n° 15145 | Fiche technique | 20709 caractères | 20709Temps de lecture estimé : 12 mn | 08/09/12 |
Résumé: Après la routine, le retour à la passion. | ||||
Critères: fh couple parking ascenseur amour exhib noculotte lingerie fellation cunnilingu -couple | ||||
Auteur : Lafronde Remi (Rémi LAFRONDE) |
La vie s’écoule paisiblement en ce début d’automne dans le centre de la France,
Paisiblement ?
Ennuyeusement, vous voulez dire ! L’ennui que connaissent beaucoup de couples après quelques années. Non pas que je me plaigne mais, après douze ans, ma relation avec ma femme relève plus du quotidien que de l’enivrante passion qui nous avait fait amants avant d’être couple légitime.
Cet été, j’ai vraiment pris conscience du sommeil dans lequel s’était installé notre couple, les vacances sont souvent le temps de la réflexion et de la remise en question. J’avoue que j’ai eu matière à réfléchir lors de notre séjour de trois semaines au soleil,
Deux rapports en trois semaines ! Et encore, j’ai dû les provoquer ! Pas une initiative de sa part.
Certes nos parties de jambes en l’air sont abouties et très agréable (en douze ans, on commence à se connaître) mais je ne peux me résigner à cette insuffisance et ce manque que je ressens, en repensant à nos premiers émois enflammés.
J’entends déjà fuser les « peut-être que c’est pas le top ! Peut-être qu’elle n’y trouve pas son compte ! » À ceux-là, je répondrais que nous prenons beaucoup de plaisir lors de nos rapports mais je pense qu’elle s’est endormie dans la quarantaine, paisible mère de famille.
Beaucoup suivraient la voie facile de la tromperie et du travers (de porc) mais c’est mon amour et c’est d’elle dont je rêve la nuit.
C’est dans ces tourments que nous sommes rentrés de vacances et que j’ai longuement réfléchi aux moyens de rallumer la flamme de ma belle.
Ma belle, oui, il va peut-être falloir que je vous la présente, ma petite chérie.
Je sais que les yeux de l’amour embellissent tout mais en toute sincérité, c’est une très jolie femme, la quarantaine épanouie. Elle fait encore tourner les têtes dans la rue (vu et constaté encore récemment).
Un physique doux et harmonieux avec de jolies courbes, une jolie poitrine, des fesses rebondies, une taille de guêpe, une coupe courte blonde, des yeux gris-vert malicieux.
En résumé, une femme qui s’entretient et sait se mettre en valeur.
J’essaie moi-même d’être au diapason de ma belle en faisant pas mal de sport et en soignant mon apparence (elle est esthéticienne, alors, ouste les poils !)
Nous voici donc un vendredi soir d’automne à l’appartement, les enfants sont partis chez nos ex respectifs et j’ai réservé comme d’habitude une table dans un restaurant.
Je quitte le salon pour aller m’apprêter dans la salle de bain, je sais pertinemment que dans deux à trois minutes, elle va se lever, que je vais entendre la porte de sa garde-robe, qu’elle va se mettre à souffler et que d’ici quelques minutes, elle va me demander ce qu’elle met.
Bingo !
Je suis un peu nerveux, j’ai peur de heurter ses principes assez conventionnels. Mais bon ! Depuis le temps que j’y réfléchis…
Je ne veux pas la rejoindre dans la chambre en tenue d’Adam, afin de pouvoir aisément dissimuler mes émotions futures.
Je m’approche d’elle par derrière et tout en l’enlaçant :
Je lui ai offert deux robes élégantes et sexy, choisies pour ce genre de sortie, une noire et une gris-clair. Elle les a déjà essayées mais étant à manches mi-longues, elle les avait gardées pour plus tard.
Lors de l’essayage, j’avais remarqué qu’elle avait adoré la noire mais que la grise la gênait. En effet, la couleur claire montrait chaque détail et laissait entrevoir les petits plis ou contracture que fait un dessous sur la peau. Bref, ce qu’elle appelait un bourrelet (elle doit faire du 34/36, pour vous situer le bourrelet !) à l’endroit de l’élastique de son string.
Forcément, elle me montre la noire…
Un silence qui me semble très long.
Ella l’a rapidement enfilée et s’est longuement regardée dans le miroir de la porte de la chambre.
Son corps était magnifiquement moulé dans cette robe. Je savais ce qui la chiffonnait, elle passa plusieurs fois ses mains sur les hanches, comme pour gommer la trace de son string.
Toujours derrière elle, je lui posai un petit baiser dans le cou.
Prenant un collant chair dans son armoire, je lui tends
La tête effleurant son cou, je pose mes mains sur ses cuisses, doucement je les remonte sur le côté sous sa robe, je saisis délicatement, du bout des doigts, son string que je commence à baisser.
