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Temps de lecture estimé : 31 mn
19/08/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  Deux collègues ont une aventure.
Critères:  fh extracon collègues hotel travail fsoumise voir exhib fmast intermast fellation cunnilingu pénétratio fsodo -occasion -extraconj -exhib
Auteur : Bouzi      Envoi mini-message

Collection : Histoires au travail
Histoire avec une collègue

Ça fait déjà un mois que ma femme est partie en mission à Londres. Sans elle, ma vie se résume à métro-boulot-dodo, avec quand même un peu de sport pour garder la forme. Enfin, ça c’était avant que mon meilleur ami ne décide de reprendre ma vie de semi-célibataire en main et vienne squatter mon appartement.


Il décida pour moi qu’il fallait que je me change les idées. Surtout que Marie m’avait annoncé qu’elle ne pourrait pas rentrer ce week-end. Donc, voilà Thomas débarquant chez moi avec la ferme attention de passer un week-end de folie. Ça fait trois mois que nous ne nous sommes pas vus, lui habitant à Lille et moi à Paris. Il vient de se séparer de sa copine et, le connaissant, il veut très rapidement passer à autre chose.


Il arrive vendredi en fin d’après-midi et après avoir déposé son sac à mon appartement, nous partons directement pour notre tournée des bars. Nous embarquons dans notre virée un troisième pote, Fabrice, lui aussi célibataire et fêtard averti ! Nous arrivons au premier bar lorsque mon téléphone sonne. C’est Marie qui m’appelle, je laisse mes deux compères rentrer dans le bar en leur faisant signe que je les rejoins.


Vingt minutes plus tard, je rentre à mon tour dans le bar. Thomas et Fabrice n’ont pas traîné, ils sont déjà attablés avec quatre jeunes filles. De ce que je vois de loin, ils ne sont pas trompés dans leur choix. Il y a deux blondes plutôt mignonnes, une rousse pas très jolie mais avec un décolleté à damner un saint et une brune de dos, debout et qui a de très belles fesses. Je les rejoins et découvre que la brune avec les jolies fesses est une collègue.


Elle est vêtue d’une robe noire sans manches qui lui arrive au genou. Le vêtement aurait pu être austère, si ce n’était son tissu, très fluide, le décolleté pile et face et la petite fente qui dévoile la moitié de sa cuisse droite. Elle a des yeux noisette, un visage très doux, un petit nez retroussé, des cheveux très bruns qui contrastent avec sa peau très blanche. Son décolleté est unique et sa peau semble délicieuse.



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Chloé, Sophie, Marie-Laure et moi somment amies de longue date. Toutes les trois sont célibataires. Sophie, la dernière à avoir consommé sa rupture avec son copain, ne le vit pas très bien. Renfermée sur elle-même, elle passe la plupart de son temps seule, refusant de se joindre à nous pour faire la fête.


Chloé et Sophie ne sont pas mal, on dirait des jumelles. Toutes les deux sont deux petites blondes aux yeux verts, très minces, avec un sourire irrésistible. Quant à Marie-Laure, la rousse de la bande, son physique est moyen mais elle est dotée d’un atout de taille pour attirer les hommes : sa poitrine, énorme, qu’elle sait parfaitement mettre en valeur.


Nous avons insisté pendant plusieurs jours pour que Sophie nous accompagne dans ce nouveau bar à la mode, et se vide la tête. Et, à force d’arguments en tous genres et de longues négociations, nous avons fini par la persuader de nous accompagner. Comme c’était en quelque sorte un événement, nous nous donnâmes rendez-vous le lendemain dans l’après-midi pour aller faire les boutiques.


En début de soirée, les filles débarquent chez moi avec leurs paquets. Je suis la seule encore en couple mais j’ai le plus grand appartement et mon copain est parti en Irlande pour enterrer la vie de garçon d’un de ses cousins. Il est temps de commencer à se préparer. Après avoir pris chacune rapidement une douche, nous nous coiffons et partons.


Nous sommes arrivées tôt au bar pour avoir une table assise et mes copines voulaient pouvoir jauger les garçons qui entraient dans le bar.


À 23 h 30, deux garçons, deux grands bruns plutôt beaux garçons entrent dans le bar. Avec les œillades que lancent mes copines, ils ne résistent pas longtemps et foncent vers nous. La discussion s’engage très vite et, galants, ils commandent à boire pour tout le monde. Ils prennent un verre en plus, un de leur copain est au téléphone dehors et doit les rejoindre.


Vingt minutes plus tard celui-ci arrive. Et là, surprise, c’est un de mes collègues. Il était arrivé depuis six mois et, avec ma collègue Camille nous mations sans vergogne son petit cul et son torse musclé. Il porte un pantalon de toile et une chemise bleue ciel légèrement ouverte qui épouse parfaitement la forme de son torse.



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Le ton de la soirée est donné. Les trois copines de Céline, comme mes amis, sont surexcités. L’alcool aidant, la soirée devient de plus en plus chaude. Céline et moi nous retrouvons un peu à l’écart n’étant pas forcement sur la même longueur d’onde que nos amis.


Le courant passe bien, on parle sans discontinuer. Elle me regarde un peu plus directement au fil du temps, son sourire est plus net, on a des bonnes tranches de rires. Nous enchaînons les bières et là, je pars dans une dissertation sur la bière : la bière est une boisson internationale, qu’on retrouve immanquablement, en production locale, dans tous les pays. C’est ce que j’explique à Céline, qui acquiesce en s’enfilant sa troisième pinte.


