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n° 15120Fiche technique23125 caractères23125
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Temps de lecture estimé : 13 mn
19/08/12
Résumé:  Le bénévolat mène à tout.
Critères:  fh extracon gros(ses) grosseins groscul gymnastiqu odeurs fellation cunnilingu 69 pénétratio -occasion -extraconj
Auteur : Jo Carisma            Envoi mini-message
Henriette

Mon travail, au demeurant peu passionnant, me laisse suffisamment de temps libre pour que je m’investisse à fond dans le bénévolat. Comité des fêtes, bibliothèque, multimédia, associations diverses, je touche un peu à tout. C’est dans ce contexte que j’ai rencontré Henriette, une mère de famille ostensiblement chrétienne qui s’occupe principalement des questions de budget et de la comptabilité des associations, mais qui met aussi volontiers la main à la pâte, lorsque nous organisons des manifestations dans notre petite bourgade.


La dame est énorme, grasse, adipeuse, débordante de chair, elle a un cul tellement gros et des hanches tellement larges qu’elle a du mal à se mouvoir. Âgée d’une cinquantaine d’années, cette femme mûre et mariée jusqu’au bout des ongles, traîne derrière elle quatre adolescents désœuvrés, et se consacre presque exclusivement au devenir de la commune depuis qu’elle a perdu son travail. En ce qui la concerne, il s’agit d’un véritable sacerdoce, elle ne compte plus ses heures et est devenue au fil des ans, par son omniprésence, un pilier de la vie publique.


Un soir, je la rejoins au sortir du boulot pour dresser un bilan de la tombola du week-end dernier. Nous devions être cinq pour ce turbin, mais nous ne sommes au final que trois, et encore, le petit Maurice annonce d’emblée son intention de partir à huit heures :



C’est toujours comme ça, ce sont un peu toujours les mêmes, finalement, qui s’y collent.


Le temps de faire les rouleaux, de comptabiliser les chèques, de pointer les listes d’émargement, il est déjà 20 h et nous nous retrouvons bientôt seuls, Henriette et moi, dans le petit bureau qui jouxte la salle des fêtes. La grosse femme compte et recompte inlassablement, peste contre les erreurs de saisie et le peu de sérieux de certaines personnes. Elle se dépense tellement que de larges auréoles ornent maintenant ses dessous de bras. Heureusement qu’elle s’est aspergée abondamment d’un parfum bon-marché, sinon elle sentirait probablement la transpiration. Je la regarde battre des ailes, admiratif : comment une femme aussi grosse peut-elle dépenser autant d’énergie ?


Elle fait alors une petite pause, me propose un en-cas qu’elle a pris soin d’emballer dans une poche plastique. Je décline l’invitation mais, de son côté, elle ne se laisse pas abattre. Elle mord à pleine dents dans un sandwich bien gras en sirotant une boisson gazeuse, sans doute beaucoup trop sucrée pour elle… pas étonnant que la mamie soit obèse !



Je ne le crois pas ! On vient déjà de pointer deux fois de suite et l’on retombe toujours sur ce même putain d’écart. Et elle veut que l’on reprenne tout à zéro. Pour sûr que cela ne m’enchante pas ! Du coup, je la maudis. Après tout, il lui suffirait de dire « Allez, c’est bon comme ça », de rajouter une petite ligne pour arrondir la comptabilité et pour retomber sur nos pattes ! Mais elle ne l’entend pas de cette oreille, pour elle la trésorerie doit être juste au centime près.


