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Temps de lecture estimé : 21 mn
21/08/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  La suite des aventures de barre d'acier qui passe un moment sympa chez Estelle, sa pire ennemie.
Critères:  fh ffh fbi copains dispute fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio fdanus fsodo hdanus humour -hff
Auteur : Jean57            Envoi mini-message

Série : Les aventures de Barre d'Acier

Chapitre 03
Chapitre 3 - Les petits trous

Résumé des épisodes précédents :

Une punaise me pique et voilà que je me retrouve avec une érection du tonnerre qui ne veut pas partir pour mon plus grand bonheur.

Il y a bien cette toubib qui a essayé de régler le problème, sans succès mais avec beaucoup de plaisir.

J’ai ensuite passé un moment agréable avec Jean, un sportif sympa.

Je me suis enfin rendu chez Émilie, ma petite amie qui a réussi à me faire promettre de faire l’amour avec Estelle, sa meilleure amie et ma pire ennemie. Je la déteste mais malheureusement une promesse est une promesse.








Me voici donc devant la porte d’Estelle. Je ne suis pas motivé du tout. Je ne peux pas la sentir et on peut dire qu’elle me hait. Et même en repensant à ce qu’Émilie m’a promis, je n’arrive pas à me décider à sonner. Je réfléchis aux différentes échappatoires mais je n’en vois pas. Je finis par frapper faiblement sans conviction. Après quelques secondes la porte s’ouvre sur Estelle :



Humour à deux balles. Elle continue :



Elle commence à m’énerver. Elle ajoute :



Je n’y crois pas. La situation est déjà assez gênante pour qu’en plus elle me demande une explication. Je tente une réponse.



Je suis scié. Voilà qu’Émilie raconte tout à sa copine. Il va falloir que je lui parle. En tout cas, elle ne lui a pas parlé du moment agréable que nous avons passé ensemble en début d’après-midi. Je dois répliquer.



Elle commence sérieusement à me chauffer.



J’attends sa réaction.



Bien envoyé. Euh, à la réflexion c’était méchant, d’ailleurs elle répond en criant :



Une porte sur le palier s’ouvre et une tête fait son apparition :



Estelle m’empoigne au col et me tire à l’intérieur puis referme la porte. Je tente des excuses.



D’un geste rapide, elle me donne une petite tape sur mon entrejambe. Elle a aussitôt un mouvement de recul.



Inutile de camoufler la bosse que forme ma verge.



Et je remue le bassin de gauche à droite en l’avançant.



Elle m’énerve à me prendre pour un gland. Je décide de prendre les choses en main et je me dirige vers le salon.



Une fois arrivé devant le canapé, je baisse mon pantalon et je le balance avec mon pied.



Je fais de même rapidement avec mon slip qui traverse la pièce.



Je fais voler mon tee-shirt et je m’assois sur le canapé les bras sur le dossier. Je lui lance :



C’est le moment de vérité. Ma théorie est-elle exacte ? En tout cas voilà quelques secondes qu’elle ne dit plus rien et qu’elle fixe mon sexe bien dressé.



Elle ne regarde rien d’autre que ma verge. J’attends qu’elle se décide. Enfin la voilà qui se décide au bout d’un moment.



Et voilà, mon charme irrésistible a opéré. Aucune femme ne me résiste. Je suis gagné par le sentiment d’avoir gagné une bataille. Estelle s’avance dans le salon et se déshabille. J’observe et j’admire le spectacle. Derrière ses vêtements amples de sports, elle cache en fait un corps magnifique. Elle est petite avec des fesses bien fermes mais aux formes très agréables. Ses seins sont de taille moyenne mais sont ravissants avec des tétons qui pointent généreusement. Je réalise que j’ai beaucoup de chance de me trouver là avec Estelle. J’en oublie même notre rivalité.