À chaque instant je crains un mot, un signe. Peu à peu, je me baisse, la libérant de son dessous. Je dois lui faire soulever la jambe pour lui retirer complètement.
Me relevant je lui murmure :
Chaque seconde, j’ai cru que toute la pudeur et les barrières de sa bonne éducation qu’exprimait son visage rougi et figé allaient exploser. Le temps s’est arrêté, puis sa main s’est refermée sur le collant que je lui tendais.
Mon cœur battait à tout rompe, les yeux écarquillés, le souffle court, je la regardai enfiler le voile nylon chair. Finissant de l’ajuster, elle s’admira dans le miroir. Sentant le moment opportun, je passai ma main sur ses fesses
Je sortis rapidement de la pièce, sachant combien cette victoire était précaire et connaissant, ô combien, la fragilité de cette avancée. Je ne sais si elle a hésité, mais quelques minutes plus tard, ayant enfilé ses escarpins, elle m’a rejoint dans la salle de bain pour se maquiller.
Je lui laissai la place, ému et très émoustillé.
Mon cœur battait très fort en sortant de l’appartement. Dans l’ascenseur j’offris à mon ange un délicat et tendre baiser accompagné d’un doux :
Décidé à continuer sur le chemin ouvert plus tôt, je sortis, un peu nerveux, notre coupé sportif du garage, je me hâtai de descendre de la voiture
Beaucoup d’entre vous auront déjà saisi le stratagème, la portière ouverte à une dame court-vêtue, surtout dans une sportive basse, est un délice pour les yeux et permet de saisir des images normalement inaccessibles.
Ma chérie ne fut pas dupe, elle sourit même en faisant une moue qui voulait dire « toi alors ! », mais elle se prêta au jeu. D’un geste élégant, elle s’assit et tourna ses jambes, dévoilant ses jolies cuisses gainées et, un court instant, ce que je devinais plus que je ne voyais comme son entrejambe.
Je pris le volant et lui glissai :
Je n’ai pas eu un mot du trajet et j’avais peur d’être allé trop loin. Je craignis qu’elle ne se dépêche de sortir mais il n’en fut rien. Elle attendit patiemment que je lui ouvre la porte, et là, dans un mouvement très sensuel, elle sortit d’abord une jambe dévoilant à mon regard toute son intimité lisse, nue sous le voile chair, puis après avoir marqué une pause, ramena l’autre jambe.
J’ai cru défaillir de voir ma belle, aussi charmeuse et provocante. Je restai silencieux en marchant vers le restaurant, goûtant ces plaisirs nouveaux qui nous faisaient renaître.
Confortablement installé à table, je lui dis :
Marquant une pause.
Je souris…
Le serveur est venu prendre la commande. Je sentais ma chérie à fleur de peau. Pour la rassurer, je posai doucement ma jambe contre la sienne, sous la table.
Nous dégustions notre entrée lorsque je tentai :
J’ai cru qu’elle allait s’étrangler.
Je laissais un long silence, un peu pesant :
Ses lèvres se sont ouvertes mais aucun mot n’est sorti. Je la connais, je sais combien elle est loin ce soir de ses principes et son éducation.
C’est à mon grand étonnement qu’elle s’est levée, j’ai dévoré du regard sa silhouette féline lors de chacun des pas qui l’éloignait de notre table. Son fessier rebondi, lisse et sans trace sur cette seconde peau grise.
J’étais encore dans mes songes lorsqu’elle est revenue, ses joues étaient écarlates, ses mains tremblaient quand elle a posé son sac à main.
Je souris, heureux, envoûté que j’étais par la situation. Le reste du repas ne fut que regards de braise et sourires complices.
En repartant, je lui ai demandé si elle souhaitait conduire, je sais qu’elle adore piloter notre Porsche, mais elle se sentait trop nerveuse pour conduire et m’avoua qu’elle aimait son statut de passagère, vouée à la galanterie de portière de son homme. Je ne me suis pas fait prier et me suis à nouveau délecté de sa beauté intime.
Sur le chemin du retour, je choisis de ne pas rentrer de suite :
Je me suis garé au parking du sous-sol,
Je connais son regard. À ce moment-là, je sais qu’elle cogite pour me convaincre de ne pas l’y emmener.
Nous échangeons un long baiser et comme je m’en doutais
Bien joué, mais je m’y attendais
Voyant mon insistance elle poussait ses pions
Toujours enlacés depuis notre baiser fougueux, je glissai une main sous sa robe, frôlant son entrejambe.
Mais, tout en la caressant un peu, je ne me décidais pas à partir. Voulant à tout prix me convaincre, elle posa sa main sur moi.