Elle est souriante, vindicative, taquine, agacée, marrante. Puis c’est son copain, Antoine, qui l’a énervée particulièrement tout à l’heure, qui passe à la casserole depuis son récit de vingt minutes au téléphone sur la soirée de fou qu’il passe avec ces copains. Quand Céline aurait voulu entendre qu’elle lui manquait ou qu’il avait hâte de la retrouver. Elle s’autorise une confidence : pour la bagatelle, il ira se faire voir quand il rentrera, il n’aura qu’à se branler (elle a dit « masturber ») avec ses potes. Quand je l’interroge sur la moue qu’elle avait fait à cet aveu, elle pousse jusqu’à reconnaître qu’elle en serait la première punie, ils n’avaient pas fait l’amour depuis un mois, et un mois, c’est long. La conversation se poursuit, malgré un léger malaise causé par cet aveu. Mes yeux s’efforcent de rester concentrés sur les siens mais ils sont parfois distraits par le relief de ses pointes de seins sous sa robe.



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Je lui ai bien parlé deux ou trois fois au boulot mais je ne pensais pas qu’on pourrait aussi bien s’entendre que ça. Nous passons une super soirée, nous rions aux mêmes blagues, nous partageons le même intérêt pour le sport et les voyages. L’alcool aide à délier les langues, je pense que j’ai trop bu, je lui ai même évoqué ma vie sexuelle… Je sens son regard sur moi, je sens l’excitation qui monte en moi, qu’est-ce qu’il m’arrive ? Mes seins commencent à pointer. Et son regard toujours sur moi. Il faut vite que je rentre à la maison prendre une douche froide !



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C’est le moment que choisit Thomas pour me demander les clés de mon appartement. Apparemment la soirée se déroule très bien pour lui, il a jeté son dévolu sur Chloé et elle n’est pas insensible à son charme. Pensant pouvoir me replier chez Fabrice, je lui donne mes clés.



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Pendant que François est occupé avec Thomas, Sophie et Marie-Laure viennent me voir. Elles partent chez Fabrice finir la soirée chez lui. Elles gloussent comme des adolescentes, divaguent sur la future partie à trois qui les attend. Dans l’état où je me trouve je n’ai vraiment pas envie d’entendre le moindre détail et les envoie loin de moi et vite.

On se retrouve seuls avec François.



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Je me retrouve seul avec Céline. Le problème est que je n’ai pas vraiment prévu d’être seul avec elle. En plus, je me retrouve sans logement pour la nuit. Et je me vois mal demander à Céline de passer la nuit chez elle. Je ne veux pas qu’elle s’imagine des choses et je ne veux pas être tenté…


Mais poussé par mon instinct et aussi parce que j’ai peu de chances de trouver un hôtel libre à cette heure avancée de la nuit, je demande quand même à Céline si elle veut bien m’accueillir sur son canapé en tout bien tout honneur pour la nuit.



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François me regarde avec un air penaud et me demande s’il peut dormir chez moi parce que nos amis ont décidé de libérer leurs hormones pour la soirée et qu’il se retrouve sans logement pour la nuit. Ne voyant vraiment pas pourquoi je lui refuserais et poussée moi aussi par mes hormones, je cède à sa demande.



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Le retour en taxi est très dur pour moi. Céline fatiguée pose sa tête sur mon épaule. Dans cette position j’ai une vision dégagé sur ses seins. Je me rends compte qu’avec la robe qu’elle porte, il est impossible à Céline de porter un soutien-gorge sans que cela ne se remarque. J’essaye de résister et de ne pas regarder dans son décolleté mais l’envie était trop forte. Sa poitrine est magnifique, le sillon de ses seins laisse deviner un beau 95c rond et ferme avec de larges aréoles brunes qui pointent indécemment.


Elle met ses jambes sur le siège ce qui remonte sa robe révélant ainsi le haut de ses cuisses fuselées. Je suis dans un état second, il faut que je me calme. Mon sexe commence à durcir et à gonfler mon pantalon qui ne laisse pas de doute sur mon état d’excitation.



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Pendant le trajet en taxi, je mets ma tête sur son épaule, comme si nous étions des proches alors que quelques heures avant il n’était que le collègue au petit cul qui ne parle pas beaucoup. D’ailleurs, nous ne parlons plus durant le trajet. Je sens son regard sur moi, sur mes cuisses, sur mes seins. Il doit bien en profiter ; sur les conseils de Marie-Laure, je n’ai pas mis de soutien-gorge. Je ne sais pas pourquoi mais j’aime sentir son regard sur moi. Je ramène sur le siège mes jambes pour lui dévoiler encore plus mes cuisses, je remonte le buste pour qu’il ait une meilleure vue sur mes seins. Je sens mon corps réagir, une boule de chaleur monte dans mon bas-ventre, mes pointes dardent. Il me faut une bonne douche froide. C’est un collègue, et marié en plus.



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Nous arrivons chez Céline. Un peu bourré, fatigué et surtout ne voulant pas faire de bêtise, je me jette sur le canapé pour m’endormir le plus rapidement possible. Céline part dans la salle de bain. Nous nous souhaitons bonne nuit. J’en profite pour me déshabiller et m’endors pour de bon.



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À peine arrivé, il s’allonge sur le canapé pour dormir. Je suis trop troublée pour m’endormir tout de suite et décide de prendre ma douche froide pour me remettre les idées en place. Je me glisse sous la douche mais au lieu de me calmer le contact de mes doigts sur ma peau m’électrise. J’ai envie de me caresser. Je ne peux m’empêcher de penser au sexe de François. Je m’imagine sa verge luisante s’enfoncer dans mes entrailles. Mes mains trouvent rapidement le chemin de mon mont de venus pour des caresses salvatrices. Je jouis rapidement et intensément.