Puis elle se précipite sur moi et, en deux temps trois mouvements et un joli soleil, elle se retrouve la tête en bas sur mon sexe tandis que ses jambes sont sur mes épaules. Je n’ai pas le temps de réaliser qu’elle me gobe la queue tandis que mon nez s’enfonce dans sa chatte humide. Elle sait ce qu’elle veut et, n’arrivant plus respirer, j’ouvre la bouche. Je ne sais pas comment elle arrive à aller et venir sur ma bite car tout ce que je peux voir, c’est son cul que je trouve très beau et qui dégage une odeur enivrante.


Je m’applique à lécher son clito, mon nez toujours plongé dans son sexe. Elle me suce la tige et elle arrive même à me masser les couilles avec une de ses mains. Mais comment fait-elle ?


De temps en temps, je suis obligé d’arrêter mon cunnilingus pour respirer un peu. Finalement, cherche-t-elle à me tuer par étouffement ?


Avec mes deux mains, j’écarte bien ses fesses ce qui me permet de mieux la lécher. J’adore son sexe rasé et je m’en donne à cœur joie. Sous les caresses d’Estelle, ses coups de langue et ses va-et-vient, je commence à éprouver de plus en plus de plaisir et je sens que l’orgasme approche.


C’est ce moment qu’elle choisit pour stopper tout, descendre du canapé et se planter debout devant moi. Elle me prend par les mains et me tire de toutes ses forces m’obligeant à me lever. Puis sans attendre, elle me saute dessus et j’ai juste le temps de l’attraper tandis qu’elle passe ses bras autour de mon cou et ses jambes autour de ma taille. Puis elle me dit :



Elle passe une main sous ses fesses pour me saisir la queue et la guider jusque dans sa chatte.

« Ah c’est comme ça ! Je vais te montrer de quel bois je suis fait ». Je commence à la limer lentement et je devine qu’elle éprouve du plaisir, même si elle essaie de le cacher. « Tu vas voir ce que tu vas voir ». Au bout d’un moment, j’accélère le mouvement. « Tu vas comprendre que je suis un surhomme ». Je la pilonne maintenant depuis un moment. Je me sens fort, je vais bien la faire jouir. Elle est légère ce qui est très agréable. Je continue à lui défoncer le con.


Bon ce n’est pas tout ça, mais il faudrait qu’elle jouisse maintenant. Ben ouais, j’ai beau être un surhomme, mes jambes commencent à fatiguer. Je dois penser stratégie. Il ne faut pas qu’elle pense que je suis un faible. Je regarde discrètement autour de moi. Le mur se trouve derrière moi à peut-être deux ou trois mètres. Je continue à aller et venir en elle, tout en faisant en douce des petits pas en arrière. Enfin, après un temps qui m’a paru interminable, je me trouve à un petit pas du mur. Et hop, petit pas en arrière, dos contre le mur.


« Quel est le con qui a un jour décidé de mettre du crépi sur ce mur ? » Ça m’arrache le dos. « Ne pas crier, faire semblant de rien, être fort. Je suis un surhomme, nom d’une pipe ». J’avais oublié que, du coup, Estelle aussi se retrouve avec les jambes contre le mur. Ni une, ni deux, elle s’agrippe fermement à moi et pose ses pieds à plat sur le mur, avant de pousser avec force. Et me voilà parti en avant, toujours ma queue dans sa chatte. Ma trajectoire est très aléatoire, je manque trébucher dans la table du salon, j’évite le fauteuil de justesse et finalement j’aplatis Estelle contre la vitre de la porte-fenêtre qui donne sur le balcon.


En définitive, ce n’est pas si mal joué. Elle, dos contre la vitre, je recommence à la bourrer. C’est moins physique maintenant qu’elle est calée contre la vitre. Les yeux fermés, je la laboure sans ménagement. Mes coups de reins sont de plus en plus puissants et, après un long moment, je sens l’orgasme proche. Mais là, connerie absolue, je décide dans une seconde d’égarement d’ouvrir les yeux. Et immédiatement je remarque un couple tranquillement en train de fumer leur cigarette à leur balcon de l’immeuble d’en face. Tout de suite mon plaisir redescend tandis que l’homme me fait un petit signe de la main.


