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n° 15130Fiche technique24553 caractères24553
Temps de lecture estimé : 15 mn
29/08/12
Résumé:  Je n'avais pas le moral, j'ai envoyer bouler ma femme... elle s'est vengée pour mon plus grand plaisir !
Critères:  fh couple extracon cocus fête anniversai toilettes vengeance jalousie dispute intermast facial fsodo
Auteur : Acme69      
Qui joue, perd...

Il y a des jours où rien ne va comme on le voudrait…


À 41 ans, cadre commercial dans l’informatique au sein d’une société en plein boum, j’ai les nerfs souvent à fleur de peau pour pas grand-chose. La meilleure illustration d’une situation où cela m’a beaucoup coûté restera à jamais gravée dans ma mémoire… et celle de ma femme.


Ce matin-là, après une nuit de qualité très médiocre en termes de sommeil, je renverse mon café brûlant sur mon pantalon de costume, je n’arrive pas à mettre la main sur mes clés de voiture et je pars travailler avec dix bonnes minutes de retard. Rien de grave, mais lorsque l’on n’est pas d’humeur, ça n’arrange pas les choses.


Tout au long de la journée de ce vendredi d’été, de petits tracas ont maintenu mon niveau d’excitation (rien de sexuel malheureusement) à un niveau pas très loin de l’explosion (là non plus). Pour tout un chacun, cela relèverait de la simple « gêne », mais pour moi, le faux calme comme aime à me présenter ma femme Muriel, cela devient vite irritant. Le problème c’est que dans ces moments-là je ne suis pas à prendre avec des pincettes, pour reprendre la formule consacrée.

Bref, comme vous l’aurez compris, je n’étais pas dans les meilleures dispositions pour supporter quelque nouvelle contrariété que ce soit.


Le soir, de retour à la maison, pensant démarrer le week-end de la meilleure façon qu’il soit, à savoir une bonne bière bien fraîche à déguster dans le plus simple appareil au bord de la piscine en picorant des gâteaux apéritifs, quelle ne fut pas ma déception en voyant Muriel apprêtée de telle manière qu’il ne faisait aucun doute sur le fait que nous n’allions pas rester à la maison le soir.



C’est vrai que cette mauvaise humeur m’a totalement fait oublier de regarder ma femme alors qu’elle porte une magnifique robe légère en mousseline blanche, très haute sur la cuisse, avec de fines bretelles qui ne laissent aucun doute sur l’absence de lingerie en dessous pour retenir ses petits seins fermes. Au moindre mouvement de buste ils se baladeront libres comme l’air pour le plaisir de qui voudra bien les regarder. Comme souvent dans ces cas-là, l’excitation de ne pas porter de soutien-gorge et le contact direct de la peau avec le tissu de la robe font que ses tétons pointent largement. Inutile de préciser que la robe est très décolletée sur le devant, sans quoi ce ne serait pas intéressant. La légèreté de la robe et sa finesse laissent entrevoir par transparence le corps mince et élancé de Muriel lorsqu’on la regarde à contre-jour. J’admire toujours autant ses fesses galbées et fermes, surtout quand la ficelle d’un string et des talons hauts les mettent en valeur comme ce soir.


Ma réaction immédiate est de faire remarquer à Muriel que sa tenue est très sexy et que, la connaissant, elle risque de ne pas toujours faire attention à ses positions et de dévoiler aux autres invités ses parties intimes et ses seins.



Résigné, je me prépare et nous voilà partis en voiture pour rejoindre nos amis à quelques kilomètres de chez nous. Pendant le trajet j’ai bien remarqué les petits gestes de ma femme pour que sa robe remonte encore plus haut sur ses cuisses, jusqu’à dévoiler sa lingerie fine, ou bien les petites caresses de ses doigts à travers le tissu de son bustier pour faire bander ses tétons, mais rien n’y fait, je ne suis pas d’humeur coquine.


