Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15139Fiche technique21882 caractères21882
Temps de lecture estimé : 13 mn
07/09/12
Résumé:  Jo est invité pour le week-end chez des amis. Tout ne se déroulera pas comme prévu et il va se trouver emporté dans une drôle d'histoire.
Critères:  f h fh fépilée douche hsoumis fdomine exhib fmast hmast fist coprolalie sm fouetfesse -hsoumisaf
Auteur : Kerian            Envoi mini-message

Série : Le deal

Chapitre 01
L'invitation

Je m’appelle Jo, logisticien dans une grosse entreprise de transports, quarante-quatre ans, divorcé, des revenus confortables et je vis seul dans une belle maison de la côte bretonne.


Pierre est venu à ma rencontre et je le suis sur cette petite route en ce samedi après-midi sous un soleil vendéen radieux, car même le meilleur GPS aurait été incapable de me conduire jusqu’à cette superbe demeure construite au beau milieu d’une forêt de pins.


Pierre a la quarantaine sportive et décontractée. Il est directeur commercial dans une multinationale avec laquelle je travaille souvent. Il est d’ailleurs marié avec la fille unique du grand PDG. Nous nous connaissons depuis deux ans et pour la première fois il m’a invité pour le week-end, car il organise une partie de poker entre amis, à laquelle il aimerait que je participe. Nous avons en effet une passion commune pour ce jeu. Et puis, quand il a dit : « je te présenterai ma femme », il a eu soudain quelque chose d’étrange dans la voix qui m’a immédiatement fait penser que je ne regretterais pas les trois heures trente de route qu’il me faudrait faire pour rejoindre les abords des Sables-d’Olonne.


Nous garons nos voitures et Pierre me dit d’un ton plus que solennel :



J’emboîte le pas de mon hôte, une fois de plus intrigué par le son de sa voix. Nous faisons le tour de la maison par un sentier dallé et débouchons sur un immense terrain arboré, orné de massifs de fleurs du meilleur goût et agrémenté, en son centre, d’une magnifique piscine. Et là, double choc : en tout premier lieu, au bord de la piscine, une femme allongée sur un transat, se dorant au soleil. La qualifier de créature de rêve serait un euphémisme : 1,75 m, des courbes parfaites, de longues jambes fuselées, une poitrine opulente qu’un minuscule maillot de bain deux pièces a toutes les peines du monde à contenir, de longs cheveux châtains très clairs et des yeux d’un bleu si profond qu’il est bien difficile de soutenir son regard. Le deuxième choc, c’est l’attitude de Pierre ; ce grand gaillard d’1,90 m, si sûr de lui d’ordinaire, devient, au contact de cette princesse des mille et une nuits, un petit garçon qui perd tous ses moyens devant sa maîtresse d’école.



Elle le coupe :



Et moi, je suis là devant cette sculpture vivante et tout ce que j’arrive à dire c’est :



Elle m’invite à prendre place sur le transat à côté du sien :



Il réapparaît quelques instants plus tard avec un plateau de rafraîchissements. J’opte pour une bière, Karine fait de même mais Pierre n’a pas le temps de se servir :



Pierre paraît quelque peu contrarié mais s’exécute et disparaît promptement.



Elle est radieuse et tout à fait consciente de l’effet qu’elle produit sur les gens et en l’occurrence sur moi à ce moment précis. Quelque chose me dit qu’elle a besoin de beaucoup de jouets pour s’amuser et que je ne vais pas tarder à faire partie de sa collection. Mais pour l’instant, je suis plutôt préoccupé par le fait que mon bermuda ne trahisse pas trop tout le bien que je pense d’elle.



Le ton de sa voix était devenu dur et froid. Le genre de ton qui te fait penser que la punition est proche. J’étais complètement subjugué et en même temps surexcité à l’idée des événements à venir. Jamais une femme ne m’avait fait bander comme cela, juste sur une attitude, une phrase. Je décidai donc de ne plus discuter et me déshabillai entièrement. Ce ne fut pas bien long, un tee-shirt, des baskets et un bermuda, je ne porte jamais de sous-vêtements, chose qui n’avait pas échappée à ses yeux experts. S’en suit un moment de panique. Me retrouver dans cette situation en face de cette femme sublime. De plus je bande comme un âne et cela ne fait qu’ajouter à mon sentiment de malaise.


Je lui demande la permission de me rafraîchir un peu, elle acquiesce et je plonge directement dans la piscine qui constituera pour moi un refuge provisoire. Il fait plus de 30° dehors et cette eau, à 25° maxi, est une vraie bénédiction. Je nage quelques longueurs et sors pour rejoindre mon hôtesse. Ma bite s’est un peu calmée et j’ai repris mes esprits. En m’allongeant sur mon transat, je m’aperçois que le maillot de Karine a disparu et j’en conclus que ce bikini n’était là que pour faire bonne figure à mon arrivée car je ne remarque aucune trace de bronzage sur ce corps parfaitement épilé.