Résigné, j’appelle alors mon épouse pour lui dire de ne pas m’attendre, j’en aurai probablement encore pour un bon moment. À l’autre bout du fil, elle se marre et me charrie avec une certaine malice :



Et nous voici repartis dans la danse des chiffres. Je suis penché derrière le dos d’Henriette et j’ai maintenant une vue plongeante sur son décolleté. La robe d’été est largement ouverte, un grand carré sans tissu découvre le dessus de sa poitrine. Ses seins sont énormes, mais aussi un peu molasses et ornés de quelques gros grains de beauté. Les masses adipeuses vont et viennent au rythme des battements de bras de la mégère. La gorge qui les sépare est encaissée, profonde et mystérieuse, presque insondable. Mon regard plonge carrément entre les globes, le spectacle est fascinant, hypnotique, beaucoup plus excitant, c’est certain, que cette longue liste de montants qui ne m’inspirent plus qu’un triste et profond ennui.


Du coup, je m’évade et pense à autre chose… Je revois les frères Marchand qui disaient du mal d’Henriette, pas plus tard que la veille au soir. Nous étions tous les trois en train de boire un pot au troquet, au sortir du boulot :



Il faut dire que les deux frangins ne l’apprécient guère, la mère Henriette, ils la trouvent beaucoup trop autoritaire touche-à-tout. Et, comme ils sont tout sauf charitables, ils ne perdent jamais une occasion de la tourner en dérision. Et ce ne sont pas les seuls, c’est vrai qu’elle concentre sur elle un nombre important de railleries… C'est la rançon du succès !



C’est comme ça qu’ils l’appellent, le « rouleau-compresseur », quand ce n’est pas « Peggy-la-truie ».




C’est Henriette qui me rappelle ainsi à l’ordre. Je l’assure que je suis tout ouïe. Pourtant je sais qu’elle a mille fois raison, car je pense plus à ce moment-là à ses formes qu'aux comptes de l'association.



Maintenant, je me demande ce qu'elle va faire le reste de sa soirée, au moment où elle va se retrouver dans l’intimité avec son homme. Je l’imagine qui retire sa robe et qui dévoile d’un coup son ventre rond et ses bourrelets graisseux puis qui se baisse avec difficulté, pour enlever un panty qui masque à peine un popotin dantesque. À moins qu’elle ne préfère commencer par exhiber sa poitrine gigantesque qui doit lui tomber jusque dans les chaussettes, une fois son soutien-gorge retiré. Font-ils souvent l’amour ces deux-là ? Personnellement, j’en doute un peu. Visiblement, chez elle, c’est elle qui porte la culotte et qui prend toutes les décisions : lui, petit gringalet, presque rachitique et elle, ventripotente et débordante de chair… Ceci dit, cette différence de gabarit ne les a nullement empêchés d’avoir quatre mômes ensemble, preuve qu’il doit quand même se l’empapaouter de temps à autres.


Machinalement, et presque sans m’en apercevoir, je me mets à bander derrière le dos de la grosse bonne femme. Je me retrouve avec une trique énorme qui déforme le devant de mon pantalon et suis pris d’une sorte de vertige, aspiré soudain par cette gorge trop profonde. J’ai l’impression aussi d’être légèrement paf car j’ai la tête qui tourne. Pourtant je n’ai rien bu. Est-ce l’abondant parfum bon marché de la mamie qui m’enivre ? Je ne me sens plus du tout dans mon assiette.


Est-ce pour cette raison que je commets alors l’irréparable ? Mais je ne peux pas m’en empêcher, la tentation est vraiment trop forte et totalement incontrôlable. Je sens ma main glisser inexorablement de l’autre côté du cou taurin et la voici qui plonge, tel un aigle, dans l’opulent giron. J’agrippe bien vite un sein obèse que je presse sans ménagement entre mes doigts avides, m'attendant d'une seconde à l'autre à me faire baffer.


