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n° 15109Fiche technique38632 caractères38632
Temps de lecture estimé : 22 mn
15/08/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  Me voilà pris dans un tourbillon dont je ne suis pas le centre...
Critères:  fh collègues travail hsoumis fdomine pénétratio fsodo hdanus hgode hsodo sm confession -hsoumisaf
Auteur : Lino_gussis            Envoi mini-message
Esprit comptable

Un poste à responsabilités, voilà ce dont j’ai toujours rêvé.


Maintenant c’est fait, j’ai des responsabilités, je dirige une équipe de main de fer, j’ai la totale maîtrise de mon environnement, je suis respecté par le reste de l’entreprise, je le crois. Je suis un mélange aigre-doux, facilitant le dialogue avec les gens qui m’entourent en me montrant sympathique, mais me montrant intraitable dans le travail, pointilleux et méthodique. Mes « gens », comme je les appelle, me font confiance et font ce que je leur demande avec complaisance et motivation, peut-être parce que je ne leur ordonne pas, justement, je leur demande, ou alors peut-être parce qu’ils savent que je ne suis pas maître de mes mouvements et de mes décisions… J’ai également une hiérarchie.


Voilà à quoi je pense sur la route de l’entrepôt. L’entrepôt, j’y vais avec Caroline, la comptable-gestionnaire de mon entreprise, elle ne fait pas partie de mon équipe mais est en quelque sorte une de mes subordonnées. Je lui ai proposé d’aller faire le point sur le mobilier en mauvais état afin de décider de quels meubles nous allions nous séparer.


Été chaud et humide, moment où les effectifs sont au plus bas, c’est le moment que j’ai saisi afin d’assainir l’entreprise en faisant le vide… c’est le but de ma visite… le seul, je vous le promets ! J’ai une vie bien rangée et ne suis pas en quête d’aventure comme, par exemple, avec une comptable, dans un entrepôt… mais bon, cela ne m’a pas empêché d’y penser hier soir… sans grande précision, sans grande conviction, mais bon, si jamais je lui avais plu ? Qu’elle tente quelque chose ? Pensées complètement irréalistes, balayées d’un sourire, presque de regret.


Nous ouvrons la lourde porte battante qui mène à l’entrepôt. Caroline se dirige vers l’interrupteur et l’actionne. Une grande pièce se tient devant nous, occupée par un nombreux mobilier. Je m’avance dans un des couloirs formé par des armoires et commence à scruter chaque parcelle de métal à la recherche de défaut, de mobilier à réformer. Je croise son regard, elle le soutient, me pénètre presque avec, je le soutiens également, le temps d’un instant, elle baisse les yeux… voulait-elle me demander quelque chose ? Pourquoi ce rouge sur ses joues ? Est-elle gênée ? Je sens du coup le rouge monter en moi également, je ne suis pas à l’aise… je continue ma besogne. Nous listons doucement les meubles défectueux, inlassablement, je m’arrange pour ne plus croiser son regard, fait-elle de même ?


Finalement, je me décide à la regarder de nouveau, au cas où. Elle est en train de me regarder, elle maintient son regard vers moi, me transperce de nouveau. Ce coup-ci, je baisse le regard le premier, et l’entend murmurer :



Serait-ce une bataille ? Une confrontation ? Vient-elle de gagner sa revanche après la première cuisante défaite de tout à l’heure.

C’est sûr, cette fois-ci c’est moi le plus gêné…


Je regarde le listing tout en repensant à ce petit jeu… je lui tourne le dos, je l’entends se rapprocher, je sens presque son souffle sur mon dos à travers ma chemise, j’entends son cœur battre, c’est peut-être le mien finalement. L’attente est insupportable, je la sens proche de moi mais ne la vois pas, quel est ce jeu ? Je me retourne, elle est là, plantée devant moi, elle sent bon, me regarde droit dans les yeux. Un défi ? Elle maintient le regard, qui est-elle pour faire cela ? Je suis supérieur hiérarchiquement, je ne la connais pas, nous ne sommes pas amis, nous n’entretenons que des relations purement professionnelles. Je maintiens également mon regard. Elle n’abdique pas, au contraire, elle intensifie son attention, je ne céderai pas non plus. C’est décidé, je gagnerai la belle.


