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n° 15113Fiche technique14674 caractères14674
Temps de lecture estimé : 9 mn
15/08/12
Résumé:  Une nouvelle coiffeuse est charmante... l'affinité naît !
Critères:  fh extracon coiffure fellation cunnilingu anulingus préservati pénétratio init -occasion
Auteur : Rodolphe Boulanger de la Huchette  (Amateur de nouvelles rencontres...)      
Cécile

Mathieu, 33 ans, marié et aventureux… quelques amantes, plutôt des maîtresses à la mode du XIXe siècle que des plans culs, c’est là que j’exprime mon côté « vieille France » ! Ma femme en fait autant, ce qui est plutôt 70’s, cette fois.


Pour me décrire rapidement, je mesure 1, 85 m’et suis brun, yeux marrons, souriant, raisonnablement musclé… mignon paraît-il !


Ce matin-là, j’allais au salon de coiffure où j’avais mes habitudes. Le hasard fit que Cécile s’occupa de moi. Une grande brune aux yeux verts, à la peau très claire, aux formes assez peu marquées mais mises en valeur par un look rock, jean noir, bottes… un très joli sourire l’illuminait, j’étais sous le charme !


Je ne me souvenais pas d’elle et lui fit remarquer.



Mon propos l’amusa, c’était effectivement volontaire, pour sortir, s’amuser, profiter de la vie… toutes ces choses qui semblaient plus difficiles dans sa Lorraine natale. Bien sûr, tout cela me rendait songeur, d’autant que la situation me laissait tout le loisir de la détailler davantage et d’apprécier sa fraîcheur si… provinciale, oui ! Rien chez elle qui rappelle l’air blasé si souvent de mise ici. Un cliché, peut-être, mais dont toute la réalité m’apparut à travers ses rires, son optimisme, son air épanoui… en fait, je réfléchissais déjà à la façon d’avoir son numéro, tant elle semblait une délicieuse compagne pour « s’amuser », comme elle disait.


Je ne le savais toujours pas quand elle termina son travail, et j’étais à peu près résolu à attendre la prochaine fois qui ne tarderait pas, j’aime avoir les cheveux courts. Mais elle m’offrit une belle occasion en me demandant mon numéro, à des fins commerciales bien sûr.



Il y eut un instant de flottement avant qu’elle comprenne.



Quelques jours passèrent puis je l’appelai et lui proposai d’aller boire un verre, dans un bar qui semblait accueillant et dont nous avions parlé lors de mon passage au salon.


Rendez-vous fut pris, et nous nous retrouvâmes dans l’après-midi devant ce bar où elle vint à pieds, en voisine. Je trouvais d’ailleurs ce dernier point intéressant, sans trop savoir pourquoi.


Une fois posés autour de deux verres, elle me demanda assez vite si je draguais souvent, alors que j’étais marié… Je lui expliquai rapidement comment mon couple « fonctionnait ».


La conversation roulait gentiment, faite de plaisanteries et d’allusions plutôt transparentes, transparentes comme son haut, moins sage que celui qu’elle portait en guise de tenue de travail. J’apercevais la naissance de ses seins, plus imposants que je ne l’avais cru… ça m’enivrait autant que nos cocktails. Un peu trop, d’ailleurs.



Belle invitation !


En tous cas c’est ainsi que je l’interprétai et je l’embrassai… c’était un baiser très doux, une caresse. Un lent mélange des langues extrêmement excitant. Puis la fougue nous emporta et ce baiser devint beaucoup plus sauvage… Elle vérifia d’un coup de téléphone l’absence, prévue, de sa colocataire et nous décidâmes de quitter les lieux. Nous avons marché quelques minutes jusque chez elle. Pas d’ascenseur, il n’y avait qu’un escalier, où nous nous sommes offerts quelques pauses, nous nous embrassions, nos mains exploraient le corps de l’autre, en fait je pense que nous aurions facilement pu faire l’amour sur ces marches.


