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n° 15141Fiche technique10248 caractères10248
Temps de lecture estimé : 6 mn
08/09/12
Résumé:  Un vieux Libyen s'est coupé sur tout le corps avec du verre, en travaillant dans la villa d'un couple riche. Pour nettoyer ses plaies, les conjoints doivent dévêtir le blessé...
Critères:  fh hagé couleurs grossexe poilu(e)s voir
Auteur : Sulichi      Envoi mini-message
Un accident dans la véranda

Ma femme et moi venons d’avoir quarante ans. Nous vivons dans les alentours de Perpignan dans une grande villa avec vue sur la mer. Nous travaillons tous les deux dans les ressources humaines. Ma femme, Karine, est DRH chez un petit groupe pharmaceutique, tandis que moi, Stéphane, je fais passer des entretiens d’embauche pour une chaîne de supermarchés. Passionnés par notre travail respectif, nous n’avons jamais voulu avoir d’enfant. Physiquement, presque tout nous oppose… Elle est petite, mate de peau ; ses hanches sont larges et sa poitrine généreuse. Je suis grand, mince, les cheveux obscurs et le teint pâle.


Depuis peu, une association humanitaire nous a confié, à la maison, un vieux réfugié libyen qui a fui son pays pendant la révolution. Ali est musulman, il ne parle pas français et c’est parfois compliqué de communiquer avec lui. Nous ne connaissons pas son âge, mais il doit être plus vieux que mon père. Son visage maigre et flétri est toujours souriant, malgré les aléas qu’il a dû subir. Ses yeux abrités derrière d’épaisses lunettes laissent souvent transparaître la fatigue du vieil homme. Nous ne lui demandons jamais rien, mais Ali aime se rendre utile ; lorsque nous travaillons, il s’occupe d’entretenir notre jardin : il tond la pelouse, il nettoie la piscine, etc.


Ce jour-là, ma femme était venue me chercher au travail dans notre décapotable. Depuis l’allée qui conduit au garage, on apercevait Ali en haut d’une échelle en train de décoincer une de mes balles de golf perchée sur le toit. Lorsqu’il nous entendit, il tourna son torse grêle et leva son bras écharné pour nous saluer. Avec le mouvement, l’échelle vacilla et le vieil Arabe perdit l’équilibre. Affolé, il tomba sur le toit de la véranda qui s’écroula sous son faible poids.


Nous accourûmes dans cette loggia pour voir l’étendue des dégâts. C’était un désastre, il avait perdu connaissance. Son corps ancien gisait sur le sol, entre nos sièges en rotin. Des éclats de verre le taillaient sur tout le corps. Sous son ample tunique, on distinguait des tessons pointus enfoncés dans ses jambes et dans ses bras. Tremblant, je n’osais pas le toucher de crainte de le blesser davantage. Karine, accroupie à côté de lui, a commencé à le nettoyer. Je me suis assis et regardé. La situation était désagréable et le vieil homme sentait fort.



Quand je suis revenu avec un oreiller rempli de plumes, ma femme avait déjà enlevé quelques éclats.



Elle ne me regarda pas, elle se concentrait sur les cuisses velues. Elle fut obligée de relever un peu plus la djellaba tachée de sang. Délicatement, elle tirait éclat après éclat. J’en voyais encore beaucoup et je dis :



Elle fit une grimace mais tira la toile, révélant plus des trois quarts des cuisses faméliques du vieux réfugié. Les poils ne rendaient pas le travail facile. J’aidais ma femme en repérant les éclats et elle, doucement, les arrachait en caressant un peu les zones sensibles avec ses mains fines.


Accroupi aux pieds d’Ali, je remarquai une masse obscure entre ses cuisses, dans l’ombre de la djellaba. On aurait dit une murène noire enroulée dans son nid. Ne voulant pas alarmer inutilement mon épouse, j’ai rapidement repoussé cette bête noire dans sa tanière avec la main. J’ai trouvé sa queue lourde et chaude au toucher. Karine dut découvrir un peu plus de la vielle peau flétrie pour retirer plus de bouts de verres. Inévitablement, cet épais morceau la viande grise est entré dans le champ de vision de mon épouse. Trop occupée à désinfecter les plaies, elle remarqua à peine ce long boyau strié. Patiemment, elle continuait son œuvre.


