrastait avec la couleur ocre de la terre et dans le fond, l’Atlas avec ses hautes montagnes enneigés. C’était d’une beauté à couper le souffle !


J’y retrouvai Simone, Pierre, Stefano et Isabelle qui m’accueillit avec un grand sourire et un petit baiser sur la bouche, comme un couple qui se retrouve…



Je parlai un peu l’italien et j’en profitai pour le faire savoir à Isabelle.



C’est vrai qu’Isabelle en maillot de bain, c’était quelque chose ! Elle portait un bikini blanc, deux-pièces, échancré, qui lui allongeait encore les jambes. Elle était déjà bronzée et cela contrastait avec la pâleur de Simone qui, elle, était vêtue d’un maillot une-pièce noir, contenant avec peine une poitrine généreuse. Elle avait tiré ses cheveux en queue-de-cheval, ce qui lui affinait le visage, malgré ses jambes un peu courtes, bien modelées, elle avait décidément des formes très féminines.


Nous passâmes une grande partie de la journée à nous baigner, discuter rigoler et manger.

Après une soirée similaire à la précédente nous nous retrouvâmes avec Isabelle dans ma chambre pour une autre nuit des plus sensuelles.


Le jour suivant, je louai une 4L et l’emmenai visiter la vallée de l’Ourika. Cette vallée située à 30 km de Marrakech s’engouffre progressivement dans le Haut-Atlas marocain et offre des paysages magnifiques. Nous nous arrêtâmes dans un restaurant que je connaissais et la bouteille de vin vide aidant, j’en vins finalement à lui poser les questions qui me tracassaient.



Je restai un peu sans voix.



Mes idées étaient confuses, si j’étais amoureux d’elle, je ne pouvais pas souhaiter la partager, mais un « plan à trois », ça n’arrive pas tous les jours…



Nous repartîmes pour Marrakech en laissant derrière nous cet échange ambigu, ou tout du moins nous fîmes semblant.


La musique de la discothèque était assourdissante, nous étions tout le groupe affalés dans les fauteuils et c’était très difficile de se faire entendre. Simone se leva avec Stefano pour aller danser. Isabelle me prit la main, cala sa tête contre moi et me demanda :



J’avais du mal à l’entendre avec le bruit assourdissant de la musique et je collai mon oreille contre sa bouche.



Ça y est, on y était !



Bien sûr l’idée faisait déjà son chemin dans mon esprit et je sentis mon sexe qui commençait déjà à se tendre.



Et nous voilà tous les trois dans ma chambre, un peu empruntés, ne sachant que faire. Isabelle portait une petite robe blanche très simple, courte, cintrée à la taille et sans manche. Elle était ravissante, je la pris dans mes bras et commençai à l’embrasser avec passion. Simone s’était installée dans le fauteuil à côté du lit. Isabelle se retourna et je fis coulisser sa fermeture éclair, la robe glissa par terre révélant une parure slip et soutien-gorge très sexy. Avec son aide, mes vêtements rejoignirent les siens et, à ma grande surprise, elle s’assit sur le lit, prit mon sexe dans sa bouche et commença une fellation douce, mais décidée. Je ne pouvais pas m’empêcher de regarder Simone qui nous fixait avec attention, elle portait une jupe noire très serrée et un top avec de fines bretelles qui moulait son opulente poitrine. Elle semblait hypnotisée par le spectacle.


Lâchant mon sexe, Isabelle se retourna et s’agenouilla sur le lit, la tête enfouie dans un coussin. Avec mes deux mains, je baissai sa culotte sur ses jambes, découvrant son divin derrière. Je commençai à lui lécher sa vulve déjà très humide sans oublier son petit trou étoilé qui s’ouvrait quand j’écartai ses fesses avec mes mains. Après quelques minutes de cet exercice, elle se releva et retira complètement son soutien-gorge et son slip qui était resté baissé à mi-jambe. Elle me fit signe de m’allonger et vint, me faisant face, s’empaler sur mon sexe dressé. Elle commença ses va-et-vient pendant que j’empoignai avec vigueur ses fesses ou ses petits seins fermes.


Je regardai Simone qui avait relevé sa jupe autour de sa taille, enfoui sa main sous son slip noir et se masturbait doucement.



Seulement regarder, mon œil ! Elle aussi voulait profiter d’Isabelle et dans le fond, pourquoi pas ! J’avais envie de voir ses seins qui m’intriguaient. Isabelle lui fit signe de la main de s’approcher. Elle se leva, ôta rapidement tous ses vêtements et vint s’asseoir près de nous, adossée à la tête de lit. Le spectacle était des plus lubrique, son sexe était complètement épilé, à part quelques poils qui dessinaient une petite ligne sur son pubis proéminent, sa poitrine volumineuse avec de larges aréoles sombres tombait un peu sur son torse, la couleur laiteuse était striée de veines plus sombres. Elle se pencha vers Isabelle et commença à l’embrasser à pleine bouche, son vagin que sa main masturbait de plus en plus vite, se rapprocha de mon visage, ses petites lèvres turgescentes étaient abondamment mouillées et j’avais de grandes difficultés à résister à l’envie de la toucher. Mes mains se crispèrent sur les fesses de ma compagne et j’éjaculai en elle.



Je m’éloignai sur le bord du lit et regardai Simone s’allonger sur elle, pressant ses seins sur son torse et enfouissant sa main dans son intimité. Isabelle écarta largement les jambes pour me faire profiter du spectacle, leurs bouches et leurs langues se mélangeaient furieusement. Quelques instants plus tard, Simone lâcha la bouche d’Isabelle pour lui lécher la vulve avec passion, tout en continuant à se masturber. Par la force des choses, ses fesses rebondies s’approchèrent de moi mais j’eus la force de ne pas les saisir entre mes mains. Isabelle me fixait toujours et je crus voir un soulagement dans ses yeux au moment où le corps de Simone se cabra quand lui vint son orgasme.


Elle vint vers moi, m’invita à m’allonger sur elle et à la pénétrer de nouveau, mon visage se colla dans son coup gracile où je l’embrassai ardemment. Après quelques va-et-vient furieux nous fumes, tous les deux, secoué par la jouissance. Quelques minutes plus tard, Simone se rhabilla, vint vers moi et me donna un petit baiser sur la bouche.



Elle sortit de la chambre avec un petit signe et un sourire coquin. Nous restâmes quelques temps en silence étendus l’un à côté de l’autre. J’étais un peu gêné par cette expérience qui dépassait de beaucoup mes fantasmes

Elle me prit la main et me déclara :



Elle se blottit contre moi et nous parlâmes une bonne partie de la nuit de tout et de rien.

Le matin nous trouva enlacés sans aucune envie de se détacher l’un de l’autre.


Dans quelques jours elle partira et je sentais que je ferai tout pour chercher à la revoir et j’espérais que cela serait réciproque !