n° 15110 | Fiche technique | 14567 caractères | 14567Temps de lecture estimé : 10 mn | 15/08/12 |
Résumé: Premiers pas avec ma femme vers la réalisation d’un de mes fantasmes, elle n’est pas au courant… | ||||
Critères: f fh couple caférestau douche voir exhib noculotte fmast pénétratio jouet -couple -exhib -mastf | ||||
Auteur : Acme69 |
Ma femme est un mélange de caractéristiques physiques très rares puisqu’elle cumule les cheveux bruns frisés, les lèvres pulpeuses des femmes noires et la peau blanche, les yeux verts des européennes du nord. Comme souvent, ce mélange improbable aboutit à un résultat d’une grande beauté qui attire les regards. À trente-trois ans, son mètre soixante-dix, ses petits seins en poires et ses magnifiques fesses aux proportions parfaites la rendent très désirable aux yeux des hommes comme des femmes qu’elle croise.
De mon côté, malgré mes quarante et un ans, les restes de sportif de haut-niveau me donnent une silhouette d’homme musclé, malgré les quelques kilos de trop accumulés avec le temps.
Mariés depuis deux ans, après trois ans de vie commune, notre couple est épanoui, tant sur le plan sentimental que sexuel, même si nous sommes restés classiques jusqu’à ce jour du mois de juillet. Ce soir-là, nous sommes allongés sur le lit, nus et enlacés, comme souvent après un câlin dans notre chambre. Je profite de l’occasion pour évoquer un fantasme que j’aimerais réaliser avec ma femme, à savoir, introduire (sans mauvais jeu de mot) des sextoys dans nos ébats sexuels, pour mettre un peu de piment dans nos parties de jambes en l’air. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque Muriel me fit part de son envie également de tâter du gode alors que je pensais devoir revenir plusieurs fois à la charge avant de la convaincre.
Ni une, ni deux, je saisis notre tablette pour consulter un site de vente en ligne d’objets de charme. Très rapidement Muriel jette son dévolu sur le modèle Rabbit bien connu et reconnu pour son efficacité. Les promesses de vibration de la verge et de l’excroissance chargée de stimuler le clitoris de la femme ont pour effet immédiat d’allumer un petit feu au creux du ventre de ma femme qui se voit déjà onduler des hanches sous les vagues de plaisir prodiguées par la pénétration du gode en question. Largement émoustillés par cette recherche active d’un futur plaisir, nous nous laissons tenter par un second objet source de jouissance, avec une pensée coquine avérée puisque cet œuf vibrant est activé à distance par une mini télécommande. Pas la peine d’avoir beaucoup d’imagination pour trouver de multiples scénarios d’utilisation de cet œuf vibrant afin d’en faire un outil de jouissance extrême…
Deux clics, un numéro de carte bleue et trois jours de transport plus tard, nous voici devant le colis renfermant nos deux jouets sexuels tant attendus (nous avons fait l’amour comme rarement en attendant la livraison).
Avant de l’ouvrir, Muriel se glisse dans la douche italienne de notre suite parentale, ce qui me permet de la voir depuis le lit où je suis allongé, et j’en profite largement. Elle se savonne à l’aide d’un filet chargé de mousse, qu’elle passe sur ses seins, ce qui a pour effet immédiat de faire bander ses tétons d’une dimension impressionnante due à une excitation croissante. Puis elle caresse ses fesses, l’intérieur de ses cuisses, sa vulve intégralement rasée, sans oublier de venir titiller son petit œillet. De l’autre main, ma femme commence à appuyer sur son clitoris avec deux doigts et à former des cercles de plus en plus rapides en intensifiant la pression sur son petit bouton. Sous ce traitement radical, son puits d’amour ne tarde pas à s’ouvrir pour libérer une mouille épaisse qui vient lubrifier les doigts qui s’activent maintenant sans retenue sur son clitoris jusqu’à provoquer une crispation de tous les muscles de son corps et laisser échapper un râle sourd, signe d’une puissante jouissance.
Sans perdre une miette d’un spectacle torride de ma femme en train de se masturber sous la douche, j’ai sorti ma queue déjà trop grosse pour rester dans mon boxer, et me caresse lentement pour ne pas risquer de venir avant le bouquet final de Muriel. Les yeux fermés après avoir vu ma femme s’offrir un orgasme des plus intenses, j’accélère le rythme sur ma queue, les yeux fermés faisant défiler les images des doigts de Muriel sur sa vulve. C’est à ce moment-là que je sens une langue partir de mes testicules et remonter tout le long de ma verge pour finir sur mon gland, ce qui a pour effet immédiat de déclencher un jet puissant de sperme qui vient taper le palais de ma bienfaitrice avant qu’elle n’enfourne ma queue dans sa bouche pour ne rien perdre du reste de ma semence.