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Je me réveille le lendemain, groggy par la nuit que je viens de passer. Pas vraiment réveillé, je me dirige vers la salle de bain. J’ouvre la porte sur un spectacle inattendu mais merveilleux. Céline à quatre pattes cherchant quelque chose sous sa baignoire m’offrant ainsi une vue imprenable sur sa croupe, son petit œillet, puis me laissant découvrir son sexe entièrement épilé et le renflement parfait de son abricot. Sentant une présence dans son dos elle se relève et se retourne me permettant de profiter de son opulente poitrine, je suis pétrifié, je ne peux plus bouger devant ce spectacle. Nous restons figés tous les deux pendants plusieurs secondes avant qu’elle ne cache ses seins derrière ses mains et que je referme la porte confus.



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Le réveil est difficile. La douche de la veille n’ayant pas eu les effets escomptés, je fonce directement sous la douche. En me déshabillant je fais tomber ma bague qui glisse sous la baignoire. Me voilà donc obligée de me mettre à quatre pattes pour la récupérer. J’y suis presque lorsque mon cœur s’arrête. C’est le moment que choisit François pour rentrer. L’effet de surprise me fige sur place, je suis incapable de bouger. Je réalise ce que je donne à voir : mes fesses bien écartées, ma raie et mon minou épilé. Je me relève brusquement et me retourne pour lui cacher cette vision et du coup lui offre une vue imprenable sur mes seins pointant tels des missiles américains. Le rouge me monte aux joues en me protégeant les seins derrière mes bras dans un réflexe ridicule après le spectacle que je viens de lui offrir. Il ferme la porte en s’excusant. Je me sens honteuse et troublée. Mon impudeur m’avait grisée. J’enfile un peignoir et sors de la salle de bain



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Elle sort de la salle de bain, je suis encore comme statufié derrière la porte. Uniquement vêtu d’un boxer je me donne en spectacle aussi : une énorme érection déforme mon caleçon.



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Il est toujours la derrière la porte. J’aurais dû l’engueuler, me révolter, qu’il ait ainsi pu violer mon intimité mais c’est à mon tour de profiter de son corps. Il est presque nu devant moi. Ses jambes musclées, ses abdos bien dessinés, ses pectoraux saillants et surtout cette érection qui déforme son boxer me figent sur place. J’ai envie de le toucher.



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Elle me regarde fixement, ses yeux vont de mon visage, à mon torse et s’arrêtent sur mon sexe. Je ne sais plus où me mettre. Si j’avais été Thomas ou Fabrice, je l’aurais sûrement prise sur le champ mais moi je suis un timide, un timide marié qui plus est. Alors je saute dans mes vêtements et je fuis.



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Il me regarde dans les yeux, j’espère, tout mon corps espère qu’il se jette sur moi mais il part en courant. C’est sûrement mieux ainsi. Antoine revient dimanche soir et lui est marié. Mais là, il va encore falloir que je m’occupe de moi seule.



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Je rentre chez moi dans un état second. J’ai la bite qui me fait mal tellement je bande. Heureusement pour moi quand j’arrive chez moi Thomas et Chloé dorment encore. Je vais directement sous la douche pour calmer mes ardeurs sinon je vais violer la première fille qui passe. Le week-end se finit normalement : beuverie, blagues potaches entre potes, discussions autour de leurs exploits de la veille et surtout plus de filles nues pour me perturber.



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Après son départ je me suis caressée pendant un long moment m’arrêtant à chaque fois que j’allais jouir pour faire monter le plaisir. La délivrance fut intense. Je passe ensuite le reste du week-end avec mes copines chacune racontant ses aventures. Je suis la seule à ne pas avoir fait l’amour ce week-end.



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La nuit entre dimanche et lundi est un calvaire. À chaque fois que je ferme les yeux je revois Céline à quatre pattes. Comment vais-je faire demain pour la regarder dans les yeux et travailler normalement à cinq mètres d’elle.



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Après de longues hésitations. Je décide que je dois tenter quelque chose avec François. C’est entendu qu’il ne prendra pas l’initiative. Je dois le pousser à se révéler. J’ai besoin de son sexe. Et il a vraisemblablement envie de moi. Je ne suis pas une fille facile mais j’aime le sexe et François me doit une bonne baise. Lundi matin, j’envoie la première attaque et mardi je conclus. Je pourrais conclure lundi mais Antoine a une soirée mardi et c’est tellement bon de les faire attendre. Mardi, nous aurons toute la nuit.



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Lundi matin, le choc. Céline est devant moi superbe, elle attend l’ascenseur. Elle porte une robe bleue, serrée, stretch, fine et légère, qui lui arrive à mi-cuisse. Impossible de pouvoir détacher mon regard de sa poitrine parfaitement mise en avant par son soutien-gorge. Sans m’en rendre compte, je cherche le dessin de ses tétons à travers le coton, vérifie la présence d’un string, et, caresse du regard ses jambes presque totalement dénudées… Cela me fruste au plus haut point, mais il ne faut plus la regarder. Elle me fait la bise comme si de rien était et, à l’ouverture des portes, rejoint sa place. De dos, sa robe est bien moulante et met en valeur ses fesses bien rebondies et sa taille plutôt fine. Quel bonheur pour les yeux !


Les idées se bousculent dans ma tête, et je ne sais toujours pas quoi penser.


En fin de matinée, presque malgré moi, comme un réflexe, je me penche doucement, un très court instant, pour apercevoir ses jambes. Je ne peux pas m’empêcher de me pencher, pour confirmer ce que j’avais cru voir : lorsqu’elle est assise, les jambes croisées, de mon bureau, je peux admirer ses cuisses… En me baissant encore un peu, je pourrais même presque entrapercevoir sa culotte…



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Lundi matin je sors le grand jeu. Je m’habille sexy sans être vulgaire. Il ne faut pas choquer mes autres collègues qui ont plutôt l’habitude de me voir habillée de manière classique. Je mets une petite robe d’été bleue qui fait idéalement ressortir mes formes. Je mets un magnifique ensemble, celui des grandes occasions, string blanc à dentelle, le soutien-gorge assorti.