Sa respiration s’est arrêtée. Blottie sur mon épaule, elle ne bougeait pas. Doucement j’ai défait ma ceinture, dégrafé mon pantalon
Ma main dans son dos la poussait légèrement. Une force s’y opposa, j’insistai, elle céda. Je n’osais y croire, mes rêves les plus fous ne l’auraient même pas osé.
Tandis que son buste fléchissait, je libérai mon sexe. Je ne peux décrire mon émotion lorsque ses lèvres se posèrent sur mon gland. Je crois que jamais je n’avais connu pareille excitation. Sa bouche absorba mon pénis avec une avidité que rarement je lui avais connue. Ma plantureuse chérie me suça délicieusement, un torrent de plaisir m’inonda progressivement et m’emporta peu à peu jusqu’à la jouissance.
Peu après, elle est venue se poser contre mon épaule, je l’ai embrassée tendrement dans les cheveux en lui susurrant un doux « je t’aime ».
Tandis que je me rhabillai, elle s’est redressée et installée dans son siège. Tout en ouvrant la portière, je lui dis :
Déjà la portière s’était refermée, coupant ses derniers mots, comme évanouis dans l’habitacle. C’était un coup de poker, je suis allé ouvrir sa portière.
Elle resta figée sans bouger de son siège.
Elle hésita et enfin sortit, mais cette fois très pudiquement, de la voiture.
Tout en marchant, je passai ma main sur ses fesses. À l’entrée du casino, le contrôle d’identité fut vite fait pas un agent de sécurité au large sourire, je ne fus pas sans remarquer qu’il avait discuté dans son oreillette à notre arrivée. Nous avons marché un peu dans les allées du casino avant d’aller rejoindre le bar.
Tandis que je commandai nos deux coupes, je lui demandai où elle voulait s’asseoir, tabourets du bar ou petits fauteuils du salon-lounge.
Elle prit son temps.
Galant, je la fis me précéder. Tandis qu’elle allait s’asseoir, je lui dis.
Ce changement n’était pas anodin, j’avais remarqué la présence de la caméra de surveillance au plafond qui aurait été dans son dos sans ce changement. Les équipes de sécurité devait l’avoir suivie depuis notre arrivée et notre expérience, juste sous la caméra de surveillance du parking.
Elle me sourit, le regard chaud et pétillant comme au restaurant.
Elle regarda alentour et se sentant à l’abri des regards, elle décroisa ses jambes et, sans pudeur, se mit à les ouvrir.
Quel délice de voir en ce lieu son pubis lisse, ses fines lèvres sous le voile chair.
D’un hochement de tête je désignai sa poitrine que l’on devinait tendue sous le fin tissu. Ses petits tétons tout durs pointaient.
Dans un geste elle croisa les bras pour les masquer.
À ses mots, ma douce ne se fît pas prier et se leva, je la pris par la taille en la dirigeant vers la sortie.
Je la fis entrer un peu précipitamment.
Je collai mes lèvres contre les siennes, passai mes mains sous sa robe la relevant, malaxant ses fesses, fou de désir.
(À part la caméra de l’ascenseur…)
Tandis qu’elle réajustait sa robe, l’ascenseur ouvrit ses portes, je lui pris la main en marchant vers notre voiture au fonds du parking.
Elle se mit en place, debout, appuyée sur la voiture
(Et plus près de la caméra…)
Jouant le jeu, ma déesse se plaça langoureusement sur l’aile de la voiture et me sourit.
Premier cliché.
Chose incroyable il y a encore quelques heures, elle s’exécuta.
Deuxième cliché.
Je photographiai avec délice sa nudité voilée offerte et imaginai l’effervescence en cabine de surveillance.
Je m’avançais vers elle tout en rangeant mon téléphone.
Sans lui laisser le temps de réagir je me penchai sur l’objet de mes désirs et posai ma bouche sur sa vulve. Mes lèvres sur le nylon chaud l’embrassèrent.
Ma langue commença à jouer sur elle dans une danse sensuelle.
M’écartant un instant, je lui demandai :
Je posai ma main sur sa cuisse pour la guider, elle ne résista pas. Son pied posé, sa chatte bien ouverte, je repris le cunnilingus que j’avais décidé de lui offrir. Avidement, je mettais tout mon cœur à lui transmettre la passion qui brûlait en moi. Son clitoris gonflé d’excitation roulait sous ma langue à travers le fin nylon trempé. Je la sentis se crisper, ses mains prenant appui sur la voiture, j’insistai.
D’ordinaire très discrète, je la sentis défaillir. Je redoublai d’intensité sur son bouton. Son bassin se mit en mouvement, sa respiration s’intensifia. Dans un long râle, je la sentis s’abandonner au plaisir.
Les lèvres encore emplies de sa jouissance, je lui donnai un tendre baiser…