Cet instant dure depuis de longues secondes quand soudain elle approche son visage vers le mien, glisse une main derrière ma tête pour me faire plier vers elle, ses lèvres restent en suspens devant les miennes, je sens sa respiration rafraîchir le devant de ma bouche, elle franchit les derniers centimètres qui nous séparent. Ses lèvres se posent délicatement sur les miennes. Je n’avais jamais embrassé du velours si doux. Je sens sa langue pointer vers moi et s’introduire entre mes lèvres tel un couteau, elle est pointue, douce et délicate. Commence alors un balai, sensuel et intense, nos langues s’entremêlant l’une à l’autre dans un rythme irrégulier. Je décide de poser ma main sur son ventre, et la fais glisser le long de sa chemise, rentrant par le pan formé par deux de ses boutons de chemisier. Je sens sa peau sous mes doigts, elle est douce également, glisse jusqu’à son dos et l’attire vers moi. Elle se colle délicatement contre mon corps tout en maintenant son embrassade langoureuse.


C’est maintenant que je me rends compte de ce que je suis en train de faire. Relation qui s’annonce complexe, source de problèmes, relation impossible finalement, pour moi, mais également pour elle. Je la repousse délicatement mais fermement hors de ma portée. Que suis-je en train de faire ? Avec la comptable, belle certes, mais comptable quand même.



Une larme naît au coin de son œil, une mine triste se dessine sur son visage. Je suis tiraillé entre un sentiment de culpabilité et de pitié. Je ne peux pas la laisser se décomposer devant moi, comme ça. Mais si je la console, j’aurais perdu, c’est sûr, je serais pris dans les mailles de son filet. Je ne pourrais que m’attendrir et céder à cette douce personne. Je décide finalement de la prendre par ses épaules et la serre contre moi, piège classique de la pleureuse, elle est victorieuse, c’est sûr.

Finalement ce ne serait pas si mal de perdre sur ce coup-là.


Elle lève sa tête et me tend ses lèvres à nouveau, et moi, tel le vaincu, me baisse et part à la rencontre de sa bouche. Le baiser se fait encore plus langoureux que le précédent, je sens sa langue s’immiscer en moi, me fouiller jouer avec la mienne elle passe ses bras sur mes épaules et me serre de plus en plus fort contre elle, caroline est triomphante dans ce duel, je n’ai pas beaucoup résisté, j’attends ma sentence… avec impatience.


Mes mains sur ses hanches, fines, je tente la même approche que tout à l’heure, glisse mes doigts dans sa chemise, caresse son dos, monte et descend en la chatouillant délicatement. Elle frissonne, elle descend également ses mains tout en ouvrant ma chemise, bouton par bouton. Elle se recule légèrement et fait tomber mon vêtement sur le sol. J’essaie de m’attaquer à son chemisier mais j’essuie des refus répétitifs. De ses mains, elle chasse littéralement les miennes, prenant l’initiative et m’empêchant de la rattraper dans l’effeuillage.



Elle s’attaque directement à ma ceinture, la défait avec une dextérité incroyable, et fait glisser mon pantalon au sol, elle commence à m’embrasser le torse puis descend vers la zone « rouge ». Elle est agenouillée face à mon membre, ô combien tendu, saisit le côté de mon boxer de ses doigts fins et le fait descendre, libérant « la bête » droite et fière juste au niveau de son visage. Elle esquisse un sourire, tout en se relevant. Elle se place derrière moi, debout, sa main se dirigeant doucement vers mon membre. Elle le saisit et commence un doux va-et-vient.



Elle continue son va-et-vient, l’intensifie, l’accélère, je ne peux plus me retenir, je jouis rapidement libérant ma semence au sol.

Elle me caresse encore un court instant, se détache de moi.



Elle sort un petit mouchoir et se baisse pour essuyer ma semence au sol, en se relevant elle plie le bout de tissu en quatre et le glisse dans sa poche avant de s’éloigner



Elle disparaît derrière la porte et me laisse seul, nu et sous le choc…




---oooOOOooo---




Un mail sur ma messagerie.