Je déteste qu’on m’observe dans ce genre de situation, ça me coupe tous mes moyens. « Surtout ne pas montrer à Estelle que quelque chose me perturbe ». Je continue à la baiser et, mine de rien, je recommence mon voyage à travers le salon. Merde, cette fois je ne manque pas la table basse ! Je suis déséquilibré. Je dois penser très rapidement et chuter avec grâce. Finalement, je chois comme une merde sur le dos. Ouille ! Estelle négocie bien la chute et se retrouve sur moi, toujours ma queue bien plantée dans sa chatte.


Sans attendre, elle reprend les va-et-vient sur ma queue, mais elle choisit de faire des mouvements de bassin d’avant en arrière pour bien frotter son clitoris sur mon bas-ventre. Oui, le petit veinard, me voilà bien peinard à me reposer tandis qu’elle fait tout le boulot. Quel grand stratège je fais, finalement. Et en plus, je peux enfin toucher ses seins. Je les saisis et je commence à les caresser. Quand je lui pince les tétons, je la sens éprouver plus de plaisir encore car elle se déchaîne maintenant comme une folle. Elle approche de l’orgasme, j’en suis sûr. « Allez, vas-y, jouis. Jouis, je te dis ». Et hop ! Aussitôt dit, aussitôt fait. Voilà que ma queue balance la sauce. « Merde, ce n’est pas à elle que je causais ». Heureusement, quelques secondes après Estelle jouit aussi, puis s’effondre sur moi.


« Alors ? Tu peux me dire merci, bébé. T’as pris le plus grand pied de ta vie grâce à moi. Alors ? J’attends. »

Et j’attends encore. Elle ne bouge pas, elle est toujours sur moi, ma queue encore bien dure est toujours dans sa chatte. Bon, c’est quand qu’elle me dit merci et tout et tout ? Ça commence à faire long. Ça fait combien de temps maintenant qu’on est ainsi sans bouger ? Quinze, vingt minutes ? Le tapis est confortable, mais quand même !


Puis je sens de l’eau sur mon épaule. De l’eau ? Non merde ce n’est pas de l’eau, ce sont des larmes. Ah non ! Elle ne va pas me faire ça. Je déteste voir une femme pleurer, ça m’émeut. Elle essaie de m’avoir par les sentiments. Je dois résister. C’est facile, il suffit de penser à autre chose. À quoi ? J’observe le plafond et je vois dans l’abat-jour en aluminium le reflet de nos corps en tout petit. C’est beau. Non, je dois penser à autre chose. Je tourne la tête et j’aperçois dans l’écran éteint de la télévision le reflet du haut des fesses d’Estelle. Et je sens encore ses larmes sur mon épaule. Merde, elle va finir par m’avoir. Et là, volontairement ou non, elle a un léger mouvement du bassin, ce qui a pour effet de m’exciter.


Je n’y résiste plus, mes mains caressent son dos puis ses fesses. Sans réfléchir, je roule sur le côté entraînant Estelle. On se retrouve finalement en position du missionnaire, mon corps bien plaqué contre le sien puisque ses jambes m’entourent la taille et ses bras étreignent mon cou. Tant bien que mal, je commence à aller et venir en elle, au début lentement puis plus rapidement. Je finis par jouir quelques secondes avant elle.


Elle continue à m’agripper et je reste donc sur elle à l’écraser comme une punaise. Je sens que là, elle va finir par ouvrir la bouche pour me remercier. Elle ouvre en effet la bouche, victoire !



Non mais ! Pour qui se prend-elle ? J’essaie de me lever en m’appuyant sur les mains mais je n’ai pas la force nécessaire.



Elle déconne complet, l’autre. J’essaie de me dégager mais elle m’agrippe de toutes ses forces et je n’arrive pas à me détacher d’elle.