Le ton de sa voix est redevenu chaud et sensuel :



Elle me rend dingue, cette fille et je ne sais pas pourquoi je lui réponds :



Il s’ensuit un moment de silence intense. Je ne comprends pas comment j’ai pu dire tout ça. Je suis somme toute un mec tout à fait banal et pas du tout habitué à ce genre de chose.


Elle reprend :



Je suis KO debout. Même dans mes fantasmes les plus inavouables, je n’aurais jamais imaginé pareille situation. J’arrive juste à répondre :



Je ne contrôle plus rien du tout, je bois ses paroles, je dois être ensorcelé, je me suis à peine aperçu que j’étais machinalement en train de me branler, me procurant un plaisir immense comme jamais auparavant, mais je me reprends et arrête tout de suite.



Elle continue :



Je n’en peux plus, je deviens complètement fou. Je caresse ma queue avec frénésie. Je suis là, offert au regard bleu de Karine, offert à ce chaud soleil de juillet et même offert à la terre entière si elle me le demande. Mais soudain :



Docilement, je m’exécute et la suis jusqu’à ce qui va être, à n’en pas douter, l’antre de tous les plaisirs et de toutes les dépravations. J’en profite pour essayer de remettre un peu mes idées en place, mais c’est impossible. Elle est là, nue, à un mètre devant moi, sa démarche est féline, ses mensurations parfaite et ce cul !… Mais elle doit lire dans mes pensées :



Putain, comme j’aime quand elle me parle ainsi. Je ne sais pas trop ce qui m’attend dans un futur proche mais je me sens déjà devenir sa chose ; et Pierre dans tout ça ? Quel va être son rôle ? Et puis peu importe. Tout ce que je veux à cet instant précis, c’est arriver à satisfaire le moindre désir de cette maîtresse femme et être à la hauteur de ses attentes même s’il me semble que la barre est déjà placée très, très haut.


Nous entrons dans la maison par une des grandes baies vitrées. C’est une bâtisse de 600 m² en forme de V à 160°, agrémentée en son centre d’une tour ronde du plus bel effet et orientée plein Sud. Tout à l’intérieur respire le luxe et la sérénité. Karine me fait visiter toute la demeure, ouvre les portes unes à unes, sauf deux, celle de la tour ronde et une autre juste à côté. Tout est beau et parfaitement à sa place. Je me sens euphorique, mais avec toutes ces émotions et malgré les quelques longueurs dans la piscine, je n’arrive pas à me calmer vraiment et je souhaite être impeccable au contact de Karine. Je demande donc à mon hôtesse la permission de me doucher. Cette attention a l’air de la toucher, elle accepte et me conduit jusqu’à une des deux chambres de la partie ouest. Elle communique par une porte à double battants avec celle de Karine et Pierre :



Je réponds avec un léger sourire approbateur. Ce détail ne lui échappe pas et elle poursuit :



Elle m’accompagne jusqu’à la salle de bain qui est comme tout dans cette maison, démesurée : grande baignoire à bain bouillonnant, douche multi-jets, double lavabo, grands miroirs partout, porte-serviettes chauffant, rien ne manque. Impossible de ne pas rester des heures dans un endroit pareil. Karine a choisi elle-même tous les produits d’hygiène corporelle. Elle souhaite que mon odeur soit celle qu’elle désire. J’entre dans cette douche intégralement vitrée et, à ma grande surprise, Karine ne s’en va pas et prend place en face de moi sur une chaise posée là. Elle croise ses magnifiques jambes et me dit :



Cet ordre provoque en moi un sentiment que je ne connaissais pas. Le fait qu’elle veuille aller jusqu’à posséder mes moments les plus intimes me met dans un état second et je commence à m’enduire tout le corps de ce gel-douche aux huiles essentielles qui me procure un bien-être immédiat et m’invite à m’exhiber pour celle qui sera désormais l’unique propriétaire de ma personne toute entière. Je nettoie avec soin ma queue complètement décalottée, en état d’érection comme jamais je ne l’avais vue. Je prends tout mon temps en changeant de position de temps à autre, de façon à offrir à Karine les meilleurs angles de vue possibles.


Elle n’y est d’ailleurs pas insensible, puisqu’elle a déjà décroisé et bien écarté ses jambes, offrant à mon regard sa superbe chatte minutieusement épilée. Elle malaxe ses seins puissants pour faire se dresser fièrement des tétons qu’il doit être plaisant d’exciter et de sucer jusqu’à la faire hurler de plaisir. En même temps, elle masse son clitoris d’un mouvement circulaire d’abord lent et régulier, agrémentant ses caresses de petites tapes qui lui font rejeter la tête en arrière. Elle sait se faire plaisir cette cochonne.


C’est à ce moment-là que je me retourne et offre à sa vue ce cul que je trouve trop petit et pas assez rebondi à mon goût, mais qui, dans mes fantasmes les plus pervers, serait bien assez accueillant pour celle ou celui qui saurait le conquérir. J’entreprends donc le nettoyage méticuleux de ce cul offert à Karine et, bien que je lui tourne le dos, un grand miroir pas encore embué, placé dans le fond de la douche, me permet de mesurer l’effet que je produis sur cette femme, qui est maintenant en train de se lâcher totalement et devient la salope lubrique dont tous les hommes ont rêvé au moins une fois dans leur vie.