Merci de m’avoir permis de gagner ce pari, la récompense est à la hauteur du pari, finalement j’ai gagné deux fois, un nouveau jouet : vous et en plus la récompense de Clara. Merci infiniment.

D’ailleurs pour vous remercier j’aimerais que vous m’invitiez à prendre un verre ce soir à l’Exodus, venez pour 22 h, ce sera parfait.

Je vous ferai profiter du « Clara’s present ».

@ce soir

Caro


Ma réponse :


Je suis désolé mais je ne pourrai pas venir ce soir, je n’ai pas le temps de m’organiser, et je ne suis pas sûr que ce soit bon pour nous de continuer ce jeu…

Merci encore pour l’autre fois, c’était certes bizarre, mais très plaisant tout de même.

J’espère ne pas trop te blesser et à bientôt dans les couloirs.

Bises

Hugo


Sa réponse… presque immédiate… comme si elle y avait déjà répondu avant :


Je t’ai déjà dit que c’était « VOUS » avec moi, et si… tu viendras ce soir… tu veux prendre le pari ?

Si tu n’en es pas totalement convaincu, regarde la pièce jointe.

Tkt pas, cela ne sera pas désagréable… au contraire.

@ce soir

Caro


J’ouvre la pièce jointe et j’aperçois une photo d’une petite pochette plastique entrouverte avec un joli petit bout de tissu plié en quatre dedans.

Là, je me suis bien fait avoir, elle peut l’utiliser à sa guise ce mouchoir… même m’accuser de viol ou un truc comme cela… et, dans le meilleur des cas, même si ses accusations n’étaient pas recevables, cela ruinerait beaucoup trop de choses dans ma vie, dans ma carrière…


Va falloir coopérer en attendant…




---oooOOOooo---




Une salle bondée, je traverse la salle presque à la nage, je l’aperçois assise à une table seule dans un coin, sur une banquette.

Elle me voit, me sourit, se lève, vient m’enlacer et m’embrasse aussi sec. Nous ressemblons à un jeune couple encore passionné qui se retrouve après plusieurs jours de séparation.


Elle s’assoit, je m’assois. Elle me regarde fixement.



Un verre, deux verres, puis trois et quatre… Les conversations sont légères, sans but précis, on rigole même, finalement la prise en otage se passe bien, c’est même agréable. À quand le syndrome de Stockholm ?



Je ferme les yeux et lui tends la main, elle y dépose quelque chose de léger, doux, soyeux, serait-ce déjà ma libération, le mouchoir ?

J’ouvre les yeux… une petite culotte !



Nous dansons, nous nous frôlons de temps en temps, nos corps se touchent, se séparent, elle m’enlace, elle m’embrasse même, parfois. Elle s’éloigne en direction des toilettes, elle ne reviendra pas.

Je m’écarte de la piste de danse en l’attendant, une demi-heure. Je regarde mon portable : 1 h, je suis fatigué. Elle se joue de moi, c’est sûr, elle accroît sa domination en m’abandonnant ici, seul comme un con.

Je sors du bar, légèrement énervé, comme vous pouvez l’imaginer. Elle est là, devant dans sa voiture, visiblement elle m’attend.



Je suis dans son lit, j’attends depuis dix minutes que madame veuille bien venir se coucher et enfin me donner son « présent ». J’aperçois sa main par l’ouverture de la porte, toucher l’interrupteur, il fait noir j’ai du mal à distinguer sa silhouette, elle s’approche. Bon, ben finalement, le cadeau, je vais le recevoir mais ne le verrai pas, c’est bien quand même ; même si j’aurais bien voulu admirer son corps qui sous les vêtements, apparaît tout simplement parfait, j’aurais pu ainsi confirmer mes espoirs…


Elle se glisse à côté de moi, elle est déjà nue, je le sens de mes mains, elle se dirige droit vers mon caleçon et le baisse presque frénétiquement. Décidemment, elle n’a pas l’air d’aimer les préliminaires… Nous nous retrouvons nus, l’un contre l’autre, elle a changé de parfum, je le sens, sa peau est si douce, elle m’embrasse tellement fougueusement, différemment, elle me mordille les lèvres, joue avec mes sens… Elle me caresse délicatement, prend en main mon sexe et commence les va-et-vient. Je lui caresse les seins, je descends le long de son ventre, lui écarte délicatement les cuisses et viens titiller tout doucement son bouton de joie, la récompense est à la hauteur de mes espérances.