Arrivés enfin dans l’appartement, elle m’entraîna très vite sur le canapé. Si par hasard un doute subsistait, elle me chuchota au creux de l’oreille :



Je lui arrachai quasiment son haut, elle en fit autant avec mon t-shirt. Son soutien-gorge, rouge, ne resta pas en place longtemps non plus. Elle s’attaquait déjà à la boucle de ma ceinture tandis que je caressais fermement ses seins, mordillant ses tétons. Elle gémissait, j’étais très excité… elle finit par enlever mon pantalon qui rejoignit, avec mes chaussures et chaussettes, le reste des vêtements.



J’aurais pu le faire bien sûr, mais je voulais simplement profiter du spectacle qu’elle m’offrit en le faisant glisser doucement, dévoilant un tanga assorti au soutien-gorge. J’étais assis devant elle et l’attirai alors à moi, puis embrassai son ventre, en caressant ses fesses, doucement. Quand ma langue glissa sur sa culotte, elle gémit encore, profita de l’instant puis vint à califourchon sur moi. Je n’avais plus à ce moment que mon boxer qui ne cachait plus grand-chose de mon excitation… et elle frottait contre moi son entrejambe en soupirant profondément. De nouveau, elle s’approcha de mon oreille et y glissa quelques mots :



Je la renversai sur le canapé puis enlevai aussitôt son tanga et m’approchai de son sexe. Au-dessus subsistait une très légère toison. J’y promenai légèrement mes doigts puis les fis glisser plus bas, attentif à ses réactions. Elle semblait tout à fait abandonnée quand ma langue remplaça ma main et que je pris tout mon temps pour la goûter… Ses lèvres humides étaient douces… j’approchais au plus son clitoris, sans le toucher toutefois. Je continuai ce petit jeu un moment, mais de sa main, elle me plaqua littéralement contre son sexe brillant de désir et je commençai alors à la lécher plus franchement, n’ayant en vérité pas le choix ! Elle réagit vivement.



J’accélérai petit à petit le rythme, ses sensations semblaient suivre la même courbe ascendante.



Je profitais pleinement du moment, me régalant d’elle, du goût de son plaisir sous ma langue, de ses mots désordonnés…


Elle se mit à crier et l’orgasme vint rapidement, agitant ses jambes, son corps. J’enlevai enfin mon boxer alors qu’elle reprenait ses esprits, allongée sur le canapé. J’attrapai un préservatif dans une poche de mon jean et le déroulai sur mon sexe. Je m’approchai d’elle, levai ses jambes contre mon torse et la pénétrai d’un coup.



Mes va-et-vient étaient rapides, nerveux, elle criait à mesure.



Elle n’hésitait pas à s’exprimer, m’excitant toujours plus…


J’ai continué quelques instants, plus lentement, observant mon sexe entrer en elle, jouant avec son clitoris d’un pouce… elle ne criait plus, mais gémissait continuellement à présent.


Puis, je me retirai, je voulais la prendre en levrette… elle se mit rapidement en position, ses genoux au bord du canapé et ses coudes sur le haut du dossier… la tête tournée vers moi, elle me regardait d’un air mêlant défi et supplique. Elle était terriblement désirable ainsi, et me donnait envie de la lécher encore.


Cette fois, je ne m’occupais plus de son clitoris mais je la pénétrais de ma langue, la buvais, glissais parfois plus haut, entre ses fesses… ce qui ne lui déplaisait pas, apparemment.



J’aurai, mais pas ce jour, l’occasion de profiter des délices de son intimité la plus secrète…

En attendant, ma langue se promenait un peu partout, j’embrassais son sexe détrempé, je l’écoutais gémir.


Finalement, je me suis relevé, et l’ai à nouveau pénétrée…



J’allais de plus en plus vite, la tenant fermement par les hanches, observant mon sexe aller et venir de plus en plus vite en elle, à chacun de mes coups elle criait :



Je voyais également son anus serré, imaginais déjà le prendre…

Enfin, je me laissai aller à jouir bruyamment.