Je pars tôt pour arriver avant François et pour ne pas réveiller Antoine. Le hasard faisant parfois bien les choses nous nous retrouvons en même temps aux ascenseurs. Nous nous faisons la bise et montons dans l’ascenseur sans échanger un mot. Je sens ses yeux sur mon corps passant de mes jambes, à ma poitrine, il a du mal à me regarder dans les yeux. Je suis fière de moi, ma tenue fait son petit effet. Je sors la première afin qu’il profite de la vision de mes fesses moulées dans cette robe.


Vers 11 h 30, je vois François qui se penche derrière son bureau. Il est en train de me regarder, ou plutôt de me mater comme un adolescent devant sa première revue porno. Ce n’est pas pour me déplaire. Je décide d’accélérer la phase « allumage » de la fusée. Je lui envoie donc un message via la messagerie interne :


« Tu n’en as pas assez vu, samedi matin ? »



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Elle m’a pris en flagrant délit. Je viens de recevoir un message sur mon écran. Nos regards se croisent. Ce que je vois dans ses yeux me trouble, je réponds à son message sans penser un instant que je suis un homme marié :


« C’est plutôt aujourd’hui que je n’en vois pas assez. »



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« La journée n’est pas finie. »



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Je sens mes oreilles chauffer, je dois être rouge pivoine ! J’ai le cœur qui s’accélère, le sexe qui se tend. J’ai envie de lui arracher ses vêtements.

Que va-t-elle faire ? Intrigué, je jette un œil furtif par-dessus mon écran. Elle sourit.


Il est bientôt midi. Céline tourne enfin la tête vers moi. Un sourire coquin éclaire son visage. Elle me jette même un petit clin d’œil, puis rassemble ses affaires, prend son sac, et sort du bureau. En passant, elle me lance un « Bon appétit » et disparaît.



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Mon message fait son effet. Il n’arrête plus de me regarder, attendant que je fasse quelque chose. J’ai bien une idée en tête, mais il va patienter. S’il avait voulu profiter de moi, il avait déjà eu sa chance. Maintenant il va patienter, je vais le faire saliver…

Je quitte mon bureau en m’assurant qu’il me regarde.



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Après la pause déjeuner, Céline revient tout sourire, se rassoit, me regarde un instant, puis se replonge dans son travail, avec la même position complice que ce matin. Là, bouché bée, je me rends compte que sa poitrine fraîche et tendre, lisse, se balance librement. Au milieu de ses aréoles d’un brun foncé, ses tétons pointent ostensiblement en effleurant le tissu de sa robe. À nouveau, je suis pris tout entier par l’émotion. Ce spectacle magique me trouble profondément. Je décide d’en avoir le cœur net et la relance sur la messagerie :


« La vue devient de plus en plus intéressante. »




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Après la pause je reviens, plus légère. Il ne lui faut pas longtemps pour qu’il remarque les changements dans ma tenue. Je ne sais pas ce qui me passe par la tête, je suis une autre femme, prête à tout pour arriver à mes fins. Plus le « jeu » avance, plus je me lâche et plus ça m’excite. Mes seins sont durs, ils pointent à travers ma robe. Il m’envoie un message, je décide de ne pas lui répondre, je vais le faire mariner. J’ai d’autres arguments de communication à faire valoir.



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Il est un peu plus de 15 h. Céline s’est mise au fond de son fauteuil, je ne peux plus voir ses seins. Elle croise les jambes, mais sa robe ne glisse pas. J’observe ses jambes, sans toutefois pouvoir distinguer ni ses fesses ni sa culotte. La tension sexuelle ambiante est presque palpable. Un nouveau jeu vient de commencer. Céline vient de décroiser ses jambes et se tortille délicatement dans son fauteuil pour s’y allonger tout doucement. Je m’étends aussi un peu dans mon siège. Je m’installe dans l’axe optimal pour ne rien perdre de ses manœuvres sous la table. Je suis prêt. Je suis tout entier concentré sur ses jambes. Je l’implore du regard de m’offrir à nouveau les trésors de son intimité. Elle le sait. Elle le voit. Elle écarte progressivement les jambes. Mes yeux, tels des mains, remontent doucement le long de ses cuisses. Par un lent et sensuel mouvement du bassin, elle me dévoile… son sexe ! Je suffoque. Sa culotte a disparu ! Elle a dû l’enlever en même temps que son soutien-gorge !


Je redécouvre, stupéfait, son pubis, puis sa vulve, mais elle continue d’écarter légèrement les cuisses pour que je distingue peu à peu ses petites lèvres, son clitoris. Son sexe luit, inondé de plaisir ! Puis, elle se remet tout d’un coup au travail en pianotant sur son clavier.


Par moment, elle se tourne furtivement vers moi, pour m’offrir à nouveau son show privé. Ses yeux coquins, ses tétons excités qui transpercent imperceptiblement le tissu de sa robe, son sexe mouillé… m’indiquent sans équivoque qu’elle prend, autant de plaisir que moi.


Je dois avouer que mon excitation est très intense. Mon sexe, gorgé de sang, bande si fort qu’il se devine à travers mon pantalon.