D’un mouvement sec elle se retrouve à califourchon sur moi, se repositionne juste au-dessus de la partie la plus ferme de mon corps. Elle le présente sur la partie la plus douce de son corps, et d’un gémissement, que je ne lui connaissais pas s’empale sur moi jusqu’au plus profond de son corps.


Commencent alors des mouvements amples, sensuels, réguliers. La sensation est intense, c’est si bon ! À ce rythme, je ne vais pas tenir longtemps, je vais paraître tel le jeune précoce qui ne sait pas se maîtriser, il faut que je reprenne le dessus, et vite.


Elle continue ses mouvements assassins. Je lui montre mon intention de la faire basculer sur le côté mais évidemment, j’essuie un refus. Décidemment, elle aime vraiment diriger les opérations.

Un bruit vers la porte ? Ne serions-nous pas seul ? Je tourne la tête vers la porte, la lumière s’allume. Je plisse les yeux, ébloui par cette lumière aveuglante. Caroline, debout dans ses vêtements. Je ne comprends plus, je retourne la tête vers ma partenaire que je croyais être Caroline, c’est Clara, en pleine exécution de sa récompense…


Décidée, elle imprime encore plus de rythme. Je ne saisis pas tout sur le coup, il est urgent d’attendre. Son souffle est haletant, elle m’inonde, elle jouit, je vais jouir également. Je n’avais jamais remarqué qu’elle aussi était si belle. J’explose littéralement en elle. Clara, quelle surprise ! D’un râle satisfait, elle s’effondre sur moi, la moiteur de nos corps se mélange… elle imprime quelques petits mouvement afin de conclure cet ébat, je suis déboussolé…



Elle tourne les talons, et va dans une pièce voisine, Clara se lève également sans me regarder et disparaît également, me laissant seul avec ma stupéfaction…


Je me rhabille et rentre chez moi à pieds… 1 h 30 de marche, quand même !




---oooOOOooo---




Je suis dans le salon, bien assis dans ce doux et délicat fauteuil de velours. Elle est debout, face à moi, son regard est malicieux comme à son habitude. Caroline est belle, mais là, elle est encore plus belle. Du bas vers le haut, elle est habillée avec élégance, goût, sensualité. C’est clair, ce coup-ci je fonds.


Des petites bottines noires, terminant à mi-cheville, la surélèvent à l’infini grâce à des talons vertigineux. Ses longues jambes sont couvertes de bas fins, transparents, gommant certainement les légères imperfections de sa peau. Elles sont, du coup, parfaites, longues, entrecoupées de genoux tout simplement irréprochables. Ce n’est qu’en remontant très haut sur ses cuisses, qu’il m’est possible de distinguer, partiellement, une couture de dentelle noire aux motifs soignés. Ces jambes se finissent sous le jupon ample de sa robe blanche. Plusieurs jupons très aériens viennent s’empiler les uns sur les autres donnant un volume incroyable avant de se resserrer au niveau de la taille de guêpe. La divine robe est bustier, gonflant sa poitrine, presque à la manière des robes du 18ème siècle, mettant en valeur n’importe quel buste opulent de l’époque. Ses épaules sont complètement nues, fines, et d’un aspect doux, comme il n’est pas permis de voir, j’ai désir d’en manger un morceau. Ses bras, nus également, sont agrémentés de deux bracelets de tissu noir, tels des petits rubans entourant un précieux cadeau. Son maquillage est un mélange de couleurs claires et foncées, tel son rouge à lèvre, quasiment noir, ainsi que le trait de liner foncé sous ses yeux. Elle est un doux mélange, d’un ange et d’un diable des ténèbres. C’est sûr, je suis prêt à m’enfoncer dans ses abysses…


Elle me fait me lever, puis attrape le col de ma chemise et me tire vers le bas, je suis à genoux devant ce démon. Elle sait déjà qu’elle aura toute autorité sur moi. Elle approche son visage près du mien en se penchant, j’aperçois dans son décolleté la naissance de ses seins. Un tunnel s’ouvre à moi, j’ai envie d’y plonger, de m’y engouffrer. Ses lèvres sont proches des miennes, je sens cette légère brise rafraîchir les miennes, je respire son parfum sucré. Son souffle se fait de plus en plus haletant, elle n’a pas l’habitude de cette position. Le trac, c’est sûr ! C’est une première pour elle, je suis son premier jouet, je suis ravi de tenir ce rôle.


