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n° 15128Fiche technique20050 caractères20050
Temps de lecture estimé : 12 mn
28/08/12
Résumé:  Qui n'a pas rêvé de faire l'amour avec une actrice ? Michel va peut-être réaliser son fantasme...
Critères:  fh piscine voyage revede voir fellation cunnilingu 69 pénétratio -occasion -voyeuroca
Auteur : Filou      Envoi mini-message
Ma nuit avec Grace Kelly

Elle est là, derrière la porte. Qui ? Grace Kelly ! Cette femme incroyablement belle attend son amant pour faire l’amour ! Avec Gary Grant ? Non, avec moi, Michel, 35 ans. Dans quelques mois je vais me marier avec la compagne de ma vie, du moins je le crois. Et me voilà dans la salle de bain d’une chambre d’hôtel en train d’hésiter à tromper ma fiancée !


Cher lecteur, tu ne me crois pas ? Tu as raison, elle n’est pas Grace Kelly, elle n’est pas non plus son fantôme, mais elle lui ressemble beaucoup. Elle est faite de chair et d’os et pour moi, c’est elle ! Un fantasme va peut-être se réaliser. Il faut que je t’explique comment j’en suis arrivé là. Revenons en arrière. Flashback !



Gilbert est le responsable du service dans le lequel je travaille, mon boss, quoi ! Depuis quelques années je suis chef de produit chez un voyagiste à Paris. Mon secteur c’est la Grèce, Bouzouki et Souvlaki, le Parthénon, Athènes, Mykonos, Rhodes… Enfin tu as compris, cher lecteur, que quand tu passes tes vacances en Grèce c’est peut-être moi qui ai tout organisé.


J’arrive devant le bureau de Gilbert et, bien sûr, je dois attendre. Que me veut-t-il ? Il y a encore un problème avec le catalogue ? Il me fait signe d’entrer avec la main, ma collègue Hélène des « ventes spéciales » est déjà dans le bureau.



Je ne sais pas dire non aux jolies filles et me voilà le lendemain dans le hall de l’aéroport de Roissy. Nous sommes au mois d’août, je me suis habillé très légèrement, chemise et jean en toile, je traine mon unique bagage de cabine. Pour quatre jours c’est largement suffisant. Je cherche mes clients : M. A. Stutman et Mme G. Chaney, un monsieur et une dame avec une plaquette « Sun Partner ». Finalement je vois une femme avec la fameuse plaquette sous le bras, elle est seule et tu as déjà deviné cher lecteur : une apparition, Grace Kelly ! Enfin non, mais presque. Grande blonde, mon âge, 35 ans environ, cheveux mi-longs, pantalon noir et chemisier blanc en lin. La grande classe, elle est tellement belle que j’en suis intimidé.



Elle parle le français avec un fort accent américain, puis elle poursuit en anglais :



Non ce n’est pas possible je rêve, elle s’appelle Grace, une américaine, je suis complètement désarçonné.



Mais, qu’est-ce que je raconte, fais attention à ce que tu dis Michel !



Pendant l’embarquement et le début du voyage notre discussion est purement professionnelle, trois heures et demie c’est long. Après le repas, elle s’endort. Je regarde son cou gracile et le décolleté de sa chemise, je distingue son soutien-gorge en dentelle soutenu par de fines bretelles, sa respiration est lente et profonde, sa légère poitrine se soulève en rythme, je distingue un peu de salive entre ses lèvres. Je sens son odeur, cocktail de parfum chic, de shampoing et de son odeur corporelle.


Je laisse ma jambe toucher la sienne en faisant semblant de dormir au cas où elle se réveillerait. Je viens de boire un verre de vin blanc presque à jeun et mon esprit commence à vagabonder. Je me vois au volant d’une grande américaine décapotable sur une route le long de la mer, Grace assise à mes cotés avec une écharpe légère flottant au vent. « La main au collet ». Combien de fois ai-je vu ce film ? Mais non, je ne suis pas Gary Grant ! J’ouvre les yeux de temps en temps pour détailler son fin profil et le dessin de sa bouche, je m’imagine la prendre dans mes bras et l’embrasser d’un baiser passionné. Ne rêvons pas, ce n’est pas demain la veille ! Mais, c’est incroyable, je vais rester avec cette femme pendant quatre jours, on va voyager, manger ensemble, peut -être même se baigner ! Côtoyer Grace Kelly en bikini ! Pas trop mal, comme week-end, merci Hélène ! J’ouvre de nouveau les yeux et je m’aperçois qu’elle est en train de me regarder.



Vers 19 heures, l’hôtel est en vue, un rêve ! Déjà le soleil commence à se coucher sur la baie d’Elounda. La mer cristalline prend des reflets rouges, la côte accidentée parsemée d’îlots se découpe dans la lumière. Nous arrivons à la réception et je demande à voir le directeur, Dimitri, que je connais déjà.