Je lutte encore pour essayer de m’extirper de là. J’arrive même à me mettre pratiquement accroupi, toujours ma queue en elle, pour pousser avec mes pieds tandis que mes mains maintiennent son corps. Rien à faire ! Et puis tout d’un coup, elle lâche volontairement prise. Et me voilà projeté en arrière et je me retrouve assis sur le tapis, dos contre le fauteuil.


Je veux me lever mais Estelle a été plus rapide et déjà la voilà à quatre pattes entre mes jambes et, avant que je puisse faire quoi que ce soit, elle me gobe la queue. Oh, bon sang, comme c’est bon ! Je la laisse faire, beau prince. Je ferme les yeux pour goûter mon plaisir. Sa bouche va-et-vient sur ma tige pendant que sa langue lèche bien toute ma longueur et mon gland. Elle me pompe comme une déesse et je sens la jouissance monter. Mais là, pas de bol, le téléphone posé sur la table basse se met à sonner. Merde, une emmerdeuse sans doute.


Estelle interrompt la fellation et saisit le téléphone tout en me branlant lentement d’une main. Mais qu’est-ce qu’elles ont toutes à téléphoner en me branlant ? En plus, sans doute pour répondre à une de ses amies complètement tarées.



Oups, la copine complètement tarée est en fait ma petite amie. Je n’entends pas ce que dit Émilie.



Aussitôt le téléphone posé, aussitôt elle reprend sa fellation de plus belle. Il ne faut pas longtemps pour que ma bite balance la sauce. Estelle avale tout puis, à genoux, elle place sa bouche à quelques centimètres de la mienne, me tenant toujours la queue.



Et avant que je puisse répondre, elle m’embrasse. Je me laisse faire tandis que sa langue fouille ma bouche et s’amuse avec ma langue d’abord passive puis très active. Estelle tient bien fermement ma bite comme s’il s’agissait d’un trophée. On s’embrasse depuis un moment quand soudain on entend :



On s’interrompt immédiatement et nos regards se portent vers l’entrée de la pièce où se tient Émilie, les mains sur les hanches. Et moi bêtement, je commence à balbutier :



Et avant de m’enfoncer, je me reprends :



Ni une ni deux, Estelle se lève et saisit Émilie par le col.



Estelle entraîne Émilie dans une pièce à côté et referme la porte. J’entends qu’elles s’expliquent assez violemment sans que je puisse entendre précisément ce qui se dit. Au bout d’un moment, je finis par me lever et m’asseoir sur le canapé. Une revue télé traîne sur la table basse, je la prends et je commence à la lire pendant que les filles discutent maintenant plus calmement à côté.

C’est au moment où je finis la revue qu’Émilie sort de la pièce, referme la porte derrière elle.



Je vois qu’Émilie n’est, elle, toujours pas calmée. Puis elle continue :



Sans blague, l’inverse aurait été étonnant. Elle enchaîne :



Elle joint le geste à la parole et fait voler son tee-shirt.



Émilie se place devant moi, me tourne le dos, écarte bien les jambes et se penche en avant pour poser ses mains sur la table basse. Ainsi, j’ai son cul juste sous les yeux. Je ne pense plus à rien d’autre. Elle tourne la tête vers moi.



Bien, elle a trouvé les mots justes pour me motiver. Je ne me fais pas prier davantage, je pose mes mains sur ses fesses pour bien les écarter et je plonge ma langue dans sa raie. Je lui lèche bien l’anus en tournant autour. Après plusieurs tentatives, je réussis à pénétrer son petit trou et à la limer. Enfin, j’entre d’abord un doigt pour la ramoner délicatement. Je tente ensuite d’y mettre un deuxième doigt, il rentre avec difficulté. Avec les deux doigts, je lui élargis l’anus pendant qu’elle se caresse la chatte. Au bout d’un moment, elle se relève et se tourne vers moi.