Ayant de la suite dans les idées, elle ne semble pas décidée à s’arrêter devant mon refus de coopérer et commence à écarter légèrement ses jambes pour laisser passer sa main avec laquelle elle se caresse lentement l’intérieur des cuisses, tout en empoignant son sein de l’autre main. Une fois sa main en haut de la cuisse, elle décale ses fesses au bout de l’assise du siège pour libérer l’accès à son sexe et caresser le tissu de son string qui cache son pubis rasé.


Lentement elle descend un doigt entre ses grandes lèvres, ce qui a comme résultat instantané de laisser apparaître une tâche humide, signe de son excitation. La tête en arrière, la bouche ouverte et les yeux clos, Muriel continue sa lente masturbation sur le tissu. Au bout de quelques minutes de ce traitement ponctué de soupirs d’aise et de petits gémissements de plaisir, elle glisse deux doigts sous la lingerie et pénètre son vagin déjà bien ouvert et dégoulinant de cyprine. Ses doigts s’activent au fond de son sexe et titillent son point G de plus en plus frénétiquement. Le souffle court, les muscles du corps tout entier tendus, ma femme s’offre une séance de masturbation en solo comme je ne l’ai jamais vue faire.


Je jette un coup d’œil, mine de rien, sur ce qui se passe sur le siège passager, ce qui me vaut une érection d’acier dans mon boxer. Tellement mon sexe est gros, et à l’étroit qu’il me fait un mal de chien. Rien ne s’arrange quand Muriel décide de prolonger sa caresse en retirant un des doigts de son vagin pour humidifier son anus grâce à son jus, et de le pénétrer. La voilà maintenant partie dans des va-et-vient rapides de ses doigts, dans son vagin et dans son anus, qui l’amènent jusqu’à un violent orgasme ; les muscles de ses cuisses se crispent sur sa main et elle pousse un long râle rauque qui manque de peu de me faire éjaculer tant il est érotique.


Plus aucun mot jusqu’à l’arrivée ; en sortant de la voiture Muriel se réajuste un peu, vérifie son maquillage dans le rétroviseur et se dirige vers l’entrée sans m’attendre. Je crois que la fin de journée ne va pas mieux se passer pour moi qu’elle n’a débuté…



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La salle est très accueillante, il y a un long bar avec des tabourets hauts, des barmen qui servent des cocktails, des canapés de l’autre côté de la pièce, et au centre une grande piste de danse baignée par des jeux de lumières très réussis qui confèrent au lieu une atmosphère cosy et feutrée. L’ambiance bat son plein, certains groupes rient à gorge déployée, d’autres se murmurent à l’oreille, des couples, des amis, des inconnus.


Cathy nous voit enfin, elle lève les bras au ciel et fonce directement sur nous avec un large sourire pour nous accueillir, comme à son habitude. Elle est magnifique. Elle porte une tenue encore plus sexy que Muriel. Sa robe est au-dessus du genou mais fendue jusqu’à la taille, ce qui permet de découvrir entièrement sa cuisse à chacun de ses pas. Son bustier semble sage, mais à regarder de plus près il est transparent et sert comme sur un plateau sa magnifique paire de seins. Quant au dos de la robe, il est ouvert et descend jusqu’à la naissance de la raie des fesses. Le galbe de ses jambes est révélé par la hauteur des talons de ses escarpins, et sa chute de reins est un appel aux caresses.