Après cette mise en bouche, je décide d’aller à mon tour sous la douche, histoire de me refaire une santé en vue de satisfaire plus convenablement ma chère et tendre. J’ai dû être un peu trop long car les petits gémissements qui m’arrivent aux oreilles ne laissent aucun doute sur leur provenance. Muriel a déballé Rabbit et se titille le clitoris avec les oreilles tout en introduisant la queue en silicone dans sa chatte de nouveau bien trempée. Quel plaisir pour moi de la voir ainsi se faire prendre par une queue autre que la mienne, même si elle n’est pas faite de chair et qu’il n’y a pas le corps d’un homme au bout, car vous l’aurez compris, mon véritable fantasme est de voir ma femme se faire prendre par un autre homme. Mais devant ma difficulté à passer à l’acte, je me contente (pour l’instant) de ce partenaire de fortune.
Muriel semble apprécier cette queue qui bouge et vibre dans sa chatte, elle a relevé ses jambes pour mieux la guider en elle, la faire rentrer puis ressortir de plus en plus vite, au rythme de son plaisir grandissant tout en se caressant les seins de son autre main. Sa respiration devient de plus en plus courte, ses yeux se ferment malgré elle, des picotements envahissent tout son corps et un feu consume son bas-ventre tant elle est au bord de la jouissance. Envahie par une lame de fond de plaisir, elle tient des deux mains la queue qui la pilonne et l’enfonce au plus profond de sa chatte avant de quasiment la ressortir pour sentir le vide en elle avant d’être de nouveau remplie. Incapable de retenir ses cris, elle jouit violemment en resserrant frénétiquement ses cuisses sur l’objet de son plaisir comme pour l’engloutir en elle et prolonger son orgasme au maximum.
Une fois ses esprits retrouvés, ma femme vient m’embrasser tendrement en roulant sa langue avec la mienne pendant de longues minutes, comme en signe de reconnaissance de lui avoir permis ce plaisir nouveau.
La soirée ne pouvait pas en rester là, aussi nous décidons de sortir dîner en terrasse pour essayer le second jouet dans les conditions les plus stimulantes possible. Sans laisser le choix à Muriel, je sors une de ses robes sexy que l’on réserve aux soirées coquines car plus osées que ce que la décence permet si on omet de porter des sous-vêtements. Cela va sans dire que ce soir Muriel ne portera aucun dessous sous sa robe. Blanche, légère, et très courte avec un profond décolleté, elle fera mouche à tous les coups.
La table réservée, nous sautons dans la voiture pour nous rendre dans ce restaurant branché au bord du Rhône où la clientèle est plutôt de standing, tout comme les mets qui y sont servis. Pendant le trajet, Muriel relève très haut ses jambes pour faire remonter sa robe le plus possible sur ses cuisses et ainsi m’offrir une vue profonde sur son pubis entièrement rasé, ce qui provoque chez moi un afflux de sang dans ma verge qui devient à l’étroit dans mon boxer. Et cela ne s’arrange pas quand je vois ma femme sortir de son étui en soie rose l’œuf vibrant et le poser sur ses lèvres avant de le titiller de petits coups de langues comme elle ferait sur un gland. Après ce traitement buccal, elle entreprend d’activer les vibrations de l’œuf et de l’appuyer sur son clitoris qui ne tarde pas à réagir à la caresse en s’ouvrant pour laisser perler quelques gouttes de mouille. L’excitation à son comble, Muriel bascule la tête en arrière, pose un pied sur le tableau de bord pour écarter ses jambes et ainsi libérer l’accès à sa grotte d’amour pour y enfouir l’œuf. Une fois le sextoy en place, mise à part une petite ficelle quasi invisible, rien de ne permet d’imaginer que cette chatte est remplie par un œuf qui provoque des spasmes de plaisir en vibrant directement sur le point G de Muriel. Je me saisis de la télécommande et stoppe d’un coup la petite séance de ma femme pour la laisser dans un état d’excitation tel que je sais qu’elle sera prête à beaucoup de choses pendant ce dîner…