Émilie me tourne de nouveau le dos et commence à s’asseoir délicatement sur moi. Avec sa main, elle saisit ma queue qu’elle guide vers son anus. Une fois mon gland contre son trou, elle s’assoit lentement. Ma bite pénètre son cul progressivement. Une fois totalement assise sur moi, elle reste un moment comme ça, à se caresser la chatte. Puis elle commence à se soulever et à redescendre. Ma queue frémit sous les allées et venues de son cul. Elle accélère les mouvements, à la fois de ses fesses sur mon sexe et de sa main sur sa chatte. Je mets la tête en arrière et je ferme les yeux. Je sens le plaisir monter irrésistiblement. Et, et… et j’entends une porte. J’ouvre les yeux et je vois Estelle qui entre tranquillement dans le salon, toute nue et qui s’assoit sur le fauteuil en face.


Qu’est-ce qu’elle fout là, celle-là. Je l’avais oubliée. Et comme si de rien n’était, elle vient nous mater. Je n’aime pas ça, ça me coupe le plaisir net. Par contre, Émilie n’a pas changé de comportement, elle se déchaîne toujours à la fois sur ma bite et sur sa chatte. D’ailleurs, je sens sa jouissance qui approche. A-t-elle remarqué Estelle qui s’est installée en face de nous ?


Quelques secondes plus tard Émilie a un orgasme assez violent. Elle finit par reprendre ses esprits et tout en restant assise sur moi, s’adresse à Estelle.



Eh ben, c’est raté. Estelle enchaîne :



Je me manifeste :



Puis m’ignorant de nouveau, elle continue à parler à Estelle :



Et pourtant.



« Quoi ? » hurlé-je dans ma tête.



Ma bite sort d’un coup de son trou, floc.



Elle va rejoindre Estelle pour s’asseoir à côté d’elle. Deux superbes jeunes filles nues, serrées l’une contre l’autre, bien coincées entre les deux accoudoirs du fauteuil. Ouah, la vue est splendide… et bandante. Je remarque la différence de gabarit. Estelle est plus petite et plus mince, ses seins font gros sur son corps. Mais Émilie a de plus gros seins, tout en étant plus grande et moins mince. Elle continue en me désignant du doigt :



Je saisis l’argument au vol :



Émilie me jette son regard qui veut dire :



Ne rien dire, c’est parfois ce qu’il y a de mieux à faire.



Estelle se lève et sort de la pièce. Du coup Émilie s’installe plus confortablement dans le fauteuil avec les jambes sur chacun des accoudoirs. Ainsi, les jambes bien écartées, j’ai une magnifique vue sur sa chatte. Elle me fait un clin d’œil et m’envoie un baiser. Quelques secondes après, Estelle réapparaît, une petite bouteille à la main. Émilie se lève et lui prend la bouteille.



Ah bon ?



Je n’en crois pas mes oreilles. L’un de mes fantasmes va-t-il enfin se concrétiser juste sous mes yeux ? Estelle hésite un moment puis se tourne.



Estelle s’exécute. Ainsi je peux bien voir son cul. Émilie se met à genoux derrière Estelle et lui écarte bien les fesses avec les deux mains. Elle me fait un petit clin d’œil avant de plonger sa langue entre ses fesses et de lécher avec application sa raie. Elle sait ce qui m’excite et je commence à me caresser.


Émilie continue à astiquer le trou d’Estelle et cela semble lui plaire. Je ne vois pas tout dans les détails mais je devine qu’elle finit par lui enfoncer la langue et lui limer le petit trou. Au bout d’un moment, elle arrête de la lécher et ouvre la bouteille pour prendre du lubrifiant. Elle badigeonne bien l’entre-fesses d’Estelle puis, lentement, elle entre un doigt pour la ramoner délicatement. Estelle relève la tête pour montrer que ça lui plait. Émilie déverse encore un peu de produit puis introduit un deuxième doigt très prudemment et adroitement. Enfin, elle fait des va-et-vient, d’abord assez lents puis elle accélère en écartant le plus possible les doigts pour essayer d’élargir le trou. Ensuite elle fait remarquer :



Mon cœur cogne dans ma cage thoracique. Estelle se redresse et vient se mettre dos devant moi. Elle descend ses fesses jusqu’à toucher mon gland. Émilie s’empare de ma queue pour la guider vers le petit trou d’Estelle.