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François a l’air d’apprécier mon système de communication. Il ne me lâche plus des yeux. J’ai l’impression que ses yeux vont se révulser. Il va s’user la rétine à force de bloquer ainsi sur mon sexe. Je pense qu’il va devoir attendre un moment avant de pouvoir se lever de sa chaise. Moi aussi je suis excitée mes seins se font douloureux et mon sexe ruisselle. Je ne me pensais pas capable de m’exhiber ainsi dans un lieu public et surtout pas d’y prendre autant de plaisir. Je me fais un peu peur. J’ai des envies de plus en plus « salaces », je me sens l’âme d’une cochonne. Si François pouvait lire dans mes pensées…



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Je ne tiens plus. Mon cerveau n’est plus irrigué. Je ne suis plus capable de réfléchir. Il faut que je lui dise, le problème c’est que les seuls mots qui me viennent sont ceux issus des films pornos. Mon excitation est telle que je ne peux plus m’interdire de lui écrire sinon je vais violer la femme de ménage :


« Tu me fais bander. Je suis à deux doigts de te sauter dessus. »



La réplique est pourrie, même pour un film x.



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Il m’envoie un message. Il chauffe presque sur mes pensées mais il a besoin d’encouragements.


« C’est tout ? C’est un peu court jeune homme on aurait pu dire, ô dieu, tant de choses en somme, en variant le ton. Tenez, par exemple : Audacieux : je vais te baiser, te mettre à quatre pattes, te faire jouir comme une salope ! »



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Les mots crus venant d’elle redoublent mon excitation


« Tu es une grosse salope qui a besoin d’une bonne bite. Tu veux que je te prenne ! »



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Oui j’ai envie qu’il me prenne, je suis trempée, je sens ma mouille qui coule sur ma cuisse. Mais il faut que je sois forte. Ce soir il va rentrer tout seul chez lui.


« La récréation est finie ! Je rentre chez moi, passe une bonne soirée. »




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La douche froide. Elle vient de m’allumer toute la journée pour me laisser seul, moi et mon érection. Je me retrouve désemparé. Je la vois se lever, prendre ces affaires et partir. Je la regarde s’en aller, admirant sa démarche et les courbes de son corps. Un collègue arrive, coupant court à mes rêveries.



Une fois mon collègue parti j’ouvre le colis et découvre ce que Céline m’a laissé.



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Je pense que maintenant il est mûr. Je suis sûre que l’arrivée de mon string dans le carton l’a encore un peu plus émoustillé. Vivement demain. Je l’achève. Et lui me baise.



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Je suis en train de me faire mener en bateau par une femme et c’est terriblement bon. Si demain elle recommence son petit manège, je ne donne pas cher de ma peau et de son petit cul.


Ayant passé une nuit très courte j’arrive au boulot très tôt. J’ai du mal à me concentrer sur mon travail. Je guette l’arrivée de Céline. Je suis à la fois impatient et inquiet. Mais à 9 h 55, elle arrive enfin. Sublime.



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Mardi matin, je prends mon temps pour me préparer. Je ne veux pas qu’Antoine me pose de questions et l’idée de faire patienter François m’amuse beaucoup. Je m’enferme dans la salle de bain pour me faire belle. Je commence par me raser le sexe. J’ai mon petit rituel : je prends le gel de rasage et le rasoir, je vais chercher un linge, le trempe d’eau très chaude et laisse une impression de bien-être plus grand encore. J’étale le gel en me massant longuement. Délicatement, j’entreprends alors le rasage en allant traquer le moindre poil perdu entre mes fesses.


Après le rasage je prends une longue douche, puis me passe de la crème hydratante sur tout le corps. Aujourd’hui je ne veux pas qu’il y ait le moindre raté.


Je retourne dans ma chambre pour choisir les vêtements qui vont le rendre fou. Je jette mon dévolu sur une jupe serrée, droite, noire, assez classique, qui descend jusqu’à la limite des genoux mais fendue sur le côté. En haut, je choisis un chemisier cintré rose pâle qui met presque de façon indécente ma poitrine en avant.


La touche finale : des chaussures à talons qui accentuent la courbure des fesses.



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Aujourd’hui il ne faut pas que je tergiverse, je ne lui laisse même pas le temps d’arriver que je lui envoie un premier message :


« Tu es magnifique ce matin, dommage que ton chemisier soit trop boutonné ! »


« Ils te plaisent, mes seins ? »


« J’adore les gros seins bien fermes, spécialement sur les salopes. »

« Tu es en forme ce matin ! Et qu’est-ce que tu leur ferais à mes seins ? »


« Je commencerais par les caresser à travers ton chemisier, avant de me couler dessous, directement contre ta peau nue, calant tes pointes tendues contre ma paume, avant de les pincer doucement ! »


« Encore ! »

« Je viendrais empaumer ton buste superbe, mes pouces glisseront sur tes pointes érigées à travers ton chemisier. Je repousserai le tissu pour dévoiler tes seins. J’admirerais ta superbe poitrine, aux pointes larges fièrement dressées au centre de tes aréoles brunes. Mes mains viendront soupeser tes globes nus, avant de venir tirailler tes pointes sombres les faisant encore plus gonfler jusqu’à devenir aussi grosses que des pointes de crayon. »


« Lèche-moi les seins, mordille-moi les tétons ! »



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C’est le moment que choisit mon chef pour m’interpeller et me demander de venir dans son bureau, nous coupant dans notre élan. Il veut me parler d’un dossier qu’il souhaite me confier. Mon entretien avec lui dure plus de 2 h et quand enfin je ressors de son bureau, Céline n’est plus là. Mais elle m’a laissé un mail :


« Tu m’as excitée comme une folle, depuis vendredi dernier je ne sais pas ce qu’il m’arrive. Je n’ai jamais fait ça avec personne avant toi, même avec mes copains. Je suis troublée par mon comportement mais comme notre histoire s’annonce très courte, je veux la vivre intensément, je suis prête à faire des choses que je n’ai jamais faites, jamais dites, je me sens l’âme d’une pute, une pute qui se soumettrait à tes fantasmes, à nos fantasmes, j’ai envie de toi. »



Je relis plusieurs fois le message, j’ai la gorge sèche, le sexe gonflé comme jamais, je prends mon temps pour lui répondre :


« Moi non plus je ne suis pas un habitué de ces comportements. Je n’ai jamais trompé ma femme depuis 12 ans que nous sommes ensemble. Mais là, je n’ai qu’une envie c’est de faire toutes les choses « interdites » avec toi, me lâcher pour ne rien regretter. »




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Quand je rentre de la cantine je vois son message. Je suis toute étourdie. J’ai envie de lui sauter dessus et de faire l’amour directement sur le bureau, sans préliminaires, devant tout le monde.