Elle prend ma place dans le fauteuil, elle se cale bien au fond et me tend un de ses pieds, me laissant apercevoir l’ombre de sa culotte, que je ne distingue pas très bien.



Un classique, je m’approche et prends son pied délicatement, détache facilement la bride et pose sa bottine à terre. Elle me tend son deuxième pied, et je la dépose également. Je commence à caresser la plante, j’y dépose même un baiser, je sens une de ses mains sur le haut de ma tête, la maintenant sur son pied.



Elle saisit mes cheveux, dirige mon regard vers son entrejambe, écarte les jambes. J’aperçois alors distinctement une petite culotte blanche, en coton, simple et sans motif.



Je m’exécute.


Elle est de nouveau debout devant moi, je suis toujours agenouillé.



Elle se baisse et touche ses chevilles avec ses mains et, d’une très longue caresse, remonte le long de ses mollets, ses genoux, commence à effleurer le bas de ses cuisses, remonte encore, lève légèrement son jupon, atteint les deux pans de sa culotte, les saisit et la fait glisser vers le bas, laissant retomber sa robe sans que je puisse ne serait-ce qu’apercevoir l’objet de mes convoitises. Sa lingerie tombe à terre, elle se baisse de nouveau pour la ramasser et la porte à mon visage, sous mon nez. Je la respire machinalement, elle a une douce odeur, mélange de lessive et de sucre… Comment fait-elle pour être continuellement sucrée ?


Je rentre chez moi.




---oooOOOooo---




Je bosse sur un dossier important, j’ai presque fini, je reçois un message sur ma boîte pro. Je sais de qui il vient, je n’ose pas l’ouvrir. Je finis d’abord mon dossier, je reçois un deuxième message. Heureusement j’ai fini mon boulot.


Premier message :


« Clara et moi partons faire un petit footing. Mets ta tenue de sport et suis-nous à environ 5 m, ne nous parle pas, suis-nous juste, profite du spectacle et c’est tout… »


Deuxième message :


« Maintenant ! ! ! »


Je m’exécute, me change rapidement.


Cela fait cinq kilomètres que je suis ces deux beautés à cinq mètres derrière elles. Elles ont revêtu toute deux un short mettant en évidence leur formes agréables, elles ont toute deux un débardeur. Elles courent à un bon rythme qui ne me fait cependant pas trop souffrir.


Douze kilomètres, elles s’arrêtent devant le bâtiment.


Caroline s’approche de moi.



Je suis Clara dans le bâtiment, elle rentre dans le vestiaire féminin après s’être assuré qu’il soit vide. Elle me fait signe de la suivre, elle prend un sac et rentre directement dans une petite pièce adjacente, je la suis également.


La pièce est petite et séparée en deux : un sas avec un porte manteau, et une douche. Clara se tient debout devant moi, ruisselante de transpiration, elle retire ses chaussures, ses chaussettes. D’un mouvement unique et méticuleux, elle croise les bras et retire son débardeur tout en me fixant des yeux, elle attend la faute, que je dévie mon regard vers sa petite poitrine. Elle gigote et fait tomber son short à terre, je ne perdrai pas à ce jeu, je la fixe toujours du regard.


Elle met ses bras dans son dos et détache son soutien-gorge et le fait tomber négligemment à terre également, elle se retrouve quasiment nue devant moi, elle finit par un geste sec, en faisant tomber son slip au sol.



Je m’exécute, sans me mouiller. Je règle la température idéale, je m’écarte, elle se faufile sous le jet tiède



J’ouvre le sac, prends son gel-douche et le lui passe. Elle se savonne d’une manière totalement inattendue, elle caresse sensuellement chacune des partie de son corps. C’est sûr, elle m’aguiche, je n’ai qu’une envie, c’est de plonger sous la cascade d’eau et de la prendre sans préliminaire, sans rien. Juste lui faire l’amour, c’est tout. Je lui montre mon intention mais j’essuie un refus de la main.