Mon gland est contre le trou d’Estelle qui laisse ses fesses descendre lentement. Mon gland pénètre enfin son antre et ma tige s’enfonce lentement à l’intérieur. Estelle engloutit finalement entièrement ma queue et reste un instant immobile.


Je n’ose bouger. Je devine qu’Émilie qui est à genoux devant Estelle lui fait quelque chose mais je ne sais pas quoi. Puis Estelle commence lentement à aller et venir sur ma queue. Je crois qu’Émilie lui caresse les seins. Je ferme les yeux pour mieux apprécier mon plaisir. Après un long moment, Estelle accélère les mouvements et je devine qu’elle commence à prendre du plaisir. Je sens une main qui se glisse sous mes fesses et un doigt qui cherche mon anus. Il finit par le trouver et à s’enfoncer dans mon trou déclenchant immédiatement un orgasme violent et je balance mes premiers jets de sperme. Estelle se déchaîne maintenant, prise dans son plaisir et elle jouit peu de temps après.


Les filles se replacent ensuite l’une contre l’autre dans le fauteuil en face de moi. Je peux même dire : coincées l’une contre l’autre. Bon, j’essaye de garder mon calme mais c’est dur, très dur même. Elles chuchotent et rient à voix basse. Qu’est-ce qu’elles peuvent bien se raconter ces deux-là ? Pourquoi gloussent-elles comme des poules. Et ça continue un moment à rigoler sans que j’en devine la raison.



C’est Émilie qui explique.



Qu’est-ce qu’elle me veut maintenant ? Devant mon hésitation à répondre, elle enchaîne :



Je n’y crois pas. Elle a tout raconté à Estelle. Je suis muet et pourtant j’ai envie de crier « Salope ! » même si ce qu’elle dit est vrai. Émilie continue :



Puis Émilie embrasse Estelle à pleine bouche. Surprise, Estelle semble apprécier. Le baiser est long et langoureux. Pour m’exciter, ça m’excite. Émilie interrompt le baiser et me lance :



Je sens le piège mais je ne peux que répondre :



Émilie chuchote quelque chose à l’oreille d’Estelle. Puis elles se lèvent. Émilie part à la recherche de mes vêtements tandis qu’Estelle s’installe tranquillement entre mes jambes.



Dire qu’on se détestait, il y a encore un peu plus d’une heure.

Émilie a fini par trouver ce qu’elle cherchait.



Je prends les objets qu’elle me tend et Estelle gobe ma queue.



Euh, ça va bien là. Je ne dis rien mais c’est bien parce que je suis en infériorité numérique.

Pour accélérer les choses, Émilie me reprend tout, compose le numéro et me redonne le téléphone.

Ça sonne. Personne. Ouf. Deuxième sonnerie. Toujours personne. Oui. Troisième sonnerie.



Je suis vexé, il ne me reconnaît pas. À voix basse, je lui chuchote :



Éclats de rire autour de moi. Mais cette fois Jean comprend qui je suis.



Voyant que je me comporte, comment dire ? de façon complètement débile, Émilie m’arrache le combiné, s’assoit à côté de moi. Estelle en profite pour avaler ma queue.



Je n’entends pas la réponse mais je sens la langue d’Estelle qui s’active sur ma tige.



Et l’autre ? ! Estelle continue à s’occuper de ma queue et je ferme les yeux. Je ne fais plus attention à la conversation.

Je finis par jouir dans la bouche d’Estelle.



Et blablabla et blablabla. Et voilà comment, sans entrer dans les détails, je me retrouve chez moi.