Quand vint le moment de lui nettoyer l’entrejambes, sans émotion, elle attrapa d’une main le membre ridé et puant du vieil Arabe et continua son travail comme si de rien n’était, comme si elle voyait des queues impressionnantes tous les jours… Je suis bien placé pour vous dire que ce n’est pas le cas ! Je n’étais pas mécontent de ma bite, mais Ali me dépassait dans tous les sens du terme. Bien qu’au repos, son engin était deux fois plus long que quand je bande. Lui vieux et maigre, moi encore jeune et bien portant, paradoxalement ma bite était rachitique à côté de sa trompe. J’étais un peu honteux.


Le sexe du réfugié musulman semblait se réveiller mollement dans la main de ma femme. Paresseusement il s’allongeait jusqu’à devenir un tube rigide couvert de stries. Gamin, j’avais vu la bite d’un âne dans un champ, celle d’Ali n’avait rien à lui envier.



Nerveux, j’attrapais le magnifique morceau de chair grise. Dans ma main tremblante, je sentais pomper les veines qui alimentaient en sang ce membre encore calotté. J’essayais de tenir fermement cette bite qui semblait vouloir s’échapper. Je regardais ses volumineuses couilles frisées. Tandis que je songeais au volume de liquide qu’elles pouvaient contenir, je perdais tout contrôle sur moi. Le tremblement de ma main me fit lâcher cette queue gonflée qui alla frapper avec force la bouche pulpeuse de ma femme. Karine s’arrêta et me regarda.



Elle empoigna le sexe d’Ali et le serra entre son mollet et sa cuisse charnue. La queue était maintenant décalottée. Avec la pression son gland continuait de gonfler. Sa large collerette le faisait ressembler à un champignon… sans doute vénéneux. C’était spectacle étonnant de voir cette bite monstrueuse qui commençait à baver du liquide séminal sur les jambes dodues de mon épouse. La bouche plissée du monstre était à quelques centimètres des sous-vêtements de ma femme accroupie. Sa chatte était visible à travers l’ouverture de ses jambes, sous le tailleur court qu’elle portait.



Je tirai cette loque infecte et déshabillai Ali en lui passant sa tunique par la tête. Le vieil homme gisait complètement nu. Je le regardai un moment. Rien ne laissait penser que ce corps famélique et fatigué abritait ce concentré de virilité.


Karine continuait cette pénible besogne. Elle se mit à califourchon de sorte que ses genoux touchaient le sol et que ses jambes étaient de chaque côté de son corps osseux. D’où j’étais, je pouvais admirer ses lèvres vaginales qui s’entrebâillaient. Ma femme porte toujours des légers dessous de soie et aujourd’hui elle ne faisait pas exception à la règle.


Je ne sais pas ce qui s’est passé, sans doute perdit-elle sa prise. La vielle queue massive du Libyen bondit sous la jupe de ma femme et s’immisça dans sa raie écartée par une position peu confortable. Karine se baissa pour cueillir d’autres éclats de verre sur son ventre et sa poitrine. Je ne pouvais plus voir son visage.



Je me suis accroupi derrière elle, entre les jambes d’Ali et j’ai mis ma main dans sa culotte pour dégager le cette bite de cheval de sa chatte savonnage. Mais au lieu de l’effet escompté, le membre charnu du vieil arabe s’enfonça un peu plus dans la vulve distendue de mon épouse. Elle gémit et souleva un peu plus ses fesses pour laisser passer mes mains. En palpant, je finis par frotter mon index sur son clitoris gonflé. Ce contact inopiné a dû déclencher un orgasme. Elle se cambra subitement et se rassit sur cette grosse queue exotique en poussant un hurlement plus profond que le premier. Son pubis était trempé de leur gluant liquide séminal qui s’était mélangé dans son vagin. Sous le poids, ma main glissa sur les lourdes boules ridées du vieil homme qui en un instant se rétractèrent. À son tour, cette caresse accidentelle provoqua l’orgasme du brave musulman. Son sexe cracha d’épaisses giclées dans la vulve accueillante de ma femme.


La force des jets la fit tomber sur le côté.


Cette queue massive, comme un tuyau d’arrosage furibond, continuait d’expulser la semence précieuse dans toute notre véranda. Toujours accroupi, je reçus quelques brulantes décharges poisseuses sur le visage.



Et sans que je m’y attende, elle se pencha sur lui et commença à nettoyer sa bite encore gonflée avec sa petite langue rose.


Tandis qu’elle lui léchait le gland complètement souillé de foutre, Ali se réveilla. Surpris, il saisit sa djellaba et se rhabilla en se levant. L’air navré, il dit rapidement quelques mots incompréhensibles et s’enfuit vers ses appartements.



Elle ajouta :



Je la regardais les yeux écarquillés quand elle me cria :



Tandis qu’elle s’asseyait sur mon visage, elle ajouta en souriant :