En moins de deux secondes, j’étais dans l’apparat d’Adam et sous le jet devenu chaud.

Elle me prend une main, me tourne afin d’être de dos, en face d’elle. Elle commence par me savonner les épaules, se colle à moi. Je sens son corps contre le mien, je bande comme j’ai rarement bandé… Elle me caresse le torse, descend lentement sur le ventre puis saisit mon membre droit et pointé vers le ciel.



Elle me caresse avec du savon, ses mouvements sont amples mais doux, elle change le rythme régulièrement afin de me déstabiliser. Son autre main caresse le bas de mon dos, elle descend sur mes fesses, je suis toujours appuyé des deux mains sur le mur, tel le prisonnier que l’on va fouiller au plus profond de lui… ne serait-ce pas une fouille de la sorte qui m’attend ?


Elle continue ses mouvements en imprimant un rythme plus soutenu, elle glisse sa main entre mes fesses. Je sens un doigt pointer vers mon anus, s’y présenter et s’y glisser délicatement. Elle s’introduit en moi et me branle en même temps… C’est à la fois surprenant… et si bon !



Elle accélère le rythme, je ne peux plus me retenir et gicle sur le mur, dépité d’avoir été entendu dans ma tentative de corruption à l’encontre de Clara.

Clara se rhabille et me laisse avec mes pensées.


C’est fou comme elle a su me rendre docile, à ses moindres sollicitations, je suis prêt à y répondre, même à faire un peu n’importe quoi. Jeux dangereux ? Jeux excitants, ça c’est sûr ! Son emprise est totale, je suis vraiment prêt à faire beaucoup de choses pour elle… et ça, elle le sait.




---oooOOOooo---




Message de Caroline :


« La sentence est tombée, Clara a été très vilaine… elle attendra sa punition dans son bureau ce jour à 13 h précises. Je compte sur toi pour être directif, sans hésitation et ainsi, lui faire subir ce qu’elle t’a fait subir sous la douche… mais toi, ce ne sera pas avec les doigts… elle essuiera un refus, tu ne lui laisseras pas le choix… Tu iras vite, n’importe qui pourrait frapper à la porte… Tu es ma main armée, ce sera sous mon mandat, je l’exige. »




---oooOOOooo---




J’ouvre la porte, Clara me regarde sans surprise, et se lève aussitôt.



Elle ne savait donc rien de ce qui l’attendait… Elle était belle mais très différente de d’habitude : petites baskets blanches, jupe en jean un peu au-dessus des genoux, chemisier blanc, sans maquillage du tout, et coiffée avec une couette. Elle avait l’air d’une écolière.


Je me dirige vers elle, prends ses deux mains, la retourne avec un geste brusque et la plaque contre moi. Elle est surprise, je monte ses bras autour de mon cou. Elle peut déjà sentir ma virilité monter dans son dos. Je glisse mes mains sous son chemisier baisse son soutien-gorge et lui malaxe fermement, mais sensuellement, les seins, tout en lui embrassant fougueusement la nuque. Elle gémit.


Mes mains descendent, se glissent le long de ses jambes, remontent doucement sous sa jupe. Je touche déjà sa petite culotte, string devrais-je dire. Elle garde toujours ses mains autour de mon cou, elle est prête à se laisser faire, visiblement.


Je descends son string et le passe une jambe après l’autre. Je le tiens dans la main, je lui fais sentir et le sens à mon tour, apparemment l’humidité du sous-vêtement témoigne de son excitation. Je prends ses deux mains et les attache avec.


Je la fais plier sur la table, presque violemment. Elle s’appuie dessus par réflexe avec ses mains liées. Je me baisse pour enfouir mon visage entre ses jambes. Elle sent l’excitation, mélange âpre et sucré, délicieux, c’est évident. Ma langue pointe vers son sexe luisant, je commence à lui titiller le clitoris, la réaction ne se fait pas attendre, elle gémit fortement, en accompagnant la sortie de son jus, délicieux nectar. Je pense qu’elle est en train de jouir, elle se retient de crier, c’est sûr. Ma langue s’attarde sur son petit trou, objectif de la séance, j’essaie de m’y frayer un chemin, énergiquement mais elle oppose une contraction presque naturelle. La demoiselle ne doit pas encore connaître ce plaisir, ce sera d’autant plus agréable, pour moi.