Nous arrivons sur le parking du restaurant, mon sexe est dur comme de l’acier, et j’ai du mal à cacher la bosse qui déforme mon pantalon. L’hôtesse d’accueil ne rate pas l’occasion de me le faire remarquer par un petit sourire en coin et un regard appuyé du côté de ma braguette avant de me demander si je vais bien ce soir. C’est avec un sourire complice et charmeur que je réponds à cette magnifique métisse peu farouche. D’un pas chaloupé, presque forcé même, elle nous conduit jusqu’à notre table située près de l’entrée. Avec mon plus beau sourire, je lui demande si nous ne pourrions pas avoir une table de l’autre côté de la terrasse. Elle ne pouvait pas savoir que cela demanderait à Muriel de traverser toute la terrasse en marchant entre les tables des convives qui ne loupent rien du spectacle qu’elle offre en dandinant ses fesses sous l’effet des vibrations de l’œuf que je viens d’activer à distance derrière elle. Muriel a du mal à contenir son plaisir mais, par pudeur, tente de masquer son émoi tant bien que mal. Elle se rend bien compte que des signes la trahissent, comme ses tétons qui pointent en tendant le tissu de sa robe. Une fois arrivée à notre table, ma femme s’assied en croisant les jambes ce qui dévoile largement ses cuisses. De nombreux regards masculins convergent maintenant vers nous et principalement vers les jambes de ma femme. Stop ! J’arrête les vibrations de l’œuf. Je vois le regard presque agressif de Muriel qui semble me supplier de remettre en marche l’objet dissimulé dans sa chatte et qui lui procure un tel plaisir qu’elle croit vaciller en permanence.
Mais c’est moi le maître du jeu ce soir, et je compte bien rendre la soirée très riche en émotion…
Nous avons commandé un bon dîner, du bon vin pour accompagner les plats, et nous discutons comme si de rien n’était à propos de nos proches vacances à la montagne. Tout en discutant, je ne loupe rien du manège de certains clients qui se lèvent pour aller aux toilettes et ainsi, au retour, faire face à Muriel et avoir une vue imprenable sur son décolleté et ses jambes. Intrigué par ce manège de plus en plus fréquent, à l’occasion de l’arrivée de l’un des clients près de notre table, je fais mine de ramasser ma serviette par terre, et découvre avec stupeur que ma femme ouvre ses jambes largement et ne se presse pas pour les refermer quand un homme est dans le bon angle de vue pour la mater. Ce côté exhibitionniste ne faisant pas du tout partie de la personnalité de ma femme, je m’en trouve à la fois surpris et excité. Avec un sourire pétillant ma femme boit une gorgée de vin en me fixant droit dans les yeux. Mon excitation prend le pas sur la surprise et instantanément ma queue se met à gonfler dans mon pantalon et le déforme visiblement.
Sur ce, j’active la télécommande et je vois ma femme secouée d’un spasme digne d’un orgasme au moment où l’œuf recommence à vibrer dans son vagin.
Les hommes continuent leurs va-et-vient, parfois certains se lèvent plusieurs fois pour profiter du spectacle de la chatte de ma femme montrée à la vue de tous.
Dans un coin, un homme n’a pas besoin de se lever pour profiter du spectacle. De sa table, il a tout le loisir de contempler Muriel sans bouger, et du coup il mate depuis un bon moment et arrive à évaluer le niveau d’excitation de ma femme. En voyant cela, Muriel décide de lui en offrir un peu plus, et commence à passer sa main sur sa cuise et à remonter lentement jusqu’à son sexe, puis elle insère deux doigts dans son intimité mouillée et démarre une masturbation lente mais profonde qui vient compléter l’effet des vibrations de l’œuf au fond de son vagin. Après seulement quelques minutes de cette caresse, Muriel est secouée par un violent orgasme qui lui arrache un cri de plaisir difficile à dissimuler malgré sa serviette devant sa bouche.
Le retour à la maison se fait dans le calme et sans parole, l’atmosphère chargée mais chargée d’érotisme. Une fois la porte de la maison refermée derrière nous, Muriel m’embrasse à pleine bouche, retire sa robe et se retrouve entièrement nue devant moi, je tire sur la ficelle pour récupérer l’œuf qui sort de son vagin sans effort, aidé par la mouille due à son excitation, et je me retrouve à la prendre sur la table sans avoir pris le temps d’enlever mes habits, jusqu’à ce que nous explosions ensemble dans une jouissance d’une intensité inconnue jusque-là.
Depuis ce jour, de temps en temps, quand l’envie nous en prend, nous renouvelons l’expérience de l’œuf pour arriver à se « lâcher-prise » qui me permet de toucher du doigt mon fantasme de voir ma femme prise par un autre tout en ne franchissant pas le pas.