L’après-midi se passe lentement, j’ai du mal à me concentrer sur mon travail, mais je ne peux pas correspondre avec François, il est constamment dans le bureau de son chef ou en réunion. Je me sens frustrée.


Il revient à son bureau vers 18 h 30. Je l’inonde de message :


« J’ai envie que tu me baises sauvagement sur le bureau ! »

« Je veux sentir ton sexe en moi. Je veux me sentir remplie par ton sexe. »

« Je veux être ta chienne. »


Il me répond enfin.


« Va dans les toilettes et envoie-moi une photo de toi en train de te caresser le minou ! »


Je me lève sans même réfléchir, passe devant son bureau sans le regarder et me dirige comme une automate droit dans les toilettes des dames. Je soulève ma jupe et commence à me masturber, je m’accroupis et rentre un doigt dans mon vagin. Il voulait du porno, il va en avoir. J’expédie les fichiers honteux (en vérifiant par trois fois avant d’appuyer sur la touche envoi) et attends sagement et quelque peu nerveusement sa réaction.


« T’es toujours aussi bonne. On a juste envie de te posséder. »


Gros coup de chaud. J’apprécie décidément beaucoup les mots crus…


« Tu as aimé ? »


« J’ai adoré, tu es très photogénique. Maintenant je veux une photo de tes seins ! Et dépêche-toi, j’aime tes photos de salope en manque. »


Je repars dans le même manège. Me revoilà dans les toilettes des filles, mais avec un problème comment faire seule une photo de ses seins avec un téléphone portable. Je suis obligée de me prendre en photo dans le miroir, je pourrais me faire surprendre par une collègue. Bizarrement (ou non) cette situation m’excite encore plus. J’ouvre mon chemisier en grand et prends plusieurs photos de mes seins et de moi en train de caresser mes seins. Ils pointent comme jamais quand je reviens à ma place. J’ai l’impression que tout le monde sent que je dégage l’odeur du sexe et voit mes tétons qui pointent à travers mon haut, montrant que je suis une pouffe venue se faire sauter.


« Tu es bandante. Maintenant tu vas attendre sagement que tout le monde s’en aille, qu’il ne reste plus que toi et moi. En attendant, on ne s’envoie plus de message et tu déboutonnes deux boutons de ton chemisier. »


Je m’exécute comme un bon petit soldat. Mon chemisier est très ouvert, on voit entièrement le sillon qui sépare mes deux globes et, avec mes seins qui pointent, je dois avoir l’air d’une pute.


20 h, plus personne dans les bureaux. Je ne vois plus François. Je panique un peu, commence à faire le tour du plateau pour voir si je ne le trouve pas quand soudain je sens deux mains qui m’attrapent par la poitrine. Elles caressent mes seins à travers mon chemiser. Ses messages de ce matin me reviennent en mémoire en même temps que je lui susurre à l’oreille.



Il me pousse contre le bureau le plus proche, me plaque contre la table. Je me cambre sous la pression pressant mes fesses contre son sexe. François commence également à ne plus maîtriser son excitation face à cette situation. Il saisit ma jupe sur les côtés, la remonte violemment sur mes hanches. Je sens avec précision la bosse dure de son sexe se nicher entre mes fesses. J’entends le glissement de sa braguette. Je sens brusquement sa verge dure et chaude battre d’abord contre mes fesses avant de se couler entre mes cuisses, se plaquant contre mes grandes lèvres, affolant mes sens.


Son gland franchit le passage étroit permettant à son sexe tendu de s’enfoncer à moitié dans mon ventre détrempé, m’arrachant un cri étouffé. Il savoure quelques instants l’exquise sensation que lui procure mon vagin enserrant son sexe, avant de me pénétrer par petits à-coups. Sa verge disparaît complètement entre mes cuisses. Il me prend par la taille amplifie lentement ses coups de reins, ressortant presque complètement sa verge, me faisant gémir chaque fois que son gland franchit mon vagin. Je n’ai jamais ressenti de telles sensations et halète sans discontinuer sous ses coups de butoir. Il accélère le mouvement, me prenant maintenant à grands coups de reins. Les jambes flageolantes, je dois me tenir fermement au bureau.


Ma lourde poitrine ballotte entre les pans de mon chemisier. Ma jupe toujours remontée sur mes hanches, je dois lui offrir un spectacle des plus érotiques. Complètement dépassée par les sensations de jouissance extrême qui m’envahissent, je me concentre sur son pieu qui me perfore et me mets à pousser des gémissements incontrôlés. Je suis déchaînée, les trois jours de frustration sexuelle remontent en moi. Je plaque mon bassin contre son ventre en faisant onduler mes hanches, je veux encore plus accentuer la pénétration. François jouit à ce moment-là et inonde mon sexe de longs jets de sperme. Sa jouissance déclenche la mienne dans un long cri, je m’écroule totalement sur le bureau terrassée par la violence de mon orgasme. François se couche sur moi et me murmure au creux de l’oreille :



Je le rassure en l’embrassant à pleine bouche et en lui rappelant ma promesse :



En disant ça, il me met une bonne fessée. Je sens une agréable douleur, y prendrais-je goût ?