Nous passons de groupes en groupes pour saluer les gens, ce qui me permet de remarquer quelques femmes qui ne mettraient pas très longtemps à exciter mes sens. Blondes, brunes, rousses, petites poitrines, gros seins, petites tailles, plutôt en chair, fesses rebondies, petits culs, pantalon, robe, autant de différences qui font d’elles des muses…


La soirée est lancée, nous nous sommes séparés chacun dans un groupe de discussion, les verres d’alcool s’enchainent, et je commence enfin à me détendre un peu. Muriel a dû le remarquer parce qu’elle vient se blottir contre moi et, telle une chatte, se frotte à moi du buste et du bassin par de lents mouvements de gauche à droite, ce qui ne manque pas de rallumer le feu au creux de son ventre. Ses tétons se dressent et tendent le tissu de son bustier, on pourrait croire à des obus pointant leur ogive. Loin de trouver cela désagréable, je sens que ce n’est pas encore le moment de lâcher le masque. Je décide de ne pas répondre à ses caresses, aussi sensuelle soient-elles.


Déçue et, limite vexée, Muriel s’éloigne de moi d’un pas rapide, je tourne les talons et reprends ma conversation avec le groupe.



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Un peu plus tard dans la soirée, je cherche Muriel du regard, ça fait bien une heure que je ne l’ai pas vue. Je la retrouve sur la piste de danse, occupée à se déhancher comme une délurée sur des morceaux des années 80. Je profite de mon éloignement pour la mater et profiter des moments où (comme prévu) ses gestes laissent voir ses seins ou que sa robe remonte jusque sous ses fesses au moment où elle se penche en avant. Au bout de quelques secondes, je me rends compte que sa danse est destinée à un homme en face d’elle, qui profite d’un déséquilibre pour la prendre dans ses bras et lui caresser le dos, les hanches.


Je décide de prolonger mon étude du comportement de ma femme, et assiste entre eux à une danse amoureuse à demi-cachée. Une fois c’est l’homme qui se rapproche de Muriel pour balader ses mains sur ses hanches, ses épaules, son dos, puis s’aventure plus bas sur ses fesses et remonte sur le côté des seins ; une fois, c’est ma femme qui vient plaquer son pubis contre sa jambe en plaquant ses seins contre ses pectoraux. Le jeu n’est pas visible de tous, mais moi je commence à m’agacer et à piétiner d’énervement. Il me faut encore descendre deux verres avant que Muriel me regarde et que je lui fasse un signe de venir me voir. Après avoir murmuré quelque chose à l’oreille de son partenaire, elle vient me rejoindre d’une démarche très sensuelle, presque érotique tellement que le chaloupé de ses hanches fait penser à un coït.



Elle repart sur la piste de danse auprès de l’homme qui la prend dans ses bras et l’embrasse dans le cou pendant qu’elle me jette un regard de défiance. Je sens monter en moi une douleur que les jaloux connaissent bien, mais je me résigne à ne pas gâcher la soirée d’anniversaire de Cathy et serre mes poings au fond de mes poches.


Décidé à voir jusqu’où cette plaisanterie peut aller, je m’isole dans un coin sombre de la salle, non loin de l’endroit où Muriel danse mais sans qu’elle puisse me voir. Et là j’assiste impuissant à des scènes de plus en plus torrides. Ma femme a ses jambes de part et d’autres de celles de son partenaire, lui permettant ainsi de frotter son sexe à la cuisse de l’homme par des coups de bassin de haut en bas pendant que lui a passé une de ses mains par l’échancrure de la robe de ma femme au niveau de l’aisselle et caresse à même la peau son sein durci d’excitation. Je vois d’où je suis les yeux de Muriel dans le vague comme si elle se faisait prendre là sur la piste devant tout le monde. Je ne dois pas être très loin de ses pensées car elle passe une main entre ses cuisses pour empoigner la queue tendue de son danseur et lui administre sans retenue une caresse qui ressemble plus à une masturbation.


J’ai la gorge nouée, les yeux rouges de fureur mais en même temps je me rends compte que je bande et que ma queue est sortie de mon boxer tellement elle s’y trouvait à l’étroit. Je dois me rendre à une évidence qui me fait mal : je suis excité comme jamais de voir ma femme se comporter comme une salope avec un autre homme.


