n° 15126 | Fiche technique | 15579 caractères | 15579Temps de lecture estimé : 10 mn | 23/08/12 corrigé 11/06/21 |
Résumé: Après l'amour buccal, la baise à deux et à trois. | ||||
Critères: fh fhh fellation cunnilingu 69 pénétratio double sandwich fsodo confession -couple+h -cocucont | ||||
Auteur : Mongil |
La première partie (n°14878) de ce récit se terminait ainsi…
« Dans un long cri, je me lâche et succombe à un orgasme d’une rare intensité. Mon sexe s’est transformé en fontaine, tant je coule, pour le plus grand plaisir de mon partenaire. Lui, la bouche rivée à ma fente, s’abreuve de mon jus intime. Je le repousse quand il veut embrasser mon bouton, tant celui-ci est devenu sensible. Il se relève, le menton luisant de mon plaisir et, en souriant, me dit :
Mon cœur bat la chamade. Il y a bien longtemps que je n’avais joui aussi intensément. Le fait de jouir avec un autre que mon chéri et devant lui n’est pas étranger, j’en suis sûre, à ce plaisir démultiplié.
Je ferme les yeux et savoure cet orgasme.
Le premier d’une longue série, je n’en ai aucun doute ! »
François est parti chercher une autre bouteille. Je me retrouve seule avec Philippe, allongé non loin de moi, qui me regarde avec une envie non dissimulée. Son pied vint au contact de mon mollet, doucement il flatte le côté de ma jambe de façon sensuelle. J’ai chaud. Je sens la chaleur envahir mon corps par vagues successives. Le désir revient et je n’ai pas de résistance à lui opposer. Il se lève et s’approche de moi. Il me prend la main et m’attire contre lui, je me lève et m’assois sur ses cuisses, face à lui. Je sens la douceur de sa peau. Je suis pantelante dans ses bras, je tremble de tous mes membres, mes pensées sont confuses, j’ai faim de ce corps. Je me presse contre lui, il cherche ma bouche et nos langues s’entremêlent. Ses mains dansent sur mon corps, dont elles s’approprient les courbes et les formes. Pendant plusieurs minutes, il m’embrasse et me caresse, je soupire à chaque frôlement de ses mains. Nous nous levons et, face à face, continuons à nous embrasser
François est revenu, il est derrière moi, je sens ses doigts qui rejoignent ceux de mon amant, ils m’entourent de leurs bras. Quatre mains se promènent sur mon corps.
Puis, François nous laisse et s’assoit pour nous regarder, les yeux pleins de désir.
Je suis collée contre mon amant. Je sens la chaleur de son corps contre ma peau. Je perçois l’envie qu’il a de moi, son sexe tendu contre mon pubis, ses mains posées sur mes seins, il les cajole, ses doigts frôlent mes tétons. Je caresse ses fesses, pose ma tête sur son torse. Je comprends que François me laisse retrouver mon amant pour jouir du spectacle, avant de venir nous rejoindre.
J’ai faim de ce corps qui m’a déjà donné du plaisir, j’en veux plus. J’avance mon ventre contre celui de Philippe, je sens le sexe chaud et dur. Je sais que mon sexe est humide, détrempé. Je descends mes mains sur son membre, tandis qu’il caresse mes fesses et, tout doucement, sa bouche s’empare de mes seins. Il passe de l’un à l’autre, sa langue tète mes tétins érigés. Tout mon corps s’émeut de ces caresses. Les ondes de plaisir sont presque insoutenables. La main de Philippe glisse le long de ma jambe, passe derrière ma cuisse, doucement en frôle l’intérieur. Je laisse échapper un soupir de plaisir. Ses doigts approchent de mon intimité, à leur contact je me cambre allant au-devant de sa caresse.
Il m’allonge et se couche entre mes jambes ouvertes. Sa langue remplace ses doigts. Comme la première fois, elle pénètre ma chatte, je retiens ma respiration à chaque fois qu’il suce mon clito. Il veut encore me faire jouir avant de me prendre. La chaleur de mon corps et les tremblements également s’amplifient. Je gémis et maintiens sa tête sur mon sexe. Je sens les vibrations dans mon bas-ventre, la vague de plaisir me submerge. Il continue ses mouvements de plus en plus lentement pour me laisser jouir encore de cette petite mort.
Quand le plaisir retombe, il ne me reste que le désir d’être prise par la verge de mon amant, je le veux depuis que je l’ai fait jouir dans ma bouche.
Je lui dis :
La tension est palpable, depuis que je vis avec François, jamais je n’avais imaginé vivre un tel moment. Mes pensées sont confuses, le feu de l’envie court dans mes veines, l’orgasme qui vient de me traverser n’a pas éteint ce désir d’être prise par Philippe.
Avec François qui me regarde, cela m’émoustille encore plus, je n’ai jamais été aussi excitée.