Je dégaine et rapidement présente mon sexe, luisant lui aussi, à l’entrée de son sexe, par une avancée lente et régulière, je commence à pénétrer ce con si chaud, si soyeux. Quel doux écrin pour mon sabre ! Je m’enfonce en elle jusqu’au bout puis commence des va-et-vient incessants. J’ai déjà envie de jouir mais ce coup-ci, je vais me retenir…


Tout en continuant mes coups de boutoir, je commence à titiller son petit anus serré avec l’index de ma main droite, je l’humidifie à l’aide de ma bouche et repars à l’assaut, il s’enfonce non sans peine et commence à imprimer des petits va-et-vient en rythme avec ceux de mon sexe, elle est transcendée, ou alors elle joue bien la comédie.



Je me retire de son sexe mais reste le sexe coincé entre ses fesses



En finissant ma phrase, je présente mon bâton de joie encore humide de la cyprine de Clara à l’entrée de son anus un peu dilaté, et m’y enfonce, sèchement mais pas violemment, doucement mais sûrement, lui arrachant un râle de douleur. Elle essaie de se relever pour échapper à la sentence, je la retiens fermement, et m’introduis au plus profond d’elle… en gémissant comme un taureau… J’avance, je recule, elle crie, elle gémit. Une vingtaine d’allers-retours auront eu raison de moi, j’explose en elle, profondément en elle. Elle finit par un long gémissement. Je me retire, rengaine mon arme et la laisse là, allongée sur le bureau, je n’ose même plus la regarder. J’ai un peu honte… je sors discrètement en fermant derrière moi, je croise Caroline, le sourire aux lèvres, elle me caresse le bras en passant.




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Message de Caroline :


« Notre ultime rencontre aura lieu ce soir. Eh oui, tout à une fin, mais ne t’inquiète pas, tu t’en rappelleras, et pour longtemps… 19 h chez moi. »




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Je sonne, certainement pour la dernière fois.



Elle est nue, debout, magnifique comme à son habitude, innocente avec des cornes de diablotin.

Je suis presque déçu de ne pas voir Caroline, je la cherche du regard, Clara me tend un mot :


« Regarde derrière toi, je suis assise, je te regarde. Mets-toi nu sans dire un mot, dans le plus grand des silences, et laisse toi faire, c’est parti ! »


Je m’exécute tout en la regardant, je suis rapidement nu. Clara s’approche de moi, m’embrasse et appuie sur mes épaules, me fait plier à genoux devant elle. Elle appuie encore, je me retrouve à quatre pattes. Elle me susurre…



Elle disparaît dans la pièce à côté, je regarde Caroline, le sourire aux lèvres. Clara apparaît, équipée d’un gode-ceinture, le regard plus malicieux que jamais, une vengeance ?

Elle disparaît vite derrière moi, je sens comme un gel couler entre mes fesses, elle a tout prévu, mais je ne bouge pas, après tout, un juste retour des choses. Juste un petit regret, que fait Caroline ? Cela devrait être elle au bout du gode-ceinture, son corps j’y avais le droit, elle me l’avait promis… je devais en prendre possession et là, c’est apparemment notre dernière rencontre… comment cela se fait-il ? Pourquoi ?


Lorsqu’elle me pénètre, je sens une chaleur intense, quasi douloureuse, me déchirer en deux. Elle me pénètre profondément, comme je l’avais pénétrée quelques jours auparavant. Elle fait une vingtaine d’aller-retour et fait mine de jouir en moi, petit clin d’œil… se retire et se lève, marche en direction de Caroline, habillée de sa robe bustier de l’autre jour.


Elle attrape une petite cordelette près de son cou, tire doucement dessus et fait lever Caroline. C’est une laisse, Clara tire dessus et la fait mettre à quatre pattes. Qu’est-ce que c’est que ce bordel ? Qui dirige dans l’histoire ? Je ne comprends plus…



Encore une fois, je m’exécute…




FIN