Dans ces hôtels de luxe les réceptionnistes sont toujours mielleux et hautains. Ridicule oui ! Hélène, je vais la tuer ! Dans quelle galère elle m’a mis ? Malgré mon insistance et mes menaces de résilier le contrat avec eux, rien à faire. Dimitri était absent et on ne pouvait pas le contacter, l’hôtel était plein ! Heureusement que Stutman ne s’est pas présenté au départ ! Piteusement, j’explique à Grace que je vais devoir la laisser seule à l’hôtel et me trouver une chambre autre part pour cette nuit. Elle me regarde un instant et se met à rire :



Le bungalow avec terrasse et une petite piscine privative de quelques mètres carrés nous offre une vue exceptionnelle sur la mer et la petite île qui longe la plage.



Quelle situation embarrassante, elle doit être furieuse, elle ne risque pas de signer le contrat de retour à Paris ! Mais, d’un autre côté elle allait dormir là, à côté de moi, c’est incroyable !


Quelques temps plus tard, nous voilà en train de diner sur la terrasse du restaurant au bord de la plage. Une légère brise fait onduler ses cheveux blonds comme les blés. J’essaye de parler de travail mais, systématiquement elle détourne la conversation pour parler de choses et d’autres. Après un apéritif et quelques verres de vin elle sait pratiquement tout de ma vie. D’elle, je ne sais rien ! Je lui propose d’aller faire un tour dans le petit port typique à quelques kilomètres de l’hôtel.



Comment fait-elle pour avoir cette décontraction, cette sûreté d’elle-même ! Cela démontre certainement beaucoup d’éducation et un milieu d’origine élevée. Je la regarde marcher devant moi, sa robe blanche courte cintrée et sans manches épouse parfaitement les mouvements de son corps. Ses longues jambes semblent glisser sur le sol. Arrivés au bar, nous commandons deux vodka-glace, l’orchestre joue des classiques et quelques couples dansent sur la petite piste de danse.


Des extraits des films de Grace Kelly se déroulent dans ma tête et l’alcool aidant je commence à perdre le sens de la réalité. Nous nous retrouvons en train de danser et plusieurs fois nos visages et nos corps se frôlent. La soirée avançant nous continuons à commander des boissons et il me semble qu’elle aussi commence à ne plus avoir les idées claires.



Ce n’est pas une demande, mais un ordre ! Je lui prends la main et elle se lève en trébuchant légèrement, sa main reste dans la mienne jusqu’à la chambre. Après avoir ouvert en grand la porte fenêtre de la terrasse, je m’assois dans un fauteuil et je l’observe pendant qu’elle prépare deux vodkas avec de la glace. Je lui propose de les boire dans notre piscine. Elle ne me répond pas mais se lève et va déposer les verres au bord de l’eau d’un bleu fluorescent. Puis tout en me regardant, avec sa main derrière le dos, elle ouvre sa robe qui glisse sur le plancher. En slip et soutien-gorge elle se dirige et descend dans la piscine.



Je retire ma chemise, mon pantalon et, ne gardant que mon caleçon, je m’immerge dans l’eau transparente. Chacun dans un coin de la petite piscine nous nous regardons tout en buvant notre vodka. La fraicheur de l’eau m’a un peu éclairci l’esprit et je sens mon cœur qui bat la chamade avec force, peut-être qu’elle l’entend aussi ? Elle me fixe toujours avec un sourire énigmatique. Abandonnant mon verre je m’approche d’elle en deux pas et en mettant délicatement mes mains de chaque côté de son visage j’embrasse cette bouche que je n’ai pas arrêté de détailler depuis ce matin. Elle répond à mon baiser en ouvrant ses lèvres, ma langue glisse sur ses dents et commence à jouer avec la sienne.


Je colle mon corps contre le sien, elle ne peut pas ne pas sentir mon érection dressée contre son ventre. Ma main gauche descend vers sa poitrine, se glisse sous le soutien-gorge et commence à caresser ses petits seins dont je sens les extrémités durcir sous ma paume. Je plaque mon autre main entre ses cuisses, sentant à travers le tissu de sa culotte les poils de son pubis. Puis d’un coup je recule et je sors de la piscine.



Et me voilà, cher lecteur, dans la salle de bain en train réfléchir à ce que je vais faire ou ne pas faire. Coucher avec Grace Kelly, c’est tromper ma petite amie ? C’est une cliente, ça pourrait compliquer les choses ? Peut-être voudrais-tu me donner un conseil ? Mais non, en fait je n’en ai pas besoin. Je retire mon caleçon mouillé. Je retourne dans la chambre où je trouve Grace assise sur le lit jambes croisés, une serviette de bain autour de la taille et la poitrine nue ! Je m’approche, m’assieds à côté d’elle et, toujours sans un mot, nous nous embrassons. Elle s’allonge sur le lit, je lui retire sa serviette et constate que sa culotte a disparu aussi. Ses bras autour de mon cou je dépose des baisers sur ses yeux, son cou, ses seins où je prends leur petite pointe dressée entre mes lèvres. Puis c’est le tour de son ventre et de son pubis partiellement épilé, il ne reste qu’un petit rectangle de poils blonds plus sombres que ses cheveux. Sa peau est fraiche et a pris le goût de l’eau de la piscine.