Je me suis rapidement retiré, puis suis passé par la salle de bains.


Je suis revenu près d’elle. Elle souriait, détendue, allongé sur ce fameux canapé. Nous nous sommes embrassés, doucement, comme apaisés.

Nous avons beaucoup parlé aussi, Cécile n’était pas bavarde que pendant le sexe !



Elle m’amusait… Elle alla vers sa chambre, lança un disque de reggae au passage.

Je l’accompagnai sur son lit. On s’allongea, moi posé sur un oreiller, elle sur moi… un moment plaisant, simple.


Toutefois, nous étions toujours nus, et nos envies toujours présentes… sa main s’égara sur mon sexe, qui durcit rapidement… son petit jeu m’excitait, à présent elle me caressait franchement, mais très lentement… À son tour, elle me faisait languir. Du bout des doigts, elle chatouillait mon gland, puis descendait, me prenait plus fermement en main, allait et venait doucement, très doucement. C’était une torture délicieuse, que nous accompagnions de baisers très doux jusqu’à ce qu’elle commence à glisser le long de mon corps… elle m’embrassa en plusieurs endroits, en descendant mon torse… son idée semblait assez claire, mais elle prenait tout son temps, sa main toujours présente sur mon sexe tendu… elle y déposa un léger baiser.


Je commençai à gémir.



Elle attacha ses cheveux, un sourire aux lèvres.


Elle passa sa langue sur le frein, fit le tour de mon gland avec, toujours, une infinie lenteur qui me rendait fou… je tenais une de ses main dans la mienne, de l’autre elle avait repris le ballet de ses doigts.



Elle continua ainsi un bon moment, souvent en me regardant, l’air espiègle.


Enfin elle me prit dans sa bouche délicatement… lentement, elle fit disparaître tout mon sexe tendu entre ses lèvres puis remonta… sa main me masturbait en cadence. C’était très chaud et doux à la fois… j’étais au paradis !


Ce manège continua un bon moment, sans qu’elle accélère le rythme… ce n’en était que meilleur.



L’orgasme venait, et Cécile dut s’en rendre car elle s’interrompit… Elle se leva et alla chercher un préservatif… Elle le plaça sur mon sexe sans un mot, apparemment décidée à me laisser passif !


Ensuite elle vint sur moi et me saisissant, elle se laissa lentement descendre sur moi… Mon sexe la pénétrait sans mal. Elle gémit.



Elle allait et venait sur moi sans hâte, parfois avec des mouvements circulaires, elle soupirait profondément, tandis que je caressais ses seins, son ventre… nous nous regardions, complices.


C’était très différent de notre premier corps à corps, beaucoup moins nerveux, presque tendre… je connaissais à peine Cécile et découvrais déjà un nouvel aspect d’elle !


Je voulus reprendre la main – si j’ose dire – et hissai mon torse vers elle, toujours installée sur moi. Je la pénétrais profondément, en tenant fermement ses fesses…



Cette fois, nous allions nettement plus vite, et je me sentis très près de jouir.



Je finis par me laisser aller dans un râle…

L’explosion finale nous laissa épuisés, et quelques minutes passèrent avant que nous ne parlions…



Elle rit… Lors de mon nouveau passage dans la salle de bains, je remarquai une très jolie nuisette, noire.



Elle réfléchit un instant.



Julie, sa colocataire et amie, dont j’avais aperçu quelques photos dans l’appartement. Une blonde charmante, et l’imaginer ainsi vêtue me fit un certain effet !

Mais pour l’heure, il était temps que je parte et nous échangeâmes un dernier baiser. Je ne pensais pas attendre la prochaine coupe pour revoir Cécile !


J’étais dans ces pensées en poussant la porte du hall de son immeuble. Je gênai quelqu’un s’apprêtant à entrer.



Julie ! Le hasard se montrait farceur et c’est avec un petit rire que je m’éloignai…