Quand je reprends mes esprits les choses ont encore évolué sur la piste de danse, ma femme embrasse goulument son partenaire en lui passant une main dans les cheveux et en le masturbant de l’autre. Sauf que maintenant, au bénéfice d’un éclairage minimaliste, elle a sorti sa queue de son pantalon et elle le branle comme une acharnée. De son côté, lui, motivé par le comportement de Muriel, a passé sa main sous sa robe et lui malaxe la vulve sans vergogne. Au moment où je vois un geste de recul de l’homme et le corps de ma femme submergé de spasmes, je comprends qu’il a jouit dans sa main et qu’elle a joui sous ses doigts. Ne se préoccupant de personne autour d’eux, ils s’enlacent et restent ainsi de longues minutes sans bouger excepté de temps à autres pour joindre leurs langues dans un baiser partagé.


Complètement abasourdi, je me réfugie sur un canapé et les yeux dans le vide je repense à l’érotisme intense de la scène à laquelle je viens d’assister avec, dans le rôle principal, ma propre femme avec un autre homme que moi. De longues minutes plus tard (impossible de savoir combien de temps), je sens une main se poser sur ma cuisse et la tête de ma femme se blottir contre mon épaule sans rien dire. Après quelques secondes, je lui demande comment elle va, comme si de rien n’était, je ne me sens pas la force d’avoir la discussion qui s’impose ce soir.


Elle me répond que tout va bien et commence à me caresser la cuisse en m’embrassant la joue, les yeux, les lèvres ; sa main accentue sa caresse et remonte vers mon entrejambe où elle rencontre la bosse causé par mon érection incontrôlée. Ses caresses sont si tendres, si aimantes, tellement en contradiction avec l’attitude de chienne qu’elle a eu sur la piste, que je me laisse bercer par ce désir qui monte.


Toujours isolés dans un coin sombre de la pièce, Muriel déboutonne mon pantalon et sort ma queue bandée, la pince entre son pouce et son index en montant de la base jusqu’au gland, puis enveloppe de toute sa main mon membre gonflé en décrivant des cercles, je crois éjaculer mais elle stoppe au moment opportun. À mon tour je prends possession de sa chatte, trempée de l’instant ou encore de sa jouissance passée, je la pénètre de deux doigts et de mon pouce lui caresse le clitoris qui durcit sous l’effet de la caresse.


Muriel se penche en avant et titille de sa langue mon gland avant de prendre en bouche ma queue toute entière et de lui prodiguer une succion divine. Bien décidé à rétablir l’ordre des choses, brusquement je stoppe tout et positionne ma femme à genoux sur le canapé, le buste relevé et les mains posées sur le dossier, je lui écarte les fesses d’une main et présente ma queue à l’entrée de sa chatte. Au moment où j’actionne mon bassin pour la pénétrer, je lâche un « prends ça salope ! » dans ma barbe, mais plus fort que je le pensais car Muriel a entendu et, du coup, se demande si j’ai assisté à son petit épisode extraconjugal de tout à l’heure.


Loin de nous bloquer, la pensée de cette scène déculpe notre excitation et nous procure un plaisir intense. Moi, en pensant « tu t’es fait astiquer la chatte par un autre, eh bien prends ça ! » et elle « tu m’as vue me faire doigter par un autre, bien fait pour toi ! ». Mon sexe gorgé du sang de la colère remplit entièrement le vagin de ma femme qui tend ses fesses en arrière pour mieux recevoir mes coups de boutoir et se malaxe sans délicatesse le sein en faisant rouler son téton entre deux doigts comme pour s’infliger une punition. Il ne nous faut pas très longtemps avec ce traitement pour arriver à l’orgasme, je sens son vagin se contracter une dernière fois et rester tendu comme pour garder ma queue coincée en elle pendant tout le temps de son orgasme, puis une fois sa prise relâchée, je ressors ma queue, retourne ma femme et lui éjacule sur la langue tendue qu’elle m’offre pour titiller mon gland pendant que je me libère en plusieurs longs jets chauds. Après avoir bien nettoyé ma queue avec sa langue pour ne rien perdre de mon sperme, Muriel vient m’embrasser tendrement en se blottissant dans mes bras.