Pourtant, je n’ai pas l’impression que ma compagne d’infortune soit si surprise que ça de mon initiative. Elle ne manifeste en tout cas aucune réaction négative, pas même un frisson d’inquiétude. Elle reste simplement figée sur place, sans faire le moindre geste et surtout sans dire un mot, sans manifester non plus le moindre désir de me voir arrêter ces vicieux attouchements. Cela m’encourage alors à continuer, à presser plus fortement cette grosse et chaude mamelle. Manifestement, Henriette a décidé de se laisser faire, peut-être attend-elle d’ailleurs la suite des hostilités… Il est donc temps pour moi de lui donner le coup de grâce. Tout en continuant à pétrir sa généreuse poitrine, je mords avec hargne son cou, un peu comme le ferait un vampire. Ensuite, ma langue remonte très lentement vers le lobe de son oreille que je suçote et mordille entre mes dents. Cette fois-ci, je sens un semblant de frisson parcourir son épaule. Elle tourne la tête et nos yeux se croisent, les siens sont très brillants. Je vois sa bouche ouverte et prête pour un long baiser. Elle s’offre à moi sans autre forme de procès. L’instant d’après, nous sommes en train de nous embrasser comme deux adolescents prépubères, nos langues humides intimement mélangées dans un excès de salive. La grosse bonne femme se donne sans restriction, comme si elle n’attendait finalement que mes caresses. Nous nous roulons une pelle qui semble interminable. J’en profite pour malaxer en tous sens son opulente poitrine.



Elle m’agrippe par le cou, m’attire de nouveau à elle et réclame un autre baiser. Elle semble aimer ces jeux de bouche presque autant qu’une collégienne, car elle y va franco avec une langue bien baveuse. Et elle me serre tout contre elle. J’en profite pour extraire un à un les seins énormes de leur prison de tissu. Ils pendent désormais piteusement le long de la robe de ma comparse, lourds et tombants, deux obus d'une blancheur éclatante. Je n’arrête pas de jouer avec ces appendices, de les tripoter et de les palper, de les pétrir comme si c’était de la bonne pâte. Puis, délaissant enfin la bouche de ma compagne, je me mets à dévorer ses tétons l’un après l’autre, avec voracité.


Pour sûr qu’elle en a envie ! Elle me plaque tout contre elle en me tenant la tête, au risque d’être étouffé par cette poitrine géante… Je suffoque, mais c’est diablement bon et, tout en la tétant, j’en profite pour plonger ma main un peu plus bas et descends lentement le long de son ventre rebondi, à la recherche de son sexe bien gras. Elle glousse un peu mais se laisse faire. Je n’en peux déjà plus, l’opulence de la madone me met dans tous mes états et j’ai maintenant très envie d’explorer tout son corps. Je glisse sous son collant, pénètre dans sa culotte, trouve une touffe de poils luxuriants, écarte ses chairs à la recherche de sa caverne, finit par la trouver son antre et glisse un doigt en elle. Sa grotte est particulièrement humide, juteuse à souhait et aussi chaude qu’une forêt tropicale.


Mais, dans cette position inconfortable, les accès restent limités et, dans ces conditions, nous ne pourrons pas aller bien loin, ni faire vraiment grand-chose. Pourtant, la belle semblant dans les meilleures dispositions qui soient, c’est le moment de lui faire des propositions un peu plus alléchantes. Je l’invite à se relever et lui propose alors de s’allonger confortablement sur le bureau.



J’ai la mine déconfite. Alors elle éclate d’un petit rire moqueur.



d’œil coquin.


Et, joignant le geste à la parole, la voici qui m’entraîne, nichons à l’air, au fond de la grande salle. Puis je tire sur le sol un bout de tapis vert, qui fait habituellement office de tatami pour les cours de judo. Et, tandis que la grosse femme s’allonge péniblement sur cette couche improvisée, un peu duraille, un peu spartiate, je m’agenouille entre ses gros jambons et plonge la tête entre ses affriolants cuisseaux.