Je tends ma main vers la colonne de chair, mes doigts l’entourent, je sens le membre palpiter dans ma main. Je fais quelques allers-retours qui arrachent des gémissements de bonheur à mon amant.
J’approche mon visage du sexe tendu, j’ai envie de le goûter à nouveau, je le prends entre mes lèvres, doucement. La tension de mon amant est palpable, son membre frémit sous mes coups de langue. Il se dégage, je m’allonge, offerte, je regarde François qui me sourit les yeux emplis d’amour. Et il dit à Philippe :
Je perçois le pieu chaud et dur se poser à l’entrée de ma chatte, mes lèvres intimes s’écartent doucement pour le laisser pénétrer. Quelle impression étrange de sentir ce sexe, inconnu il y a peu, qui progresse doucement en moi, pour la première fois. Il reste immobile dans mon fourreau de chair quelques instants, j’écarte largement les cuisses pour le laisser entrer le plus profondément possible. J’empoigne ses fesses pour l’encourager à bouger dans mon sexe.
Il est doux, chaque mouvement déclenche en moi des spasmes de volupté, à chaque va-et-vient, je crie mon plaisir. À chaque coup de reins, il entre en moi et nos pubis vont à la rencontre l’un de l’autre. Une deuxième vague de plaisir déferle sur moi. Une nouvelle fois, tout mon être est envahi de jouissance. Il le devine et a ralenti son mouvement. Je suis avide de cette sensation d’être remplie d’un sexe d’homme. Je regarde François et lui dis :
François se rapproche, je ne suis pas surprise de le voir en érection, il s’approche doucement, il m’embrasse, nos langues se cherchent. Je lui donne dans ce baiser tout l’amour que j’éprouve en cet instant pour lui. Lui qui m’offre un amant pour me donner encore plus de jouissance.
Philippe reprend ses mouvements de va-et-vient de plus en plus puissants. François continue de m’embrasser, je le sens fou de désir pour moi. De la main, je m’empare de son sexe et le branle tendrement. Il réagit instantanément à cette caresse par un long soupir.
Je repousse tendrement Philippe et dis à mon chéri :
Je ressens un grand vide dans mon ventre en l’absence du beau phallus de mon amant. Je me retourne face à mon homme en 69 avec lui, tournant le dos à Philippe, dans une position indécente appuyée sur mes coudes et cambrée au maximum. Un regard vers lui, il comprend qu’il peut me reprendre. Dans cette position, je me sens plus offerte, il entre en moi avec une facilité déconcertante.
Oh mon dieu, je n’ai jamais été aussi excitée !
Parfois son gland ressort légèrement devant le visage de François qui y donne des petits coups de langue, j’écarte un peu plus les jambes et c’est lui qui le guide à nouveau vers l’entrée de ma grotte. Il me prend avec vigueur, je suis complètement ouverte. Son sexe s’enfonce bruyamment et sans effort jusqu’au fond de mon vagin.
Je vois devant ma bouche le beau phallus tendu de mon homme.
Je m’en empare avec une convoitise non dissimulée. Ressentir en moi les sexes de deux hommes qui bougent en harmonie, m’offre un plaisir physique et cérébral. Je ne peux m’empêcher de gémir de bonheur, je lâche parfois la hampe de mon homme pour reprendre mon souffle, tant les coups de boutoir de Philippe sont puissants. Des mains me caressent les fesses, les seins, mon ventre. Tous ces attouchements et les va-et-vient entre mes lèvres et dans mon vagin brûlant, me transportent vers des plaisirs inconnus jusqu’alors. J’emprisonne le membre de mon homme dans ma main quand je sens Philippe se répandre en moi et je me noie dans un océan de jouissance plus grand encore en partageant avec mon amant ce moment d’extase pure.
Il se retire, je tremble encore de tous mes membres, je me retourne et l’embrasse tendrement. Je fais basculer mon homme sur le dos et entreprends de lui donner du plaisir avec ma bouche. Je crois ne l’avoir jamais senti aussi dur entre mes lèvres.
Philippe me caresse à nouveau le dos et les seins. Le désir renaît, tout aussi puissant qu’avant. Au-dessus de lui, je m’enfile sur la hampe brûlante de mon chéri, les cuisses ouvertes pour l’accueillir. Il m’embrasse tendrement, c’est une sensation complètement différente de sentir sa verge entrer en moi après le passage d’une queue étrangère. Je gémis de bonheur. Les mains de Philippe entament un ballet d’effleurements qui mettent mes sens à la torture.
François place sa bouche sur mon sein droit et Philippe sur le gauche. Je continue d’onduler sur le pieu de chair qui me laboure les entrailles. Je découvre une sensation délicieuse, deux langues s’activent sur mon corps dans des baisers érogènes. Mon sang bouillonne, c’est un torrent de lave en fusion. Notre ami qui bande encore un peu, revient se faire sucer. Je l’engloutis sans me faire prier. Je suis secouée par la violence des coups de reins de mon homme et ne tarde pas à jouir de nouveau. Dans un dernier coup, il se plante en moi et se vide en criant. Mon amant lui aussi se remet à jouir, il se vide sur ma poitrine et je m’enduis les seins avec son sperme tout chaud.