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Malgré ce moment de sexe exceptionnel passé avec ma femme, je décide d’aborder le sujet qui me ronge.



Le temps de me rendre dans le vestiaire et de choisir un vêtement long pour me cacher derrière et j’entends déjà du bruit. C’est bien Muriel et son étalon. À peine arrivés, elle l’embrasse à pleine bouche et lui prend les mains pour les poser sur ses seins. Il les malaxe, les fait sortir du bustier et les lèche à grands coups de langue. Ma femme s’empresse de sortir la queue de son amant et de la branler pour qu’elle récupère la taille qu’elle avait sur la piste de danse, puis commence à la sucer et à la lécher tout en se faisant malaxer les seins. Elle tire au maximum vers le bas avec sa main pour libérer la verge et remonte des couilles au gland avec sa langue de plus en plus rapidement. Ensuite elle enfourne dans sa bouche la queue jusqu’à sentir contre son nez les poils pubien de l’homme.


De son autre main elle s’adonne à une pratique qu’elle affectionne particulièrement. Accroupie, elle écarte ses cuisses et s’enfonce trois doigts dans la chatte et les bouge très rapidement au fond de son vagin pour titiller son point G. Au bout de quelques minutes de ce traitement « hard », ma femme se relève, vient se placer assise sur une table et se pénètre elle-même avec la queue de son amant. Ses coups de bassin sont rapides et violents, ça ressemble plus à une femme qui baise une queue que le contraire. Elle complètement déchaînée, ne retient plus ses gémissements et abonde de mots crus à destination de son jouet sexuel :



L’homme se sent pousser des ailes et parvient à reprendre les commandes. Devant l’excitation de Muriel et son état d’excitation, il s’aventure à glisser un puis deux doigts dans son trou du cul. Ma femme ne bronche pas, elle prend tout ce qu’on lui donne sans rechigner, et même avec gourmandise. Une fois bien préparée, l’homme se retire, la retourne et lui enfonce son dard dans le cul. Long cri de douleur et de plaisir mêlé, c’est une première pour ma femme par le petit trou, mais rapidement elle se met en rythme et jette son cul vers l’arrière pour faire entrer au maximum la queue qui la pilonne.



Ces paroles de ma femme arrivent à bout de l’endurance de son amant qui ressort de son cul et lui éjacule dans le creux des reins avec un premier jet, puis la retourne et lui envoie un second jet sur les seins avant d’envoyer le reste sur son visage.


En deux secondes, l’homme a pris ses vêtements et a quitté la pièce, laissant Muriel la chatte et le trou du cul béants, dégoulinants du sperme de son amant et de sa propre mouille, l’esprit encore engourdi. N’ayant rien manqué de toute la scène, je sors ma queue bandée à la main et me branle frénétiquement pour éjaculer sur les cuisses de ma femme, sur sa chatte et ses seins « tu as l’air d’avoir aimé ma cochonne, prends ça pour finir ! ».


Après m’être libéré sur elle, je prends un tissu pour essuyer tout le sperme qui recouvre le corps de ma femme, cherche son string mais je comprends vite qu’il ne fait plus partie de l’histoire depuis la piste de danse, j’enlace Muriel et nous sortons du vestiaire comme un couple amoureux avant de rentrer chez nous et de prendre une bonne douche bien méritée.



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Plusieurs semaines après cet événement nous avons trouvé le courage de reparler de cette soirée, et nous avons convenu de s’accorder de temps en temps des soirées où nous nous lâchons et assouvissons nos désirs sexuels les plus primaires mais toujours ensemble, et en en ayant discuté avant…


L’histoire part d’un fait réel mais qui devient imaginaire par la suite, à vous de deviner à quel moment…