Nous nous mettons en route vers notre destination surprise. Dans l’ascenseur, dans le taxi nos mains parcourent à la découverte de nos corps. J’aime sentir ses doigts remonter le long des mes cuisses, dans mon dos, sa main empaumer mes globes gorgés de désir. Le chauffeur de taxi en profite pour se rincer l’œil dès qu’il le peut mais dans l’état dans lequel nous nous trouvons nous y accordons que peu d’importance.


Nous arrivons à destination. Il me susurre à l’oreille :



J’ai fait une folie. J’ai réservé une chambre dans un palace parisien. Quitte à faire une bêtise autant aller au bout du concept. Je veux que notre seule nuit ensemble soit inoubliable et fantastique, totalement en dehors de nos vies habituelles.


La chambre est magnifique, je me sens prête à me lâcher comme jamais je ne l’ai fait avant cette nuit. Je me jette à son cou. Mais il me repousse.



Ces mots crus accentuent encore mon excitation. Il me veut chienne, je serai chienne.


Je l’assois sur la chaise du bureau. Je commence par danser seule autour du lit. Je me lance dans une danse torride. Je me déchaîne. Je viens me frotter sur lui. Il me récompense d’une bonne fessée. Puis arrache mon chemisier. Ce geste décuple encore ma folie, je continue de danser, mon corps ondule, mes seins se dressent fièrement devant lui. Je fais glisser ma jupe le long de mes jambes. Je me plie en deux lui offrant ainsi une vue imprenable sur mon sexe trempé. Je suis intégralement nue, perchée sur mes chaussures. Je prends des poses de plus en plus sexy, pour finalement devenir carrément obscène. Je veux qu’il me voie en train de caresser ma petite chatte nonchalamment.



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Elle ne se fait pas prier, je m’approche d’elle



Je me déshabille rapidement et viens me planter juste derrière elle.



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Pour toute réponse, elle soulève encore plus son cul.

Je donne de petites tapes sur les fesses qui réagissent par de légers tressautements. J’écarte ses deux globes, dévoilant ainsi son petit œillet. Ma langue glisse alors le long de sa raie. Je m’arrête sur son petit trou. Je le lèche maintenant sans ménagement, le pénètre avec langue. Elle ronronne comme une chatte en chaleur.



Elle se cambre encore plus, j’en profite pour lui mettre un doigt dans le cul !



Je la pistonne de plus belle, introduisant un second doigt. Elle va à la rencontre de mes caresses s’empalant le cul sur mes doigts.

Je me redresse derrière elle, positionne mon gland entre ses fesses. Céline place ses mains de chaque côté de ses globes et les écarte au maximum. Son anus dilaté ne résiste pas à la poussée de mon gland. Mon sexe glisse lentement en elle.



Je commence à pistonner son trou du cul. En basculant légèrement mon torse sur l’arrière, je peux jouir du spectacle de son anus aux bords humides écartelé par mon sexe, ce dont je ne me prive pas, malgré l’inconfort de la position.


Je reviens vers elle. J’accélère le rythme, limant son cul maintenant accueillant.




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Il me sodomise, alternant des mouvements rapides et d’autres plus lents, plus amples. Je suis comme hors de moi, gémissant et ronronnant, haletant, désormais en nage. La tête enfouie dans le matelas je murmure :



Maintenant il me pilonne carrément, je suis dans un état où je peux quasiment tout accepter. Mon corps est parcouru de spasmes, témoins d’un orgasme imminent. Son ventre vient heurter mes fesses, ses boules cognent contre mes lèvres intimes. J’aime trop ça, c’est trop bon. Je ne suis plus qu’une poupée désarticulée par le plaisir qui l’inonde. Ma jouissance devient presque irréelle. Je sens mon anneau se contracter, en cadence avec mes ondes de jouissance. François aussi doit être à bout, car je sens ses mains se crisper sur mes hanches et je ressens le jet de sa semence au fond de mes entrailles. Sa jouissance en moi engendre une vague de plaisir qui déferle en moi.


Je n’avais jamais envisagé la sodomie et aujourd’hui j’ai connu la plus grande jouissance de ma vie dans mon cul. Je pense que je ne pourrai pas m’asseoir normalement tout de suite. Mais s’il me le demande, je recommence illico.



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On a joui presque en même temps. J’ai mal à la bite tellement c’était bon. Il me faudra un peu de temps pour récupérer, mais la soirée n’est pas finie. Cette sodomie m’a donné encore plus faim de son corps. J’ai envie de sentir ses lèvres, sa langue sur ma queue, mais j’ai aussi envie de goûter son sexe, de lécher son petit abricot et après la prendre sauvagement.




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Bien que mon corps réclame encore son sexe, j’accède à sa proposition.

Je me lève pour rejoindre la salle de bain, exagérant les ondulations de mon corps pour exciter mon amant.

Il me suit jusqu’à la petite salle de bain. Je me jette sous une douche tiède. Après m’être savonnée et rincée, je vois le rideau s’écarter. Il est là, toujours aussi beau. C’est la première fois que je le vois entièrement nu, bien qu’il m’ait déjà pénétrée deux fois. Son corps est musclé juste comme j’aime, mais mon regard s’attarde sur son sexe, il a une queue dans la moyenne, mais une belle et droite, le gland légèrement violacé avec des bourses pleines et bien gonflées.



Il entreprend de savonner mes épaules puis descend le long de mon dos jusqu’à ma chute de reins. Le contact de ma main nue au travers du gel douche sur ma peau est incroyablement doux. Il se met à me pétrir les fesses, je viens au-devant de ses caresses, puis ses mains remontent pour s’occuper de mes seins. Il les prend, les malaxe, joue avec mes pointes.