Elle est maintenant assise sur le grand plan entre les deux lavabos. Elle a ramené ses jambes à elle, ses cuisses sont écartées au maximum, ses pieds se calant sur les rebords de chacune des vasques. Elle a délaissé son clito pour se doigter copieusement. D’abord avec la main droite, un, deux, trois, puis quatre doigts dans un mouvement de va-et-vient d’une violence inouïe qui lui arrache des gémissements de plaisir non feint. Sa chatte est déjà complètement dilatée et elle recommence la même opération avec sa main gauche pendant qu’elle suce les doigts de sa main droite pour goûter ce jus que s’écoule maintenant abondamment de son minou martyrisé. J’en arrive presque à oublier ma toilette :



Elle n’est pas croyable cette fille. Elle était si classe et si posée il y a un instant, et l’instant d’après si vulgaire, une sorte de chienne lubrique prête à tout et n’importe quoi pour assouvir son insatiable désir sexuel. Je reprends donc mon travail de nettoyage mais, pour contrebalancer toute la violence de ce qui est en train de se passer derrière moi, c’est en douceur et lentement que je frotte mon cul consciencieusement puis, posant le gant de toilette, je commence par me cambrer légèrement et écarte mes fesses pour laisser apparaître ce trou luisant de gel douche, inviolé jusqu’à ce jour. À la vue du spectacle que j’offre à mon hôtesse, tout s’accélère pour elle :



J’ai compris que si je reste impassible et que je continue comme si de rien n’était, cela décuplait son plaisir. Je décide donc d’ignorer ses insultes et ses promesses qui je l’espère au fond de moi, ne resteront pas sans suite. Je suis pourtant dans un état d’excitation extrême. Je sens que je pourrais éjaculer à tout moment même sans toucher ma bite. Je commence à me rincer abondamment et me retourne pour que ces jets me procurent un massage bienfaisant dans le dos quand soudain :



J’hallucine à la vue de ce qu’elle propose maintenant. Ses doigts ne suffisent plus, elle est en train de se fister la chatte, cette salope. Elle est carrément en transe, sa tête se balance dans tous les sens, droite, gauche, avant, arrière, ses yeux révulsés, inondés de larmes de jouissance. Bordel, elle est encore plus belle comme ça :



Elle a le souffle court, ses gémissements se font de plus en plus sonores. Je suis stupéfait et ébloui. Cette fille est une véritable bête de sexe, et étrangement j’ai le pressentiment qu’à ce moment-là, elle n’arrivera pas à atteindre l’orgasme si je ne fais pas quelque chose. Je me retourne alors de nouveau :



J’écarte de nouveau lentement mes fesses mais cette fois bien plus largement, offrant une vision bien plus précise à ses yeux d’experte :



Le pire, c’est qu’elle a parfaitement raison. J’ai toujours voulu garder mon anus intact car je considérais la sodomie comme le fantasme ultime en rêvant de trouver quelqu’un qui, un jour, pourrait m’aider à l’assouvir. J’en viens à douter du fait qu’elle puisse croire que je serais la personne idéale pour étancher sa soif de sexe. Alors, je ne sais pas ce qui me prend et d’un seul coup, je m’assène deux violentes claques de chaque côté de mon cul. La réaction est immédiate :



Immédiatement, je mets cet ordre à exécution, pendant qu’elle reprend son fistage en règle. Les séries s’enchaînent, dix à gauche, dix à droite et je compte à voix haute consciencieusement. La séance me paraît durer une éternité, je frappe du plus fort que je peux dans cette position et bientôt je ne sais plus si ce sont mes mains ou mon cul qui me font le plus mal. Mais je n’arrêterai pas pour tout l’or du monde tant qu’elle ne me l’aura pas demandé.


Elle est toujours là derrière moi, une main dans la chatte et l’autre qui martyrise son clito. Son souffle est de plus en plus court, ses cris de plus en plus forts et aigus et soudain un autre cri encore plus sonore, comme une réaction à un frisson extrême, comme si une décharge de dix mille volts lui parcourait tout le corps. Elle vient de s’offrir un orgasme d’une belle intensité, mon hôtesse. Un sentiment de fierté me fait penser que j’y suis un peu pour quelque chose. Je termine donc cette énième série de claques et me redresse un peu n’entendant plus de bruit.


Surprise : Karine a disparu sans rien dire, s’étant sûrement retirée dans sa chambre. Je me sèche donc et je sors en ayant pris soin de m’asperger un peu de cette eau de toilette de luxe posée sur une étagère. Personne dans ma chambre, je n’ose pas frapper à la porte de la sienne et sors vers le salon. Personne non plus, je décide donc de sortir et prends possession d’un confortable sofa à l’abri d’une tonnelle sur la grande terrasse. De cette façon, je pourrai me positionner légèrement sur le côté, mon cul étant encore assez sensible. Je pense d’ailleurs qu’il n’est pas prêt de perdre cette couleur qui se rapproche plus du violet que du rouge, vu le nombre de coups qu’il a reçus.



(À suivre…)