Humm, ça hume bon la marée et ça me met en joie. J’aime ces odeurs de chatte. En plus, ainsi que je l’ai remarqué lors de mes premiers attouchements, ses collants sont déjà en partie troués, ils ont comme éclaté sous la pression de ses rondeurs. Il me suffit de glisser mes doigts dans l’interstice et de tirer fermement dessus pour mieux les faire craquer. Je les déchire ensuite sur une bonne longueur, ce qui me permet d’accéder enfin à la culotte que j’écarte pour démasquer une chatte très odorante, qui remplit mes narines d’un délicieux fumet. Ce savoureux parfum me met hors de moi. Ma langue gloutonne lèche et lape cette belle moule poisseuse sur toute sa surface, les lèvres sont longues, très développées, le bouton saillant est bien visible.


J’écarte les chairs pour mettre en évidence une vulve bien rouge, toute luisante de cyprine, un fruit très appétissant que ma bouche dévore avec voracité en faisant glousser ma compagne. Je m’aperçois à quel point elle mouille facilement, cette grosse chatte bien potelée, et son jus bien chaud s’écoule sur mon visage tandis qu’Henriette s’arc-boute sur ses pieds en cambrant bien ses reins. Apparemment, elle n’en peut plus, excitée comme une puce et déjà vaincue après mes léchouilles. Elle devait avoir sacrément envie cette grosse cochonne pour être ainsi troublée. Elle grogne, elle crie, elle éructe. Alors j’insiste un peu et m’acharne sur son bouton turgescent d’envie, avant de descendre avec ma langue râpeuse le long de sa grotte charnue aux parois très humides.


De la bouche de ma compagne sortent des « Non », des « Oui », des « Oh », des « Humm », visiblement elle ne sait plus où elle est, ni où elle en est, elle se tortille dans tous les sens comme un gros ver ventru, me supplie tantôt d’arrêter, puis l’instant d’après au contraire de reprendre. La jouissance la torture, je presse ses seins et les étire au maximum, je les maltraite, je les malaxe, puis je retourne vers son volcan qui semble fin prêt pour une éruption. La pointe de ma langue passe et repasse alors sur son clito désormais tout dur. La dame suffoque et éjacule plusieurs jets de cyprine bien chaude, laisse échapper un grognement de bête en rut puis se met à crier comme une cinglée en tapant des pieds et des mains anarchiquement sur le tatami. Si ce n’est pas un orgasme, ça, qu’est-ce que c’est ? J’essaie de le prolonger le plus longtemps possible avec ma langue en m’acharnant sans pitié sur son gros bouton turgescent. Elle n’en peut vraiment plus, me demande instamment d’arrêter, elle m’en implore, et m’y contraint finalement en m’agrippant fermement par les cheveux et en tirant dessus pour me calmer…



Accroupi sur sa poitrine, je lui présente alors ma trique, droite et érigée devant son nez. Le bout est rougeoyant et ne demande qu’à être happé.



Elle n’a pas le temps de finir sa phrase, je lui enfonce déjà ma queue en bouche. Fermement, en lui tenant la tête, et je lui baise les lèvres.



Pour toute réponse, je l’entends glousser ? Elle roucoule de plaisir et bave le long de mes couilles. Je lui enfonce mon sexe jusqu’au fond de la gorge et la pénètre avec violence, elle a soudain un haut-le-cœur. Conscient d’avoir été cette fois-ci un peu trop brutal, je me calme et la laisse me piper plus tranquillement. Elle s’applique avec ferveur, prend le temps de gober mes couilles une à une, pour passer sa langue sur toute la longueur de ma pine avant de l’avaler. Elle ponctue cette longue fellation de « Humm » de contentement qui semblent, au fil du temps, de plus en plus forts et de plus en plus fréquents. Visiblement elle apprécie de pouvoir jouer ainsi avec ma bite, ça l’excite tant et si bien que c’est maintenant elle qui me propose de la baiser, alors qu’il y a quelques minutes elle s’y refusait. Finies donc les bonnes résolutions ! Elle s’agenouille à quatre pattes et tend vers moi son derrière géant.



Le petit Jésus qui orne son cou en devient presque obscène.