Je ferme les yeux.



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Je sens les pointes de ses seins se dresser, devenir énormes et très dures. Je continue par mouvements circulaires à effleurer ses pointes de la paume de mes mains. J’entreprends alors de descendre une main alors que l’autre s’attarde toujours à sa poitrine. Je descends lentement, pour finir par atteindre le pubis. Elle écarte d’elle-même légèrement ses cuisses et je lui masse le sexe. Ensuite, je m’agenouille, je croise son regard enfiévré juste avant de plonger entre ses jambes, le nez appuyé contre son pubis, ma langue s’écrase contre son clitoris, lui arrachant un long soupir et un profond frisson.




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En quelques secondes, mes muscles sont littéralement liquéfiés, tout mon corps est enivré par les caresses buccales de François. Sa langue passe de mes petites lèvres à mon clitoris, enflé, rougi et luisant. Je me laisse aller, ne contrôlant plus mes gémissements. Je passe une jambe sur son épaule pour qu’il me pénètre encore plus loin avec sa langue.


François profite de mon changement de position pour enfoncer les phalanges de son majeur dans mon sexe, effleurant le renflement de mon point G… s’y attardant, me faisant glapir et gémir, je ne mets pas longtemps à jouir pour la troisième fois de la soirée.



Après cette douche coquine, nous regagnons la chambre. Nous avons tous les deux besoins de reprendre des forces. Nous enfilons tous les deux les peignoirs de l’hôtel pour déguster notre en-cas.



J’ouvre mon peignoir




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Un bonheur que ces deux pommes bien fermes et pleines, que ces tétons hérissés qui réagissent sous la langue. Je lèche, mordille ses deux seins magnifiques.

D’une main elle s’inquiète de l’état de ma virilité :



Enfin, après avoir plissé ses yeux coquins, elle se glisse contre moi, plus bas, afin de réveiller ma verge. Elle m’embouche, petit à petit mais rapidement, comme elle use de sa langue et ses mains, je redeviens présentable. Jouant d’abord de la langue sur mon gland elle m’engloutit tout en prenant à pleines mains mes boules. Je crois défaillir. C’est trop bon ! En plus elle m’enveloppe de ses cheveux, les enroule. Gourmande, dans un déluge de salive, sa bouche me suce comme jamais. Sentant qu’à ce rythme je vais me lâcher, je me retire.

Je la guide vers le lit, m’arrête en cours de route. Nos lèvres se joignent, nous partons dans un baiser passionné.



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Il me touche de partout. Il a envie de moi. Il se serre contre moi. Il me caresse. Seins, ventre, sexe, cuisses, et encore. Je sais plus… Il doit avoir plusieurs mains. Je suis son jouet et il en profite. Jamais autant de caresses avec une seule personne. Il se penche pour manger un sein puis l’autre. Tout en me caressant debout, il me plaque sur lui et m’enlace de tout son corps. Je sens sa queue durcie qui se coince entre mes jambes. Il m’embrasse le cou, les épaules. Il m’assoit sur le canapé, me repousse en arrière et tire mes jambes pour amener mon sexe au bord. Je suis allongée écartée, ouverte, à lui.


Il s’approche et me prend d’un coup, comme ça. Je le sens en moi, il est dur comme jamais, il me remplit et me fouille comme il va-et-vient. Il est excité. Il me caresse les seins pendant que sa queue me prend sauvagement. Il me donne des coups de reins qui font reculer le canapé. Et chaque coup me fait un bien fou. Dans cette position, mon bouton est ressorti, il en profite pour me branler aussi en même temps. Je gémis sous ses coups de queue. Il me regarde. Il me baise. Son sexe me comble de plus en plus. Il va loin et je suis remplie. Comblée. Un grand frisson qui part de la nuque, jusqu’aux reins et j’ai l’impression de le transmettre à sa queue qui me transperce maintenant. Il est déchaîné. Il monte et descend, ce qui me fait réagir encore plus. Une fois, il passe en me frottant le bouton très fort et la fois suivante il me remonte, et ma chatte est béante et en même temps prise de tous côtés. Encore un frisson. Cette fois, je me cambre et je reste le bassin en l’air. Il en profite pour me prendre encore plus fort, plus loin et je crie ! Je gémis et mon bassin monte et redescend. Je jouis encore ! Et très fort ! Il m’a prise avec tant de force que je ressens encore ses coups quand il se retire doucement. Il est dur. Raide. Il n’a pas joui, lui.




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Elle joint le geste à la parole. Elle prend mon sexe dans ses mains, le guide vers sa bouche, fait coulisser ses lèvres le long de ma hampe.


Je ne bouge pas. Elle pose mes lèvres sur ces boules, joue avec sa langue sur mon gland, ses mains caressent mes boules. Elle prend mon gland dans ma bouche, descend le long de ma pine en serrant ses lèvres et l’engloutit, toujours doucement, la relâche, et la lèche de nouveau, la mordille. Elle la fait entrer très loin, ses mouvements se font de plus en plus rapides. Je suis au bord de l’explosion. Elle continue jusqu’à ce que je me lâche dans sa bouche.



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Je n’ai jamais laissé personne éjaculer dans ma bouche, mais je veux lui faire ce plaisir. Je sens dans ma bouche les longs jets de sperme, j’avale tout son jus. Ma langue continue de jouer sur son gland, je le nettoie. Son sexe retombe épuisé mais propre et brillant. Je remonte me blottir dans ses bras. Notre nuit de rêve est finie. Demain il repartira vivre avec sa femme et moi je retournerai voir Antoine.