Elle écarte d’elle-même ses jambes et je découvre son sexe que j’explore d’abord avec ma main. Je constate qu’elle est déjà très mouillée, une petite perle nacrée pointe dans le bas de sa fente. Après avoir écarté ses petites lèvres, c’est au tour de ma langue de visiter son intimité ; un petit goût de cannelle emplit ma bouche. Elle pose sa main sur l’arrière de ma tête pour m’inviter à continuer. Toujours avec la langue j’agace son petit clitoris pendant qu’avec deux doigts je pénètre plus profondément son vagin. Je la sens trembler, agiter son corps tandis que ma bouche est copieusement mouillée par son suc intime.



Je me redresse et m’allonge sur elle en tenant mon pénis à la main, je le frotte contre sa fente mouillée pour le lubrifier et la pénètre doucement. Subitement, elle serre ses jambes dans mon dos et notre copulation devient plus violente, ses mains s’agrippent à ma nuque, nos langues et notre salive se mélangent furieusement. C’est avec des soupirs profonds que j’éjacule au plus profond d’elle tandis que l’orgasme la prend elle aussi, elle crispe ses jambes autour de moi et un cri sort de sa bouche.


J’espère qu’il n’y a personne sur la terrasse du bungalow d’à côté car, elle n’a pas fermé la fenêtre. « Le feu sous la glace », c’est ce que l’on disait d’elle, de l’actrice, je veux dire !



Elle enfile une nuisette courte et moi mon peignoir, nous sortons. Quelques instants plus tard, nous fumons une cigarette assis côte à côte sur le matelas de la piscine en regardant la mer légèrement éclairée par un croissant de lune.



Effectivement, un couple est en train de s’embrasser sur la terrasse d’en face. Je reconnais un couple que j’ai aperçu à la piscine.



Elle se lève, tourne l’interrupteur et revient avec une paire de jumelles et commence à observer le couple. C’est vraiment bizarre toutes ces coïncidences, nous voilà dans « Fenêtre sur cour », un meurtre va être commis !


J’observe moi aussi le couple qui est maintenant complètement nu, l’homme est allongé sur le bord de la piscine et la jeune femme le chevauche, je peux voir sa poitrine opulente tressauter en rythme. Grace me tend les jumelles en faisant signe du silence avec son doigt. Je m’agenouille sur le matelas et observe la scène. L’effet grossissant est saisissant, je distingue le pénis de l’homme entrer et sortir du sexe de son amante entre ses fesses dodues. Je fais signe à Grace et elle vient s’asseoir sur mes jambes repliées en collant son dos contre moi, nous sommes tous les deux en train de mater le couple et les jumelles passent de main en main.


Je sens les fesses de Grace bouger légèrement contre mon sexe. Au bout d’un moment, mon excitation est à son comble, avec sa main elle guide mon pénis contre sa fente et s’empale sur moi. Je lui laisse définitivement les jumelles, elle s’avance et appuie ses coudes contre le dossier du lit de piscine. J’ai suivi son mouvement sans sortir d’elle et je continue à la besogner en levrette pendant qu’elle observe la scène. Avec une main j’ai remonté sa nuisette jusqu’à ses épaules et je lui caresse les seins et de l’autre je m’occupe de son clitoris. Elle se tourne vers moi et me dit :



J’accélère mon va-et-vient et je sens son orgasme arriver. Elle s’écroule sur le matelas où je m’allonge moi aussi. Avec sa main, elle constate que mon pénis est toujours dressé.



Elle m’enjambe et se mettant tête-bêche me prend dans sa bouche en offrant son intimité à mon regard. Pendant qu’elle me fait une douce mais ferme fellation j’écarte avec mes doigts ses petites lèvres et lèche son intimité rose pâle, les poils de son pubis agaçant mon menton. Je ne résiste pas longtemps et je viens dans sa bouche. Elle recrache le sperme sur mon ventre et disparait dans la salle de bain.


Après une rapide douche je la rejoins au lit. Elle se tourne vers moi, appuie sa tète contre nom torse. D’une petite voix elle me demande :



Je sens le sommeil me gagner, mais j’ai un peu peur de m’endormir. Tout cela n’est qu’un rêve. Demain, je vais peut-être me réveiller auprès d’une femme quelconque ? Pas Grace Kelly ? Au fait, elle n’est plus de ce monde depuis quand ?