Inutile de la faire attendre, son gros cul réclame un traitement de choc. Je m’approche d’elle pour claquer ses fesses avec violence. Elle a beau avoir mal, elle gémit d’aise à chaque fessée. Je la traite d’obsédée, de vicieuse, de salope et frotte mon gland contre ses fesses, contre sa vulve et dans sa raie.



Mais je la fais encore languir, pénètre sa grotte et en ressors. C’est alors que la grosse bonne femme proteste, me supplie à nouveau de lui baiser son gros derrière. Elle remue langoureusement son popotin et semble complètement déchaînée. Puis, dès que je lui en laisse l’occasion, elle passe sa main derrière elle, agrippe fermement ma bite et dirige mon dard contre sa vulve. Elle l’engloutit d’un coup de fesses et gémissant de contentement.


J’y vais franco et me déchaîne contre son derrière. Nous baisons un long moment comme des bêtes, en ne suivant que notre instinct. J’ai très envie de la saillir, de l’engrosser, j’ai cru comprendre qu’elle avait encore ses règles mais, à son âge, la probabilité de tomber enceinte est bien sûr, plus qu’infime. Sans doute prend-elle d’ailleurs la pilule ? Curieusement, c’est à l’éventualité de la mettre en cloque que je pense, en m’acharnant sur elle comme un sauvage et en jouissant au fond de son con. Elle jouit aussi en sentant mon sperme asperger sa matrice avant de s’écrouler comme une masse sur le tatami. Et moi de m’avachir bientôt sur elle en l’écrasant de tout mon poids.



De recommencer ? Elle qui m’a pourtant vidé de toute substance ! Mais la voici qui se retourne et qui me suce à nouveau de façon démente. La quinquagénaire a un appétit féroce et ne cesse plus de me surprendre. Tandis qu’elle me pompe ainsi comme une vraie pro, je lui avoue mon envie de lui en foutre plein la chatte et de la mettre en cloque. Loin de la faire fuir, ces révélations l’excitent, elle répond à mes fantasmes par des grognements de bête féroce et redouble alors d’envie le long de ma queue. Elle en bave sur mes couilles, cette garce.


Je suis à nouveau bien dur. Alors elle s’allonge sur le dos, écarte ses jambonneaux et qui m’attire entre ses cuisses.



Nos fantasmes s’accordent à la perfection. Moi aussi, si ma femme me voyait avec cette grosse cochonne, elle en deviendrait sans doute moins prude ! Alors, je baise Henriette à grands coups de bite, sans ménagement, avec le secret espoir d’ensemencer son ventre énorme. Et j’ai le plaisir de la voir grimacer, se tortiller et à nouveau jouir sous mes coups de bite… puis j’éjacule de nouveau en elle, en la remplissant de toute ma semence.



Mais qu’en penseraient mes amis ? À coup sûr, ils se foutraient de ma bobine, de me voir tirer cette femme obèse. N’empêche que question cul, elle tient plutôt bien la route !



La belle n’est évidemment pas tombée enceinte et nous n’avons eu le loisir de nous retrouver pour une partie de jambes en l’air qu’une seule fois avant l’été. Il faut dire que nos emplois du temps respectifs sont souvent très chargés et que l’omniprésence de nos conjoints est peu propice à des rencontres très privées.


Mais je viens de m’apercevoir qu’Henriette a complètement refait les plannings des associations pour l’année prochaine et qu’elle s’est arrangée pour que je me retrouve très souvent de corvée en même temps qu’elle. Nul doute qu’elle doit avoir une petite idée derrière la tête, probablement aussi de grosses envies attisées par de longs mois d’abstinence, puisque son mari ne s’occupe plus d’elle. Cela nous promet de grands moments en perspective… Hier soir, je me suis branlé pendant près d’une heure en pensant à tout ce que j’allais lui mettre entre les fesses ! Et j’ai encore envie…