Je prends alors leurs belles queues en bouche, je les suce et les nettoie l’une après l’autre. L’un me caresse le sein droit et l’autre le gauche. La glace du salon nous renvoie l’image merveilleuse de trois corps enlacés.
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Après cette nouvelle séance de baise, François nous sert une nouvelle tournée que nous dégustons. Je regarde mes deux hommes, visiblement ravis de la soirée et leur dis :
Comme pendant qu’ils me caressent les seins, j’ai un sexe dans chaque main, je les sens durcir à nouveau. Je n’y crois pas, ils m’ont déjà fait jouir… je n’ai pas compté… eux-mêmes m’ont honoré de leurs éjaculations deux ou trois fois et les voilà près à reprendre du service.
Mon chéri demande à Philippe de me baiser, celui-ci se relève et se positionne entre mes cuisses. Il me regarde intensément me sourit et fait signe à Philippe de me pénétrer doucement.
Je vois le sexe de Philippe s’approcher de mon sexe. Mon époux me serre la main. Puis la bite de Philippe s’enfonce lentement dans ma chatte. Enfin nos deux sexes se rejoignent et Philippe dans un dernier mouvement s’enfonce tout au fond de ma fente. Il reste un moment immobile. La glace me renvoie mon image baisée par un autre que mon chéri. François bande comme jamais, excité par la vue de notre ami me baisant. Je l’attire et recommence à le sucer avec amour. Philippe alors me pilonne avec vigueur m’arrachant une énième jouissance.
Il demande alors à Philippe de basculer et, tout naturellement, je me retrouve sur lui, empalée sur son sexe. Je vais et viens faisant ballotter mes seins que Philippe caresse ou embrasse. Mon chéri se positionne derrière et appuie sur mon dos. Je comprends son intention et arrête mes mouvements pour m’offrir ce que je ne lui offre que rarement. Il présente alors son membre tendu devant mon petit trou. Le jus de mes jouissances coulant entre mes fesses, lui facilite la tâche et, millimètre après millimètre, je sens son pieu pénétrer jusqu’à le sentir tout au fond de mon cul, et cette fois j’apprécie. Je me mets alors à nouveau à bouger et je sens les sexes de mes amants se frotter au travers de la mince paroi qui les sépare.
Je bouge de plus en plus vite, Philippe me baise, François m’encule et la glace, notre complice, nous renvoie cette image merveilleusement sexy qui restera à jamais gravée dans ma tête : moi en sandwich entre mes amants. Je jouis une nouvelle fois en même temps qu’ils éjaculent tout au fond de mon corps. Des larmes de bonheur coulent le long de mes joues. Je hurle ma jouissance quand je sens mon homme s’épandre au fond de mon cul et mon amant dans mon vagin. Je retombe inerte ne percevant que les baisers de mes amants, avant de sombrer dans une demi inconscience.
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Je rêve de mon homme et de la sexualité magnifique qu’il m’offre. Quand je me réveille, Philippe a disparu. Je me blottis dans les bras de François, je veux me fondre en lui, je ne pensais pas que c’était possible, pourtant l’amour que j’éprouve pour lui semble encore plus intense. Les sensations de la nuit sont encore présentes et surtout l’envie de faire l’amour à François.
Je le repousse légèrement sur le côté, et découvre son sexe en érection. Je fais glisser ma main sur son ventre, et j’effleure du bout des ongles son gland. J’aime ses érections matinales, il dort toujours quand mes doigts entourent le mat de chair. Doucement j’approche mon visage, entrouvre mes lèvres et prends sa tige dans ma bouche. François gémit doucement, je m’applique à lui donner du plaisir. À chaque mouvement je le sens plus dur, je suis toute excitée à nouveau, des flots de liqueur s’écoulent de mon sexe. J’ai besoin de l’avoir en moi.
Je le chevauche et m’empale, il est tout entier palpitant en moi. Le plaisir vient, je regarde mon homme, à présent bien réveillé. Il grimace de plaisir. Il ramène mes cuisses un peu plus près de lui, je m’ouvre encore plus. François amorce alors une lente série de va-et-vient, il entre totalement en moi, il accélère, je sens mes seins ballotter à son rythme, il me pilonne de toutes ses forces, à chaque coup de reins, je crie, je gémis, lui souffle, soupire et tremble. Je devine qu’il est à bout, qu’il est prêt à venir, cela décuple mon plaisir et m’amène vers un orgasme puissant, dévastateur. Il crie en même temps que moi, nous sommes dans une parfaite osmose.